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Bas-Rhin

Région :
Grand-Est
Département :
Bas-Rhin

Préfets :
Émile Bollaert
(11/1945 - 1947) Commissaire régional de la République pour la région de Strasbourg (Bas-Rhin et Haut-Rhin). Arrêté et déporté en Allemagne en 1944, il est désigné commissaire de la République à Strasbourg après son rapatriement (1890-1978)

À lire, à voir…

Jean-Émile Andreux Jean-Émile Andreux
Mémorial des déportés du Judenlager des Mazures

 

Médard Brogly Médard Brogly
La grande épreuve - l'Alsace sous l'Occupation Allemande 1940-1944

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René Gutman René Gutman
Le Memorbuch - Mémorial de la Déportation et de la Résistance des Juifs du Bas-Rhin

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Max Lagarrigue Max Lagarrigue
1940, la France du repli, l'Europe de la défaite

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Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
La Shoah en France

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Marie-Joseph Bopp Marie-Joseph Bopp
Histoire de l'Alsace sous l'occupation allemande, 1940 1945

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Eric Rondel Eric Rondel
L'Armée américaine en Alsace : Haut-Rhin / Bas-Rhin 1944-1945

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Anne Grynberg Anne Grynberg
Les camps de la honte : Les internés Juifs des camps français

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Jean-Émile Andreux Jean-Émile Andreux
Le Camp des Mazures et ses déportés juifs

 

Denis Peschanski Denis Peschanski
La France des camps : L'Internement, 1938-1946

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Monique-Lise Cohen Monique-Lise Cohen
Eric Malo
Les camps du Sud-Ouest de la France, 1939-1944

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Serge Klarsfeld Serge Klarsfeld
Adieu les enfants (1942-1944)

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Daniel Froville Daniel Froville
Pierre Bockel, l’aumônier de la liberté

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Camp de concentration

Camp du Struthof-Natzweiler
durant la Seconde Guerre mondiale (WWII)

Texte pour ecartement lateral Commune : 67130 Natzwiller(Natzweiler)
- Bas Rhin

Période d'activité: 1er mai 1941 au 23 novembre 1944
Superficie: 4,5 hectares
Capacité: 2 000 à 7 000
Population internée: Droits communs, puis Alsaciens, Français, Norvégiens, Néerlandais, Luxembourgeois, Allemands et Tziganes

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Camp-du-Struthof-Natzweiler
Vue de baraques dans le camp de Natzweiler, qui constituait une partie du camp de concentration de Natzweiler-Struthof. Natzweiler-Struthof, France, après le 30 septembre 1944.
source photo : United States Holocaust Memorial Museum
crédit photo : USHMM
Camp-du-Struthof-Natzweiler
Struthof-Natzweiler
source photo : Inconnu
crédit photo : D.R.
Camp-du-Struthof-Natzweiler
Baraques dans la carrière du camp de concentration de Natzweiler-Struthof. Natzweiler, France, après le 7 avril 1945.
source photo : United States Holocaust Memorial Museum
crédit photo : USHMM
Histoire
Le camp à Natzwiller, ouvre en 1941 sur un terrain situé à 8 km de la gare de Rothau.
A l'ouverture du camp, les effectifs sont formés de droits communs et d'asociaux afin de construire le camp, les routes d'accès et d'en constituer l'administration interne.

Près de 52 000 personnes d’une trentaine de nationalités différentes ont été déportées au KL-Natzweiler ou dans ses camps annexes (en Allemagne, en Alsace annexée ou en France occupée) : des Alsaciens, des Français de l'intérieur, des Norvégiens, des Néerlandais, des Luxembourgeois et des Allemands, ainsi que quelques Tziganes et des femmes dans les kommandos extérieurs.

86 Juifs y sont gazés à titre expérimental pour étudier l'anatomie de leur squelette et des expériences médicales sont réalisées dans de cadre des recherches de l'Université de Strasbourg dont la section de recherche est dirigée par le Dr Hirt (inoculation du typhus et de vaccins, application de gaz vésicants liquides, infections d'urotropine comme antidote du gaz phosphogène, vivisections).

En 1945 le Struthof devient un lieu d'internement des collaborateurs.

