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Mayenne

Région :
Pays de la Loire
Département :
Mayenne

Préfets :
Jean Roussillon
(16/08/1940 - 31/07/1943) Préfet régional de la région d'Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (1896-1970)
(14/11/1941 - 1942) Préfet de la Mayenne. Résistant, dénoncé par la Milice, il est arrêté par la Gestapo et déporté à Neuengamme (1899-1945).
Charles Donati
(01/08/1943 - 10/08/1944) Charles Guérin Joseph Louis Donati, Préfet régional de la région d'Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (né en 1891)
Michel Debré
(10/08/1944 - 01/04/1945) Michel Debré dit Jacquier, Commissaire de la république de la région d’Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (1912-1996)
Alain Savary
(01/04/1945 - 11/05/1945) Commissaire de la république de la région d’Angers (Loire-Inférieure, Maine-et-Loire, Mayenne, Sarthe et la partie occupée de l'Indre-et-Loire) (1918-1988)

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Als ich in Auschwitz war - Bericht eines Überlebenden (Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945 ; en langue allemande)

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Lignières-la-Doucelle en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 53140
cf. Lignières-la-Doucelle - Orgères-la-Roche Gentilé : Lignièrois, Lignièroises

Sous-préfecture : Mayenne
Nom depuis 1972 : Lignières-Orgères
Regroupe : Orgères-la-Roche, Lignières-la-Doucelle

- Mayenne
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Lignieres-la-Doucelle en 1939-1945
Lignières-Orgères
source photo : Inconnu
crédit photo : D.R.
Lignieres-la-Doucelle en 1939-1945
Orgères, château du Petit Jars
source photo : Carte postale
crédit photo : D.R.
Lignieres-la-Doucelle en 1939-1945
La route de Couptrain à Lignières-la-Doucelle
source photo : Carte postale
crédit photo : D.R.

Voir l'histoire du département de la Mayenne
Histoire

La commune des Lignièrois

Lignières-la-Doucelle est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire.

Lignières-Orgères doit son nom à l'association de Lignières-la-Doucelle (53133) et de Orgères-la-Roche (53171)  réunies le 1er janvier 1972.

La culture du lin a donné le nom de Lignières, auquel on a ajouté la Doucelle, en référence à une famille de nobles venue de Doucelle, dans la Sarthe, vers la fin du Xe siècle.

Orgères, quant à lui, doit son nom à la culture de l'orge, pratiquée dans la région.

Au territoire montagneux d'Orgères s'ajoute donc celui de Lignières, occupé en grande partie par la forêt de Monnaie, qui fournit en abondance bois et minerai.

Lors du recensement de Lignières-la-Doucelle (53133), la commune comptait 1 037 habitants en 1936 et 1 016 habitants en 1946.

Lors du recensement de Orgères-la-Roche (53171), la commune comptait 183 habitants en 1936 et 185 habitants en 1946.

20/12/2021

[Compléter l'article]

La guerre 1939-1945 à Lignières-Orgères

1940
Devant l'invasion allemande, la Mayenne reçoit quelque 180.000 réfugiés dont 55000 originaires de l'Aisne. Lignières en voit sa population considérablement augmentée.

Les troupes allemandes entrent en Mayenne par le nord-est le 17 juin 1940. La valeur du Mark d'occupation est fixée à 20 francs français.Les Allemands qui ont occupé Lignières pendant quelques mois n'étaient pas des troupes motorisés. Pour loger leurs chevaux, ils bétonnent plusieurs écuries, dont celle de l' hôtel, actuellement Musée du pain. Des ouvriers cordonniers et menuisiers de cette troupe d'occupation travaillent chez nos artisans locaux pour l'entretien de la troupe.

Chez un menuisier, ils installent un grand portrait de Himmler dans l'atelier. L'artisan local supprime un soir ce portrait; ce geste lui vaudra 3 semaines de prison au Mans.
Le 11 juin 1940 un avion anglais, un bimoteur, est abattu par la DCA Allemande. Il a été vu en feu au dessus de Ranes avant de venir s'écraser à quelques centaines de mètres du bourg d'Orgères . Les cinq occupants sont tués et carbonisés. Ils étaient âgés de 18 à 28 ans. Les corps des aviateurs sont restés sans sépulture jusqu'en août où il furent inhumés au cimetière de Lignières.

1941 - 1943
Les Allemands occupent Lignières et Orgères ne créant pas trop de problèmes. Un poste d'observation sera construit dans un hêtre sur la hauteur de Monthard (un peu plus haut que le monument du Sacré-Cœur).

