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Région :
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Préfets :
Émile Bollaert
(11/1945 - 1947) Commissaire régional de la République pour la région de Strasbourg (Bas-Rhin et Haut-Rhin). Arrêté et déporté en Allemagne en 1944, il est désigné commissaire de la République à Strasbourg après son rapatriement (1890-1978)
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Texte pour ecartement lateral |
dite Stéphanie Laugier |
Texte pour ecartement lateral
Strasbourg 67000 - Bas-Rhin | |||||||||||||||||||||||||||
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Fanny Loinger source photo : Coll. Tamar Jacobs-Loinger crédit photo : D.R. | |
Fanny Loinger source photo : Coll. Tamar Jacobs-Loinger crédit photo : D.R. | |
Fanny Loinger et Charlotte Helman source photo : Coll. Tamar Jacobs-Loinger crédit photo : D.R. | |
Fanny, Emma, Armanda et Georges Loinger source photo : Coll. Tamar Jacobs-Loinger crédit photo : D.R. |
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Résistante juive
Période de Résistance
De 1941 à la Libération (Marseille, Privas, Ardèche, Haute-Savoie, Hautes et Basses-Alpes)
Réseaux
OSE (Oeuvre de secours aux enfants)
Garel
Responsable
Andrée Salomon
Engagée par Andrée Salomon en avril 1941 pour travailler pour l'OSE (Oeuvre de secours aux enfants), Fanny Loinger Nezer s'occupe des réfugiés de l'hôtel du Levant à Marseille qui attendent un visa pour les États-Unis. Sur ces 500 personnes, un grand nombre, ne pouvant quitter la France, est interné au camp des Milles. Fanny essaye de placer les enfants dont les parents ont accepté de se séparer pour les mettre à l'abri. Elle est mutée à Privas (Ardèche) pour poursuivre la protection des familles et le placement des enfants.
À partir de 1942, dans le réseau Garel, elle poursuit ces mêmes activités dans la Drôme, l'Isère, les Alpes et la Haute-Savoie. Les arrestations s'intensifiant, Fanny se déplace sans cesse, le planquage des enfants s'avérant de plus en plus indispensable. Au cours d'une de ses missions, Fanny Loinger Nezer, qui est alsacienne et parle parfaitement l'allemand, surprend des propos d'officiers allemands au sujet d'une rafle qui doit avoir lieu dans un couvent où de nombreux enfants sont cachés. Elle se rend aussitôt au couvent et, malgré la réticence de la mère supérieure, insiste pour qu'ils partent. Quand la Gestapo vient le lendemain pour les arrêter, ils ne sont plus là. Fanny Loinger Nezer continue son action de sauvetage et de planquage jusqu'à la Libération.
Elle part dès la Libération à Buchenwald dans le cadre du Joint pour prendre en charge et ramener en France et en Suisse les enfants et les adolescents survivants de la Shoah, et dirige ensuite en Autriche une maison d’enfants rescapés.
24/08/2017
Auteur : Frida Wattenberg
Lien : Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945
Fanny Loinger-Nezer
Fanny Loinger est née à Strasbourg, le 25 mai 1915, dans une famille de sept enfants, juive orthodoxe, de Mina Werzberg et Salomon Loinger. Elle est la quatrième enfant. Tous les enfants Loinger fréquentent, à Strasbourg, la Hatikwa, mouvement de jeunesse sioniste1. En 1936, elle part pour la Palestine mandataire, avec un certificat d'immigration, après avoir été dans une ferme école du HeHalutz en France.
De 1936 à 1938, elle est membre du kibboutz Na'an, (du mouvement Hanoar Haoved Véhalomed) dont les 4 valeurs idéologiques et fondatrices du mouvement sont : le sionisme, le socialisme, la paix et la démocratie.
Elle retourne en France, en 1938, pour terminer ses études d'infirmière. Elle est diplômée de l’école d’infirmières-assistantes sociales de Strasbourg.
