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Gard

Région :
Occitanie
Département :
Gard

Préfets :
Sauveur Don Paganelli
(25/08/1944 - 01/02/1946)
Auguste Martin
(08/04/1938 - 25/09/1940) Préfet du Gard
Marcel Ribière
(1940 - 1943) Marcel Julien Henri Ribière, Préfet de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1892-1986)
Angélo Chiappe
(25/09/1940 - 14/02/1944) Préfet du Gard
(Mai 1943 - Mai 1944) Marie Joseph Jean Chaigneau, Préfet de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse). Arrêté en mai 1944 par les Allemands, il est déporté au camp d'Eisenberg
Alfred Papinot
(14/02/1944 - 25/08/1944) Préfet du Gard
Raymond Aubrac
(1944 - 1945) Raymond Aubrac, de son vrai nom Raymond Samuel, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1914)
Paul Haag
(1945 - 1946) Paul Maurice Louis Haag, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1891-1976)

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Texte pour ecartement lateral

Mary Boegner

Texte pour ecartement lateral

Nîmes 30000 Gard
Nom de naissance: Lucie Mary Thurneysen
Nom d'épouse: Boegner
Date de naissance: 04/08/1892 (Jouy-en-Josas)
Date de décès: 04/12/1951 (Paris)
Réseau de sauvetage : Boegner Marc
Profession: Infirmière
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Histoire
Mary Thurneysen, née le 4 août 1892 à Jouy-en-Josas, était la soeur d'Eduard Thurneysen, né le 10 juillet 1888 à Walenstadt et mort le 21 août 1974 à Bâle, théologien protestant suisse qui fut pasteur et professeur à Bâle. Il fonda la "théologie dialectique" avec Karl Barth et Friedrich Gogarten.
La fille d'Eduard, Dorothée était l'épouse du pasteur français Georges Casalis (1917-1987).
 
Infirmière à la Croix-Rouge durant la Première Guerre mondiale, puis à la direction de la Fondation Curie, elle était paroissienne à Passy, chargée du groupe des catéchumènes (l'école du dimanche), apportant son réconfort aux malades de la paroisse.
 
En 1935, elle épouse Marc Boegner*, veuf depuis 1933 et père de 4 enfants adultes,
 
La famille Boegner
Le père de Marc Boegner*, Paul-Henri Gustave Boegner, est né en Alsace en 1845. Avocat à Strasbourg, il fuit la ville en 1870 pour aller s'installer à Lyon et assure la charge de secrétaire du dernier préfet français de Strasbourg, Edmond Valentin, devenu préfet du Rhône.
En 1871, il épouse à Fouday Jenny Fallot, née en 1848.
Ils auront trois enfants, Renée, née en 1878, André, né en 1879, et Marc*, né en 1881.
 
Les années de formation
Paul-Henri Gustave Boegner est nommé préfet du Loiret en 1887. André et Marc* font leurs études au lycée Pothier à Orléans.
C'est à Orléans que Marc* rencontre Charles Péguy, éminent joueur de balle au pied (football).
 
Paul-Henri Gustave Boegner est nommé préfet de Seine-et-Marne. Marc* achèvera ses études secondaires à l’École alsacienne où il rencontre Théodore Steeg qui sera son professeur de philosophie, pasteur qui avait dû quitter son ministère pastoral en raison de son libéralisme théologique.
Sportif, Marc* s'inscrit en prépa Navale au lycée Lakanal où est scolarisé le futur amiral François Darlan. Marc* fonde à Lakanal le premier club de hockey.
 
Un début de myopie l'oblige à changer d'orientation et il s'inscrit en droit à la faculté de Paris d'où il sort licencié à l'âge de 20 ans, en 1901 puis entre à la faculté de théologie protestante, au 83 du boulevard Arago, à Paris.
 
