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Haute-Marne

Région :
Grand-Est
Carte du département

Préfecture :
Chaumont

Préfets :
Philibert Taillandier
(02/11/1940 - 15/04/1941)
Robert Cousin
(06/12/1941 - 16/08/1943)
Robert Courarie-Delage
(16/08/1943 - 19/09/1944)
Louis Regnier
(19/09/1944 - 01/12/1947)
Fernand Bidaux
(01/08/1938 - 02/11/1940) Préfet de la Haute-Marne
René Bousquet
(28/08/1941 - 1942) Préfet régional de la région de Châlons-sur-Marne (Marne, Haute-Marne et Aube) (1909-1993)
Jacques Bussières
(21/06/1941 - 06/12/1941) Préfet de Haute-Marne. Arrêté, interné au camp de Compiègne puis déporté en Allemagne, il mourra en déportation (1895-1945)
Louis de Peretti
(18/05/1942 - 1944) Louis Alexandre Valère de Peretti della Rocca, Préfet régional de la région de Châlons-sur-Marne (Marne, Haute-Marne et Aube)
Marcel Grégoire
(1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Châlons-sur-Marne (Marne, Haute-Marne et Aube)(1884-1969)
Guy de Feral
(15/04/1941 - 21/06/1941) Guy Marc Gilbert Perier de Feral, Baron de Schwart, Préfet de la Haute-Marne (non installé)

À lire, à voir…

Max Lagarrigue Max Lagarrigue
1940, la France du repli, l'Europe de la défaite

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Daniel Froville Daniel Froville
Pierre Bockel, l’aumônier de la liberté

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Eric Rondel Eric Rondel
L'Armée américaine en Alsace : Haut-Rhin / Bas-Rhin 1944-1945

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Médard Brogly Médard Brogly
La grande épreuve - l'Alsace sous l'Occupation Allemande 1940-1944

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Marie-Joseph Bopp Marie-Joseph Bopp
Histoire de l'Alsace sous l'occupation allemande, 1940 1945

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Jean-Émile Andreux Jean-Émile Andreux
Le Camp des Mazures et ses déportés juifs

 

 Club mémoires 52 Club mémoires 52
Déportés et Internés de Haute Marne

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Lionel Fontaine Lionel Fontaine
André Grossetête
Marie-Claude Simonnet
Résistance, répression, libération en Haute-Marne

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Jean-Émile Andreux Jean-Émile Andreux
Mémorial des déportés du Judenlager des Mazures

 
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Département de la Haute-Marne en 1939-1945


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Departement de la Haute-Marne en 1939-1945
Chateau Saint-Dizier, sous-préfecture
source photo : TaNo52
crédit photo : Domaine public
Histoire
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.

Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin.
La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.

Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées.
Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice.

Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone sud où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands. La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km.

René Bousquet devient préfet de la Marne après l'Armistice. Le 28 août 1941 il est nommé préfet régional de la région de Châlons-sur-Marne (Marne, Haute-Marne et Aube). En 1942, chef de la police, il organise la rafle du Vel d'Hiv durant l'été 1942 et suggéra aux Allemands de déporter non seulement des Juifs étrangers de la "Zone occupée" mais encore ceux de la "Zone libre".

Les proscrits du régime
Vichy développe une politique antijuive dans la perspective d'une collaboration avec l'Allemagne nazie et fait promulguer le premier statut des Juifs le 3 octobre 1940 avec l'aval et la confiance d'une grande partie de l'opinion publique.
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, seront pourchassés et persécutés parce que Juifs et massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront.
Les Tsiganes sont internés dans les camps français.
Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.

A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.

Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.

25/03/2010

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Les rafles

La rafle des 19 et 20 juillet 1942

Le 2 juillet 1942, von Korff, chef de la Sipo-Sd pour la région de Châlons-sur-Marne, qui comprend l’Aube, la Marne, et la Haute-Marne, demande aux préfets départementaux d’organiser le rassemblement des Juifs des deux sexes de 16 à 45 ans1.

Quatre jours plus tard, ces directives sont modifiées et seuls les Juifs étrangers sont visés2

Le 19 juillet la rafle débute dans l'Aube : 7 Juifs sont interpellés à Troyes par la police française et amenés au centre Jules Ferry. Dans le reste du département, ce sont les gendarmes français qui procèdent à l’arrestation de 7 autres Juifs (3 ont été arrêtés à Saint-Mards-en-Othe, 2 à Bar-sur-Aube, 1 à Maizières-lès-Brienne et 1 à Gélannes. Quatorze personnes sur les vingt-quatre prévues sont arrêtées dans l’Aube.