03/09/2009

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Struthof, la borne des noms

Statistiques extraites de la borne des noms « Nous étions 52 000 », réalisée par la DMPA à partir des recherches de l’historien Robert Steegmann pour sa thèse sur le Struthof.
Immatriculations au KL-Natzweiler

Date d'immatriculation - Nombre
1941 -      539
1942 -   1 464
1943 -   4 687
1944 - 36 852
1945 -   2 679

03/09/2009
Lien : La borne des noms

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Quelques données

Nom : KL-Natzweiler, germanisation de Natzwiller
  • Classification : catégorie III (parmi les plus sévères)
  • Localisation : 60 Km de Strasbourg, Alsace, France
  • Superficie du camp : 4,5 hectares
  • Altitude : 800 mètres
  • Orientation : nord-est, pente 20%
  • Climat
    été : températures élevées, plein soleil, pas d’ombre
    automne : pluies fréquentes, brouillard dense
    hiver : vent glacial, températures entre - 10° et - 20°, 1m50 de neige
  • Gare d’arrivée des déportés : Rothau, 8 Km
  • Distance par rapport à la carrière : 1 Km
  • Distance par rapport à la chambre à gaz : 1,5 Km
  • Moyen d’accès : la route construite par les déportés
  • Nombre de nationalités représentées : ± 30
  • Nombre de déportés camp central + camps annexes : ± 52 000
  • Nombre de morts : ± 22 000
  • Taux de mortalité : 40%
  • Effectif normal du camp central : ± 2 000 déportés
  • Effectif du camp central en période d’affluence : ± 7 000 déportés
  • Effectif par baraque : 150 à 250 déportés
    Effectif par baraque en période d’affluence : 650 à 750 déportés
  • Durée d’internement
    la plus courte : 1 jour
    la plus longue :3 ans et 6 mois (42 mois)
    internement moyen au camp : entre 1 et 6 mois
  • Age moyen : 20 ans
    Déporté le plus jeune immatriculé au camp : 11 ans
    Déporté le plus âgé immatriculé au camp : 78 ans
  • Uniforme
    1 chemise, 1 pantalon, 1 veste, 1 paire de claquettes en bois – souvent sous forme de pyjamas rayés ou alors vieux vêtements civils en provenance d’autres camps
  • Alimentation
    matin : 1 louche de « café »
    matinée : sur les lieux de travail, 1 fine tranche de pain noir et 1 fine tranche de saucisson
    midi : soupe de rutabaga ou de choux
    soir : 1 bout de pain noir
    1 fois par semaine : 50g de marmelade
  • Nombre de blocks
    en 1944, 17 blocks
    15 blocks en bois : 6 dortoirs, 5 pour l’infirmerie, 1 pour les malades du typhus, 1 bureau, 1 cuisine, 1 de quarantaine ;
    2 blocks durs : 1 block cellulaire (de 20 cellules et 12 cachots) et 1 block crématoire
  • Superficie des blocks : 12,50 m de large, 44 m de long
  • Ergonomie des blocks dortoirs : espace rectangulaire divisé en deux ailes, dans l’une le réfectoire avec 12 tables ; dans l’autre, les châlits de 3 étages, plus une chambre séparée pour le kapo. Au centre, deux vasques pour la toilette et des WC
  • 8 miradors
    10m de haut, 3m30 de large, 3m40 de long (12 m2) équipés de puissants projecteurs orientables
  • Barbelés
    - double enceinte, 3m de haut, autour du camp de barbelés électrifiés, 380 Volts
    - une troisième enceinte autour du périmètre de sécurité délimite la zone interdite
  • Encadrement du camp
    - 5 commandants entre 1941 et 1944
    - 1 garnison de SS Totenkopf (« Tête de mort »)
    - environ 80 hommes, officiers, sous-officiers et hommes de troupe
    - sentinelles armées de mitraillettes en haut de chaque mirador

03/09/2009
Lien : Struthof

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Évasion à Natzweiler

[…] une seule évasion réussie, le 4 août 1942.

Il s’agit de cinq détenus (un Allemand, un Autrichien, un Tchèque, un Polonais et un Alsacien, qui connaît très bien la région), tous employés dans différents Kommandos à l’hôtel du Struthof, donc en dehors de l’enceinte barbelée et électrifiée du camp principal. L’un est aux garages, où il entretient des véhicules SS, et les autres travaillent à la blanchisserie, encombrée d’uniformes à nettoyer.

