Soutenez le travail de l'AJPN
  Recherche de personne, de lieu : affiche la page   Recherche type Google : propose des pages  
 
 
Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
Anonymes, Justes et Persécutés durant la période nazie dans les communes de France
2 annonces de recherche
39/45 en France (WWII)
base des données identifiées par AJPN.org
Nouveaux articles
Une page au hasard
38080 noms de commune
95 départements et l'étranger
1230 lieux d'internement
744 lieux de sauvetage
33 organisations de sauvetage
4342 Justes de France
1072 résistants juifs
15987 personnes sauvées, cachées
Expositions pédagogiques AJPN Exposition pédagogique 2e Guerre mondiale : la guerre, l'occupation, la vie quotidienne, les lois antisémites, les rafles, les justes, les enfants cachés, les rescapés, les témoins L'enfant cachée
Das versteckte Kind

Chronologie 1905/1945
En France dans les communes
Les Justes parmi les Nations
Républicains espagnols
Tsiganes français en 1939-1945
Les lieux d'internement
Les sauvetages en France
Bibliothèque : 1387 ouvrages
Cartographie
Glossaire
Plan du site
Signaler un problème technique
Imprimer cette page
Côte-d'Or

Région :
Bourgogne-Franche-Comté
Département :
Côte-d'Or

Préfets :
Charles Chevreux
(1938 - 1940) Jacques Charles Adrien Chevreux, Préfet de la Côte-d'Or (1883-1951)
Alfred Hontebeyrie
(1940 - 1941) Alfred Roger Hontebeyrie, Préfet de la Côte-d'or et préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) à partir de 1941 (1895-1969)
Charles Donati
(1941 - 1943) Charles Guérin Joseph Louis Donati, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (né en 1891)
R. Grimaud
(1942 - 1942) Préfet délégué de la Côte-d'Or
Henry Soum
(1942 - 1943) Préfet délégué de la Côte-d'Or
(07/1943 - 30/12/1943) Jean François Quenette, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie), révoqué par Vichy et recherché par la Gestapo pour son activité de résistant (1903-1971).
A. Ytasse
(1943 - 1944) Préfet de la Côte-d'Or
Jean Bouhey
(Mars 1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1898-1963)
Georges Bernard
(1944 - 1944) Georges Albert Maurice Bernard, Préfet régional de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1890 - 1953)
Yves Gasne
(1944 - 1944) Préfet délégué de la Côte-d'Or
Jean Mairey
(1945 - 1946) Jean Marie Albert Mairey, Commissaire régional de la République par intérim de la région de Dijon (Belfort, Côte-d'Or, Doubs, Haute-Saône, Nièvre, Yonne et les parties occupées de l'Ain, l'Allier, le Jura, la Saône-et-Loire et la Haute-Savoie) (1907-1982)
Marcel Lhuillier
(1944 - 1944) Préfet de la Côte-d'Or
M. Jouany
(1944 - 1945) Préfet de la Côte-d'Or
(1945 - 1946) Préfet de la Côte-d'Or, déporté en Allemagne pour avoir soutenu la résistance

À lire, à voir…

André Besson André Besson
Les Maquis de Franche-Comté

ACHETER EN LIGNE

Robert Dutriez Robert Dutriez
La Seconde Guerre mondiale en Franche-Comté

ACHETER EN LIGNE

André Moissé André Moissé
La Libération en Franche-Comté : Agents secrets et services spéciaux dans la résistance

ACHETER EN LIGNE

Herbert Herz Herbert Herz
Mon combat dans la Résistance FTP-MOI

 

Gilles Hennequin Gilles Hennequin
Résistance en Côte d'Or

ACHETER EN LIGNE

Jean-Pierre Marandin Jean-Pierre Marandin
Résistances 1940-1944 : Volume 1, A la frontière franco-suisse, des hommes et des femmes en résistance

ACHETER EN LIGNE

André Moissé André Moissé
La Libération en Franche-Comté Agents secrets & services spéciaux dans la résistance Tome 2 Jura & Doubs

ACHETER EN LIGNE
[Ajouter un ouvrage]

Texte pour ecartement lateral

Herbert Herz

Texte pour ecartement lateral

Dijon 21000 Côte-d'Or
Date de naissance: 1924 (Augsbourg (Bavière))

Nationalité : Allemand
Aidé ou sauvé par : - Maurice Berger Qualité: Résistant de la FTP-MOI, membre des groupes "Carma
[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo]

Herbert-Herz
Faux papiers au nom de Georges-Hubert Charnay, né à Dijon en 1925
source photo : Arch. fam.
crédit photo : D.R.
Herbert-Herz
Herbert Herz, 2009
source photo : © Laurent Guiraud
crédit photo : D.R.
Histoire
Herbert Herz, né en 1924 à Augsbourg en Bavière et a passé son enfance en Allemagne.

