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L'exode en Val-de-Marne source photo : Archives départementales du Val-de-Marne crédit photo : D.R. |
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Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin.
La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.
Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées.
Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice.
Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands. La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km : Ain, Allier, Charente, Cher, Dordogne, Gironde, Indre-et-Loire, Jura, Landes, Loir-et-Cher, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Vienne.
La Demarkationsline disparaîtra le 11 novembre 1942, après l’occupation totale de la France.
Les proscrits du régime
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils seront massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront. Les Tsiganes sont internés dans les camps français. Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.
Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.
03/06/2024
Le Val-de-Marne dans la Seconde Guerre mondiale
Quand commence la Seconde Guerre mondiale, le Val-de-Marne n’existe pas encore. L’actuel département correspond au sud-est parisien. Une partie appartient au département de la Seine qui intègre la ville de Paris. L’autre partie dépend du département de Seine-et-Oise qui entoure le précédent. Le sud-est parisien est partiellement urbanisé.
Des villes industrielles et ouvrières se sont développées le long de la vallée de la Seine (Choisy-le-Roi, Vitry-sur-Seine, Alfortville) tandis que d’autres ont un caractère plus résidentiel et bourgeois (Nogent-sur-Marne, Saint-Maur-des-Fossés, Vincennes).
Les activités rurales l’emportent encore largement en Seine-et-Oise (La Queue-en-Brie, Boissy-Saint-Léger, Mandres-les-Roses), même si des cités ouvrières se sont développées autour de la gare de triage de Villeneuve-Saint-Georges.
Quand la guerre éclate en septembre 1939, le sud-est parisien est immédiatement touché. Outre la mobilisation des hommes en état de combattre, la diffusion des consignes de la Défense passive et l’évacuation d’une partie des enfants des villes de banlieue dans les zones rurales jugées plus protégées des bombardements montrent que la guerre est devenue une réalité. A la suite de la signature du pacte de non-agression entre l’Allemagne de Hitler et l’URSS de Staline, le gouvernement français décide l’arrestation et l’internement d’élus et de responsables communistes. Certaines communes du sud-est parisien, dominées par le Parti communiste depuis les élections des années 1930, en particulier celles de 1936, perdent une grande partie de leurs élus et de leurs cadres politiques.
La Drôle de Guerre prend brutalement fin avec le déclenchement de l’offensive allemande en mai 1940.
A la mi-juin, Paris est occupée comme les communes de banlieue. Les troupes allemandes s’installent durablement, tandis que l’occupant transmet ses ordres depuis les Kommandanturs, l’administration française du nouveau gouvernement de Vichy devant mettre en œuvre la politique de collaboration. Les élus ou les fonctionnaires considérés comme peu fiables par les responsables de l’Etat français sont remplacés ou révoqués. Les partisans déclarés ou supposés du Front populaire sont les premiers visés.
Le sud-est parisien comme l’ensemble de l’agglomération parisienne subit les conséquences de la défaite, de l’occupation et de la collaboration.
A l’été 1940, des milliers de soldats français originaires du sud-est parisien se retrouvent prisonniers de guerre en Allemagne ; dès l’automne 1940, les principales activités économiques sont détournées au profit de l’effort de guerre de l’Allemagne, les produits les plus divers sont réquisitionnés par l’occupant, l’Etat français se chargeant de gérer la pénurie et le rationnement.
A partir de 1942, le gouvernement de Vichy accepte de livrer à l’Allemagne les travailleurs français, en particulier les plus jeunes, en échange du retour des prisonniers de guerre, qui ne rentrent en réalité qu’au compte goutte. Dès l’automne 1940, l’occupant comme l’Etat français prennent un ensemble de mesures visant à marginaliser les juifs de la région parisienne.
En 1941, les premières rafles d’hommes juifs sont organisées à Paris. Cette politique de persécution prend une tournure encore plus dramatique avec la rafle du Vel’ d’Hiv’ qui permet l’envoi dans des camps d’internement en France puis vers les camps d’extermination en Pologne de familles entières. Les juifs des communes du sud-est parisien sont traqués comme l’ensemble des juifs de France. Certains fuient vers les régions réputées plus sûres, au moins pour un temps ; tous cherchent, quand ils le peuvent, à protéger leurs enfants, le plus souvent en les confiant à des familles ou des centres d’accueil. Dans l’actuel Val-de-Marne, plusieurs centaines d’enfants juifs sont cachés et sauvés, mais des centaines d’autres sont déportés et assassinés dans les camps de la mort.
Les premiers signes d’opposition et de résistance sont repérables dès 1940. Les troupes d’occupation sont confrontées à des actes d’hostilité ou de mépris, souvent encore individuels et spontanés. Rapidement, dans la banlieue ouvrière, des actions plus organisées se développent contre l’occupant et les collaborateurs. Elles prennent d’abord la forme de manifestations et de distributions de tracts ou de journaux clandestins.
A partir de 1941, commencent les premières actions armées, attentats contre les matériels et les troupes de l’occupant ou contre les équipements et les personnes qui servent ses intérêts.
