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Région :
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Préfets :
Gabriel Rochard
(1933-1940 )
Amédée Bussière
(1940-1942 )
Jean-Marcel Daugy
(1942 )
André Sadon
(1943 )
Alexandre Pujes
(Fév. 1944 )
Jean Cabouat
(09/1944-12 )
Pierre Ancel
(1944-1945 )
Marcel Lanquetin
(1945-1946 )
Georges Phalempin
(1946-1958 )
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La ville de Lens - vue depuis l'hotel de ville source photo : © Maxppp crédit photo : D.R. | |
L'hôtel de ville de Lens source photo : Carte postale crédit photo : D.R. |
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La commune des Lensois
Lens est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais.
L'agglomération est l'un des territoires les plus densément peuplés de France.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 32 730 habitants et 34 342 en 1946.
01/05/2024
La drôle de guerre
30/09/2010
11 septembre 1942 : la rafle des juifs de Lens
Principalement venus de Pologne dans l’entre-deux-guerres, pour fuir la discrimination antisémite et les pogroms, les immigrants juifs s’installent en grande majorité dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, qui accueille depuis 1910 une population polonaise, implantée à l’initiative des organisations patronales des Houillères.
La communauté juive de Lens
Le Pas-de-Calais, en particulier dans l’arrondissement de Béthune, est le département où cette immigration ouvrière est la plus massive. En 1924, on recense 95 000 Polonais dans les cités minières.
La très grande majorité est catholique. Les juifs, qui ne bénéficient pas des réseaux de recrutement des Houillères, sont parfois clandestins et, après un long périple à travers l’Europe, s’installent à Lens ou dans les villes voisines dans le sillage des mineurs, venus comme eux de Pologne et qui parlent leur langue.
Souvent artisans, marchands ambulants ou propriétaires de modestes commerces, ils voient également dans cette communauté polonaise une clientèle potentielle.
Pourtant, les juifs lensois s’intègrent difficilement, mal acceptés à la fois par les juifs français qui les décrivent comme des campagnards mal dégrossis dont il faut rougir et par les mineurs polonais catholiques qui les excluent à cause de leur religion et de leur culture (en particulier la pratique du yiddish). À plusieurs reprises, les journaux de langue polonaise Narodowiec et Wiarus Polski publient dans leurs colonnes des propos antisémites.
Les commerçants français voient également d’un mauvais œil ces concurrents qui détournent la clientèle polonaise. À la veille de la Seconde Guerre mondiale, près d’un millier de juifs vivent à Lens et dans les communes alentour. Mais ils forment une communauté isolée qui va souffrir plus qu’ailleurs des persécutions raciales.
La communauté juive de Lens (3 % des 33 000 habitants dans les années 1930) est frappée de plein fouet dès le premier statut des Juifs à l'automne 1939.
991 Juifs vivent dans le bassin houiller lensois en 1939.
Une communauté persécutée
Dès l’été 1940, les premières lois antisémites sont mises en place. En septembre, tous les juifs doivent être recensés. Cette identification ouvre la voie à une longue série de mesures qui visent à mettre la communauté juive au ban de la société et à l’exclure de la vie économique. Ainsi, durant l’automne 1940, commence l’aryanisation des biens qui touche tous les propriétaires juifs, y compris les vendeurs ambulants. Les fonds de commerce, les immeubles et les entreprises sont confisqués et gérés par des administrateurs provisoires.
À Lens, la spoliation des biens juifs est appliquée avec rigueur. Un couvre-feu de 20 heures à 6 heures est en outre instauré pour les juifs, qui ont interdiction de fréquenter les établissements publics et les jardins, de posséder un poste de TSF ou des pigeons voyageurs, etc. De nombreuses professions leur sont interdites (les emplois de la fonction publique, le métier d’avocat, de juge ou de journaliste) et un numerus clausus est mis en place pour réduire l’accès des étudiants juifs à l’Université.
Face à ces mesures qui les appauvrissent en les privant de leurs ressources et devant la menace nazie et son antisémitisme féroce, les juifs de Lens quittent par centaines la Zone interdite. En 1942, ils ne sont plus que 400 à vivre encore dans la région lensoise.