Le père d'Herbert Herz, Simon, et son oncle, tous deux antinazis convaincus, spécialistes de la vente d'huiles minérales pour automobiles et de produits chimiques sont arrêtés dès 1933 sur dénonciation.
Libérés trois semaines plus tard, les deux frères décident aussitôt de quitter l'Allemagne.

En 1934, la France accueille ces deux entrepreneurs, qui seront considérés quelques années plus tard comme des ennemis de la France, appartenant à une puissance étrangère.

Durant l'année scolaire 1939-1940, Herbert a 15 ans et fréquente la classe de seconde au lycée Carnot de Dijon jusqu'à la débâcle en mai 1940.
Le professeur de gymnastique, M. Ganteret, lui établir un brevet sportif, avec sa photo, en inscrivant sur sa carte Strasbourg comme lieu de naissance au lieu d'Augsbourg en lui disant "pour que tu ne sois pas embêté".

En juin 1940, lors de l'exode, Mme Herz, sa fille, son fils et son neveu prennent le train de Bordeaux qui reste bloqué en rase campagne en Auvergne durant trois jours. Ils sont nourris grâce à la solidarité des paysans des environs.
Ils sont ensuite répartis dans les villages alentour et la famille Herz est envoyé à Manzat tandis que l'oncle et la tante d'Herbert sont envoyés à Riom.
Herbert est interne au lycée de Riom et passe son bac en 1942.
En juillet 1942, Herbert Herz passe ses vacances chez ses parents, réfugiée en zone libre, à Châteauneuf-les-Bains (Puy-de-Dôme), alors qu’au même moment de grandes rafles se produisent en zone occupée.
Celles-ci, ordonnées par les Allemands, sont exécutées par les forces de l’ordre françaises.
Le mois suivant, le gouvernement de Vichy, à la demande des autorités d’occupation, décide une
opération analogue en zone libre.

Simon Herz meurt à Dijon en août 1942, Herbert a 19 ans.

À l’aube du 26 août, la police française, munie de listes, procède à l’arrestation des Juifs résidant à Châteauneuf et dans la région. La famille Herz, qui, par un hasard extraordinaire, ne figure pas sur ces listes, n’est pas inquiétée.

Avec l’insouciance de la jeunesse, Herbert prend sa bicyclette et se rend à Clermont-Ferrand. Au retour, sa carte d’identité étant périmée, il décide de la faire renouveler à la gendarmerie de
Riom. Malheureusement, son nom apparaît sur les listes de cette sous-préfecture, en tant qu’interne du collège.
Arrêté, il est alors conduit au poste de police en centre ville.
Passant devant une boulangerie, il demande l’autorisation d’acheter du pain.
Apitoyée par son sort, la boulangère qui le connaît de vue, lui remet le pain sans exiger de ticket et prévient immédiatement le principal du collège, M. Jeager, alsacien anti-nazi.
Celui-ci, s’empresse alors d’avertir un officier de gendarmerie dont il connaît les sentiments antivichystes : le capitaine Maurice Berger.
Immédiatement, Berger envoie des gendarmes rechercher le jeune homme au poste de police. À son arrivée, le capitaine lui déclare : "Jeune homme, je vais vous libérer. Vous allez complètement oublier où vous avez passé la soirée. N’en parlez à personne. Partez et que je ne vous revoie plus".
Sans demander son reste, Herbert regagne précipitamment le domicile de ses parents et évite la déportation.

Plus tard, il décide de se faire établir une carte d'identité française et se présente à la mairie muni de son brevet sportif portant la mention "né à Strasbourg". Lorsqu'il demande à la secrétaire de mairie si ce document est suffisant, elle lui répond : "Il y en a qui viennent avec bien moins que cela".

De l'été 1942 à l'été 1943, Herbert Herz est clandestin.
Il quitte l'Auvergne pour le Sud-Ouest où il rejoint son frère, Emmanuel. Mais la police semble s'intéresser à lui et il part pour Grenoble, zone occupée par les italiens où l'on n'inquiétait pas les Juifs.

Il y trouve du travail et un logement dans le réseau des Auberges de jeunesses (dissolues par Pétain) et se fait des amis.
L'un d'eux, Charles Wolmark, lui propose de combattre au lieu de se cacher et le recrute pour les jeunesses communistes.

C'est ainsi qu'Herbert devient résistant et est muté dans un groupe de la FTP-MOI, le groupe Raymond de résistance active entièrement constitué de Juifs. Ce groupe était dirigé par Nathan Sachs, dit Raymond. Le chef politique était Stefan Goldberg. Herbert y tient le rôle de technicien chargé des questions d'intendance. Il est membre des groupes "Carmagnole" et "Liberté" de la région lyonnaise.

