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Texte pour ecartement lateral

Henri Gotainer

Texte pour ecartement lateral

Denain 59220 Nord
Date de naissance: 09/03/1931 (Paris 12e)

Nationalité : Français
Arrestations: 09/10/1942
Motif de la non déportation : Confié à l'UGIF
Age de l'arrestation : 11
Profession: Ecolier
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Henri-Gotainer
Henri Gotainer et ses cousines Sarah Warech et Monique et Danielle Simenow
source photo : Coll. Gotainer
crédit photo : D.R.
Henri-Gotainer
Henri Gotainer
source photo : Coll. Gotainer
crédit photo : D.R.
Histoire

Joseph Warech né le 07/02/1879 à Tarnograd (Pologne), commerçant en confection à Denain est arrivée en France en 1922. Son épouse Brandla née Morenfeld le 13/10/1887 à Zaklikov (Pologne) est arrivée en France le 19 septembre 1925 avec ses cinq enfants : 

La famille parlait yiddish et les parents étaient très pratiquants.

Ils habitent au 58 rue Jean-Jaurès à Denain.

Sura Sarah Warech était une apprentie couturière. Elle rencontre à Denain (59) Chaïa Charles Gotainer né en avril 1907 à Brzeznica, cordonnier.
En France, il a ouvert une usine de chaussures et importé des chaussures usagées d'Amérique qu'il réparait. Plus tard, il a travaillé comme étaliste jusqu'à ce que la guerre éclate.
Ils se marient religieusemant et se marient civilement le 20 juillet 1935. 
Sarah donne d'abord naissance à un enfant mort-né puis Henri naît le 9 mars 1931 à l'hôpital Rothschild dans le 12e arrondissement de Paris.

À la naissance d’Henri, il avait une nourrice nommée Elise Raouet, qui vivait dans la même rue que la famille d’Henri. Son mari était M. Fernand. Henri se souvient d'elle comme d'une seconde mère. Plus tard, à cause des longues heures de travail de ses parents, Henri a dû rester dans une pension.
En 1938, Chaïa Charles avait suffisamment d'économies pour acheter un petit magasin de chaussures (Chaussures Charles) situé dans la rue principale de Denain (59). Henri est très fier de ses parents pour ce qu'ils ont pu accomplir en si peu de temps. Pour eux, travailler était une bénédiction car ils avaient été persécutés en Pologne et avaient la chance de vivre librement en France. Tous deux parlaient français avec un fort accent.
Charles, qui n’était pas croyant, était abonné au journal juif communiste en yiddish, Naïe Presse, et a soutenu la Ligue internationale contre l’antisémitisme (LICA). Henri se souvient avoir entendu son père parler du fondateur de la LICA, Bernard Lecache.

En juillet 1939, Henri était dans un camp d'été à La Baule (département de la Loire-Atlantique), où sa tante, Laja Léa Warech, était l'une des monitrices, tandis que Elka Olga Warech était surveillante dans la colonie de vacances Nos Enfants au Grand Air (N.E.G.A.) située avenue Josselin dans la villa « Les Clochettes d’Arvor » à La Baule entre (de septembre 1939 au 19 avril 1940).

Lorsque la guerre éclata en septembre 1939, les enfants restèrent au camp jusqu'au printemps suivant. Henri revint à Denain (59) en avril 1940 mais partit bientôt avec sa famille car la ville était bombardée. Ils s'installent finalement à Vihiers (49) où Henri est allé à l'école dans la même classe que 30 autres enfants d'âges divers. Lorsque les premières ordonnances juives ont été promulguées en octobre 1940, la famille n'était pas d'accord sur la question de savoir s'ils devaient ou non s'enregistrer comme Juifs auprès des autorités locales. Le grand-père d’Henri était très respectueux de la loi et a conseillé à la famille de s’enregistrer, ce qu’ils ont tous fait, à l’exception du père d’Henri, qui serait toutefois ajouté plus tard aux listes.

En 1942, malgré des conditions d'études difficiles, Henri passe les examens d'entrée au lycée et s'inscrit au lycée de Chôlet.