Renée épouse Albert Larchey. Ils auront deux filles, Odette et Simone. Albert Larchey est tué dès le début de la guerre 1914-1918. Odette et Simone épouseront Gérard Monod et Adolphe Monod.
 
André devient pasteur. Il épouse Berthe Hérubel et aura trois enfants, Colette, Françoise et Guy. 
Il est successivement pasteur à Annemasse, Lyon, Rouen et Strasbourg (Saint-Paul).
 
Le 24 juillet 1905, Marc Boegner* épouse Jeanne dite Jenny née Bargeton le 20 avril 1885 à Périgueux (24), fille d'Ernest Bargeton, régent de la Banque de France et préfet et d'Augustine née Lefranc (1849-1914), fille du sénateur Pierre Lefranc. 
Marc Boegner* devient pasteur le 14 septembre de la même année de l’Église réformée d'Aouste-sur-Sye et Mirabel-et-Blacons.
Ils auront 4 enfants : Denyse, née en 1906, Étienne (1908-1985), Philippe (1910-1991), tous trois à Aouste-sur-Sye et Jean-Marc, né à Paris (1913-2003).
En 1911, il est nommé à l'école des Missions, boulevard Arago à Paris.
 
Mobilisé en 1914, il est heureux du retour de l'Alsace "à la mère patrie" en 1918.
 
En 1918, il est nommé à la paroisse de Passy (Église réformée de L'annonciation), rue Cortambert à Paris dans le 16e arrondissement. Il y exercera son ministère jusqu'en 1953 avec une interruption de 1940 à 1943.
En 1923, il est nommé président de la Fédération française des Associations chrétiennes d'étudiants, affiliée à la Fédération universelle dont le siège est à Genève.
Marc Boegner* sillonne la France, allant visiter les groupes présents dans presque toutes les villes universitaires.
 
En 1933, Jeanne Boegner, de santé fragile, meurt prématurément à l'âge de 48 ans. Denyse a 27 ans, Etienne, 25 ans, Philippe, 23 ans, et Jean-Marc, 20 ans.
 
En 1935, Marc Boegner* convaincu qu'un ministère pastorale doit être assumé par le pasteur et son épouse, se remarie avec l'accord de ses enfants. Il épouse Mary Thurneysen, née le 4 août 1892 à Jouy-en-Josas, infirmière à la Croix-Rouge durant la Première Guerre mondiale, puis à la direction de la Fondation Curie. Elle était paroissienne à Passy, chargée du groupe des catéchumènes (l'école du dimanche), apportant son réconfort aux malades de la paroisse.
 
Marc Boegner* suit avec angoisse la montée du nazisme et du fascisme, tentant de porter un message de paix. 
Plusieurs pasteurs, dont Henri Roser*, André Trocmé* et Édouard Theis*, et des étudiants en théologie, dont Jacques Martin* et Philippe Vernier, affirment leur objection de conscience.
Marc Boegner* obtient la libération anticipée de Philippe Vernier, emprisonné au Fort-Saint-Nicolas.
 
A l'Assemblée de Lyon en mai 1938, Marc Boegner* devient le premier président du Conseil national de l'Église réformée de France et cumule deux des plus hautes charges au sein du protestantisme français.
 
La drôle de guerre et l'Occupation
A la veille de la Seconde Guerre mondiale, Marc Boegner* a près de 60 ans. Il est l'un des pasteurs les plus écoutés de France.
Fin août 1939, Marc Boegner* se trouve en Suisse à Clarens. Son fils Jean-Marc, en poste à l'Ambassade de France à Berlin, le presse de rentrer.
 
Marc Boegner* fait évacuer le personnel de l'administration ecclésiastique à Nieul.
Ses paroissiens en âge de combattre sont mobilisés et les objecteurs de conscience arrêtés. Il faut organiser l'accueil des réfugiés dont le nombre ne cesse de croître.
 
Lors de l'évacuation de Strasbourg en 1939, André Boegner, pasteur à Saint-Paul à Strasbourg, rejoint ses paroissiens à Limoges. Il sera ensuite nommé pasteur à Montélimar.
 