Le 20, les Juifs de la Marne sont à leur tour raflés. Les gandarmes à qui ont été confiées les opérations constatent qu'une grande partie des personnes à interpeller sont absentes de leur domicile.
Au final, 7 personnes sont raflées et conduites par la police au « centre d’accueil de la gare de Reims », où les attendent la gendarmerie et un bus pour le transfert à Châlons-sur-Marne3.

Les rafles d’octobre 1942

La rafle débute dès le soir du 8 octobre par l’arrestation à Payns de Sarah Strick. Elle est transférée dès le lendemain à Jules Ferry4.
Le 9, 18 de ses coreligionnaires sont interpellés à Troyes dont 7 des enfants placés à l’Assistance publique ou chez des voisins en juillet suite à la rafle de leurs parents. Robert Trafikant, âgé de 9 ans, bien que ne figurant pas sur la liste des Juifs à arrêter, est emmené avec sa mère Itha. En revanche, les enfants Samuel – dont la mère Lieba, en traitement à l’hôpital, ne peut être transportée – sont laissés à l’Assistance publique5. Dans le reste du département, les brigades de gendarmerie procèdent à l’arrestation de 5 autres personnes : 3 personnes ont été arrêtées à Saint-Mards-en-Othe et Chane Melcer et Léïa Matcovici arrêtées à Bar-sur-Aube sont transférées vers Troyes.

Au bout du compte dans l’Aube, 24 personnes ont été appréhendées au cours des 8 et 9 octobre 1942 puis transférées temporairement à Jules Ferry6, sur les 30 initialement prévues.

Les rafles de janvier 1944

Les rafles marquent une pause en 1943 dans l’Aube et à Reims, pour ne reprendre qu’en janvier 1944. Cette fois, elles sont organisées et opérées exclusivement par les autorités allemandes.

Le 27 janvier 1944, la Marne est frappée par sa troisième rafle. 49 juifs sont arrêtés à Reims. 96 juifs sont été arrêtés dans treize localités haut-marnaises dont 19 à Chaumont, dont la plus jeune, Marie Baer a 2 ans, et le plus âgé, Joseph Liebner, a 85 ans., 19 à Chaumont, dont la plus jeune, Marie Baer a 2 ans, et le plus âgé, Joseph Liebner, a 85 ans. Après leur interpellation, ils sont conduits au centre pénitentiaire des Hauts Clos à Troyes.

Parmi les raflés, un décède à Drancy, deux ne seront pas déportés et resteront à Drancy, trois sont libérés pour raisons de santé et 90 sont déportés entre le 10 février et le 27 mars 1944.
Seul Paul Greilsammer reviendra, tandis que sa mère et sa tante déportées en même temps que lui sont assassinées.

Source : Romain Dupré (doctorant en histoire) et Anne-Claire Kulig (master 2 d’histoire), Regards croisés : le temps des rafles et des déportations des Juifs dans l’Aube et à Reims.

04/01/2018

[Compléter l'article]

Toutes les communes de la Haute-Marne

Les camps et les lieux d'internement de la Haute-Marne

Camp de Peigney 52200 Peigney
Fort de La Bonnelle Fort Decrès 52200 Saints-Geosmes
Frontstalag 122 Chaumont 52000 Chaumont
Frontstalag 123 Langres 52200 Langres

Les lieux de sauvetage de la Haute-Marne

Si vous connaissez des lieux de sauvetage dans le département, merci de nous les signaler par mail.

1 Juste de la Haute-Marne


Familles hébergées, cachées ou sauvées de la Haute-Marne[Compléter]


Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.