Fanny Loinger est une sœur de Georges Loinger (né le 29 août 1910 à Strasbourg).
Sa sœur Emma (Emilie) Loinger, née le 25 septembre 1913 à Strasbourg, épouse de Erich Arnold Lederer, né à Diersbourg (Hohberg) dans le Bade-Wurtemberg (Allemagne), le 25 avril 1913, français par naturalisation, fait également partie de la Résistance.
Elle travaille à l'Œuvre de secours aux enfants (OSE) depuis 1939.
Dans la Résistance
De Strasbourg, elle va à Bordeaux (Gironde), puis à Périgueux (Dordogne), où une grande partie de sa famille se réfugie. Elle travaille à l’hôpital de Strasbourg, replié à Clairvivre (Salagnac), Dordogne.
En 1941, son amie Andrée Salomon responsable du service social de l’Œuvre de secours aux enfants (OSE), la recrute pour s’occuper des Juifs étrangers, réfugiés à Marseille dans les hôtels Bompart et du Levant, en attente d’un visa d’immigration vers les États-Unis.
En août 1942, lorsque ces Juifs étrangers sont transférés au camp des Milles (Aix-en-Provence, Bouches-du-Rhône), elle décide de les accompagner comme internée volontaire, afin de faire sortir les enfants du camp.
Fanny Loinger, dite Stéphanie Laugier, devient dans le Réseau Garel (Lyon, 1942-1944) responsable du Sud-Est, c'est-à-dire les départements de l'Ardèche, de l'Isère, de la Drôme, de la Savoie, des Hautes-Alpes, des Basses-Alpes, à Limoges (Haute-Vienne). Elle sauve 400 enfants.
Sa sœur Emma (Emilie) fait également partie de la Résistance.
Elle est une cousine du mime Marcel Marceau, lui aussi membre de la Résistance.
Après la Guerre
Ce n'est qu'après la Seconde Guerre mondiale que Georges Loinger et Fanny Loinger découvrent qu'ils faisaient de la Résistance et dans le même Réseau Garel.
En 1949, Fanny Loinger rencontre Heinrich Nezer, un Juif allemand. Ils se marient à Paris en 1950, et s'installent en Israël. Ils ont deux filles jumelles, Iris et Tamar, nées le 5 décembre 1952.
Fanny Loinger est détachée par l’OSE au American Jewish Joint Distribution Committee (Joint) pour travailler dans des camps de DP (personnes déplacées en Allemagne et en Autriche.
Elle accompagne 350 enfants et adolescents rescapés du camp de Buchenwald vers la Suisse, pour qu’ils y soient soignés.
Elle dirige la maison d’enfants de Hausmanstaetten, près de Graz, en Styrie (Autriche).
03/12/2018
Lien : Wikipedia
Témoignage de Fanny Loinger
Mes activités comme infirmière-assistante sociale à l’OSE pendant la guerre et tout de suite après (1941-1947)
Fraichement émoulue de l’école des Infirmières-assistantes sociales de Strasbourg, évacuée à Bordeaux avec mon diplôme d’état en poche, je me suis retrouvée en ce début 1941 dans un piège, et pour cause.
En 1936, après avoir été dans une ferme école du Hehaloutz en France, j’avais obtenu un certificat d’immigration pour la Palestine. J’ai donc été pendant deux ans membre d’un kibboutz (Naan) et au bout de ces deux ans, je suis arrivée à la conclusion qu’il serait bon pour moi d’avoir un métier, or je ne pouvais pas l’acquérir en Palestine ; je suis donc revenue en France pour le faire. Ayant eu des tendances précises pour le métier d’infirmière, je me suis trouvée en 1938 à l’école des infirmières de Strasbourg, et en 1941, munie de mon diplôme, dans le piège de l’occupation allemande et pratiquement sans possibilité de retourner en Palestine.
Tout d’abord, j’ai quitté Bordeaux pour Périgueux ou une grande partie de ma famille était réfugiée. J’ai commencé par travailler à l’hôpital de Strasbourg, replié à Clairvivre.