A partir du 9 septembre 1943, Grenoble est occupé par les Allemands.
Un voisin policier avec qui Herbert avait sympathisé lui fourni en échange de quelques cigarettes une carte d'identité au nom de Georges-Hubert Charnay, né à Dijon en 1925.

Les combattants des FTP-MOI sont surtout des espagnols, des Juifs d'Europe de l'Est, des antifascistes italiens ou allemands, des arméniens, des polonais... Les Juifs forment la moitié du continent et les trois quarts des chefs.
La liste des actions «militaire» auxquelles Herbert a participé est très longue. Les FTP-MOI avaient choisi la ville comme champ de bataille, ce que n'avait pas fait les FTP-FR. Il s'agissait d'actions toujours dangereuses : des bombes sur le passage des soldats allemands, l'assassinat de miliciens, d'officiers allemands, des sabotages, des "récupérations" de cartes d'alimentation etc... Les connaissances en électricités étaient fort utiles pour saboter des usines. Mais le «pain quotidien» c'était les attaques de voies ferrées.

Sa présence à Grenoble devient dangereuse, aussi Herbert est muté à Lyon où le combat continue.

Son frère Emmanuel, qui tentait d'entrer en Suisse clandestinement se fait prendre à 6 km de la frontière. Enfermé à Martigny les gendarmes Suisses le remettent aux gendarmes français. Il est conduit à Rivesaltes, puis à Drancy et sera déporté sans retour vers Auschwitz.

Il a écrit un livre intitulé Mon combat dans la Résistance FTP-MOI, Souvenirs d'un jeune Juif allemand. Son témoignage veut contribuer à mieux faire connaître la participation des étrangers à la résistance française et parallèlement l’engagement des Juifs dans la lutte contre les hitlériens.

27/02/2010

[Compléter l'article]

A 20 ans, j’ai attaqué des nazis

Fuyant le nazisme, Herbert Herz est entré dans la Résistance à 19 ans dans un réseau communiste. Habitant de la Servette pendant quarante ans, il a instruit les dossiers de 117 «Justes parmi les Nations».

"Notre pain quotidien, c’était le sabotage des voies ferrées. Plus rarement les occupations et le sabotage d’usines."

Le 31 janvier 1944 au matin, des troupes allemandes quittent leur caserne grenobloise pour faire l’exercice. "Elles longeaient les quais de l’Isère en chantant", se souvient Herbert Herz.

Habitant de la Servette pendant quarante ans, l’ancien résistant du réseau FTP-MOI (Francs-tireurs et Partisans-Main-d’œuvre ouvrière immigrée) est aujourd’hui âgé de 85 ans. Nous l’avons rencontré dans le cadre des manifestations organisées pour la libération d’Annemasse. C’est un peu à contrecœur qu’il résume "sa" guerre. Il a tort. Elle vaut tous les films d’action.

Avec Léon, un camarade, Herbert Herz se souvient encore comment il a soigneusement enfoncé ses détonateurs dans la cheddite, un explosif jaune dont il a rempli des bombes disposées sur le parcours. A quelques dizaines de mètres, les deux résistants attendent l’arrivée des Allemands.

Herbert relie les fils et une batterie de piles. Contact. Les FTP revendiquent 15 morts suite à l’attentat. "Un nombre probablement exagéré", estime-t-il néanmoins. Soixante-cinq ans après, que pense-t-il de coup d’éclat ? "J’aurais préféré attaquer des SS ou des officiers."

Malgré sa pointe d’accent bourguignon, M. Herz est un juif allemand. Sa famille a fui le pays début 1934 pour gagner Dijon. La guerre arrive et c’est la débâcle. Avec son frère et sa mère – son père est mort un an plus tôt – il se retrouve en Auvergne en zone non occupée. Mais Vichy accentue la collaboration.

A l’été 42, c’est la rafle. Herbert est libéré in extremis par un officier de gendarmerie, membre des réseaux militaires de l’Armée secrète, qui sera déporté plus tard. A-t-il eu peur d’être envoyé dans un camp de concentration ? "On ne savait pas que les camps d’extermination existaient. On savait simplement qu’il y avait des camps en Allemagne ou en Pologne."

Frère livré par la Suisse
Pour se mettre à l’abri, son frère aîné, Emmanuel, rejoint la Suisse via Saint-Gingolph. Si tout va bien, la famille doit le rejoindre. Mais Emmanuel est arrêté après la frontière par la gendarmerie suisse et remis aux mains des autorités françaises. La suite est tragique. Il passe par les camps de Rivesaltes, Drancy et Auschwitz, dont il ne reviendra pas.

