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Préfets :
Alexandre Angeli
(1940 - 1944) Alexandre Benoît Joseph Angeli, Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1893-1962)
Charles Donati
(1941 - 1943) Charles Guérin Joseph Louis Donati, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (né en 1891)
Alfred Hontebeyrie
(1941 - 1941) Alfred Roger Hontebeyrie, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1895-1969)
(07/1943 - 30/12/1943) Jean François Quenette, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie), révoqué par Vichy et recherché par la Gestapo pour son activité de résistant (1903-1971).
Georges Bernard
(1944 - 1944) Georges Albert Maurice Bernard, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1890 - 1953)
(24/01/1944 - 05/1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire). Résistant, dénoncé par la Milice, il est arrêté par la Gestapo et déporté à Neuengamme (1899-1945).
André Boutemy
(1944 - 1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1905-1959)
Jean Bouhey
(Mars 1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1898-1963)
Yves Farge
(1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1899-1953)
Jean Mairey
(1945 - 1946) Jean Marie Albert Mairey, Commissaire régional de la République par intérim de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1907-1982)
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Texte pour ecartement lateral |
Arrestations 1939-1945 : Billiat
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Texte pour ecartement lateral |
16 Familles arrêtées
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08/03/1944
Famille Ahmed - Mohammed Ben Ahmed était un travailleur algérien. Le 8 mars 1944 Tahar Ben Belkacem, Mohammed Ben Ahmed et Tayeb Djellil, tous trois algérien, se rendaient à leur travail au barrage de Génissiat. Un combat eut lieu à Billiat entre un groupe de la Résistance conduit par François Bovagne et l’ennemi assisté des gendarmes de Génissiat et Bellegarde. Passant à ce moment là, les trois civils furent arrêtés et torturés à mort.1
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Belkacem - Tahar Ben Belkacem était un travailleur algérien. Le 8 mars 1944 Tahar Ben Belkacem se rendait à son travail au barrage de Génissiat en compagnie de deux collègues de même nationalité, Mohammed Ben Ahmed et Tayeb Djellil. Un combat eut lieu à Billiat entre un groupe de la Résistance conduit par François Bovagne et l’ennemi assisté des gendarmes de Génissiat et Bellegarde. Passant à ce moment là, les trois civils furent arrêtés et torturés à mort.2
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Bovagne - François-Claudius Bovagne, né le 17 juillet 1911 à Bassy (Haute-savoie), était le fils de Constant Eugène et de Marie Louise Eugénie Toccanier, tous deux cultivateurs. Il se maria le 19 juin 1934 à Lyon 6e arr. (Rhône) avec Denise Albertine Burel. Il était domicilié à Corbonod près de Seyssel (Ain). Lucien Benoit écrit qu’il était son délégué CGT au barrage de Génissiat en 1938.
Il entra très tôt dans la Résistance dont il fut l’organisateur à Seyssel et Génissiat en tant qu’un des responsables de l’armée secrète (AS) de Seyssel avec le pseudonyme de "Michel". Il travaillait à la construction du barrage de Génissiat et recrutait des hommes parmi les syndicats. Il réussit à se sortir de l’accrochage de Ruffieu le 2 février 1944 et échappa à la rafle de Seyssel le 10 février car il se trouvait ce jour-là au maquis du col de Richemond. En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et fut homologué au grade de sous-lieutenant des Forces françaises de l’intérieur (FFI). Il reçut la Médaille de la Résistance et la Croix de guerre 1939-1945 à titre posthume.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat, Corbonod et Seyssel, sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain). La Rue François-Bovagne à Seyssel honore sa mémoire.3
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
13/07/1944
Famille Burnard - Louis, Marius Burnard, né le 15 août 1923 à Corbonod (Ain), était le fils de François Alphonse Marie et de Marcelle Clotilde Clenod, domiciliés à Corbenod. Il était célibataire et domicilié à Corbonod, près de Seyssel (Ain).
En mars 1944, des jeunes gens venus de Seyssel et de Corbonod s’installèrent dans les bois pour travailler à l’exploitation forestière pour les Carburants Français. Louis Burnard travailla comme bûcheron.