5 Familles arrêtées dans le département [Compléter]

Bourbonne-les-Bains
1944 Famille Bloch - Arthur, né à Guebwiller (68) le 08/09/1872, fils de Michel Bloch et Mélanie Bloch, est réfugié à Bourbonne-les-Bains. Arthur, 72 ans, arrêté parce que juif, il est déporté sans retour de Drancy à Auschwitz le 10/02/1944 par le convoi n° 68.
Déportation : 10/02/1944 convoi no 68
Source : Shoah Names Database

Chaumont
27/01/1944 Famille Baer - André Baer est pharmacien à Chaumont. Au début de l’année 1944, il réside avec sa femme Marcelle au 9 de la Rue Pasteur. Les Baer ont 4 filles. Éliane, la plus âgée, a 12 ans. Ses sœurs Jacqueline, Nicole et Claude ont respectivement 10, 6 et 2 ans. Les parents d’André Baer, Moïse et Alice, résident Avenue des Etats-Unis. Le jeudi 27 janvier 1944, dans la matinée, les Felgendarmes allemands viennent les arrêter à leur domicile respectif. Les 8 membres de la famille Baer sont conduits et parqués route de Langres, dans l’ancienne caserne du 28° régiment d’artillerie (quartier Foch). En compagnie d’autres juifs raflés dans les arrondissements de Langres et de Chaumont, les Baer sont dirigés vers Saint-Dizier d’où ils rejoignent dans la soirée Châlons-sur-Marne. Le 29 janvier, ils sont internés au camp de Drancy, en banlieue parisienne. Le 10 février, toute la famille est précipitée dans les wagons à bestiaux du convoi n° 68 pour Auschwitz. L’ignoble voyage dure trois jours et trois nuits. A leur descente du train, 1229 des 1500 arrivants sont directement dirigés vers les chambres à gaz. Parmi eux, André, Marcelle, Eliane, Jacqueline, Nicole, Claude, Moïse et Alice Baer.
Déportation : 10/02/1944 convoi no 68


11/02/1944 Famille Dodin - Georges Dodin est né le 3 mars 1898 à Chaumont. Après la première guerre mondiale, l’ancien engagé dans l’artillerie (cité à l’Ordre de la Brigade et décoré de la Croix de Guerre) entre au chemin de fer. Marié et père de 4 enfants, il est bien connu dans les milieux sportifs chaumontais (athlétisme, football). En 1928, il crée avec P. Girardot, le "C.A.C.". Georges Dodin est également trésorier du syndicat des cheminots de Chaumont. Le 11 février 1944, suite à une dénonciation, Georges Dodin est arrêté sur son lieu de travail. Plusieurs autres cheminots sont emmenés au siège de la Gestapo puis à la prison du Val-Barizien. Il est conduit au camp de Compiègne et déporté le 27 avril 1944 à Auschwitz en compagnie de 1695 internés (convoi des Tatoués). Il y reçoit, sur l’avant-bras, le matricule 185457. Le 12 mai 1944, 1563 rescapés sont transférés à Buchenwald (matricule 53857) puis à Flossenbürg et ses Commandos extérieurs (matricule 9595). Georges Dodin, selon ses camarades du Kommando de Janovitz, est mort à la mi-janvier 1945. Le stade de football de Chaumont situé à la Dame-Huguenotte porte aujourd’hui son nom.
Déportation : 27/04/1944

Saint-Dizier
27/01/1944 Famille Lévy - Daniel Lévy, né à Saint-Dizier en 1889, son épouse, leur fille, Colette, née à Saint-Dizier en 1922 et leur fils Jacques, né en 1924 à Saint-Dizier, habitaient à Saint-Dizier. Les parents et Colette sont arrêtés parce que juifs lors de la grande rafle du 27 janvier 1944. Jacques qui travaillait part se réfugier chez des amis de la famille, Léa* et Henri Chaumont* où il restera deux mois. Daniel, 55 ans, son épouse et leur fille Colette, 22 ans, seront déportés sans retour vers Auschwitz le 10 février 1944 par le convoi n° 68.
Déportation : 10/02/1944 convoi no 68
Source : Mémorial de la déportation des Juifs de France

Voisines
30/06/1944 Famille Blanchard - Raymond Maurice Félix Blanchard, né le 1er mars 1925 à Dijon (Côte-d’Or), de nationalité française, membre du maquis de Voisines, est arrêté le 30 juin 1944, interné à Chaumont, Longres, Châlons puis Compiègne, déporté à Buchenwald puis à Neu-Stassfurt, décédé lors de l’évacuation entre Oberaudenhain et Bockwitz le 17 avril 1945.
Source : Résistance 60


Chronologie [Ajouter]