Le 15 juillet, il était à l'extérieur de sa maison en train de donner un spectacle de marionnettes Guignol quand il a vu deux Feldgendarmes et des camions militaires sur la route qui menait à sa maison à Vihiers (49). Il y avait eu des rumeurs d'arrestations possibles, et le père d'Henri s'était caché chez un ami en Mayenne. Il a néanmoins été arrêté à la gare routière et se trouvait dans le camion qui s’est arrêté devant la maison d’Henri. La tante d’HenriLéa Warech, a sauté par la fenêtre quand elle a vu les Allemands et s’est échappée.

Sarah et Charles Gotainer, les parents d’Henri, ont tous deux été emmenés dans le camion. Avant de partir, ils ont embrassé Henri et lui ont donné leurs alliances. C'était la dernière fois qu'Henri voyait ses parents.
Le camion s’est ensuite arrêté devant la maison des grands-parents d’Henri et a emmené son grand-père Joseph Warech avant d’arrêter le reste de la famille :

Les membres de la famille arrêtés le 15/07/1942 seront déporté sans retour d'Angers à Auschwitz par le convoi n° 8 du 20/07/1942.

Henri Gotainer et ses cousines Sarah Warech, Monique Simenow et Danielle Simenow seront confiés à leur grand-mère Brandla Warech après l'arrestation de leurs parents.

Henri est resté avec sa grand-mère jusqu'en octobre, date à laquelle le gendarme français qui avait dénoncé son père s'est présenté pour l'arrêter ainsi que les quatre enfants. Ils ont été conduits à la gendarmerie locale et plus tard à un séminaire à Angers où ils ont été détenus dans des cellules. Le 17 octobre, Brandla Warech et ses petits enfants sont conduits à la gare d’Angers (d’où les parents d’Henri avaient été déportés à Auschwitz sur le convoi 8) et de là à Drancy. Brandla Warech sera déportée sans retour de Drancy à Auschwitz le 09/02/1943 par le convoi n° 46.

Fin octobre, Henri a reçu un diagnostic de diphtérie et a reçu un vaccin auquel il a développé une terrible réaction allergique. Il a été conduit à l'hôpital Claude Bernard à Paris et maintenu dans l'unité des détenus et des patients psychiatriques. Il y a été pris en charge pendant trois semaines avant d’être transféré au foyer pour enfants de l’Union générale des Israélites de France (UGIF), rue Lamarck. Il retrouve finalement ses cousines ​​à Denain (59), grâce à l'intervention de sa tante Léa Warech. Ils y sont cachés par leur oncle, Jacques Warech, revenu d'Allemagne où il avait été prisonnier de guerre. Ils y resteront jusqu'à la libération.

Henri est retourné à l'école et a essayé de rattraper ses études. En 1950, il est diplômé du lycée et part à Paris pour étudier le droit. Il a servi pendant 28 mois pendant la guerre d'Algérie et est devenu officier de l'armée de l'air. Cela lui a permis d'obtenir un emploi en 1960 chez Air France, où il a travaillé pendant 31 ans.

Henri a perdu 25 membres de sa famille lors de l'Holocauste, tous déportés et assassinés à Auschwitz : 18 de la famille paternelle Gotainer et 7 de sa famille maternelle.

En 1945, Henri se fit une promesse: bien qu'il ne fût pas pratiquant, il se considérerait toujours comme juif et voulait que ses enfants soient élevés comme tels. Il est marié à Arlette Benichou, née en Algérie, et ils ont deux fils (Bernard et Alain) et cinq petits-enfants. 

En 1946, Laja Léa Warech épouse Serge Gorfinkel, également survivant de la Shoah, et s'installe au 120 rue Nollet dans le 17e arrondissement . Léa voulait aller en Israël, mais son frère Jacques Warech s'oppose à ce qu'elle emmène Monique et Danielle. Elle reste donc en France. Danielle part en internat à Valenciennes pendant quatre ans puis dans une autre école où elle pouvait rentrer chez elle tous les jours. Monique apprend la comptabilité.
Après avoir terminé la première partie du baccalauréat, Danielle a commencé à travailler dans la boutique de lingerie de Léa et Serge à Denain. Plus tard, elle travaille dans une autre boutique à Douai qui appartenait également à Léa et Serge.

