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39/45 en France (WWII)
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Région :
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UGIF
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5, rue Granvilledurant la Seconde Guerre mondiale (WWII) |
Texte pour ecartement lateralCommune : 94160 Saint-Mandé |
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L'UGIF et ses centres d'enfants
L’Union Générale des Israélites de France est créée en novembre 1941 par le gouvernement de Vichy à la demande des Allemands. Elle assure la représentation des Juifs et est chargée de l’action sociale ; elle verse des allocations aux foyers privés de revenus, finance les cantines populaires et les hospices.
Après les rafles de l’été 1942, elle ouvre des centres pour enfants à Paris et en banlieue (foyers de la rue Lamarck de la rue Vauquelin de l’ORT rue des Rosiers et à Louveciennes La Varenne, Montreuil, Neuilly, Saint-Mandé).
Ces centres regroupent :
Ces maisons sont sous le contrôle du Commissariat Général aux Questions Juives et de la Gestapo.
Des organisations juives et non-juives ont pu soustraire de ces maisons un certain nombre d’enfants et les mettre en lieu sûr.
31/10/2019
Lien : Comité Français pour Yad Vashem
22 juillet 1944
Une vingtaine de petites filles juives, orphelines ou confiés par leurs parents à l'UGIF (Union Générale des Israélites de France), organisme mis en place à la demande des autorités d’occupation.
Quelques jours avant la Libération, la nuit du 22 juillet 1944, 19 petites filles de l'Orphelinat Granville, maison d'enfants de Saint-Mandé, dit le centre n° 64 de l'UGIF, sont arrêtées parce que juives par Aloïs Brunner, menées à Drancy et déportées.
Thérèse Cahen, 46 ans, directrice du Centre arrêtée avec les fillettes, refusa de quitter les enfants sur la rampe d'Auschwitz et de passer, comme on l'en priait, dans l'autre file, celle des "aptes au travail".1
Seule Rosette Kromolovski, âgée de 13 ans mais qui semblait plus âgée que son âge, échappera au gazage dès l'arrivée et reviendra de déportation.
31/10/2019
>> Voir les 14 familles arrêtées dans la commune <<
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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse
7 pages,
réalisation 2013 Notes Annonces de recherche
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Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.
Auteur :
Thierry Noël-Guitelman
- terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.
- 1 - Jean Laloum, La maison d’enfants de Saint-Mandé (centre U.G.I.F. n° 64) 1943-1944.
- 2 - Jean Laloum, La maison d’enfants de Saint-Mandé (centre UGIF n° 64) 1943-1944.
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