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39/45 en France (WWII)
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Région :
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Préfets :
Pierre Ancel
(10/10/1938 - 16/08/1940) Préfet de Maine-et-Loire
Jean Roussillon
(16/08/1940 - 31/07/1943) Préfet régional de la région d'Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (1896-1970)
Pierre Daguerre
(14/11/1941 - 01/08/1943) Préfet délégué de Maine-et-Loire
Charles Donati
(01/08/1943 - 10/08/1944) Charles Guérin Joseph Louis Donati, Préfet régional de la région d'Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (né en 1891)
Michel Sassier
(15/09/1943 - 10/08/1944) Préfet délégué de Maine-et-Loire
Michel Debré
(10/08/1944 - 01/04/1945) Michel Debré dit Jacquier, Commissaire de la république de la région d’Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (1912-1996)
Michel Fourre-Cormeray
(10/08/1944 - 11/05/1945) Préfet de Maine-et-Loire
Alain Savary
(01/04/1945 - 11/05/1945) Commissaire de la république de la région d’Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (1918-1988)
Henri Piton
(11/05/1945 - 21/01/1946) Préfet délégué de Maine-et-Loire
Henri Piton
(15/05/1945 - 21/01/1946) Préfet de Maine-et-Loire
Georges Bernys
(21/01/1946 - 01/09/1947) Préfet de Maine-et-Loire
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La commune des Saumurois
Saumur est une commune du Maine-et-Loire, situé dans le Saumurois.
Le 1er février 1973, Saumur (49328) s'est associée à quatre communes limitrophes : Bagneux (49016) Dampierre-sur-Loire (49118), Saint-Hilaire-Saint-Florent (49287) et Saint-Lambert-des-Levées (49293).
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 17 158 habitants et 17 635 en 1946.
26/11/2021
La Seconde Guerre mondiale
Durant la Seconde Guerre mondiale, dans le cadre de la campagne de France en 1940, les troupes allemandes arrivent aux portes de la ville : les 786 élèves officiers de réserve de l’École de cavalerie, rejoints par les élèves sous-officiers de l’école de Saint-Maixent et une compagnie de tirailleurs nord-africains, soit environ 2 200 hommes sous les ordres du Colonel Charles Michon, tentèrent d’interdire le passage du pont à la première division de cavalerie allemande.
Dépourvus d'armements lourds et antichars, de blindés et d’appui aérien, ils résisteront à un ennemi bien supérieurement armé durant 36 heures, jusqu'au 20 juin ou l’ordre de retraite sera ordonné par le général Pichon. La résistance des officiers et de leurs élèves ont impressionné le général Feldt, commandant la division allemande, raison pour laquelle il fit libérer les prisonniers français début juillet1, ce qui leur permit de rejoindre la zone libre2.
Saumur fut considérablement endommagée lors des bombardements de 1940, et eut des dizaines de morts civils3, mais le château et la vieille ville ne furent pas touchés par les combats.
Le jeudi 1er juin 1944 et le lendemain, deux grands bombardements anglo-américains ont lieu : la gare est hors d'usage, les voies ferrées sont coupées, les arches du pont des Sept-Voies se sont effondrées. Des bombes à retardement explosèrent pendant vingt heures, tuant ou blessant nombre de résidents sortis des abris. Le bilan s’élève à 87 morts, et beaucoup plus de blessés.
17/10/2020
Le statut des Juifs à Saumur
L'étoile jaune
Etape décisive dans la stigmatisation des Juifs et dans le processus d'élimination, l'obligation du port de l'étoile jaune, " l'insigne des Juifs " dans le langage officiel, est une opération longuement préparée.
Elle est précédée par une mise à jour des listes, qui regroupent alors 43 Juifs dans la commune de Saumur et 4 dans les communes associées.
Chaque Juif de plus de 6 ans devra porter l'étoile à partir du 6 juin 1942 ; il en recevra trois exemplaires contre un point textile ; l'étoile devra être cousue.
Le commissaire Eprinchard, chargé de l'opération pour tout l'arrondissement reçoit 270 insignes, donc pour 90 personnes, mais des Juifs ont disparu.
Le 8 juin 1942, Daniel Pélisson, un des chefs locaux de la collaboration, écrit au sous-préfet pour dénoncer l'ex-rabbin Lévy-Strauss, qui porterait au-dessous de son étoile une brochette de médailles (A.D.M.L., 97W26).
Le dimanche 7 juin se déroule en ville la traditionnelle procession de la Fête-Dieu. Sous le dais, un prêtre revêtu de ses ornements d'apparat. Sur le trottoir, un rabbin, Henri Lévy, ancien aumônier de l'Armée d'Orient, qui arbore sa Légion d'honneur et sa Croix de Guerre au-dessous de son étoile. Le prêtre s'arrête et, derrière lui, la foule des fidèles. Il s'approche du rabbin et lui étreint longuement la main avant de continuer la procession.