[…] le projet, bien préparé, se concrétise le 4 août, […]. les cinq hommes ont réussi à rassembler quelques vivres, de l’essence, une carte de la région et une boussole. Le commandant du camp, Egon Zill, est absent depuis quelques jours, de même que le SS-Obersturmführer Schlachter […]. Au début de l’après-midi, alors que l’orage menace, et après avoir coupé les fils du téléphone, deux d’entre eux revêtent des uniformes SS […] et prennent place à l’avant du véhicule de Schlachter. Winterberger est assis à la place du passager, les autres sont cachés à l’arrière. Ils franchissent la barrière de garde, située sur la route qui mène au camp, en répondant au garde qui s’est mis au garde-à-vous en reconnaissant le véhicule,par un «Danke schön,Heil Hitler ! » […] Ils choisissent de se diriger vers le col de la Charbonniere, abandonnent le véhicule à Châtenois et revêtent les vêtements civils qu’ils ont emportés. À une heure du matin, ils passent à pied le col de Sainte-Marie-aux-Mines, en évitant la patrouille. Ils sont désormais en France occupée. […]

Christmann est rattrapé et ramené au KL-Natzweiler. Après plusieurs jours de tortures, il est pendu publiquement par Kramer, le 5 novembre 1942.

Extrait de Steegmann, Robert, Le KL-Natzweiler et ses Kommandos : une nébuleuse concentrationnaire des deux côtés du Rhin 1941-1945, Strasbourg, Éditions de la Nuée Bleue, 2005, p 362.

03/10/2012
Auteur : Robert Steegmann

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1 Famille internée - Camp du Struthof-Natzweiler [Ajouter une famille]

Famille ENTZMANN michel : 
Nationalité Française
Je n'en sais pas trop sur mon grand-père: MICHEL ENTZMANN mais je sais qu'il a survécu au camp de concentration du struthof à la fin de la guerre. il était donc vivant quand la guerre s'est finie. Je peux surement avoir plus de renseignements aupres de mon oncle qui vit en alsace actuellement . Je tiens vraiment a continuer mes recherches et de laide provenant de nimporte qui ne serait pas de refus. Merci beaucoup

Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Schirmeck (Mémorial d'Alsace Moselle et Oradour-sur-Glane )
2 Struthof témoignages (Hommage rendu aux déportés du camp de Struthof, seul camp d'extermination nazi sur le sol français, situé dans en Alsace, près de Strasbourg. Ce sont près de 40 000 personnes… )
3 Camp de Natzweiler-Struthof 1941 – 1946 (Encyclopédie de la Shoah. © Mémorial de la Shoah, Paris, France )
4 Memorbuch (Mémorial des Juifs du Bas-Rhin )
5 Struthof, site de l'ancien camp de concentration de Natweiler (Le 21 avril 1941, au lieu dit « le Struthof », les nazis ouvrent un camp de concentration, le KL*-Natzweiler.
Le camp central, seul camp de concentration sur le territoire français, est situé en ce qui était alors l'Alsace annexée. Sa nébuleuse de camps annexes, répartie des 2 côtés du Rhin, est composée d'un réseau de près de 70 camps, plus ou moins grands. Sur les quelque 52 000 déportés du KL-Na, environ 35 000 ne passeront jamais par le camp central.
Lieu de travail au profit de l’industrie de guerre nazie, le camp abrite aussi les expérimentations médicales des professeurs nazis de l'Université du Reich de Strasbourg.
Le 23 novembre 1944, les Alliés découvrent le site évacué par les nazis depuis septembre. Pour certains déportés des camps annexes, le calvaire se prolonge au cours du printemps 1945 par les marches de la mort.
De 1941 à 1945, le KL-Natzweiler est l’un des camps les plus meurtriers du système nazi. Près de 22 000 déportés y sont morts. )
6 Journal de guerre de Charles Altorffer
7 TEMOIGNER DE CES VIES (L'exposition "TEMOIGNER DE CES VIES" de peintures, ceramiques et textes continue jusqu'au 24 Décembre 2010 au camp du Struthof. Elle est dédiée aux victimes juives de la Shoah, aux victimes tsiganes du Samudaripen et aux victimes homosexuelles du nazisme. )
8 Site officiel de la Commune de Montigny-les-Monts
9 Site non officiel de la commune d' Auxon (Démarches administratives, histoire du village, cartes postales et photos anciennes. )
10 Saint-Dizier la période 1939-1945 en photos (La ville de Haute-Marne la période 1939-1945 en photos )
11 Histoire de Lièpvre de 1870 à 1945.
12 Le grands entretiens : André Kahn (Né en 1929 dans la bourgade alsacienne de Schirrhoffen, André Kahn est un rescapé de la Shoah. Evacué en train en janvier 1945 en direction de Gusen II, camp annexe de Mauthausen, puis à pied en avril vers Bergen-Belsen, André Kahn y est libéré par l'armée britannique et rapatrié le 5 juin à l'hôtel parisien Lutetia. )
13 Les grands entretiens : Denise Swaab-Kahn (Née en 1927 dans la bourgade alsacienne de Schirrhoffen, Denise Kahn est une rescapée de la Shoah. Rapatriée en juin 1945 à l'hôtel Lutetia à Paris. )

