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Michel Slitinsky



 
Bordeaux 33000 - Gironde
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Michel-Slitinsky
Michel Slitinsky, lors du procès Papon
source photo : Dessin d'Edith Gorren
crédit photo : D.R.
Histoire

Une famille d'émigrés russes

Michel Slitinsky (né en 1925 à Bordeaux) est issu d'une famille juive d'Ielisavetgrad, petite ville d'Ukraine entre Kiev et Odessa du côté de son père et de Tcherniguov du côté de sa mère.

Son père Abraham Slitinsky et toute la communauté juive vivent dans la hantise du tsarisme inquisiteur. C'est en effet le temps des pogroms qui se développent en Ukraine, avec l'intervention des Cosaques. La famille décide en 1912 de quitter le pays et de gagner la France, « Terre des Libertés » et de s'installer à Paris. En réalité les parents et grands-parents se résignent à rester, seuls les enfants s'exilent.

Une partie des émigrants rejoindra l'Argentine. Un cousin de Michel Slitinsky deviendra doyen de la faculté de Droit (il sera assassiné par les fascistes de Perón) et une cousine doyenne de la faculté de médecine, (spécialiste oto-rhino-laryngologiste, elle a été appelée régulièrement dans des colloques européens). On trouve aussi un avocat et un chanteur d'opéra. La famille qui possède des propriétés en Terre de feu deviendra après la guerre antenne de l'Institut ibérique du professeur Salomon.

Abraham travaille dans une usine d'armement et sera en 1916, pendant la Première Guerre mondiale, un des rares contribuables volontaires à verser de l'or pour la Défense Nationale. Il rencontre dans l'importante colonie juive résidant dans le secteur Vincennes-Montreuil sa future femme Esther Eterstein, originaire de Kiev. Elle travaille comme couturière aux Galeries Lafayette.

Peu après la fin de la Première Guerre mondiale, ils s'installent à Bordeaux et ouvrent un magasin de surplus américain, cours de l'Yser.

Naissent à six ans d'intervalle Alice (1919) et Michel (1925). Abraham décide de créer une association qui viendra en aide aux immigrés de l'Est, qui s'intitule Société de Fraternité Israélite, dont les statuts sont déposés en 1920. Il est promu président et s'entoure de nombreux amis dont Stolpner, Sandler, Pryvis, Cypel, Gaykine et Alitenssi.

Abraham Slitinsky sera raflé par les services de police de la préfecture de Gironde, déporté en octobre 1942 et gazé à Auschwitz. Esther, son épouse, restera cachée pendant trois ans dans une cave à Bordeaux. Michel Slitinsky, qui a alors 17 ans, aura juste le temps de s'enfuir par les toits lors de l'arrestation nocturne de sa famille.

Wikipedia (2009-07-16)

Après la rafle du 19 août 1942 à Bordeaux, Michel Slitinsky s'échappe par les toits au moment où la Gestapo frappait à la porte de leur appartement, 3, rue Chartreuse à Bordeaux.

Dans un premier temps, des amis le dissimulent puis l’un d’eux, Gérard Jacopy, un camarade d'école, a une idée : il pourrait aller à la campagne, du côté de Coux en Charente-Maritime où ses grands-parents tiennent une épicerie. Sur place, il a un relais sur lequel il peut compter, son oncle Gilbert Denis. Cet instituteur dévoué connaît bien les Deveaux, des agriculteurs qu’il n’a aucun mal à convaincre d'accepter Michel comme « étudiant volontaire pour le retour à la ferme ». Le fermier ignore tout de Michel.

Quand Michel Slitinsky arrive à la gare de Montendre, Gilbert Denis l’attend et l’accompagne chez ceux qui vont l’héberger pendant plusieurs mois sans poser de questions : « mes interlocuteurs n’étaient pas bavards. Les ordres étaient donnés en mauvais français et les discussions se faisaient en patois que j’appréciais pour son rythme chantant. Ils m’ont demandé mon prénom, c’est tout » se souvient-il. Le soir, il s’échappe pour écouter la BBC chez les Bourdeleau qui tiennent l’épicerie. La vie suit son cours.
Arrive le moment où il lui faut des papiers en bonne et due forme : il se rend à la mairie où il déclare qu’il a perdu sa carte d’identité. Il en demande une autre au nom de Jean Jean, étudiant, né en 1926 à Bordeaux. Et ça marche !
Huit jours après, il reçoit le précieux document. Sauvé par l’état-civil et des appuis amicaux.
Sous la protection de Gilbert DENIS qui, vigilant, déjoue ainsi les incursions des gendarmes et des Allemands, Michel restera à Coux un certain temps, puis grâce à un autre camarade de classe, Claude Brunet, il regagnera Bordeaux, accueilli par la famille de Claude et parviendra à rejoindre le mouvement Mur qui compte une filière dans le Puy de Dôme. « Nous avons vécu plus de deux ans dans les bois, la neige, le froid, la pluie. C’était le prix de la liberté » avoue-t-il. Dans cette tourmente qui finit en Alsace, il n’oubliera jamais l’aide de Gilbert Denis.
Bruno Denis, le fils de Gilbert* évoque cette période : Durant cette période, le maire, René Gautret, délivrait de faux papiers pour les Juifs et les résistants. « Ici, nous avons des valeurs et c’est la Haute-Saintonge qui a porté les mouvements de résistance ». Il suffit de penser à Pierre Ruibet, qui fit sauter les carrières d’Heurtebise, à Claude Gatineau et à des hommes de l’ombre dont Gilbert Denis..