Malgré une répression de plus en plus brutale, qui multiplie exécutions par fusillade et déportations, la Résistance est très active dans le sud-est parisien : si les organisations communistes dominent, la Résistance locale est à l’image de la Résistance nationale : diverse et soucieuse d’unité à partir de 1943, dans la perspective de la Libération. L’intensification des bombardements alliés à l’approche du débarquement tant attendu suscite l’inquiétude dans les secteurs les plus exposés où se trouvent les grands établissements industriels ou les principaux nœuds de communication, en particulier ferroviaires.
Après le débarquement en Normandie, la tension et l’espoir augmentent : les manifestations du 14 juillet 1944 sont très suivies et le sud-est parisien contribue au lancement de l’insurrection à Paris et dans sa région. Les unités de la 2e DB qui rejoignent Paris pour soutenir le soulèvement des FFI et de la population parisienne traversent des communes de l’actuel Val-de-Marne. Les résistants s’emparent des mairies et participent aux combats libérateurs.
Aussitôt après la Libération de la région parisienne, des centaines de jeunes résistants s’engagent dans l’Armée française pour continuer la lutte contre l’Allemagne nazie. En effet les prisonniers de guerre, les requis du travail et les déportés ne sont toujours pas rentrés. Certains de ces jeunes militaires engagés meurent lors des campagnes de France et d’Allemagne. La plupart connaissent les moments heureux de la victoire, parfois ternie par la découverte des camps de concentration nazis libérés.
Les prisonniers, requis et déportés qui rentrent retrouvent un pays en pleine transformation. Les premières élections ont eu lieu, auxquelles les femmes ont pu participer pour la première fois. Le gouvernement provisoire de la République française jette les bases de la refondation et de la reconstruction de la France, par un ensemble de réformes ambitieuses, inspirées pour partie par le programme du Conseil national de la Résistance. Les espérances et les attentes sont grandes, alors que les problèmes économiques et sociaux demeurent encore très nombreux dans un pays affaibli par le conflit qui vient de s’achever.
Les Val-de-Marnais actuels, pour beaucoup venus de tous les horizons de France et du monde, sont peu nombreux à avoir connu ces moments d’incertitude et résolution, d’inquiétude et d’espérance, de détresse et de d’euphorie. Ces quelques paroles de leurs compatriotes leur rappelleront ce que furent ces années noires pour celles et ceux qui durent les affronter. Sans doute en tireront-ils des leçons de courage, de solidarité et de vigilance pour aujourd’hui et pour demain.
Source bibliographique :
03/06/2024
Lien : Archives départementales du Val-de-Marne
Solange Ardourel (Saint-Maur-des-Fossés) | Josèphe-Marie Cardin Massé (Gentilly) | Albert Loilier (Saint-Maur-des-Fossés) |
Henri Ardourel (Saint-Maur-des-Fossés) | René Chevallier (Champigny-sur-Marne) | Fernande Loilier (Saint-Maur-des-Fossés) |
Julie Barrau (Le Perreux-sur-Marne) | Charlotte Chevallier (Champigny-sur-Marne) | Suzanne Maloberti (Saint-Maur-des-Fossés) |
Valentine Barrau Guiot (Le Perreux-sur-Marne) | Jeanne Chollet (Créteil) | André Marchoix (Villeneuve-Saint-Georges) |
Roger Belbéoch (Paris) (Nogent-sur-Marne) | Charles Collenot (Précy-sous-Thil) (Saint-Maur-des-Fossés) (Paris 75012) | Jeanne Marchoix (Villeneuve-Saint-Georges) |
Jean-Baptiste Biewer (Sucy-en-Brie) | Georges Cordier (Saint-Maur-des-Fossés) | Roland Marchoix (Villeneuve-Saint-Georges) |
Hélène Bindel (Ivry-sur-Seine) (Moussy-Verneuil) | Pauline Cordier (Saint-Maur-des-Fossés) | Francis Melisson (Mandres) |
Jean Bindel (Ivry-sur-Seine) (Montreuil-aux-Lions) | Simone Cordier (Saint-Maur-des-Fossés) | Marcelle Noël (Saint-Maur-des-Fossés) |
René Bindel (Ivry-sur-Seine) (Montreuil-aux-Lions) | André Delaplace (Vincennes) (Paris) | Marguerite Pasquine (Paris 75005) (Ablon-sur-Seine) |
Irma Bonneau (Vincennes) | Yvonne Emmanuelli (Saint-Maur-des-Fossés) | Georges Perret (Saint-Maur-des-Fossés) |
Albert Bonneau (Vincennes) | François Emmanuelli (Saint-Maur-des-Fossés) | Amélie Perret (Saint-Maur-des-Fossés) |
Jacques Bories (Ivry-sur-Seine) | Antoine Géraud (Sucy-en-Brie) | Madeleine Quinquet (Champigny-sur-Marne) |
Gaston Bourdon (Cachan) | Ellen Géraud (Sucy-en-Brie) | André Saint-Chély (Paris 75011) (Saint-Maur-des-Fossés) |
Emma Bourdon (Cachan) | Lucien Granger (Villeneuve-Saint-Georges) (Alfortville) | Rosalie Saint-Chély (Paris 75011) (Saint-Maur-des-Fossés) |
Berthe Bousson (Boissy-Saint-Léger) | Marthe Laborde (Créteil) (Saint-Maur-des-Fossés) | Justin Saint-Chély (Paris 75011) (Saint-Maur-des-Fossés) |
François Bousson (Boissy-Saint-Léger) | Marc Labouré (Thiais) | Jeanne Schwartz Roth (Troyes) (Saint-Mandé) |
François Burtin (Saint-Maur-des-Fossés) | Élia Lecocq (Champigny-sur-Marne) | Marcel Sternfeld (Saint-Maur-des-Fossés) |
Francine Burtin (Saint-Maur-des-Fossés) | Albert Lecocq (Champigny-sur-Marne) | Yvette Trachtenberg (Ivry-sur-Seine) |
Albertine Cardin (Gentilly) | François Lizzardi (Fontenay-sous-Bois) | Renée Vérité (Saint-Maur-des-Fossés) (Moyenneville) |
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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse
7 pages,
réalisation 2013 Liens externes
7/04/1942 -
François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
10/1940 -
Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
20/08/1941 -
Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
16/07/1942 -
16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.