La Cimade s'organise et envoie des équipes de volontaire dans les régions du Poitou et du Limousins où des alsaciens et des mosellans déplacés sont assez mal reçus dans les départements d'accueil.
 
Le 3 septembre 1939, la France et l'Angleterre déclarent la guerre à l'Allemagne qui a envahit la Pologne. La drôle de guerre va durer 8 mois.
 
Dès avril 1940, Marc Boegner*, préoccupé du sort des Allemands et des Autrichiens réfugiés en France, obtient du ministère de l'Intérieur une aide pour 12 000 d'entre eux.
 
Le 10 mai 1940, l'Allemagne nazie envahit la Hollande, la Belgique et le Luxembourg.
Jean-Marc Boegner est mobilisé.
 
Le flot des réfugiés continue d'embouteiller des routes et de submerger les villes.
 
Le 10 juin 1940, le gouvernement quitte Paris. Marc Boegner* quitte Paris à son tour avec son épouse et part pour Orléans. Ils s'arrêtent chez son frère André Boegner à Limoges et repartent pour Bordeaux. Le 17 juin 1940, il est choqué par l'allocation du Maréchal Pétain, en qui il avait confiance, et l'incohérence et l'inertie qui règnent au gouvernement tout comme la montée de l'anglophobie qui se substitue à la germanophobie.
 
Le 24 juin 1940, Marc Boegner* part pour Montauban où il retrouve les pasteurs Pierre Maury et Jean Pellegrin. A Montauban il entreprend une tournée paroissiale avec le pasteur Paul Conord d'Albi. Il visite Albi, Castres, Mazamet, Toulouse et Pau.
 
Les premières mesures racistes du gouvernement en juillet 1940 et la disparition de l'émission religieuse La Voix d'Israël l'inquiètent.
 
Marc Boegner* est fiché. En juillet 1940, après avoir visité son appartement à Paris et saisi des documents, les Allemands saccagent la propriété de la Fédération des Associations chrétiennes d'étudiants à Bièvres.
 
Marc Boegner* multiplie les démarches. En juillet 1940, il se rend à Vichy où il rencontre Pierre Laval, nommé vice-président du gouvernement, ainsi qu'Alibert, ministre de la Justice.
 
Nîmes et les camps du sud de la France
Le 27 septembre 1940, Mary et Marc Boegner* arrivent à Nîmes.
 
Marc Boegner* multiplie les déplacements et les interventions auprès du gouvernement de Vichy en faveur des personnes déplacées ou regroupées dans les camps d'internement de Drancy ou Gurs (Pyrénées Atlantiques) et ensuite en faveur des juifs.
 
Le pasteur Marc Boegner*, condamne ouvertement la législation antisémite du régime de Vichy qui exclut les Juifs français du corps de la nation en leur interdisant d'exercer un certain nombre de professions (Statut des Juifs du 3 octobre 1940), tandis qu'elle enferme les Juifs étrangers dans des camps d'internement comme celui de Gurs (loi du 4 octobre 1940).
En 1940, Marc Boegner* prend la tête de la Cimade, l’organisation protestante de secours qui cherche à aider les Juifs internés dans les camps en France.
 
En 1942 il devient président d’honneur, avec le cardinal Pierre-Marie Gerlier*, de l’association Amitié Chrétienne, créée pour aider les Juifs de France. Marc Boegner* encourage les pasteurs protestants et leurs fidèles à sauver des Juifs, et son prestige considérable donne du poids à cette prise de position courageuse. Grâce à lui, des communautés protestantes cachent des milliers de Juifs, surtout à Lyon, au Chambon-sur-Lignon et dans les départements de l’Ardèche, la Lozère, le Gard, l’Aveyron, la Drôme et le Tarn. Beaucoup d’autres Juifs réussissent à passer clandestinement en Suisse avec l’aide des pasteurs protestants vivant dans les zones frontalières. Ils avaient entendu l’appel du pasteur Boegner*.
 