1944
6 juin :
Jour du débarquement sur les plages normandes, le roulement des tirs d'artillerie est perceptible et dès le lendemain les convois allemands commencent à passer se dirigeant vers Caen. C'est la période où les maquis vont s'organiser notamment à la Gérarderie. Pour empêcher l'atterrissage des avions, les Allemands font planter des pieux dans les champs de la ferme de Monnaie (on les appellera les " Asperges de Rommel "). Des équipes sont également constituées pour monter la garde le long des routes. Vers le 5 juin le Commandant VIEL de la Ferté-Macé accompagné de sa fille Simone et de quelques hommes arrive à la Gérarderie (ferme exploitée par Gustave BOBOT) pour y installer un maquis et y entreposer les armes qui avaient été provisoirement cachées à la Verrerie (Route de Joué-du-Bois) et dans d'autres lieux ; armes provenant de parachutages dans la région de Fougères et la Barroche Gondouin. Ce maquis a pour tâche l'attaque des unités et transports allemands se dirigeant vers le front de Normandie.

13 juin :
Dans la matinée, les maquisards attaquent les Allemands d'un camion en panne à Orgères, près du village du Feugeray.

Quatre Allemands sont tués tandis que plusieurs s'échappent. Également dans la matinée de ce même jour, des jeunes du maquis ramenant des armes vers la Géraderie se trouvent près de la Fouchardière, face à une voiture d'officiers allemands, surpris ils ouvrent le feu tuant un Allemand.

De nouveaux maquisards arrivent en renfort ; ce sont les FTPF du commandant PIETRI (LOULOU) qui ont dû quitter l'Ille et Vilaine. En pleine organisation ces maquisards manquèrent un peu de prudence, ne se cachant pas suffisamment et furent trop confiants dans deux nouvelles recrues qui paraissaient de choix et qui n'étaient en réalité que d'affreux mouchards.

Réagissant après l'attaque du Feugeray et de la Fouchardière, environ 200 Allemands venus d'Alençon, se ruent à l'attaque du maquis qui soutient vaillamment le siège pendant plus de trois heures, mais qui doit se replier face aux Allemands armés de mortiers, mitrailleuses et lance-grenades. A la nuit tombante une trentaine réussira à gagner la forêt en exécutant la manœuvre que leur avaient apprise le matin même leurs officiers.

Lors de cette attaque de Lignières par les Allemands , le Cdt Daniel DESMEULES (pseudonyme Gérard) chef départemental de l'armée secrète de l'Orne était en visite au maquis de Lignières. Il sera arrêté à la Mairie de Lignières et déporté à Bergen-Belsen où il décèdera le 12 mai 1945, peu après la libération du camp.

Un jeune maquisard qui en vélo rejoignait la Gérarderie est arrêté par les Allemands à la Fouchardière ; il sera fusillé le soir. D'autres qui suivaient réussirent à faire demi-tour et à prévenir les suivants. Le maquis devait dans les semaines à venir regrouper plusieurs centaines d'hommes.

Au cours de ce combat les Allemands auraient eu 21 tués et un grand nombre de blessés. Du côté du maquis il y eut cinq tués (Gustave Francois BOBOT,Roland DELATTRE,Pierre JOUAN,Mathurin Alain LE GAC et Eugene RICHOMME) ; six autres faits prisonniers au cours de l'attaque ( Francois CHEMINEL,Robert GOUGEON,Paul LASNIER,Auguste LEDUC,Rene PELE,Gilbert ZOCCOLINI ) et un cultivateur voisin (Mr COTIN Marcel) qui venait chercher ses chevaux à l' herbage près de la Gérarderie, furent fusillés à la Fouchardière. Seule sera épargnée Simone Viel qui sera la seule ornaise à être promue au grade d'officier à titre FFI.

16 juin :
Les jours suivants les ligniérois vivent dans la peur ; aux Allemands que recherchent les maquisards se sont joints deux membres de la milice. Après les villages du Feugeray, du Champ du Four et de la Gérarderie incendiés dès le 13 juin, ce sera le 16 le tour de la Mairie de Lignières avec l'école des garçons, la maison du maire, celle voisine d'un agriculteur, la ferme de la Cornière et la maison de la Trigalle qui seront la proie des flammes. Les fermes de la Prévostière et de la Teinture seront épargnées. (A la Prévostière, un officier allemand logeant dans la maison se serait opposé à l'incendie).