11 septembre 1942
En juin 1942, une ordonnance impose le port de l’étoile jaune à tous les juifs de plus de six ans. Cette nouvelle mesure coïncide avec l’amplification de la Shoah et l’intensification de la solution finale dans toute l’Europe. En juillet, les autorités allemandes lancent l’opération "vent printanier", qui vise l’arrestation et la déportation massive des juifs réfugiés en France. Les 16 et 17 juillet, 12 884 personnes, dont 4 051 enfants, sont arrêtées en région parisienne lors d’une rafle communément appelée la rafle du Vel d’hiv, et sont emmenées au Vélodrome d’hiver, qui sert alors de prison provisoire, puis déportées à Auschwitz.
À Lens comme ailleurs, le port de l’étoile jaune a permis la mise à jour des fichiers de recensement des juifs. L’administration préfectorale du Pas-de-Calais et le commissariat de Lens apportent leur aide à ce travail d’identification et répondent avec application aux ordres des occupants.
Le 11 septembre 1942, à 4 heures du matin, la Feldgendarmerie, soutenue par la police française, lance une effroyable rafle à Lens et dans le bassin minier. Alors que les accords Laval-Oberg ne concernent que les juifs apatrides et réfugiés et semblent épargner les ressortissants français, 50 juifs français sont aussi arrêtés lors de la rafle de Lens. Il s’agit pour la presque totalité d’entre eux d’enfants de moins de 17 ans, nés en France de parents étrangers. Ainsi, sans distinction d’âge ni de sexe, 317 personnes (dont 223 Lensois) sont arrêtées, regroupées et emmenées à la gare. Désignées pour la déportation, elles sont conduites à Auschwitz-Birkenau avec les 1 048 déportés du Transport X qui part de Malines le 15 septembre.
Lors de leur arrestation, les juifs lensois n’ont bénéficié d’aucune aide, d’aucun secours de la part de la population indifférente. Toutefois, à la gare Lille-Fives, d’où part le convoi qui emmène les déportés à Malines, des cheminots résistants permettent à quelques-uns d’entre eux et notamment à des enfants de s’échapper du train.
Au total, sur les 991 juifs présents dans le bassin minier avant la guerre, 487 sont arrêtés entre 1941 et 1944. Parmi eux, 467 sont déportés, majoritairement à Auschwitz. Seules 18 personnes sont revenues des camps de la mort.
26/06/2020
Lien : Archives du Pas-de-Calais
Les bombardements de 1944
30/09/2010
Alfred Maës
(01/04/1928 - 17/08/1941) (15/07/1875 Saint-Omer 17/08/1941 Lens
) SFIO. Mineur de fond, syndicaliste. Député du Pas-de-Calais (1919 -> 1928). Député de la 3e circ. de Béthune (1928 -> 1940). Décédé en fonction
Marcel Hanotel
(06/11/1941- 02/09/1944) (03/01/1880 Cauchy-à-la-Tour 17/05/1953 Lens) SFIO. Mineur de fond puis commerçant
Premier adjoint (1924 puis 1935 -> 1941). Nommé par le régime de Vichy, arrêté à la Libération
Paul Sion
(02/09/1944 - 23/04/1945) (14/03/1886 Marquillies 13/03/1959 Lille) SFIO. Mineur, président du Comité local de Libération. Député du Pas-de-Calais (1936 ? 1940 puis 1945 -> 1955). Conseiller général de Lens-Est (1928 -> 1940 puis 1949 -> 1951)
Auguste Lecœur
(23/04/1945 - 19/10/1947) (04/09/1911 Lille 26/07/1992 Chalon-sur-Saône) PCF. Métallurgiste. Sous-secrétaire d’État à la Production charbonnière (1946). Député du Pas-de-Calais (1945 -> 1955)
Jechezkiel Himmelfarb
Chef du culte israélite de Lens
>> Voir les 88 familles arrêtées dans la commune <<
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Les persécutions des Juifs victimes de la Solution Finale à Berck sur Mer pendant la 2de Guerre mondiale , Mémoire ou thèse
60 pages,
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Les 18 Justes parmi les Nations du Pas-de-Calais
Paulette Caine Ruben (Nœux-les-Mines)
François Dhollande (Ostreville)
Marianna Tysiak (Loos-en-Gohelle)
Familles réfugiées à Lens
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Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
88 Familles arrêtées (Lens)
[Compléter]
11/09/1942
Famille Adlerfligel - Sajgala née Klajman le 28/01/1890, est arrêtée à Lens parce que juive le 11 septembre 1942 et déportée sans retour le 15 septembre 1942 par le transport X depuis la Caserne Dossin (Malines-Mechelen) en Belgique à Auschwitz (Pologne).