Pendant mon séjour à Périgueux, Andrée Salomon m’a proposé de quitter l’hôpital et de venir à l’OSE, où il y aurait surement du travail pour moi. C’est ainsi que je me suis trouvée à Marseille, à l’Hôtel du Levant, qui était un hôtel un peu spécial.
Les autorités de Marseille l’avaient mis à la disposition des familles de réfugiés, tous des Juifs étrangers, qui avaient un gros avantage : ils étaient en possession d’un visa d’immigration pour les Etats-Unis, chose très rare à cette époque. Seulement le manque de bateaux disponibles et les chicanes administratives ont réduit à zéro leurs possibilités d’émigrer. Il y avait 500 personnes, hommes, femmes vieillards et enfants, entassés dans cet hôtel, à attendre le visa de sortie sauveteur et un moyen de transport ; ils vivaient dans l’espoir de quitter la France et, lorsque les Allemands ont occupé Marseille, tous leurs projets sont tombés à l’eau ; rares furent ceux qui ont vraiment eu le bonheur de voir la Statue de la Liberté. Les autres se sont retrouvés après décembre 1941, date de l’entrée en guerre des Etats-Unis, coincés sans issue ; l’atmosphère de l’hôtel était plutôt du côté du désespoir. D’ailleurs au mois d’août 1942, tous ceux qui restaient ont été transférés au camp des Milles.
Nous avons encore essayé de placer à Marseille des enfants dans des familles non juives, mais la plupart des parents ont refusé de se séparer de leurs enfants, et rares furent ceux qui les ont planqués.
J’ai été au camp des Milles avec les habitants de l’hôtel du Levant, seulement les choses ont bien changé, l’ère nouvelle a commencé, c'est-à-dire les déportations.
J’avais un laissez-passer qui me permettait d’entrer et de sortir du camp. Ce laissez-passer a servi à sortir plusieurs jeunes filles que nous avons naturellement mises en lieu sûr.
Je vois encore devant moi une jeune femme qui m’avait confié sa petite fille âgée d’un an que j’ai sortie du camp dans un sac à provisions. Elle est mariée et vit aujourd’hui à Cannes. Je voulais aussi sauver sa mère de la déportation, sans succès. Je suis avais donné un soporifique, espérant que les gendarmes la croyant mourante, ne la prendraient pas ; seulement ils ont apporté un brancard et elle a fait partie du transport de déportation.
Je dois dire que tous les policiers n’étaient pas des brutes ; il y en avait aussi qui ont su fermer les yeux au bon moment... Quand le camp des Milles a été vidé de ses occupants -tous déportés- et que les Allemands ont occupé toute la France, l’OSE a décidé de continuer toutes ses activités dans la clandestinité et s’est donné pour mission de camoufler le plus possible d’enfants juifs et aussi, si nécessaire, des adultes, afin de les sauver des griffes des Allemands.
Pour ce faire, il fallait d’abord trouver des familles chrétiennes, des institutions qui, tout en sachant la vérité sur l’identité des clandestins, étaient prêts à prendre sur eux les risques d’une rafle ou d’une dénonciation et d’en supporter les conséquences.
De Fanny Loinger, je suis devenue Stéphanie Laugier et, avec un collègue, Robert Epstein, nous avons prospecté le département de l’Ardèche. Nous avons trouvé pas mal de planques dans des fermes et des couvents ; notre quartier général était un hôtel de Privas.
A partir de janvier 1943, le département de l’Ardèche était « plein » et comme il y avait de plus en plus d’enfants à placer, nous avons étendu notre action à d’autres départements. Notre équipe à cette époque comptait quatre commis- voyageurs qui cherchaient des places dans l’Isère, la Drôme, en Savoie, les Hautes et Basses-Alpes.
Nous retrouvions de temps en temps Georges Garel et Andrée Salomon.
Ces rendez-vous se passaient dans des trains par mesure de sécurité. A ces occasions, nous touchions l’argent en provenance du Joint pour payer les pensions des enfants.