La rafle du 15 et du 16 juillet 1942
La vaste rafle, lancée à Paris et baptisée " Vent printanier " par les nazis et " rafle du Vel d'Hiv " par les Français, se déroule à partir de la veille en Anjou, dans la soirée du 15 juillet et à l'aube du 16.
Les rapports du commissariat de Saumur, rendent compte de toutes les arrestations opérées (A.D.M.L., 97W39). Au cours de la nuit, la Feldgendarmerie arrête dans Saumur 12 Juifs, 5 étrangers et 7 autres qui avaient la nationalité française en 1940.
Dans les communes associées, elle arrête également la jeune Jany Schwab, nurse à Dampierre, et, à Saint-Lambert, les deux membres restants de la famille Eilstein.
D'après le commissaire Eprinchard, cinq autres personnes figuraient sur la liste , dont la famille Meier qui sera arrêtée à Sainte-Radegonde et Fany Schwab, qui résidait à Dampierre, est arrêtée parce que juive.
Les arrestations se sont déroulées sans éclat et sans incident notable.
Les personnes arrêtées sont conduites dans l'Ecole de cavalerie. Elles y retrouvent les personnes arrêtées dans tout l'arrondissement. Le groupe de 54 personnes est conduit en camion vers le grand séminaire, rue Bara, à Angers. Le 20 juillet, ils sont déportés vers Auschwitz par le convoi n° 8, comprenant 824 personnes. Seules 15 personnes de ce convoi survivront, aucun Saumurois parmi elles.
Départs clandestins
Les familles juives de souche alsacienne et lorraine quittent clandestinement Saumur dès 1941 mais également durant l'été 42. Dans son rapport d'activité pour le mois d'août, le commissaire de police note seulement : « Plusieurs juifs ont quitté clandestinement la ville et ont été signalés » (97W16) :
24/10/2020
Auteur : Joseph-Henri Denécheau
Lien : Saumur jadis
Robert Amy
Maire de Saumur (19/05/1935 - 05/10/1940) Révoqué par arrêté préfectoral du 5 octobre 1940
>> Voir les 14 familles arrêtées dans la commune <<
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Jules Baudry
Nommé par arrêté préfectoral du 14 octobre 1940, p (14/10/1940 - 28/02/1941) Avocat.
René Drouart
Nommé par arrêté du Secrétaire d'État à l'Intérieu (01/03/1941 - 08/09/1943) Commissaire de police et avocat.
Narcisse Clochard
Nommé par arrêté préfectoral du 9 septembre 1943 (09/09/1943 - 30/08/1944) Capitaine-trésorier.
Robert Amy
Maire de Saumur (30/08/1944 - 13/05/1945) Reprend ses fonctions le jour de la Libération, le 30 août 1944. Confirmé par arrêté préfectoral du 23 septembre 1944. Il décède à Saumur le 02/07/1945
Emmanuel Clairefond
Maire de Saumur (19/05/1945 - 28/12/1953) Directeur de société (1897-1953). Elu le 18 mai 1945. Réélu en novembre 1947 et en mai 1953.
Les 28 Justes parmi les Nations du Maine-et-Loire
Auguste Antier (Champtoceaux)
Marie-Thérèse Heintz (La Ménitré)
Marie Maussion (Challain-la-Potherie)
Charlotte Audureau (Baugé)
Cécile Heintz (La Ménitré)
Marie-Eugénie Pacteau (Saint-Georges-du-Puy-de-la-Garde)
Odette Blanchet Bergoffen (Vernoil-le-Fourrier)
(Morannes)
Henriette Launay (Saint-André-de-la-Marche)
Anne-Marie Pinguet (Noëllet)
André Dossogne (Les Rosiers-sur-Loire)
Henriette Launay Bochereau (Saint-André-de-la-Marche)
Xavier Terrien (Noëllet)
Familles réfugiées à Saumur
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
14 Familles arrêtées (Saumur)
[Compléter]
10/1942
Famille Behar Boudinon - Bouca Boudinon, née Behar le 24/07/1887 à Philippopoli (Turquie) a obtenu la nationalité française par mariage avec un Saumurois. Elle sera arrêtée parce que juive en octobre 1942. Elle est internée à Drancy le 17/10/1942, puis à Beau-la-Rolande le 09/03/1943 et à Drancy le 12/07/1943. Elle ne sera pas déportée et est libérée le 18/08/1944.
Source : Juifs saumurois - Franck Marché
07/1941
Famille Bermann - Leib dit Léon Bermann III, né le 12/02/0906 à Chaskiany (Lituanie) est arrivé en France en 1921. Il est le frère de Eta épouse Roubakowitch. Il est domicilié à Angers, puis à Saumur. Il est chauffeur, marié avec Sheida-Perla dite Paulette née Laks le 18/09/1909 à Slydowicz (Pologne) et arrivée en France en 1909. Ils ont un fils, Georges, né le 13/09/1935 à Paris, écolier.