16/07/2009

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Résistance

Michel Slitinsky entre en clandestinité et intègre un réseau de résistance qui le mènera dans les maquis d'Auvergne (M.U.R). Dès la Libération, il n'aura de cesse de reconstituer l'histoire de la Résistance en Gironde, collectant témoignages et documents consignés dans deux ouvrages parus en 1969 et 1972. Sa recherche active et passionnée en fait un historien autodidacte.

16/07/2009
Lien : Wikipedia

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Affaire Papon

En 1981, Michel Bergès qui effectue des recherches dans les archives de la préfecture de Gironde retrouve le procès-verbal de police qui relate l'arrestation de Michel Slitinsky à qui il communique des photocopies. D'autres documents portent le nom de Maurice Papon, à l'époque ministre du Budget. La communication par Slitinsky de certaines de ces copies au Canard Enchaîné sera à l'origine de l'Affaire Papon. Pendant dix ans, Slitinsky collabore avec Michel Bergès et l'avocat Gérard Boulanger pour établir la responsabilité de Papon dans la déportation des Juifs de Gironde. En 1990, Slitinsky se brouille avec Bergès qu'il ne citera pas dans le livre qu'il publie au moment du procés Papon. Il consacrera en tout quatre livres sur le sujet.
En 1997 et 1998, lors du procés de Papon, Slitinsky est porte-parole des Parties civiles et assistera à toutes les audiences du procès qui dure 6 mois. Sa déposition a lieu les 21 et 22 janvier 1998. Le premier jour de sa déposition, le président Castagnède fera état de documents qui établissent l'intervention personnelle de Papon en faveur d'Alice Slitinsky, sœur de Michel.

16/07/2009

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Bibliographie

  • Michel Slitinsky, Trois filles et vingt garçons, Éditions Les cahiers de la Résistance, 1969.
    Témoignages sur la Résistance en Gironde.
  • Michel Slitinsky, La Resistance en Gironde, Éditions Les cahiers de la Résistance, 1972.
  • Michel Slitinsky, L'affaire Papon, Éditions Alain Moreau,  1983.
    Préface de Gilles Perrault, Préface interdite qui donne lieu à une seconde édition de L'affaire Papon en 1984 avec comme préface le rendu de justice qui a donné lieu à l'interdiction de la préface de Perrault qui traitait Papon de "franc salaud"
  • Michel Slitinsky, Pouvoir préfectoral lavaliste à Bordeaux, Éditions Wallada, 1987 (ISBN 2904201130).
  • Michel Slitinsky, Procès Papon, le devoir de justice, Éditions de l'Aube, 1998 (ISBN 2876783843).
  • Collectif de lycéens, Michel Slitinsky : l'affaire de tout un siècle, Éditions Le Bord de L'eau, 2000 (ISBN 2911803248).
  • Michel Slitinsky, Bordeaux, indiscrétions des archives de l'occupation, Éditions Les Chemins de la Mémoire, 2005 (ISBN 2909826872).
  • Michel Slitinsky, La nuit des évasions, 150 juifs, résistants, politiques fichés et pris en chasse par la police de Vichy, Éditions Le bord de l'eau, 2007 (ISBN 9782915651812).