Monsieur Georges Barbé adjoint au Maire, lequel avait dû fuir, a dû jouer de beaucoup de diplomatie pour obtenir des Allemands l'autorisation de donner une sépulture décente et provisoire aux tués et fusillés de la Gérarderie. Un service solennel aura lieu le 5 octobre en présence des hautes autorités départementales, locales et des sociétés en l'église de Lignières. Le corps d'une des victimes était gardé par douze FFI en armes, il représentait les onze autres restés dans la fosse commune creusée au cimetière de Lignières. Dans l'après midi les autres corps furent exhumés, reconnus par leurs camarades et acheminés dans la région de Fougères où eurent lieu les inhumations définitives.

Sont tués au cours des combats : Gustave Bobot 59 ans, Robert Delatre 21 ans, Pierre Jouan 54 ans, Mathurin Le Gac 21 ans et Guy Richaume 19 ans. Sont fusillés à la Fouchardière : Marcel Cotin 46 ans, François Cheminel 20 ans, Robert Gougeon 19 ans, Paul Lasnier 19 ans (blessé), Auguste Le Duc 22 ans, René Pelé 20 ans et Gilbert Zoccolini 20 ans. Une stèle a été inaugurée à la Fouchardière le 13 juin 1946. Un monument des fusillés est inauguré, route de Couptrain le 13 juin 1948. Le 21 janvier 1949 la commune est citée à l'ordre du régiment (Croix de Guerre avec Etoile de bronze) "commune courageuse, qui au cours des combats de la libération a su faire preuve d'un très grand esprit de patriotisme et de sacrifice, son maquis a été l'un des plus actifs de la région Mayenne-Orne".

13 juillet :
En juillet sur l'ordre des Allemands des abris individuels sont creusés dans les talus, sur les bords des routes de 200 m en 200 m pour permettre aux soldats de s'abriter des mitrailleuses des avions. II en subsiste encore quelques traces.

Dans l'après-midi deux camions de réfugiés de la laiterie de Mondeville (Calvados) prennent la route de Pré-en-Pail. Ils seront mitraillés en forêt de Monnaye par les avions et brûleront. Quatre réfugiés sont tués et cinq autres carbonisés. Ils seront inhumés au cimetière de Lignières.

20 juillet :
Le matin vers 8 heures 25, c'est un bombardier américain poursuivi par deux chasseurs allemands, qui pour réussir à se sauver , a dû se delester de ses bombes. La première ( la plus grosse) est tombée en forêt d' Andaines puis les autres près du village de la Plingère creusant d'énormes cratères ; d'autres près du village de la Godardière et surtout sur le bourg près de Buard et derrière l'école Notre Dame de Lourdes. A noter que des rubans métalliques étaient lachés d' avion pour brouiller la réception des radars allemands, ils étaient appelés Window par les Anglais. Toutes les vitres volent en éclats, portes et fenêtres s'ouvrent, une personne est si grièvement blessée qu'elle décèdera quelques heures plus tard. Les magnifiques vitraux de l'église provenant des ateliers Ledieu d'Argentan sont détruits par le souffle des bombes. Ils ne seront remplacés qu'en 1949 par de nouveaux vitraux réalisés par Mr Razin, Maître Vitrier d'Art.

A partir de ce jour la messe sera célébrée le dimanche dans des granges à la Vannerie et aux Noes. Beaucoup d'habitants du bourg par peur d'un nouveau bombardement s'en vont le soir coucher chez des amis dans les villages. La nuit des avions lancent des tracts et laissent tomber des bandes de papier argenté pour brouiller les communications radio avec les maquis.

30 juillet :
Trois cultivateurs ayant mené des réfugiés à Couptrain sont mitraillés à leur retour vers 18 heures dans la côte de la Vannerie. Deux sont blessés, un au genou et l'autre plus grièvement atteint devra être de longs mois hospitalisé, deux chevaux sont tués. Les charrettes étaient pourtant munies de drapeaux blancs, mais comme les Allemands faisaient opérer des transports avec des voitures semblables, il est possible qu'il y ait eu méprise de la part des aviateurs.

13 août :
La débâcle allemande se fait sentir, les nombreux convois qui la nuit montent régulièrement vers le front, sont de plus en plus souvent désorganisés ; ils ne circulent plus que la nuit ; stationnant dans les fermes le jour et souvent se servent des cultivateurs avec tombereaux et chevaux pour transporter leurs munitions. Des véhicules redescendent du front roulant sur les jantes, les soldats sont affolés devant les chars américains et surtout l'aviation qui a la maîtrise de l'air.munitions. Des véhicules redescendent du front roulant sur les jantes, les soldats sont affolés devant les chars américains et surtout l'aviation qui a la maîtrise de l'air.