Léon, 36 ans, est arrêté début juillet 1941 avec son beau-frère Néhémia Roubakowitch, 48 ans. Incarcérés à Compiègne puis à Drancy, ils seront déportés sans retour en septembre 1942. Emile-Néhémia par le convoi n° 31 et Léon-Leib par le convoi n° 33.
Sa femme et son fils, partis de Saumur mi-septembre 1942, seront saufs. Georges sera confié à une famille de Vivy (49) et sa mère retournera le chercher fin 1943.
Déportation : 09/1942
convoi no 33
Source : Juifs saumurois - Franck Marché
10/1942
Famille Bloch - Alice née Bernheim à Hattstatt (Haut-Rhin) le 30/06/1882 était réfugiée à Saumur d'Alsace depuis 1939 avec ses fils Marcel et Claude, né le 16/08/1922 à Strasbourg et l'épouse de Claude, Denise. Elle habitait 1 rue Bizard. Alice Bloch, 62 ans, est arrêtée chez elle à Saumur en octobre 1942 parce que juive et sera déportée sans retour de Drancy à Auschwitz le 13 février 1943 par le convoi n° 48.
Déportation : 13/02/1943
convoi no 48
Source : Juifs saumurois - Franck Marché
15/07/1942
Famille Bruck - Hélène, 16 ans, née à Coblens (Allemagne) le 02/10/1926. Arrêtée parce que juive, elle sera déportée sans retour d'Angers à Auschwitz par le convoi n° 8 du 20/07/1942.
Déportation : 20/07/1942
convoi no 8
Source : Juifs saumurois - Franck Marché
1941
Famille Eilstein - La famille Einstein habitait à Lens avant la guerre. Expulsé de la zone côtière vers Saumur en 1941. Salomon, né le 16/02/1901 à Varsovie (Pologne) et son épouse Chaja Sarah née Kronenberg le 20/08/1891 à Konskie (Pologne) s'installent rue David d'Angers à Saint-Lambert-des-Levées avec leur fils Théodore, né le 22/09/1926 à Paris. Théodore est élève de 3ème au Collège des Récollets. Salomon, 40 ans, est arrêté en 1941, interné à Beaune-la-Rolande le 18/09/941, il sera déporté sans retour le 28/06/1942 par le convoi n° 5. Chaja, 51 ans, est arrêtée parce que juive le 15/07/1942. et Théodore, 16 ans, est arrêté parce que juif le 16/07/1942. Internés au Grand Séminaire d'Angers, ils seront déportés sans retour d'Angers à Auschwitz par le convoi n° 8 du 20 juillet 1942.
Déportation : 28/06/1942
convoi no 5 et 8
Source : Juifs saumurois - Franck Marché
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.
2 Site internet sur le Camp de la Forge de Moisdon-la-Rivière (Histoire du Camp de la Forge de Moisdon-la-Rivière. )
3 Le camp de Beauregard à Clefs (Site personnel en cours de réalisation )
4 Site Communal (Site officiel de la Mairie de Draché )
5 A Bléré, la ligne de démarcation est toujours dans les mémoires (Cet article résume bien la position de Bléré et le role heroique de ses habitants
Journal La Nouvelle République. 25 Aout 2007 )
6 la Famille Angel (Destin croisés des familles Angel et Delépine, originaires du nord et toutes deux réfugiées à Tharon plage )
7 "Lettre à Esther" (La vidéo retrace l'histoire de la famille Angel depuis son arrivée en France début XX°, son intégration en France, l'arrestation et la déportation à Auschwitz (convois 8 et 34) de cette famille réfugiée à Pornic et Tharon. "Enfances volées": vidéo retraçant la déportation de Rachel Angel et de Victor Pérahia, avec le témoignage de celui-ci )
8 juifs sarthois arrêtés déportés
- 1 - Thérésa de Cherizey, Le Guide l’Anjou, La Manufacture, 1990, p. 164.
- 2 - Eric de Grandmaison, « Il y a 80 ans, le combat des Cadets de Saumur », Ouest-France, 21 juin 2020.
- 3 - Bilan des deux bombardements sur Saumur-jadis.
*** Recherche d'informations de mon père (39-45) Déposée le 21/12/2015
Bonjour,
Peut-être avez-vous des réponses aux questions suivantes.
Je réalise en ce moment un récit à l’attention de mes enfants et mes petits-enfants concernant le parcours de mon père Agustin ECHEZAR GARRO né le 24 mai 1913 à Urnieta (Espagne) de 1936 à 1945.