En février 1964, Danielle épouse Raymond, neveu d'un prisonnier de guerre ami de son oncle Jacques Warech. Ils s'étaient rencontrés lors du mariage de Sarah en 1960. Danielle a deux enfants : Claire, née en 1964, et David, né en 1967.
En 1972, Danielle et son mari s'installent à Paris où ils ouvrent une librairie dans le 17ème arrondissement. Raymond est décédé le 22 novembre 2009.

La sœur de Danielle, Monique, s'est mariée en 1961 et a eu deux filles : Martine, née en 1962, et Esther, née en 1967. Monique vivait à Valenciennes. Elle est décédée en août 1976.
Danielle se souvient de sa sœur comme d'une personne très extravertie et qui aimait socialiser. Elle avait aussi un bon sens de l'humour. 

Sarah Warech, la cousine de Danielle, s'est mariée en 1960 et a eu deux fils. Elle vivait à Chambéry. Elle est décédée dans les années 1990. Danielle se souvient d'elle comme d'une personne qui aimait le travail manuel et qui était très talentueuse. 

08/04/2024
Lien : Témoignage de Henri Gotainer le 10/05/2012 pour l'USHMM

[Compléter l'article]

Remember me

Henri Gotainer was born on March 9, 1931, in the Hôpital Rothschild in the 12tharrondissement of Paris. His parents came from Poland and were stateless since they had never obtained French citizenship. Henri became a French citizen on March 15, 1937. His mother, Sarah Warech, was born on July 24, 1910, in Lodz, but her family was originally from Zaklików. Sarah was an apprentice seamstress. Henri’s father, Chaïa (Charles) Gotainer, was born in April 1907 in Brzeznica or Nowo-Radom. He was a shoemaker. In France he opened a shoe factory and imported used shoes from America that he repaired. Later, he worked as a stall-keeper until the war broke out. Sarah’s family arrived in France in 1925. Her parents, Joseph and Brandla Warech, spoke Yiddish and were very observant. Henri’s parents met in Denain in the north of France. They at first had a religious marriage. Later, on July 20, 1935, they had a civil marriage under French law. Sarah gave birth to a stillborn child, and when she became pregnant with Henri, she decided to go to Paris.

Both of Henri’s parents worked very hard, and neither experienced the pleasure of days off. When Henri was born, he had a nanny named Elise Raouet, who lived on the same street as Henri’s family. Her husband was Mr. Fernand. Henri remembers her as a second mother. Later, because of his parents’ long hours, Henri had to stay in a pension. In 1938, Chaïa had enough savings to buy a little shoe store (Chaussures Charles) located on the main street in Denain. Henri is very proud of his parents for what they were able to accomplish in such a short amount of time. For them, working was a blessing because they had been persecuted in Poland and were given a chance to live freely in France. Both of them spoke French with a thick accent. Henri’s father, who was not a believer, read the Communist Jewish newspaper in Yiddish, Naïe Presse, and supported the International League against Antisemitism (LICA). Henri remembers hearing his father talk about LICA’s founder, Bernard Lecache.

In July 1939, Henri was at a summer camp in La Baule (Loire-Atlantique department), where his aunt, Léa Warech, was one of the instructors. When war broke out in September 1939, the children stayed at the camp until the following spring. Henri returned to Denain in April 1940 but soon left with his family because the town was being bombed. They eventually settled in Vihiers, where Henri went to school in the same class as 30 other children of various ages. When the first Jewish ordinances were promulgated in October 1940, the family disagreed on whether they should register as Jews with the local authority or not. Henri’s grandfather was very respectful of the law and advised the family to register, which they all did, except Henri’s father who would, however, later be added to the lists.