Déportation : 15/09/1942
convoi no X
JO : Mémoires de Pierre du Pas-de-Calais
11/09/1942
Famille Aichenbaum - Salamo, né le 01/08/1897, Maria née Wajsblat le 04/04/1901 à Lodz, Sura née Epsztain en 1908 à Pacanow, Isaac né le 11/10/1925 à Paris, Fany née le 20/07/1929 à Paris et Henri né le 19 juin 1942 sont arrêtés à Lens parce que juifs le 11 septembre 1942 et déportés sans retour le 15 septembre 1942 par le transport X depuis la Caserne Dossin (Malines-Mechelen) en Belgique à Auschwitz (Pologne).
Déportation : 15/09/1942
convoi no X
JO : Mémoires de Pierre du Pas-de-Calais
11/09/1942
Famille Alpern - Isaac Abraham né le 17/11/1890 à Finita, son épouse Esther née Spielmann le 18/03/1888 à Kolbuszowa, et Nathan né le 26/06/1917 à Krazboriche sont arrêtés à Lens parce que juifs le 11 septembre 1942 et déportés le 15 septembre 1942 par le transport X depuis la Caserne Dossin (Malines-Mechelen) en Belgique à Auschwitz (Pologne). Seul Nathan reviendra.
Déportation : 15/09/1942
convoi no X
JO : Mémoires de Pierre du Pas-de-Calais
11/09/1942
Famille Askanasy - Moïse né le 13/03/1863, est arrêté à Lens parce que juif le 11 septembre 1942 et déporté sans retour le 15 septembre 1942 par le transport X depuis la Caserne Dossin (Malines-Mechelen) en Belgique à Auschwitz (Pologne).
Déportation : 15/09/1942
convoi no X
JO : Mémoires de Pierre du Pas-de-Calais
11/09/1942
Famille Beider dit Thau - Abraham né le 08/06/1891 (ou le 10/07/1897) à Zablatow, Samuel né le 29/09/1924 à Metz et Eisig (ou André) né le 19/04/1926 à Metz sont arrêtés à Lens parce que juifs le 11 septembre 1942 et déportés sans retour le 15 septembre 1942 par le transport X depuis la Caserne Dossin (Malines-Mechelen) en Belgique à Auschwitz (Pologne).
Déportation : 15/09/1942
convoi no X
JO : Mémoires de Pierre du Pas-de-Calais
01/06/1940 -
Le Général Allemand Alfred Waeger étonné et impressionné par le courage des défenseurs français durant la bataille de Lille (27 mai - 31 mai 1940) autorise ceux-ci à défiler en arme jusqu'à la captivité. Les troupes allemandes rendent les honneurs militaires aux troupes françaises le 1er juin 1940.
22/06/1940 -
Signature de l’armistice dans la forêt de Compiègne, à Rethondes.
26/05/1941 -
Grève des mineurs des bassins houillers dans le nord à l'usine d’Ostricourt et dans le Pas de Calais à la mines de Dourges, suite à l'arrestation d’un grand nombre d’ouvriers par les Autorités allemandes et la condamnation de onze d’entre eux et de deux femmes aux travaux forcés. Cette grève se terminera le 10 juin 1941. La répression allemande contre ces grèves est forte.
01/07/1942 -
Tentative de sabotage à la VF au pont d'Eleu par FTP (embranchement ferroviaire).1
14/07/1942 -
Diffusion de tracts communistes à manifestations de masse devant les mairies le 14 juillet à 18 h 30, à Carvin, Hénin-Liétard, Billy-Montigny, Bully-les-Mines, Liévin, Leforest, Bruay-la-Buissière, Oignies, Harnes et Divion.2
24/07/1942 -
Un wagon SNCF saboté (1/2 accouplement frein coupé).3Lens
11/09/1942 -
Le vendredi 11 septembre 1942 a lieu dans la Région Nord-Pas-de-Calais la plus grande rafle depuis la mise en place de la solution finale. Elle restera comme l'opération la plus importante de toute l'occupation dans le Nord de la France. 528 personnes, hommes, femmes et enfants sont envoyés au camp Dossin de Malines dès le lendemain (soit le 12 septembre 1942). Les déportés seront finalement envoyés à Auschwitz (Pologne) pour y être gazés. Seul neuf d'entre eux auront la chance de survivre...
01/09/1944 -
Le 1er septembre 1944, les différents mouvements de résistance se mettent d'accord pour lancer le mot d'ordre de soulèvement général. Dans toute la ville, dès le vendredi soir, la Résistance s'attaque aux différents objectifs désignés et aux convois allemands qui repartent vers la Belgique.