Un jour, j’étais à Roman dans la Drôme et j’attendais le train pour Lyon, j’ai entendu d’une oreille une conversation en Français « petit-nègre » entre un allemand et un cheminot. Le soldat a raconté qu’il savait de source sure que des enfants juifs étaient cachés dans un couvent à Roman. Ceci m’a mis la puce à l’oreille et au lieu de prendre le train pour Lyon, je suis allée tout droit au couvent où nous avions placé trois enfants : deux sœurs et leur frère. J’ai eu beaucoup de mal à convaincre la Mère supérieure qu’elle me confie les trois enfants ; elle ne voulait pas s’en séparer et me garantissait qu’il ne leur arriverait aucun mal, qu’ils ne couraient aucun danger. Mais moi, je n’en étais pas convaincue ; j’ai pris les trois enfants et je les ai placés ailleurs. Les Allemands sont effectivement venus au couvent...
Notre équipe a ainsi réussi à camoufler 500 enfants jusqu’à la Libération et notre fierté et récompense fut qu’aucun de ces enfants n’a été pris par les Allemands. Nous avons, pendant toute cette époque, gardé le contact avec les enfants placés et payé une pension mensuelle aux familles qui les ont hébergés, ce qui comportait pas mal de danger car personne n’était à l’abri d’une fouille dans un train et se balader avec une grosse somme d’argent était bien louche à l’époque. Pendant toute cette période, ma planque personnelle était au «Service social de l’Enfance » à Grenoble. La directrice du service, Mademoiselle Merceron-Vicat était au courant de mon activité clandestine ; elle a su avec intelligence et bonté établir ma situation vis-à-vis des autorités françaises et allemandes, et aussi vis- à-vis des autres assistantes du service. Il n’y a jamais eu le moindre problème et de cette façon, j’ai pu vaquer à mes occupations pas très ordinaires.
Dès après la libération, l’OSE a ouvert un service médico-social à Lyon qui concernait la ville de Lyon et ses environs. Nous avions en charge 800 familles, 2 000 enfants rescapés de la déportation. Rares furent les familles dont les deux parents étaient présents. Inutile de décrire l’état moral de ces familles qui, en grande partie, avaient été démembrées. Il a fallu parer à beaucoup de problèmes tant matériels que de réadaptation à une vie normale, et surtout rendre aux jeunes confiance en l’avenir en les orientant vers diverses activités et métiers. Il faut ajouter à cela que ces familles étaient pour la plupart d’anciens internés des camps : Rivesaltes, Gurs, etc. Elles n’avaient pas la nationalité française et toutes les portes ne leur étaient pas ouvertes. Certains ont émigré aux Etats-Unis et en Palestine, d’autres on su mobiliser assez de forces et se sont adaptés à la vie en France. De suite après la fin de la guerre, j’ai été détachée de l’OSE au Joint et à l’UNRRA pour travailler dans divers ex-camps de concentration en Allemagne et dans les maisons d’enfants.
Le premier camp dans lequel je suis arrivée était Buchenwald. Que puis-je ajouter à ce qui a été dit ? Nous avons évacué 350 enfants regroupés à Buchenwald, âgés de sept a 15 ans, et naturellement sans parents. Dieu seul sait comment ils sont restés en vie.
Le voyage en train a duré trois jours, le médecin du convoi était le Docteur Revel de Strasbourg. Nous avons traversé l’Allemagne dévastée (c’était quand même une toute petite vengeance) et nous sommes arrivés à Bâle. A notre très grande surprise, nous nous sommes heurtés à des très grosses difficultés ; il est vrai que nous n’étions pas tout à fait en ordre. Les autorités suisses avaient accepté de prendre en charge 120 enfants... et nous en avions amenés 350. Le résultat fut qu’on a emmené tout le convoi dans un camp. La belle affaire : nous avions sortis les enfants d’un camp pour qu’ils se retrouvent dans un autre ! L’intervention à Berne auprès des délégués du gouvernement n’a rien changé à la situation. C’est alors que les autorités françaises ont accepté de recevoir les 230 enfants restants et l’OSE les a hébergés dans une maison d’enfants.