Questions :
A-t-il été affecté à une compagnie de travailleurs espagnols du camp de Gurs sachant qu’il a travaillé au profit de particuliers dans le bûcheronnage à Tardets et à Laruns (64) entre avril 1939 et fin 1940.
En quittant de Gurs, a-t-il suivi la CTE à laquelle il était affecté ou s’est-il évadé ?
La compagnie de travailleurs espagnols a été transférée à Montreuil Bellay (49).
De nouveau, il a travaillé au profit d’une société privée a priori la SEITA dans le bûcheronnage à Trélazé (49).
A-t-il obtenu un contrat de travail personnel ou a-t-il affecté à la SEITA par la CTE pour effectuer du bûcheronnage (prêt de main d’oeuvre).
A une date qui m’est inconnue, il a travaillé au profit des allemands à Angers.
Etant donné son passé d’officier républicain espagnol appartenant au parti communiste, je ne pense pas que les allemands l’aient embauché ?
Les allemands ont peut-être réquisitionné du personnel affecté à la C.T.E. ?
En 1934, mon père a été assigné à résidence à Angers à la suite de son évasion du Fort de Guadalupe à Fonterrabie (participation à la rébellion des mineurs asturiens en 1934).
Merci de me répondre.
Miren ECHEZAR
[répondre]
*** Recherche élèves juifs déportés Lycée David d'Angers Déposée le 06/08/2015
Un groupe de recherche au sein du lycée David d'Angers tente d'établir si des élèves juifs du lycée ont été déportés afin de commémorer ces événements et de faire travailler les élèves sur le sujet.
Tous témoignages peut être utiles : faits, arrestations, élèves portants l'étoile...
Merci de votre aide.
[répondre]
*** Recherche renseignements Déposée le 29/11/2011
Bonjour,
Mon grand oncle LEPERT Louis Alphonse Auguste né à Mézières-sous-Lavardin (72) le 17 mai 1900 a été arrêté et emprisonné à Angers durant la seconde guerre mondiale. A l'époque, il devait demeurer en sarthe.
A l'issue de la Guerre, Louis n'est pas rentré. Mon père m'avait conté que notre famille avait fait des recherches en vain.
En effectuant des recherches sur internet, j'ai retrouvé l'inscription de son nom sur le JORF n°226 du 29 septembre 1994 page 13781 Lepert (Louis, Alphonse, Auguste), né le 17 mai 1900 à Mézières-sous-Lavardin (Sarthe), décédé le 7 décembre 1943 (sans autre renseignement).
Pour honorer sa mémoire, je cherche à reconstituer le chemin de son "calvaire" et surtout me rendre sur le dernier lieu de son existence.
Lorsque mon père, aujourd'hui décédé, a pris connaissance de la mort de son oncle en camp de déportation, il a pleuré et c'est la seule fois ou je l'ai vu pleurer...
Je souhaite aussi honorer cette peine.
Paix à leurs âmes.
Je vous remercie.
[répondre]
Répondue le 18/04/2012
Bonjour,
Répondue le 21/04/2012
je pense que vous devriez jeter un coup d'œil sur le site de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. En voici le lien direct pour effectuer une recherche: http://www.bddm.org/liv/index_liv.php
Cliquez en bas de page sur l'illustration sous-titrée "rechercher un déporté" ; sur la nouvelle page, tapez simplement "Lepert", cliquez sur "recherche" et vous aurez deux résultats dont un " LEPERT, Louis, 07/05/1900 Partie I, liste n°174. (I.174.)"; cliquez sur "Partie" de "Partie I, liste n°174. (I.174.)" et vous trouverez un tableau ou apparaît très sûrement votre grand oncle, à trois détails près 1°) date de naissance, le 7 mai 1900 au lieu du 17 mai 1900 et 2°) Mézières dans les Ardennes au lieu de Mézières-sous-Lavardin (Sarthe) et 3°) votre grand oncle serait mort en 1943 selon vos dires, or celui-ci fait partie d'un convoi parti de Paris le 27 janvier 44 (voir haut de page du tableau). Ce sont des détails car ce livre mémorial comporte quelques informations incomplètes et est toujours en évolution. Travaillant sur la relation des 18 mois de déportation de mon père, il m'est arrivé d'aider à la correction d'infos sur ce Livre Mémorial. Cela sera à vous de les contacter pour ce même type d'intervention. Il semblerait que votre grand oncle soit décédé à Dora, un Komamndo de Buchenwald, devenu en qques mois camp autonome (très dur). N'hésitez pas à me contacter si vous aviez besoin d'aide. Dominique Bovio 06 37 61 77 70. Cordialement
Bonjour. Tout à fait d'accord avec Dominique et mêmes remarques. A-t'il été arrêté en Sarthe ?
Si oui les Archives départementales du MANS peuvent vous aider dans vos recherches.
Bon courage à vous.
P.S. / La date de décès indiquée peut avoir été confondue avec la date d'arrestation.
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