Il s'agit d'un manuscrit décrivant les Communautés Juives du Nord et de Picardie du Moyen Age à nos jours en faisant allusion aux militaires, préfets, mécènes, industriels, artistes peintres, musiciens, réalisateurs de confession juive. De source archéologique, la première trace des juifs dans cette région se manifeste par des lettres de change datées du 12ème siècle.
J'ai constitué deux articles qui sont complémentaires avec ce manuscrit :
1) Annexe des Communautés Juives du Nord et de Picardie.
2) Le mécénat juif (Famille) Stein auprès du peintre picard Henri Matisse.
Ces deux articles ont été publiés sur le site d'Alliance Magazine, premier magazine juif sur le net.
Titre
Le livre mémorial des juifs de Seine et Marne durant la seconde Guerre Mondiale 1940-1945
"Avec l’ouverture des documents aux Archives Nationales et Départementales concernant la Seconde Guerre Mondiale, il est possible d’avoir accès à toutes les pièces même si certaines sont encore très sensibles. Madame Isabelle Rambaud, directrice des Archives départementales de Seine-et-Marne, donne la possibilité de pouvoir consulter toutes les archives concernant cette période.
Dans ces documents, le plus incroyable est, sans doute, la découverte d’un camp de transit à Dammarie-les-Lys pour les Juifs étrangers habitant la Seine-et-Marne avant leur envoi vers Beaune-La-Rolande ou Pithiviers. Puis il y a aussi ces camps disciplinaires où des juifs sont internés selon leurs capacités professionnelles : manœuvres, tailleurs, tailleurs sur cuir, etc.
Il y a également ces camps de travail agricole où des Juifs parisiens se portent volontaires pour y travailler. Au bout de ces chemins, il y a, inexorablement, l’application des lois raciales antijuives, la déportation et la mort.
La Fondation pour la Mémoire de la Shoah travaille pour préserver la mémoire de cette immense catastrophe qui a réduit les rangs du Peuple Juif dans le Monde : 6.000.000 d’âmes. Cette fondation finance différents projets de recherches sur le recensement, le marquage, la déportation et l’extermination des Juifs et plus particulièrement des Juifs de France. Ces travaux trouvent leur réalisation et leur archivage dans le Mémorial de la Shoah qui remplace ce qui a été pendant plus de 50 ans le Centre de Documentation Juive Contemporaine. Il faut rappeler ici le long travail de recherches des minutes de la mise en place de l’extermination des Juifs de France et la traque des criminels de guerre ayant œuvrés en France, par Serge et Beate Klarsfeld, aidés par les ’’Fils et Filles des Déportés Juifs de France’’. Simon Wiesenthal, le chasseur de nazis, leur avait ouvert la voie.
Frédéric Viey, historien, retrace dans ce livre les douloureuses étapes de la vie quotidienne des Juifs en Seine et Marne de 1940 à 1945. Puis rend hommage aux Justes, qui au péril de leur vie, sauvèrent des fils d’Israël. Il y en a eu plus d’une vingtaine dans notre département."
L'auteur :
"Aujourd’hui, il faut rendre hommage aux personnes qui trouvèrent la mort durant cette sombre période en citant les véritables raisons de cette extermination. En effet, en Seine-et-Marne comme dans tout l’hexagone, les israélites français et étrangers sont énumérés, marqués, spoliés, déportés et exterminés parce que Juifs ; vieil anti-judaïsme clérical ? La xénophobie du régime nazi, amplifiée par l’antisémitisme d’Etat d’un gouvernement ultra-nationaliste conduisent aux portes de l’enfer plus de 80.000 juifs de France."
Liens externes[Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet] 1 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
2 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
3 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques. Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
4 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
5 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) ) 6 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )
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