Après avoir mis sur pied un service social au camp de personnes déplacées en instance d’émigration au camp de Neustadt près de Lubeck, j’ai eu la direction d’une maison d’enfants à Hausmanstaetten près de Gratz en Autriche.
Il y avait 120 enfants de tous âges qui étaient tous rescapés des camps de la mort. Il a fallu leur apprendre à vivre dans un monde qui n’était pas concentrationnaire. Les enfants ne sachant ni manger, ni se laver et surtout ils n’avaient confiance en personne. Ils étaient d’une rare débrouillardise, ce qui probablement leur a permis de survivre. Les moniteurs aussi étaient des rescapés des camps et ce qui est très curieux, c’est que les enfants acceptaient plus volontiers ma décision que celles des moniteurs qu’ils connaissaient en partie des camps. D’ailleurs, les enfants étaient la terreur de la région car inutile d’ajouter qu’ils étaient très sauvages.
La maison a été par la suite liquidée ; une partie des enfants avaient trouvé quelques rares parents, d’autres sont partis en Israël et aux Etats-Unis. Après la dissolution de la maison d’enfants, j’ai encore travaillé au camp de personnes déplacées à Bad-Gastein en Autriche. Ces camps avaient pour but de donner une possibilité de réadaptation et convalescence physique et morale. En février 1947, je suis rentrée en France.
Je ne veux pas finir ce long récit sans ajouter quelques phrases personnelles. Aujourd’hui, avec le recul de quelques quarante ans passés, je ne vois probablement pas les choses telles que je les ai vues à cette époque. C’était une période très intensive pendant laquelle j’ai vu bien des douleurs, j’ai fait connaissance avec la tristesse, la peur et souvent l’incapacité d’agir.
Beaucoup de questions sont restées sans réponse jusqu’à ce jour et le resteront probablement toujours. Si j’ai pu, dans ce torrent qui voulait balayer toute l’Europe, faire quelque bien, aider, soulager, donner un peu d’espoir, toute ma récompense est là.
Fait à Ramat Gan, le 9 février 1984.
03/12/2018
Auteur : Fanny Loinger
Source : Katy Hazan
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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog
2 pages,
réalisation 2011 Liens externes
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.
Auteur :
Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
Paul Ernest dit Paul Bourson Farouche opposant au régime nazi, Exposé
2 pages,
réalisation 2011
Auteur :
Alain LAPLACE
- terminal
Article extrait d'une étude généalogique sur la famille BOURSON de Vigy (Moselle) et alliés (http://majoresorum.eklablog.com)
1 Memorbuch (Mémorial des Juifs du Bas-Rhin )
2 Journal de guerre de Charles Altorffer
3 Site officiel de la Commune de Montigny-les-Monts
4 Site non officiel de la commune d' Auxon (Démarches administratives, histoire du village, cartes postales et photos anciennes.
)
5 Saint-Dizier la période 1939-1945 en photos (La ville de Haute-Marne la période 1939-1945 en photos )
6 Histoire de Lièpvre de 1870 à 1945.
7 Le grands entretiens : André Kahn (Né en 1929 dans la bourgade alsacienne de Schirrhoffen, André Kahn est un rescapé de la Shoah. Evacué en train en janvier 1945 en direction de Gusen II, camp annexe de Mauthausen, puis à pied en avril vers Bergen-Belsen, André Kahn y est libéré par l'armée britannique et rapatrié le 5 juin à l'hôtel parisien Lutetia. )
8 Les grands entretiens : Denise Swaab-Kahn (Née en 1927 dans la bourgade alsacienne de Schirrhoffen, Denise Kahn est une rescapée de la Shoah. Rapatriée en juin 1945 à l'hôtel Lutetia à Paris. )
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