15/06/1940 - Invasion allemande de la Haute-Marne.
22/06/1940 - L'armistice met fin aux combats. L'Alsace est occupée par l'Allemagne nazie. L'administration civile de l'Alsace est confiée au Gauleiter de Bade-Alsace, Robert Wagner, avec pour mission de gagner en une décennie la population alsacienne à la cause du national-socialisme.
13/07/1940 - Le Gauleiter Robert Wagner décide d'expulser les Juifs restés en Alsace, et de confisquer tous leurs biens, intérêts et droits au profit de l'État.
14/07/1940 - Les Alsaciens non Juifs sont autorisés à rentrer chez eux.
16/03/1941 - Le gauleiter Bürckel, responsable, entre autre, de l'Alsace Lorraine, demande aux Mosellans se reconnaissant Français une déclaration d'option.
08/04/1941 - Départ vers la France des Mosellans se reconnaissant Français.
29/07/1941 - L'allemand devient la langue obligatoire en Alsace-Lorraine.
25/12/1944 - L'Alsace étant annexée et les déboires de l'armée allemande sont fréquents. Le 2 décembre 1944, toutes les unités des forces terrestres, de l'air et des Waffen-SS sont placées sous le haut commandement du Reichsführer-SS Heinrich Himmler et doivent coute que coute empêcher que les Forces de Libération traversent le Rhin. Ce sera le début de la "Poche de Colmar" Heinrich Himmler en personne vient galvaniser ses troupes et sera signalé à Wuenheim durant la Nuit de Noël 1944 où il passera la nuit au presbytère du villageWuenheim France
06/02/1945 - Les troupes de 1ère Armée Française sont arrêtées sur la rivière de la Doller depuis quelques semaines. Il a beaucoup neigé en ce début d'année 1945. Fin janvier l'état major décide de reprendre les combats pour éradiquer la "Poche de Colmar" Au Sud des combats ont lieu à l'Ochsenfeld et dans les rues de Cernay. Le 4 février au petit matin les Allemands quittent Wuenheim et font sauter le pont au bas du village. Vers 14 heures le 4ème RSM et le 1er RTM libèrent le village et poursuivent vers Soultz Guebwiller et quelques éléments arrivent même à entrer dans RouffachWuenheim France
07/05/1945 - Le général Jodl et l'amiral Freideburg signent la capitulation sans condition au quartier général d'Eisenhower à Reims, en présence de représentants britanniques, français, américains et soviétiques. La reddition entrera en vigueur le 8 mai à minuit.


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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog 2 pages, réalisation 2011
Auteur : Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
Paul Ernest dit Paul Bourson Farouche opposant au régime nazi, Exposé 2 pages, réalisation 2011
Auteur : Alain LAPLACE - terminal
Article extrait d'une étude généalogique sur la famille BOURSON de Vigy (Moselle) et alliés (http://majoresorum.eklablog.com)


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Journal de guerre de Charles Altorffer
2 Site officiel de la Commune de Montigny-les-Monts
3 Site non officiel de la commune d' Auxon (Démarches administratives, histoire du village, cartes postales et photos anciennes. )
4 Saint-Dizier la période 1939-1945 en photos (La ville de Haute-Marne la période 1939-1945 en photos )
5 Histoire de Lièpvre de 1870 à 1945.

Notes

- 1 - ADM, M 3099, Lettre de von Korff aux préfets de Châlons-sur-Marne, Troyes et Chaumont du 2 juillet 1942. L’ordre de créer un camp pour les Juifs à Châlons-sur-Marne est envoyé le même jour au préfet régional. Voir : Ibid., Lettre de von Korff au préfet régional de Châlons-sur-Marne du 2 juillet 1942.
- 2 - ADM, M 3099, Lettre de von Korff au préfet régional de Châlons-sur-Marne du 6 juillet 1942.
- 3 - Rapport de gendarmerie du 21 juillet 1942.
- 4 - ADA, 1214 W 25, Liste intitulée « Arrestation des Juifs du 9 octobre 1942 ».
- 5 - ADA, 1214 W 25, Rapport de l’inspecteur-chef de la Sûreté au commissaire de Police, chef de la Sûreté à Troyes, du 9 octobre 1942.
- 6 - ADA, 1214 W 25, Rapport de l’inspecteur-chef de la Sûreté au commissaire de Police, chef de la Sûreté à Troyes, du 9 octobre 1942.

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