Auteur :
Cyril Brossard
- terminal
Étude réalisée à la suite d'un voyage d'études à Auschwitz-Birkenau et suite à une demande d'élèves de Terminales ES du lycée Jan Lavezzari. Etude qui sert aussi à la préparation au CNRD 2014-2015 dont le thème est la découverte des camps de concentration, le retour des déportés et la découverte du système concentrationnaire nazi.
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie , Mémoire ou thèse
148 pages,
réalisation 2009
Auteurs :
Frédéric Viey, Franck d'Almeyda
- terminal
Cette Histoire des Juifs du Nord et de Picardie relate le quotidien des Juifs dans le Nord de la France à partir du Moyen-Âge jusqu'à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Communautés Juives de ces régions ont payé un lourd tribu en perte humaine : la déportation et l'exécution après être passé par le Camp des Malines. Aujourd'hui dans toutes les Communautés un monument rappelle les sacrifices faits par le Peuple Juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, la population juive de France est exsangue. Les survivants vont essayer de faire revivre leur patrimoine religieux et culturel.
2 Mémoire de Lens (“Mémoire de Lens” est une association loi 1901 existant depuis janvier 2005 qui a pour objet de référencer toutes les données connues sur la ville de Lens et d’en conserver des copies numériques qui peuvent être mises à disposition du public, d’historiens ou de chercheurs. )
3 la Famille Angel (Histoire tragique d'une famille qui a tenté d'échapper à son destin en se sauvant de Lille, vers la Loire Atlantique )
4 François Molet (François Molet, né à Beaurevoir le 14 mars 1905 est fusillé le 7 avril 1942 au Mont-Valérien. )
5 René Wallard (Page facebook du livre qui est en préparation sur son histoire.
Titre du livre "Dis leur de ne jamais pardonner". )
- 1 - CVR 8942 Cypinski, CVR 9192 Szynzak.
- 2 - AD Arras D 952, Rapport sous préfet Béthune.
- 3 - AD Arras D 952, rapport sous préfet Béthune.
*** Bombardement à Barlin - 20 ou 22 juin 1944 Déposée le 21/06/2013
Je m’appelle Julianna SZAFRANIAK épouse CROCHART née à BARLIN le 12 février 1938, mariée le 27 juillet 1957 à BARLIN. J'ai déménagée en 1968 à PECQUENCOURT.
Le 20 ou 22 juin 1944, alors que j’avais 6 ans, mon grand père François WOJTASZAK (37 rue Vaucouleurs) fut tué dans un bombardement à son domicile. La moitié de sa maison fut détruite. Cela va faire 70 ans.
Lors de ce bombardement, je n’étais pas loin, je me souviens très bien qu’il faisait jour.
Je sollicite votre bienveillance pour me renseigner sur l’heure de sa mort. Cela est très important pour moi. Peut-être avez-vous cela dans vos registres ?
Je vous remercie de ce que vous ferez pour moi.
[répondre]
Répondue le 15/06/2017
Bonjour,
Répondue le 01/01/2022
Barlin a effectivement été bombardé les 20 et 22 juin 1944. Le bombardement que vous recherchez est celui du 20 juin. Ce bombardement massif (entre 200 et 300 bombes selon les sources) eut lieu à 20h30, tous les rapports d'époque concordent sur ce point. En outre, il a bien impacté le secteur de la rue Vaucouleurs. Le 22 juin 1944 le bombardement était réduit (8 bombes "seulement") et n'a pas touché ce secteur.
Cordialement,
Pour Mme CROCHART domiciliée à PECQUENCOURT: son grand-père est décédé le 20 juin 1944 à Barlin, rue Alphonse Daudet à 23h00. Je peux vous adresser l'Acte de Décès de votre grand-père. Acte n°60 de l'Année 1944 Service État Civil Mairie de Barlin Mme DEZEURE (vdezeure.mairiebarlin@orange.fr)
*** Georges Dubois résistant Déposée le 24/03/2020
Mon arrière-grand-père Georges Dubois a vécu à Maresquel jusqu'à sa mort en 1978 et époux de Geneviève Dubois, receveuse des postes. Il a été facteur et à la fin de la seconde guerre il a été reconnu officiellement comme ayant appartenu à un groupe de résistant en rapport avec les PTT. J'ai vu ces documents mais ils se sont perdus. je cherche toute informations ou témoignages dans ce sens.
[répondre]
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