Il entra dans la Résistance dans les maquis de l’Ain à la compagnie de Richemond, créée le 6 juin 1944 par Maurice Morrier, alias "Plutarque" et commandée par l’aspirant Picquerey. La compagnie a pour mission de construire des barrages routiers pour empêcher toute incursion allemande sur Retord et le plateau d’Hauteville.
Le 12 juillet 1944 l’ennemi lança l’opération Treffenfeld destinée à anéantir les maquis. La compagnie de Richemond se battit de cinq heures du matin à midi et compta onze morts et un blessé grave. Plutarque donna alors l’ordre du repli sur le Crêt du Nu.
Louis Burnard fut tué à l’ennemi le 13 juillet 1944 à dix heures au lieu-dit "Le Thumey" à Billiat, lors du repli de la compagnie sur Cuvéry après les combats au col de Richemond.
L’acte de décès fut dressé le 14 juillet sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 15 mars 1945 et fut homologué comme soldat des Forces françaises de l’intérieur (FFI).
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat et Corbonod, sur le monument commémoratif du maquis de Richemond à Chanay et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).4
Date d'exécution : 13/07/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Casali - Lido, Mario Casali, né le 7 décembre 1924 à Lyon 2e arr. (Rhône), était le fils de Romano et de Marie Elise Agostini, femme de chambre. Il était célibataire et domicilié à la ferme Meygre-Lamy, à Hauteville-Lompnès (Ain) et travaillait comme bûcheron.
Il entra dans la Résistance locale et rejoignit le groupe de François Bovagne de l’armée secrète de Haute-Savoie. En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la Feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales", parmi lesquels se trouvait Lido Casali. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat et enregistré au nom d’un inconnu. Un jugement rectificatif de décès fut rendu par le Tribunal de première instance de Nantua le 9 février 1945 transcrit à Billiat le 26 février 1945. Il est indiqué qu’il portait un blouson de cuir fauve et était chaussé de bottes de caoutchouc noir.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite à Billiat le 8 décembre 1945.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat, sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).5
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Deconfin - Louis Joseph Deconfin, né le 21 novembre 1900 à Saint-Germain-sur-Rhône (Haute-Savoie), était le fils de Joseph Marie et de son épouse Eugénie née Loveiry.
Les relations entre les résistants, sédentaires ou maquisards, étaient fréquentes de part et d’autre du Rhône entre Haute-Savoie et Ain. François Bovagne, tout comme Edmond Fenestraz du secteur « Cristal 4 » de l’Ain étaient en relations constantes avec les résistants d’Eloise, notamment avec le groupe de Robert Gasilloud.
Le 8 mars 1944, le groupe Bovagne avait pour mission de faire passer des armes de Haute-Savoie dans l’Ain par-dessus le Rhône, au lieu-dit Malpertuis (commune de Saint-Germain-sur-Rhône). A cet endroit le Rhône est étroit et profond, mais en période de basses eaux on peut le franchir. Or, en mars les eaux sont hautes. En face sur la rive de l’Ain, se situe la ferme des Lades. Un concours de circonstances (lire Cristal 4 le secteur de Bellegarde-sur-Valserine ou Le sang de la Barbarie Editions de La Fontaine de Siloé), fit que des troupes allemandes étaient dans le secteur et il s’en suivit un violent accrochage avec les maquisards à la ferme des Lades (Ain) et jusque dans la gorge. Le seul survivant fut déporté.
« Les gendarmes de Seyssel, arrivés en début d’après-midi à Beaumont, descendent à Malpertuis, traversent l’étroite passerelle formée de troncs d’arbres jetés au-dessus du défilé, remontent à Beaumont, où ils annoncent que deux hommes sont tués dans le ravin. Il s’agissait de Roger Gros* et de Louis Déconfin* de la commune de Saint-Germain-sur-Rhône, qui étaient descendus vers le fleuve pour récupérer du bois. » (Revue des maquis de l’Ain Cristal 4).
Louis Deconfin figure sur le monument aux morts de Saint-Germain-sur-Rhône d’où il est originaire ainsi que dans l’Ain sur le monument commémoratif 1939-1945 érigé à Injoux-Génissiat.6
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Ducret - Joseph Albert Ducret, né le 20 décembre 1923 à Margencel (Haute-Savoie), était le fils de Jules et de Laure Jacquier. Il était célibataire et exerçait le métier de cultivateur à Margencel (Haute-Savoie).
