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Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
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Quelques organisations de sauvetage durant la Seconde Guerre mondiale (WWII)

    Des organisations issues des communautés juives et des associations caritatives de la société civile, confrontées à la barbarie antisémite des nazis et de Vichy s'organisent dans le sauvetage.
    Une dizaine d’organisations juives d’assistance se coordonnent secrètement dès le 15 juin 1940, à Paris, en zone occupée sous le nom de comité Amelot.
    A partir des lois antisémites d’octobre 1940 et de la chasse ouverte aux Juifs étrangers, le mouvement des internés volontaire s'installe au coeur des camps et font appel à des réseaux extérieurs et aux autorités religieuses afin de faire sortir le plus d'internés possible et relayer leur action.
    Une vingtaine d’associations caritatives, protestantes et juives, se réunissent dans un comité à Nîmes, en zone non occupée, à partir de novembre 1940. Chacune d’elles, avec ses leaders charismatiques, se retrouve en première ligne, dans les camps d’internement, les orphelinats, les soupes populaires, et improvise dans l'urgence pour prendre en charge les persécutés. Elles sont entraînées dans une course contre la mort et commencent à pratiquer des activités illégales, fabrication de faux papiers, création de filières de camouflage et de réseaux de sauvetage avant d'entrer en résistance.

    L’Eglise catholique, poussée par les activistes, sort du silence et, peu à peu, en appelle au devoir de solidarité.
    Les organisations juives peuvent désormais utiliser le tissu social de la France profonde pour sauver les Juifs.
    Les associations aident alors des dizaines de milliers de Juifs à se fondre dans la société civile.
    Les enfants sont la priorité absolue. Une gigantesque entreprise de camouflage commence.

    76 000 Juifs de France vont disparaître dans la Shoah. Mais grâce à cette mobilisation, et d’abord à celle des Juifs eux-mêmes, 250 000, soit les trois quarts des Juifs résidant en France, vont y échapper.

    • AFSC (American Friends Service Committee)
    • AIP (Association des israélites pratiquants)
    • AIU (Alliance Israélite Universelle)
    • Amitié chrétienne
    • Bund
    • Les cantines populaires
    • CIMADE (Comité Inter Mouvements Auprès Des Evacués)
    • Colonie Scolaire
    • Comité de la rue Amelot - 1 000 enfants Juifs seront sauvés par le Comité.
    • Croix Rouge Français
    • EIF (Éclaireurs Israélites de France)
    • ET (Entraide Temporaire) - Fondée avec le concours de militantes catholiques, protestantes et juives, l’Entraide Temporaire se consacre à partir de 1942 au sauvetage des enfants juifs privés de leurs parents. Le secteur des enfants est confié à Denise Milhaud, qui rejoint l’Entraide Temporaire en mars 1941. Dans son activité de sauvetage des enfants, Denise Milhaud a pour secrétaire à l’Entraide Française, Arlette Beaumont, fille adoptive du Professeur Beaumont, puis Hélène Berr qui fut déportée avec ses parents, et enfin Nicole Schneider. 500 enfants Juifs seront sauvés par l'Entraide Temporaire.
    • EU (Éclaireurs Unionistes)
    • La Fédération des Sociétés Juives
    • Le Foyer Amical
    • Foyer ouvrier juif
    • FSJF (Fédération des sociétés juives de France)
    • HIAS (Hebrew Immigrant Aid Society)
    • HICEM
    • Joint (American Joint Distribution Committee)
    • La Mère et l’Enfant
    • MJS (Mouvement de la Jeunesse Sioniste)
    • MNCR (Mouvement national contre le racisme) - Créé en septembre 1942 à l'initiative des résistants membres des Francs-tireurs et partisans - Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI), le Mouvement national contre le racisme s'engage dans le sauvetage des enfants qui risquent la déportation : les cacher, organiser des évasions et le passage des frontières, fabriquer des faux-papiers. Le MNCR agit alors avec l'Union des juifs pour la résistance et l'entraide (UJRE). 163 enfants sortis des foyers de l'UGIF sertont sauvés par le MNCR
    • ORT
    • OSE (Œuvre de secours aux enfants) - Entre 1939 et 1944, l'O.S.E. se trouve à la tête de 14 maisons d'enfants. Elle intervient dans les camps d'internement pour sortir les enfants menacés de déportation et ouvre des centres médico-sociaux pour aider les familles juives dans le besoin. Dès 1943 elle met sur pied un réseau clandestin qui permet de cacher l'ensemble des enfants qui lui ont été confiés, contribuant à en sauver plus de 5 000 enfants Juifs.
    • Paole Zion de gauche
    • Réseau Abadi - 527 enfants Juifs seront sauvés grâce au réseau Abadi.
    • Réseau Garel - 1 600 enfants Juifs seront sauvés grâce au circuit Garel.
    • Sixième - 1 750 enfants Juifs seront sauvés par la Sixième.
    • SSAE (Service Social d’Aide aux Emigrants) - œuvre privée reconnue d’utilité publique, créée à l’initiative de notabilités et qui avant la guerre tente d’apporter une aide aux familles de fusillés et de victimes de la répression. Il est dirigé par Lucie Chevalley de 1932 à 1964.
    • UGIF (Union Générale des Israélites de France)
    • UJRE (Union des juifs pour la résistance et l'entraide)
    • Yiddische Vinkl - foyer juif. Sa vocation était d’être un salon littéraire où étaient organisés débats et rencontres. Il y était également servi des repas chauds et dispensé une assistance pour les Juifs étrangers principalement.


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