Chronologie [Ajouter]

12/04/1939 - Décret du 12 avril 1939 sur la création des CTE (Compagnies de Travailleurs Étrangers).
22/06/1940 - L'armistice met fin aux combats. L'Alsace est occupée par l'Allemagne nazie. L'administration civile de l'Alsace est confiée au Gauleiter de Bade-Alsace, Robert Wagner, avec pour mission de gagner en une décennie la population alsacienne à la cause du national-socialisme.
13/07/1940 - Le Gauleiter Robert Wagner décide d'expulser les Juifs restés en Alsace, et de confisquer tous leurs biens, intérêts et droits au profit de l'État.
14/07/1940 - Les Alsaciens non Juifs sont autorisés à rentrer chez eux.
27/09/1940 - Loi du 27 septembre 1940 sur la création des GTE (Groupements des Travailleurs Étrangers).
22/02/1941 - Décret du 22 février 1941 sur les sanctions à appliquer dans les GTE (Groupements des Travailleurs Étrangers).
16/03/1941 - Le gauleiter Bürckel, responsable, entre autre, de l'Alsace Lorraine, demande aux Mosellans se reconnaissant Français une déclaration d'option.
08/04/1941 - Départ vers la France des Mosellans se reconnaissant Français.
01/05/1941 - Création du camp de Natzweiler-Struthof.
29/07/1941 - L'allemand devient la langue obligatoire en Alsace-Lorraine.
27/05/1944 - Bombardement alliés de Strasbourg et de ses faubourgs.
11/08/1944 - Bombardement alliés de Strasbourg et de ses faubourgs.
25/09/1944 - Bombardement alliés de Strasbourg et de ses faubourgs.
23/11/1944 - Le camp de Natzweiler-Struthof est libéré par les alliés.
25/12/1944 - L'Alsace étant annexée et les déboires de l'armée allemande sont fréquents. Le 2 décembre 1944, toutes les unités des forces terrestres, de l'air et des Waffen-SS sont placées sous le haut commandement du Reichsführer-SS Heinrich Himmler et doivent coute que coute empêcher que les Forces de Libération traversent le Rhin. Ce sera le début de la "Poche de Colmar" Heinrich Himmler en personne vient galvaniser ses troupes et sera signalé à Wuenheim durant la Nuit de Noël 1944 où il passera la nuit au presbytère du villageWuenheim France
06/02/1945 - Les troupes de 1ère Armée Française sont arrêtées sur la rivière de la Doller depuis quelques semaines. Il a beaucoup neigé en ce début d'année 1945. Fin janvier l'état major décide de reprendre les combats pour éradiquer la "Poche de Colmar" Au Sud des combats ont lieu à l'Ochsenfeld et dans les rues de Cernay. Le 4 février au petit matin les Allemands quittent Wuenheim et font sauter le pont au bas du village. Vers 14 heures le 4ème RSM et le 1er RTM libèrent le village et poursuivent vers Soultz Guebwiller et quelques éléments arrivent même à entrer dans RouffachWuenheim France
07/05/1945 - Le général Jodl et l'amiral Freideburg signent la capitulation sans condition au quartier général d'Eisenhower à Reims, en présence de représentants britanniques, français, américains et soviétiques. La reddition entrera en vigueur le 8 mai à minuit.
02/11/1945 - Ordonnance du 2 novembre 1945 sur la dissolution des GTE (Groupements de Travailleurs Étrangers).
29/05/1946 - Début du procès contre le personnel du camp de Natzweiler-Struthof.


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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog 2 pages, réalisation 2011
Auteur : Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
Paul Ernest dit Paul Bourson Farouche opposant au régime nazi, Exposé 2 pages, réalisation 2011
Auteur : Alain LAPLACE - terminal
Article extrait d'une étude généalogique sur la famille BOURSON de Vigy (Moselle) et alliés (http://majoresorum.eklablog.com)

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