Il était réfractaire au STO et entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) de Haute-Savoie. Il faisait partie du groupe de François Bovagne. En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait dont Joseph Ducret allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la Feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "La Borlane" parmi lesquels se trouvait Joseph Ducret. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite à Billiat le 1er avril 1947.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat et Margencel, sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).7
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Fauraz - Roger Fauraz, né le 11 février 1922 à Ochiaz (aujourd’hui Châtillon-en-Michaille, Ain), était le fils d’Albert Joseph et de Germaine Eugénie Laisem. Il était célibataire. Il était domicilié à Billiat (Ain).
Il entra dans la résistance à l’armée secrète (AS) du secteur Bellegarde-sur-Valserine (Ain) dans le groupe de François Bovagne.
En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne, commandant du secteur et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales" parmi lesquels Roger Fauraz. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat et enregistré au nom d’un inconnu. Un jugement rectificatif de décès fut rendu par le Tribunal de première instance de Nantua le 9 février 1945 transcrit à Billiat le 26 février 1945. Il est indiqué qu’il portait un blouson de cuir fauve et était chaussé de bottes de caoutchouc noir.
Il était membre des Forces françaises de l’intérieur, mention transcrite sur l’acte le 26 février 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 12 décembre 1945.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat, Châtillon-en-Michaille (hameau de Vouvray) et Échenevex, sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).8
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
13/07/1944
Famille Gallet - Marcel, André Gallet, né le 20 janvier 1913 à Sainte-Colombe-les-Vienne (Rhône), était le fils de Louis Marguerite, âgé de 55 ans, fermier et de Célestine Belon, âgée de 45 ans, ménagère. Il se maria le 19 octobre 1913 à Argenteuil (Seine-et-Oise, Val-d’Oise) avec Marie Margot Pelletier. En 1940, il était domicilié à Bellegarde-sur-Valserine et en 1944 à Chanay (Ain).
Marcel Gallet entra dans la Résistance dans les maquis de l’Ain à la compagnie de Richemond, créée le 6 juin 1944 par Maurice Morrier, alias "Plutarque" et commandée par l’aspirant Picquerey. La compagnie a pour mission de construire des barrages routiers pour empêcher toute incursion allemande sur Retord et le plateau d’Hauteville.
Le 12 juillet 1944 l’ennemi lança l’opération Treffenfeld destinée à anéantir les maquis. La compagnie de Richemond se battit pendant de 5 heures du matin à midi et compta 11 morts et un blessé grave. Plutarque donna alors l’ordre du repli sur le Crêt du Nu.
Marcel Gallet fut tué à l’ennemi le 13 juillet 1944 à dix heures au lieu-dit "Le Thumey" à Billiat, lors du repli de la compagnie sur Cuvéry après les combats au col de Richemond.
L’acte fut dressé le 14 juillet sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat. Le décès fut confirmé par un jugement rectificatif de décès du Tribunal de première instance de Nantua rendu le 18 septembre 1946 transcrit le 8 octobre 1946 à Billiat.
Il est inhumé à la Nécropole nationale du Val-d’Enfer tombe 73, à Cerdon (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur le monument aux morts, à Billiat, sur le monument commémoratif du maquis de Richemond à Chanay et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).9
Date d'exécution : 13/07/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Gros - Roger Gros, né à Saint-Germain-sur-Rhône (Haute-Savoie), était originaire de Saint-Germain-sur-Rhône où il était domicilié. Nous manquons d’informations plus précises.
Il entra dans la résistance à l’armée secrète du secteur de Bellegarde-sur-Valserine (Ain).
Le 8 mars 1944 le groupe AS de François Bovagne eut pour mission d’aller récupérer des armes de l’autre côté du Rhône. Tout se passa bien jusqu’au tunnel de Malpertuis où les armes furent essayées. On ne sait pas s’il y eut dénonciation mais les gendarmes de Génissiat et Bellegarde ainsi que la feldgendarmerie de La Cluse se trouvaient là et encerclèrent les résistants à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat (Ain). François Bovagne et sept de ses hommes furent tués. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
Pendant ce temps, les gendarmes de Seyssel, arrivés en début d’après-midi découvrirent deux cadavres dans la gorge du Rhône. Il s’agissait de Louis Deconfin et Roger Gros qui étaient descendus vers le fleuve pour récupérer du bois.