16/07/2009

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Titre

La nuit des évasions

La nuit des évasions

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Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Le bord de l'eau  
Année   2007  
Genre   témoignage  
Description   La nuit des évasions, 150 juifs, résistants, politiques fichés et pris en chasse par la police de Vichy

Cet ouvrage reconstitue quelque 150 évasions et avis de recherche de juifs, de résistants, de militants politiques. Ces jeunes hommes pour la plupart, s'évadèrent... A quelques secondes près leur vie bascula. A quelques secondes près donc, un homme est caché par des voisins, s'enfuit par les toits, saute d'un train, fuit dans la nuit... sauve sa vie. Michel Slintinsky, parce qu'il a lui-même vécu ce qu'il relate de la vie de ses contemporains, rend hommage à ces évadés de l'ombre qui ont fui la police vichyste ou la Gestapo pour commencer parfois, reprendre pour d'autres, le combat de résistance face à l'ennemi allemand et face à celui de l'intérieur. Le livre est constitué de fac-similés commentés : copies de documents d'époque, photos des personnages en question, lettres officielles, coupures de presse, etc. L'auteur, comme pour l'affaire Papon, a effectué un véritable travail d'investigation qui restitue toute l'ambiance politique de l'époque. Extrait de l'introduction... Avec la Libération du mois d’août 1944, on croyait avoir vaincu l’élite dirigeante de Vichy, forte de l’adhésion de militants de droite et d’extrême droite, de fonctionnaires au garde-à-vous, de policiers répressifs, jusqu’au simple gardien zélé pour qui la vie du détenu ne comptait pas. Tout s’est passé dans l’espace de 24 heures pour effacer le passé de ces marionnettes vouées à la victoire nazie. Certains voudraient faire le parallèle entre un Papon, carriériste, et un Bousquet respectable et respecté par les notables politiques, qui s’en sont fait des amis...

(ISBN 9782915651812)
 

Titre

Bordeaux, indiscrétions des archives de l'occupation

Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Les Chemins de la Mémoire  
Année   2005  
Genre   témoignage  
Description   Michel Slitinsky, Bordeaux, indiscrétions des archives de l'occupation, Éditions Les Chemins de la Mémoire, 2005 (ISBN 2909826872)
 

Titre

Michel Slitinsky : l'affaire de tout un siècle

Michel Slitinsky : l'affaire de tout un siècle

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Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Le Bord de L'eau  
Année   2000  
Genre   Témoignage  
Description   Un grand témoin vu par des adolescents de l’an 2000.

A t-on souvent vu œuvre aussi collective ? Il faut dire que le sujet, l'élément fédérateur, est d'importance: la vie de Michel Slitinsky.
Chacun en a pris conscience, s'est saisi des moments clefs du parcours de cet homme, a élaboré et rédigé un texte : ce sont les 12 chapitres de ce livre : 26 auteurs d'une classe de 5e.

Troix rencontres avec Michel Slitinsky qui a aussi prêté des documents.

Dans sa préface Roger Boussinot évoque cet éveilleur «de la conscience collective [qui] s'est révélé dans les années 80. Il avait déjà une chevelure blanche, abondante, il parlait droit, il avançait droit au milieu de nous tous, et, droit en face de nous, il soulevait ce qu'on a appelé l'affaire Papon.
«Il s'appelle Michel. C'est Michel Slitinsky, mon ami, bien sûr.»
 

Titre

Procès Papon, le devoir de justice

Procès Papon, le devoir de justice

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Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Éditions de l'Aube  
Année   1998  
Genre   témoignage  
Description   La prérface de Michel Slitinsky

Le passé que nous remuons sans cesse depuis une quinzaine d'années, comme nous l'avons remué après la rentrée d'octobre 1940 sur les bancs de l'école, quand la République chancelante s'est effondrée et que Bordeaux devenait capitale tragique, sera au rendez-vous de l'automne 1997.

Il aura fallu plus de cinquante ans pour que le drame d'une Saint-Barthélémy à la bordelaise rende ses ombres et pour démasquer le plus haut responsable des haut fonctionnaires de Vichy, devenu étonnamment plus puissant après la Libération que sous l'Occupation.

Carrière exceptionnelle bâtie, il faut le reconnaître, sur la complaisance du commissaire de la République Cusin qui a additionné le plus grand nombre de reconversions et de promotions, malgré l'opposition constante du comité départemental de Libération et grâce à l'opportunisme de certains milieux de la Résistance.

Il restait à analyser les états d'âme d'une communauté qui ne s'est réveillée qu'au retour des camps, pour mesurer l'ampleur du deuil collectif, comme frappée par une tornade qu'on attribuait à la bestialité des nazis, alors que l'appareil répressif mis en œuvre par l'administration préfectorale était en première ligne.

La magistrature recomposait les cours de justice et les tribunaux militaires, au rythme de dizaines de procès par semaine, pour poursuivre les miliciens, indicateurs, trafiquants, jeunes dévoyés, mercenaires antisémites et anticommunistes. Sauf les hauts fonctionnaires hantés par leur carrière, que la lâcheté des juges d'instruction faisait oublier pour faire porter le chapeau à des truands genre Lacombe Lucien - ici Lucien Dehan - rendus responsables de l'arrestation de centaines de juifs, en réalité otages de la préfecture.