Que pense Herbert de cette Suisse qui a livré son frère? Dans un livre publié récemment, il répond: "J’éprouve un certain sentiment de rancune sans pouvoir changer ce qui a été fait. (…) Cette retenue se manifeste par le refus de me faire naturaliser suisse (…) C’est ma façon d’honorer la mémoire de mon frère et de rester fidèle à la Résistance française."

De son côté, Herbert part dans le sud-ouest avec le dessein de rejoindre l’Angleterre. Filé par la police, il gagne ensuite Grenoble occupée par les Italiens. C’est là qu’il est recruté par les FTP du détachement "Liberté" où il effectue des actions bénignes, puis des attentats.

Pourquoi être entré dans un réseau communiste? "Le hasard. J’aurais pu aussi bien entrer dans une organisation juive ou gaulliste". "Soldat sans uniforme à plein temps", il est intégré dans un groupe de combat. Les armes sont rares : "Celles qu’on a eues, on a dû les prendre en abattant des officiers allemands ou en braquant des gendarmes français."

A quoi ressemble la journée d’un résistant ? "Notre pain quotidien, c’était le sabotage des voies ferrées. Plus rarement les occupations et le sabotage d’usines (Gerland à Lyon, Fit à Grenoble)." Étonnamment, toutes les actions ont été faites à visage découvert. "Se masquer ? Cela ne nous est jamais venu à l’esprit", remarque-t-il.

En 1944, le jeune homme est nommé "technicien" du détachement. Il gère la maintenance des armes, le dépôt. En mars, le pavé de Grenoble devient brûlant. Il est transféré à Lyon. "Le jour on faisait du renseignement, la nuit on sabotait les voies. Mais on était très seul. Par crainte des arrestations, on vivait séparément. On n’avait pas d’amis."

A l’été 44, il part pour Toulon. Le 6 juin, suite au Débarquement, son groupe prend le maquis. Pourquoi pas plus tôt comme au Vercors ou aux Glières ? "C’était des héros, chapeau bas. Mais ils sont sortis trop tôt. Les Allemands avaient une incroyable supériorité en armes et en hommes. Le grand avantage de la Résistance, c’était d’être invisible."

La guerre se termine. Un peu suspects, les FTP sont versés au sein de l’armée française, lorsqu’Herbert Herz la quitte: "Ma mère m’a fait comprendre qu’elle avait perdu mon père, mon frère et que j’en avais assez fait", soupire-t-il. Soixante-cinq ans après, il a encore un petit remord: "J’ai fait un complexe d’avoir quitté avant la fin", avoue-t-il.

Après la guerre, Herbert Herz terminera ses études d’ingénieur et travaillera au CERN. La guerre le rattrape, si l’on peut dire, au milieu des années 80. Il devient alors correspondant pour la Fondation Yad Washem. Il a instruit les dossiers de 117 Justes parmi les Nations.

27/02/2010
Auteur : Marc Bretton
Source :
29.08.2009
Lien : Tribune de Genève

[Compléter l'article]

Chronologie [Ajouter]
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

Comment ajouter le votre. En savoir plus…

Pas de travaux actuellement sur ce sujet… Vous pouvez mettre le votre en ligne sur le site ajpn.org.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Aide et sauvetage de la population juive dans les départements de la Nièvre et de la Cote-d'or pendant la Deuxième Guerre mondiale. (Aide et sauvetage de la population juive dans les départements de la Nièvre et de la Cote-d'or pendant la Deuxième Guerre mondiale. Auteur : Julie Philippe (Julie.philippe21@gmail.com) Éditeur : Mémoire de master en histoire contemporaine Date de publication : 19-09-2007 )
2 Mon combat dans la Résistance FTP-MOI (site consacré au livre de Herbert Herz "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI", souvenirs d'un jeune Juif allemand contenant tous les événements suite à la parution du livre en janvier 2007 )
3 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" )
4 Gret Arnoldsen, Silence, on tue !, La Pensée universelle, 1981 (Cet ouvrage, témoignage d'un interné, rapporte sur plus d'une centaine de pages les conditions de vie au Sanatorium et quelques-unes des anecdotes plus ou moins heureuses (souvent moins) qui ont marquées son quotidien. )

Annonces de recherche [Déposer une annonce]


[Signaler que le contenu de cet article vous semble erroné]




Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org
 * Juste parmi les Nations
 

Justes parmi les Nations - Righteous among the Nations - De Gerechten mank de Völker - Giusti tra le nazioni - Drept între popoare - Gerechter unter den Völkern - Sprawiedliwy wsród Narodów Swiata - Rechtvaardige onder de Volkeren - Justuloj inter la popoloj - Rättfärdig bland folken - Spravodlivý medzi národmi - Spravedlivý mezi národy - Vanhurskaat kansakuntien joukossa - Világ Igaza - Justos entre as nações - Justos entre las Naciones - Justos entre les Nacions
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024