À partir de l’été 1941, il est en contact étroit avec les dirigeants de Vichy, du maréchal Pétain à Xavier Vallat, commissaire général aux Questions juives, et plus tard avec le président du Conseil Pierre Laval. Dans toutes ses conversations, le président de la Fédération protestante condamne la politique antisémite du régime et se bat pour l’annulation des décrets anti-juifs. Lors d’une rencontre particulièrement orageuse avec Laval durant l’été 1942, le pasteur s’élève avec véhémence contre la décision de déporter les enfants juifs vers les camps de l’Est, dénonçant le caractère inhumain de ces mesures.
Le 6 septembre de la même année, lors de la retraite annuelle au Mas-Soubeyran dans le Gard, dite l’assemblée du désert, il prêche devant soixante pasteurs et les exhorte à sauver les Juifs. 
 
Cette attitude courageuse lui vaut de nombreux ennemis. Dès l’été 1941, l’hebdomadaire d’un antisémitisme virulent, Au pilori, prend le pasteur pour cible et demande qu’il soit traîné en justice.
 
Par son action courageuse en faveur des Juifs, Marc Boegner* risqua sa vie et sa liberté, tout comme les autres pasteurs protestants dont certains furent arrêtés et déportés. Il s’occupa personnellement de l’opération de sauvetage d’une centaine d’enfants juifs allemands internés au camp de Gurs. Aidé par des personnes de bonne volonté, il réussit à les cacher alors que les gendarmes s’apprêtaient à venir les chercher ; destination finale Auschwitz. Ces enfants eurent la vie sauve.
 
Ses prises de position fermes contre la collaboration de Vichy avec l’Allemagne et pour le sauvetage des Juifs de France eurent une influence profonde sur le clergé protestant. Des milliers de Juifs lui doivent ainsi indirectement la vie.

 

20/03/2020

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Vous êtes venus me chercher L'histoire de Rosa Goldmark, Récit 157 pages, réalisation 2014
Auteur : SYLVIE GOLL SOLINAS - terminal



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1 Rencontre avec Paul Niedermann (Conférence de Paul Niedermann (1h24) enregistrée en mars 2011 au collège d'Estagel dans les Pyrénées-Orientales. Paul Niedermann retrace son parcours entre 1935 et 1945 de Karlsruhe à la Maison d'Izieu, en détaillant son passage au Camp de Rivesaltes. )
2 Les maquis en Cévennes (Pour la Mémoire, dans cet historique de la Résistance en Cévennes, il y a la saga d’une bonne partie de la Résistance M.U.R. du Gard, concernant ses maquis de l’Aigoual, mais aussi leur mouvance, de Nîmes, Le Grau du Roi, Sommières et même Ganges, étroitement uni à Lasalle, Saint Hippolyte du Fort et Valleraugue. C’est la mémoire d’une résistance populaire, encadrée par des hommes courageux, volontaires, qui n’étaient pas préparés à ces lourdes responsabilités et qui surent les assumer, avec raison et sans défaillance.
La montée en puissance de cette résistance, surestimée par l’adversaire, lui donna un grand rayonnement dans notre département. C’est aussi, la mémoire d’un pays de montagne moyenne, mais très accidentée, sorte de refuge dans lequel s'’est perpétuée une tradition d’accueil et de liberté. Les Cévennes. )
3 Page Facebook de Lois Gunden Clemens
4 Lien vers l'éditeur du livre "La Villa St Christophe à Canet-Plage" (La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943 )
5 Vous êtes venus me chercher (Blog de l'auteur - parutions, conférences, signatures... )
6 Elie Cavarroc, Juste des Nations (M. Elie Cavarroc, nommé Juste des Nations. Référence du dossier n°10002 du Comité Français pour Tad Vashem )

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