Son nom figure sur le monument aux morts, à Saint-Germain-sur-Rhône (Haute(Savoie) et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).10
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Lecomte - Robert Marcel Lecomte, né le 27 novembre 1925 à Châlons-sur-Marne, aujourd’hui Châlons-en-Champagne (Marne), était le fils de Georges Henri et de Marcelle Marie Dhuièges Eugénie Toccanier. Il était célibataire et domicilié à Fagnières (Marne).
Il entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) et appartenait au groupe de François Bovagne. En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la Feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales". Robert Lecomte en faisait partie. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat et enregistré au nom d’un inconnu. Un jugement rectificatif de décès fut rendu par le Tribunal de première instance de Nantua le 5 avril 1945 transcrit à Billiat le 27 avril 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » et soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI) transcrites sur l’acte de décès le 24 février 1950.
Une mention additive à l’acte de décès mentionne qu’il était soldat des Forces françaises de l’Intérieur (FFI).
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat (Ain), Fagnières (Marne), sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).11
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Massacrier - Raymond Massacrier, né le 29 août 1922 à Saint-Rambert-l’Île-Barbe (aujourd’hui Lyon 9e arr., Rhône), était le fils de Pierre Marius et de Sophie Louise Bornier. Il était célibataire et domicilié à Collonges-au-Mont-d’Or (Rhône).
Il entra dans la Résistance au Bureau des opérations aériennes (BOA) et appartenait au groupe de François Bovagne. En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la Feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales". Raymond Massacrier en faisait partie. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat et enregistré au nom d’un inconnu. Un jugement rectificatif de décès fut rendu par le Tribunal de première instance de Nantua le 2 février 1945 transcrit à Billiat le 26 février 1945.
Il est indiqué qu’il portait un « pantalon vert foncé paraissant du type camp de jeunesse » et « des gros souliers ferrés ».
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 15 décembre 1945 et fut homologué soldat de la Résistance intérieure françaises (RIF) le 20 novembre 1953.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat (Ain) et Collonges-au-Mont-d’Or (Rhône), sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).12
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Petit - Léon Petit, né le 7 juillet 1921 à Villes (Ain), était le fils d’Eugène Marius, propriétaire cultivateur et de Marie Élisabeth Tissot. Il était le dernier d’une famille de six enfants. Il était célibataire et domicilié à Villes où il exerçait le métier de manœuvre (Ain).
Il entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) de Bellegarde-sur-Valserine (Ain) et appartenait au groupe de François Bovagne. En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la Feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales". Léon Petit en faisait partie. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 18 décembre 1945.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat et Villes (Ain), sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).13
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Sanchez - Vittoriano Sanchez, né le 20 avril 1925 à Somorrostro Vizcaya (ou Sommertès), était le fils de Juan et de Luciano Pabillo. C’était un réfugié républicain espagnol et il était domicilié en 1940 à Billiat (Ain). Il fut embauché comme bûcheron dans le secteur de Bellegarde.
Il entra dans la Résistance à l’armée secrète (AS) du secteur de Bellegarde-sur-Valserine (Ain) dans le groupe de François Bovagne.
En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales". Parmi eux se trouvait Vittoriano Sanchez. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat. Il est indiqué que le corps de Vittoriano Sanchez était revêtu d’une capote.
Il est inhumé à la Nécropole nationale du Val d’Enfer, tombe 59, à Cerdon (Ain).
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 10 mai 1946.
Son nom figure sur le monument aux mort, à Billiat, sur la stèle de la ferme des Lades (avec le prénom Victoriano), à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).14
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Tayeb - Djellil Tayeb était un travailleur algérien. Le 8 mars 1944 Tahar Ben Belkacem, Mohammed Ben Ahmed et Tayeb Djellil, tous trois algérien, se rendaient à leur travail au barrage de Génissiat. Un combat eut lieu à Billiat entre un groupe de la Résistance conduit par François Bovagne et l’ennemi assisté des gendarmes de Génissiat et Bellegarde. Passant à ce moment là, les trois civils furent arrêtés et torturés à mort.15
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
08/03/1944
Famille Vulin - René, Henri Vulin, né le 25 octobre 1923 à Courmangoux (Ain), était le fils de ait le fils de Léon Émile et d’Augustine Alexandrine Maréchal, tous deux cultivateurs. Il était célibataire et domicilié à Saint-Martin-du-Mont (Ain).