Les Américains sont tout près de Lignières, la division Leclerc aux portes d'Alençon, les véhicules allemands ne savent plus où se mettre pour se camoufler. Sur la route de Saint Ursin plusieurs camions brûlent et la ferme de la Patricière devient en quelques instants un immense brasier. Il y a un tué et un blessé.

A la Chauvinière où des camions se sont camouflés l'aviation attaque et un hangar est la proie des flammes. Près du Sapin Vert deux camions sont en feu. Une estafette motocycliste est blessée près de la Trigalle. Dans la soirée le sifflement des obus et le crépitement des mitrailleuses se sont rapprochés. A la Croix Guillaume un petit groupe d'allemands ralentit la progression du convoi américain venant de Couptrain. Les chars progressent et à la nuit tombante ils seront aux Senaillières où un hangar est en feu ; silencieusement ils montent la côte de la Vannerie et atteignent la Plingère où ils s'arrêtent.

14 août :
Au lever du jour, entendant le bruit de la bataille , un habitant du bourg de Lignières , s' empresse avec sa famille de quitter son habitation pour a travers champ se refugier à la Touchefouillère, ou il se croit plus en sureté. Dans la matinée, en un moment d' accalmie il sort de la tranchée et voyant sur la route de Couptrain les convois americains qui montent vers Lignières, appelle les voisins pour fêter la libération. Des allemands camouflés et l'entendant parler de fêter la victoire lui lancent une grenade. Atteint aux jambes , il sera évacué sur l'hopital militaire de Villedieu les poêles ou il sera amputé d' un pied .

La résistance allemande s'organise de bon matin pour livrer combat d'arrière garde. Quelques canons antichars sont disposés dans le bourg ; deux sont sur la place de l'église tournés vers la chapelle. L'artillerie américaine envoie des obus sur le bourg pour réduire ces canons, causant de nouveaux dégâts à l'église et criblant d'éclats le monument aux morts 1914-1918. Dans un mouvement d'encerclement les chars américains arrivent au cimetière au point du jour. La fusillade éclate ; les Allemands se réfugient vers Joué-du-Bois (Orne).

Le Sapin Vert et la Cornière brûlent entièrement. A la Haie au Roy une grange brûle mais le feu ne se communiquera pas au village. De nombreux camions camouflés dans les chemins au Sapin Vert et à la Cornière sont détruits.

Au village de l'Oliverie, une bombe de gros calibre tombe sur le tas de fumier, rebondit sur l'herbage où après un vol plané de plus de 200 mètres, elle s'arrête sans exploser. Cette bombe sera désamorcée et enlevée après la libération.

La route d'Orgères est encore aux mains des Allemands. La bataille s'engage alors vers le village de la Boucherie où un incendie se déclare. Un char allemand venant d'Orgères arrive pour soutenir la lutte, au Gassel il est atteint de plein fouet par les obus et ses occupants réussissent à prendre la fuite.

Nos deux communes sont alors libérées, mais les obus continuent de tomber sur Monthard, les Noes et la Maison Neuve où un incendie se déclare et où un civil sera tué dans une tranchée. L'artillerie américaine qui prend position sur Lignières y restera une huitaine de jour.

Arrivant à Joué-du-Bois à la chute du jour, les Américains se replient légèrement, quittant le bourg de Joué-du-Bois qui sera alors la proie des flammes. Il aura fallu toute une journée pour libérer Lignières et Orgères.

15 août :
Les cloches sonnent pour la libération et la fête patronale, les communes de Lignières et d' Orgères sont LIBEREES mais les plaies sont loin d'être pansées. Des cadavres allemands, environ 50 et ceux de 5 Américains sont restés sur le sol, de place en place de nos communes. Le bilan des dégâts fera état de 71 immeubles entièrement détruits et de plus de cent, plus ou moins endommagés.

Par ses dégâts Lignières se classait au 5è rang dans le département. En fin de matinée de ce 15 août une automitrailleuse allemande venant de Joué-du-Bois fonce à travers les lignes américaines, passe au nez et à 1a barbe de la Military-Police dans le bourg et prend la route de Pré-en-Pail où elle sera rejointe. Un Américain est tué par les Allemands de ce bolide entre la Trigalle et le Sapin Vert.

Tous les jours suivants ce sera le passage de convois impressionnants montant vers le front.

20 août :
Un aumônier américain célèbre la messe à Lignières pour les troupes stationnées sur le territoire.

1945
Février :
Un autre drame se produit et soulève l'émotion à Lignières. Deux enfants jouant avec un engin de guerre qu'ils ont trouvé, sont grièvement blessés par son explosion. Constant BONDIS 4 ans et son frère Claude 6 ans décèderont les 23 et 27 février. Ce seront les dernières victimes de toute cette période mouvementée de la Libération.