Auteur :
Thierry Noël-Guitelman
- terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Albert Szerman, rescapé des rafles du Vél d'Hiv' et de La Varenne (Le 20 mai 2012, une cérémonie de reconnaissance des sauveurs d'Albert Szerman, les Justes Solange* et Henri Ardourel*, s'est déroulée à la Salle polyvalente de Crouy. Témoignage d'Albert Szerman. )
4 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
5 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
6 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
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*** cherche famille de cet enfant Déposée le 02/04/2019 |
Famille, ami(e)s , etc. Cette photo a été déposée au Mémorial de la Shoah de Paris. Elle était dans un album à une exposition photographique : un regard sur l'immigration et l'intégration des juifs de France 1880-1948 . Exposition du mois d'octobre 2012, Paris V. On m'a confirmé qu'il a 8 ans sur la photo, je possède aussi cette photo, mais il n'y a aucune date derrière. Je sais que cet enfant s'est caché avec sa mère dans des moulins et des granges à Ivry-sur-seine (94). [répondre] |
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*** Rafle a Limeil-Brévannes entre 1940 et 1945 Déposée le 27/12/2018 |
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Répondue le 15/02/2019
Piste possible : - Archives municipales de Limeil Brevannes. - Journaux de l'époque (Gallica) - Périodique de la ville. Il semblerait que ces hommes aient été capturés comme otage sans qu'on sache s'ils étaient résistants ou pas. Ils ont vraisemblablement été considérés comme "morts pour la France" et donc enregistrés comme tels. Sans connaissance des noms c'est un peu difficile de rechercher, néanmoins pas impossible. Cordialement, JD JD
Il semblerait qu'il y ait à Limeil Brevannes, une "rue des Fusillés". Qui sont-ils ? A voir donc auprès de la mairie. Cordialement, JD |
*** Qui sont-Ils ? Déposée le 16/07/2015 |
1 - Ma Mère Odette Demesse née Hérubel 2 - Ma sœur 3 - Moi Les 3 autres adultes ainsi que le petit garçon me sont inconnus. Je remercie toute personne qui pourrait mettre un nom sur ces visages et, peut-être me fournir des informations sur ces personnes. Mon père René Demesse a été arrêté à notre domicile le 30/06/1944 par la BDS, puis interné à Fresnes le 02/07/1944 matricule 14550 cellule 404 ; le 15/08/1944 déporté "politique", par le convoi 1264 à Buchenwald matricule 77378, enfin au kommando d'Hecht (Holzen) le 21/11/1944. Le 23/03/1945 retour sur Buchenwald où il est décédé au blok 52 le 03/04/1945 Je n'ai jamais pu connaître le motif de son arrestation ni s'il était ou non dans la résistance. Par avance, merci à vous. Bien cordialement Christiane Demesse [répondre] |
Répondue le 10/05/2016
Cette photo publiée reste un mystère, ce que je recherche maintenant, c'est l'identité, principalement de ce jeune homme en uniforme. Encore merci à vous. Cordialement
gerard fritsch ,e mail ,gerardone@optusnet.com |
*** Francblu Déposée le 16/01/2016 |
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*** Ecole Paris Déposée le 29/07/2015 |
Je cherche le nom de cette école de fourrure, je pense que la photo a été prise entre 1926-1928 à Paris. J'ignore l'arrondissement. Qui peut m'éclairer ? Cordialement [répondre] |
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*** recherche descendance de "Abale LEK" Paris Déposée le 15/05/2015 |
Je ne peux être certain de l'orthographe du nom de son ami car cité oralement. Je suis également désireux de contavter toute personne qui aurait connu d'autres survivants ayant été dans ce camp de concentration à Varsovie appelé "gesiowka" du fait d'une rue de varsovie.merci [répondre] |
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