In 1942, despite difficult conditions for studying, Henri passed the high school entrance exams and registered at the lycée in Chôlet. On July 15, he was outside his house giving a Guignol puppet performance when he saw two Feldgendarmes and military trucks on the road that led to his house. There had been rumors about possible arrests, and Henri’s father had gone into hiding at a friend’s house in the Mayenne. He was arrested nonetheless at the bus station and was in the truck that stopped in front of Henri’s house. Henri’s aunt, Léa, jumped out the window when she saw the Germans and escaped. Henri’s parents were both taken away in the truck. Before leaving, they kissed Henri and gave him their wedding rings. That was the last time Henri saw his parents. The truck then stopped in front of Henri’s grandparents’ house and took his grandfather before arresting the rest of the family. Because the Germans did not have orders to arrest children at this time, Henri and his three cousins (Danielle Simenow, Monique Simenow, and Sarah Warech) were left alone with their grandmother.

Henri stayed with his grandmother until October, when the French gendarme who had denounced his father showed up to arrest her and the four children. They were taken to the local gendarmerie and later to a seminary in Angers where they were kept in cells. On October 17, they were taken to the Angers train station (from which Henri’s parents had been deported to Auschwitz on Convoy 8) and from there to Drancy. At the end of October, Henri was diagnosed with diphtheria and received a vaccine to which he developed a terrible allergic reaction. He was taken to the Hôpital Claude Bernard in Paris and kept in the unit for prisoners and psychiatric patients. He was cared for there for three weeks before being transferred to the Union Générale des Israélites de France (UGIF) children’s home, Rue Lamarck. He was eventually reunited with his cousins in Denain, thanks to the intervention of his aunt Léa. He lived with his uncle, Jacques Warech, who had returned from Germany where he had been a POW.

Henri went back to school and tried to catch up on his studies. In 1950, he graduated from high school and went to Paris to study law. He served for 28 months during the war in Algeria and became an Air Force officer. This enabled him to get a job in 1960 with Air France, where he worked for 31 years.

Henri lost 25 members of his family in the Holocaust, all of whom were deported and murdered in Auschwitz: 18 from the paternal Gotainer family and 7 from his maternal family. In 1945, Henri made a promise to himself: Although he was not observant, he would always consider himself Jewish and wanted his children to be raised as such. He is married to Arlette Benichou, who was born in Algeria, and they have two sons (Bernard and Alain) and five grandchildren.

24/10/2020
Lien : Henri Gotainer

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Les persécutions des Juifs victimes de la Solution Finale à Berck sur Mer pendant la 2de Guerre mondiale , Mémoire ou thèse 60 pages, réalisation 2014
Auteur : Cyril Brossard - terminal
Étude réalisée à la suite d'un voyage d'études à Auschwitz-Birkenau et suite à une demande d'élèves de Terminales ES du lycée Jan Lavezzari. Etude qui sert aussi à la préparation au CNRD 2014-2015 dont le thème est la découverte des camps de concentration, le retour des déportés et la découverte du système concentrationnaire nazi.
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie , Mémoire ou thèse 148 pages, réalisation 2009
Auteurs : Frédéric Viey, Franck d'Almeyda - terminal
Cette Histoire des Juifs du Nord et de Picardie relate le quotidien des Juifs dans le Nord de la France à partir du Moyen-Âge jusqu'à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Communautés Juives de ces régions ont payé un lourd tribu en perte humaine : la déportation et l'exécution après être passé par le Camp des Malines. Aujourd'hui dans toutes les Communautés un monument rappelle les sacrifices faits par le Peuple Juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, la population juive de France est exsangue. Les survivants vont essayer de faire revivre leur patrimoine religieux et culturel.


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1 la Famille Angel (Histoire tragique d'une famille qui a tenté d'échapper à son destin en se sauvant de Lille, vers la Loire Atlantique )
2 François Molet (François Molet, né à Beaurevoir le 14 mars 1905 est fusillé le 7 avril 1942 au Mont-Valérien. )
3 "Lettre à Esther" et "Enfances volées" ("Lettre à Esther" : vidéo (20mn) réalisée dans le cadre d'un projet scolaire sur l'histoire de la famille Angel, réfugie à St-Michel-Chef-Chef, arrêtée en juillet 1942, déportée à Auschwitz
"Enfances volées" : vidéo (10mn) sur Rachel Angel et Victor Pérahia, arrêtés en juillet 1942 )
4 René Wallard (Page facebook du livre qui est en préparation sur son histoire.
Titre du livre "Dis leur de ne jamais pardonner". )

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