29/05/2009
Auteur : Marcel Langris
Source :
Bulletin municipal n° 8 de Lignières-Orgères
Lien : Lignières-Orgères

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Les camps et les lieux d'internement de la Mayenne

126e CTE Château-Gontier 53200 Château-Gontier
136e CTE Longuefuye 53200 Longuefuye
Bon accueil 38250 Villard-de-Lans
Brise des Neiges 38700 La Tronche
Camp annexe de Gennes 53200 Gennes-sur-Glaize
Camp de Grez-en-Bouère 53290 Grez-en-Bouère
Camp de Guelaintin 53100 Mayenne
Camp de la Poterie 53170 La Cropte
Camp de Montsûrs 53150 Montsûrs
Camp de vacances pour enfants 38700 Le Sappey-en-Chartreuse
Camp des Rochères 53170 Meslay-du-Maine
Centre médico-social de Grenoble 38000 Grenoble
Château de Virieu 38730 Virieu
Château du Manoir 38960 Saint-Étienne-de-Crossey
Chirens 38850 Chirens
Clinique Saint-Paul 38000 Grenoble
Congrégation des Soeurs de Notre-Dame de Sion Grenoble 38000 Grenoble
École de plein air des Alpes 38610 Gières
École nationale des cadres de la jeunesse 38410 Saint-Martin-d'Uriage
Église de Saint-Pierre-du-Rondeau 38000 Grenoble
Foyer de l'étudiante 38000 Grenoble
Frontstalag 132 Laval 53000 Laval
Frontstalag 132 Mayenne 53100 Mayenne
Institution Robin 38000 Grenoble
La Grande Chartreuse 38380 Saint-Pierre-de-Chartreuse
La Manche 38430 Saint-Jean-de-Moirans
La Martellière 38500 Voiron
Les Michallons 38250 Saint-Nizier-du-Moucherotte
Lycée Cyprian Norwid 38250 Villard-de-Lans
Maison d'Union chrétienne de jeunes filles 38700 La Tronche
Notre Dame des Neiges 38880 Autrans
Orphelinat de Saint-Égrève 38120 Saint-Égrève
Pensionnat des Ursulines 38460 Crémieu
Pouponnière Saint-Vincent de Paul 38240 Meylan
Préventorium Les Tilleuls 38450 Le Gua
Saint-Étienne-de-Crossey 38960 Saint-Étienne-de-Crossey
Sanatorium Les Petites-Roches 38660 Saint-Hilaire-du-Touvet
Sanctuaire de La Salette 38970 La Salette-Fallavaux
Secours national de l'Isère 38000 Grenoble
Séminaire de la Tronche 38700 La Tronche

Les lieux de sauvetage de la Mayenne

Si vous connaissez des lieux de sauvetage dans le département, merci de nous les signaler par mail.

Les 45 Justes parmi les Nations de la Mayenne



Familles réfugiées à Lignières-la-Doucelle [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.


Familles arrêtées (Lignières-la-Doucelle) [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes arrêtées ou exécutées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, les circonstances de l'arrestation et la date de l'arrestation, si possible.


Chronologie [Ajouter]
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Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Lignières-la-Doucelle sur Wikipedia 
2 Site internet sur le Camp de la Forge de Moisdon-la-Rivière (Histoire du Camp de la Forge de Moisdon-la-Rivière. )
3 Le camp de Beauregard à Clefs (Site personnel en cours de réalisation )
4 Site Communal (Site officiel de la Mairie de Draché )
5 A Bléré, la ligne de démarcation est toujours dans les mémoires (Cet article résume bien la position de Bléré et le role heroique de ses habitants Journal La Nouvelle République. 25 Aout 2007 )
6 la Famille Angel (Destin croisés des familles Angel et Delépine, originaires du nord et toutes deux réfugiées à Tharon plage )
7 "Lettre à Esther" (La vidéo retrace l'histoire de la famille Angel depuis son arrivée en France début XX°, son intégration en France, l'arrestation et la déportation à Auschwitz (convois 8 et 34) de cette famille réfugiée à Pornic et Tharon. "Enfances volées": vidéo retraçant la déportation de Rachel Angel et de Victor Pérahia, avec le témoignage de celui-ci )
8 Le camp de Prestataires Internés de Meslay-du-Maine (Histoire de Albert Mary Dubuc, dernier commandant du camp d'internement de prestataires étrangers de Meslay-du-Maine. )
9 juifs sarthois arrêtés déportés

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