Il entra dans la résistance à l’armée secrète (AS) du secteur Bellegarde-sur-Valserine (Ain) dans le groupe de François Bovagne.
En mars 1944 des armes furent parachutées pour le maquis mais au lieu de tomber sur le plateau du Retord dans l’Ain, elles tombèrent par erreur en Haute-Savoie. Le 8 mars 1944 François Bovagne et les huit hommes qu’il commandait allèrent les récupérer et les firent passer dans l’Ain en traversant le Rhône à l’aide d’une passerelle d’arbres tombés dans les gorges. Après la traversée, ils voulurent essayer les armes à l’intérieur du tunnel ferroviaire de Malpertuis. Malheureusement des cheminots entendirent le bruit des armes et s’inquiétèrent donnant l’alerte. Les gendarmeries de Génissiat et de Bellegarde et la feldgendarmerie de La Cluse ainsi que des ingénieurs allemands de passage partirent en chasse. Les gendarmes de Génissiat dont beaucoup étaient déjà acquis à la Résistance tirèrent en l’air pour avertir les maquisards mais il était déjà trop tard. Les gendarmes de Bellegarde avaient ouvert le feu blessant deux hommes. Les résistants s’éparpillèrent et tentèrent de se défendre mais ils furent pris en tenaille et encerclés à la ferme des Lades, à Billiat entre Bellegarde et Génissiat. François Bovagne et sept de ses hommes furent tués à 17 heures au lieu-dit "Les Bornales" parmi lesquels René Vulin. Un seul s’en sortira vivant mais sera déporté.
L’acte de décès fut dressé le 9 mars sur la déclaration de Claudius Gros, âgé de 62 ans, garde champêtre à Billiat et enregistré au nom d’un inconnu. Un jugement rectificatif de décès fut rendu par le Tribunal de première instance de Nantua le 5 avril 1945 transcrit à Billiat le 27 avril 1945.
Il est inhumé à la nécropole nationale du Val-d’Enfer tombe 41, à Cerdon (Ain).
Il était membre des Forces françaises de l’intérieur, mention transcrite sur l’acte le 27 avril 1945.
Il obtint la mention « Mort pour la France » transcrite sur l’acte de décès le 3 juin 1947.
Son nom figure sur les monuments aux morts, à Billiat et Saint-Martin-du-Mont, sur la stèle de la ferme des Lades, à Billiat et sur le monument commémoratif, à Injoux-Génissiat (Ain).16
Date d'exécution : 08/03/1944
Source : Le Maîtron
Notes
- 1 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Mémorial Genweb.
- 2 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Mémorial Genweb.
- 3 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de naissance).
- 4 - Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Musée de la Résistance Nantua, La compagnie Richemond.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 5 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 6 - Michel Germain, Haute-Savoie Rebelle et martyre, Mémorial de la Seconde guerre mondiale en Haute-Savoie, La Fontaine de Siloé, 2009. — MémorialGenWeb. — Registre matricule militaire en ligne.
- 7 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : Un hommage champêtre aux maquisards des Lades.— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 8 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 9 - Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Musée de la Résistance Nantua, La compagnie Richemond.— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 10 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Revue Cristal 4 1940-1944.— Mémorial Genweb.
- 11 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 12 - Revue Résistance Cristal 4 1940-1944.— Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 13 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 14 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
- 15 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Mémorial Genweb.
- 16 - Le Progrès du 5 septembre 2016 article de Justin Mourez : "Un hommage champêtre aux maquisards des Lades".— Musée de la Résistance 1940-1945 en ligne Données extraites du CD(DVD)-ROM : La Résistance en Haute-Savoie (2004) et La Résistance dans l’Ain et le Haut-Jura (2013).— Mémorial Genweb.— État civil (acte de décès).
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