Papon pouvait alors étaler un art consommé du maquillage qui aurait pu durer jusqu'à présent sans l'obstination d'une poignée de parties civiles. S'étant mis à la disposition de Vichy, il en est devenu un fonctionnaire zélé et voudrait se faire exonérer de toute responsabilité en se référant à une émission de la BBC de janvier 1942 qui invitait les fonctionnaires à rester en place, tout en ignorant toutes celles qui ont fustigé les exécutants du génocide et développé des informations sur l'extermination à l'Est.

Le recours à la Résistance, qu'il déclare avoir servie depuis le 1er janvier 1943, constitue une "couverture" facile pour celui qui faisait arrêter, escorter, séquestrer et interner.

Sa participation à un plan concerté aux côtés d'une organisation criminelle a conduit la chambre d'accusation à conclure à une violation des principes déontologiques de délivrance de la carte de combattant de la Résistance, incompatible avec une accusation de complicité de crimes contre l'humanité.

Le dossier porté également à l'attention de Mme Léotin réunissait des témoignage prouvant une connaissance du sort définitif des victimes.

On sait que Papon a prétendu tout ignorer de la destination des convois formés à Drancy pour l'Est. Tout au plus, il en a eu connaissance, "comme tout le monde", en avril 1945 !

On veut bien admettre que Papon n'écoutait pas la BBC, qui diffusait depuis août 1942 des informations sur l'exterminations des juifs en Haute-Silésie, pour rendre responsables les autorités de Vichy - donc les préfectures - de concentrer les victimes dans les deux zones, et de les convoyer à Drancy pour une étape meurtrière.

Mais Papon a eu le triste privilège de recevoir chaque matin, sur son bureau, le rapport d'écoute des radios alliées par les R.G.. Sa curiosité a-t-elle laissé place à la douleur ? S'est-il interrogé sur ces voyages vers l'inconnu qu'il réalisait avec ses services et a-t-il fait un rapprochement avec les prévisions de déportations rapportées par Garat au retour de l'escorte du 26 août 1942 ?

De toute façon, le rythme des convois - quatre en 1942 avec huit cent vingt déportés, cinq en 1943, et trois en 1944 avec huit cent quarante victimes - illustrait douloureusement une volonté d'élimination des juifs de la région, inaugurée le 18 juillet 1942 par une lettre de félicitations adressée à la police, et portant aux nues les maîtres d'œuvre qui se réjouissaient de "la satisfaction avec laquelle les Allemands ont enregistré cette action".

Aujourd'hui, alors que le temps a usé les fidèles soutiens, les connivences économiques et politiques, le camouflage évident des historiens alignés et le silence des institutions, nous levons enfin ce voile et pouvons espérer que justice soit rendue.

Michel Slitinsky
 

Titre

Pouvoir préfectoral lavaliste à Bordeaux

Pouvoir préfectoral lavaliste à Bordeaux

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Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Wallada  
Année   1987  
Genre   témoignage  
Description   En complément à l’Affaire Papon, 78 documents explosifs découverts en 1986 dans les archives de l’Intendance de Police, simplement situés dans leur contexte et classés par thème. Au lecteur de les interpréter.

Texte introductif de Serge Klarsfeld (6 pages), qui fait le point de l’image de Vichy dans les manuels scolaires, avant et après 1983.
 

Titre

L'affaire Papon

L'affaire Papon

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Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Alain Moreau  
Année   1983  
Genre   témoignage  
Description   Préface de Gilles Perrault, qui fut censurée.

La responsabilité de la haute administration française vichyssoise à travers le procès sur archives de celui que l'on retrouve ensuite ministre de V. G. d'Estaing et sinistre Préfet de Police à Paris pendant la guerre d'Algérie.
Sera-t-il enfin condamné ?
 

Titre

La Resistance en Gironde

Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Les cahiers de la Résistance  
Année   1972  
Genre   témoignage  

Titre

Trois filles et vingt garçons

Auteur   Michel Slitinsky  
Édition   Les cahiers de la Résistance  
Année   1969  
Genre   témoignage  
Description   Témoignages sur la Résistance en Gironde.
 

Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Les vignerons font de la résistance (Blog de Philippe Poisson - Les vendanges de l'automne 1939 débutent en même temps que la guerre. Dans toutes les régions viticoles, on s'organise pour cacher les bonnes bouteilles et vendre la piquette à l'occupant. )




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