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Région :
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Préfets :
Marcel Ribière
(1940 - 1943) Marcel Julien Henri Ribière, Préfet de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1892-1986)
Raymond Aubrac
(1944 - 1945) Raymond Aubrac, de son vrai nom Raymond Samuel, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1914)
Paul Haag
(1945 - 1946) Paul Maurice Louis Haag, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1891-1976)
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La commune des Valréassiens
06/12/2010
Les Juifs à Valréas
Selon Jean-Pierre Kaminker, les nombreux juifs réfugiés à Valréas y ont joui d'une sécurité relative, la bienveillance faisant obstacle à la persécution". Le mérite en revient selon lui à la population considérée dans son ensemble, quoique sa minorité protestante fasse l'objet d'un hommage particulier.1
13/10/2020
La résistance à Valréas
06/12/2010
Lien : Wikipédia
Les fusillés du 12 juin 1944
06/12/2010
12 juin 1944 à Valréas
Résumé sur les événements du 12 juin 1944 à Valréas
Au 6 juin 1944 les Alliés débarquèrent en Normandie. De Londres arriva l’ordre d’un soulèvement général en France.
Deux jours après, un groupe de résistants entra dans Valréas. Le but principal de l’occupation de Valréas et d’autres lieux de la vallée du Rhône était de couvrir la mobilisation générale et le soulèvement général dans la zone Est montagneuse du département en créant un point de fixation pour les forces d’occupation. Le chef régional de l’armée secrète (AS) le commandant « Alain » (Pierre Reynaud) délégua le commandement militaire sur Valréas au lieutenant « Georges » (Pierre Rigaud). L’autorité civile était exercée par Marius Gras et Louis Clarice, responsable de l’AS pour Valréas et environ. Une rivalité existait entre les forces Gaullistes, l’AS et la résistance communiste FTPF.
Les résistants prirent possession de la poste, la mairie et s’emparèrent des armes de la gendarmerie. Les lignes téléphoniques furent coupées, les collaborateurs et les miliciens, arrêtés. Des barricades furent dressées autour de Valréas en vue de résister.
Dans un élan général, beaucoup de jeunes gens de Valréas, se joignent aux résistants. La possibilité d’un repli en cas d’attaque allemande fut envisagée. Mais « Roger » (André Chaiffre) lieutenant de la FTPF, se prononce contre l’idée d’un repli et veut engager le combat avec son groupe.
Au 12 juin, les Allemands attaquent et un ordre de repli est donné aux groupes de résistants. Cet ordre de repli n’est jamais parvenu aux deux groupes des FTPF, installées à la barricade de la route de Baume. Les anciens résistants expliquent ce fait que l’agent de la Gestapo Roger Ferrant, qui s’était infiltré les rangs de la résistance à Valréas, avait détourné l’ordre de repli. Une autre explication: Peut-être ces deux groupes ont été tout simplerment oublié suite à la confusion régnant au poste de commandement lors de l’attaque allemande. Valréas était un obstacle pour les forces allemandes. Pour remonter de la Provence vers la Normandie, elles devaient éviter la nationale le long du Rhône continuellement bombardée. De ce fait l’ordre de nettoyage de Valréas a été donné au groupe de combat « Unger » Le noyau de ce groupe de combat se composait de 3 compagnies du 2me bataillon du 10me régiment de Panzergrenadiers de la 9me Panzerdivision. En tout, 13 officiers, 166 sous-officiers et 653 soldats. Parmi eux se trouvait le soldat Emil Bauer de la 7me compagnie. La 9me Panzerdivision stationnait pour repos en France du sud de mai à juillet 1944 suite à de sévères pertes sur le front russe. Pour l’attaque de Valréas le groupe de combat « Unger » fut appuyé par : Une compagnie de véhicules blindés composée de 32 chars et deux chars de reconnaissance appartenant à la 9me section de reconnaissance de la 9me Panzerdivision, sous le commandement du capitaine Gerhard Blank. Un groupe de la 8me compagnie (légionnaires) du 3me régiment de la division Brandenburg avec les interprètes nécessaires aux interrogatoires. Groupe placé sous le commandement du chef de compagnie le commandant Träger et le chef de groupe le lieutenant Demetrio, entre 25 et 30 hommes en somme. Les noms de 9 de ces hommes qui se trouvaient à Valréas le 12 juin 1944 sont connus. Des Feldgendarmes de Montélimar accompagnés de 250 jeunes gens du service des travailleurs du Reich également stationnés à Montélimar. On confie au groupe de mitrailleuse lourde du soldat Emil Bauer un détachement de ces jeunes fanatiques qui ont moins de 20 ans. Une section, cent hommes environ, du 200ème régiment de sécurité stationné à Livron, sous le commandement d’un lieutenant. Ce régiment appartenait à l’escadrille de combat 200, une unité spéciale de la Luftwaffe.
Pour combattre les résistants du Vercors elle avait organisé le parachutage spécial le 21.07.1944 à Vassieux.
Dans la marche d’approche vers Valréas, à Taulignan eurent lieu les premiers incidents impliquant le groupe d’Emil Bauer. Avec comme conséquence, 13 tués parmi les résistants et les civils plus 5 prisonniers fusillés ultérieurement.
En fin de matinée du 12 juin, Valréas était encerclée. Mais la plus grande part des résistants avait pu fuir. Une partie des résistants ensemble avec les personnels des cantines, des bureaux et des gendarmes voulait fuir avec un convoi de plusieurs camions en direction de Nyons. Paul Mège partit en reconnaissance de la route en moto. A mi-chemin, à Novezan, le chemin de retraite était déjà barré par le groupe d’Emil Bauer. Paul Mège fut blessé mais réussi à prévenir le convoi. Les gens voulurent s’enfuir à pieds mais la 9me section de reconnaissance blindée sous la responsabilité du lieutenant Scheible en fit environ 20 prisonniers. Ces prisonniers ont été rassemblés à Valréas au Portalon devant la maison Autajon (5 cours Tivoli, où se trouve actuellement une plaque commémorative). Puis ils devaient se rendre à l’Hôtel Thomassin (aujourd’hui Grand Hôtel), quartier général allemand pour s’aligner le long du mur d’en face. Quand le barrage défensif sur la route de Baume se leva sans ordre de repli il était trop tard. 15 résistants en voulant traverser la route d’Orange furent cernés et se rendirent, parmi eux Joseph Coutton et Emile Bouchet. Le lieutenant allemand Demetrio, jugé plus tard par la justice militaire à Marseille, y avait participé. Encordés les uns aux autres, les prisonniers devaient parcourir 2 km à pieds pour rejoindre les autres prisonniers en face de l’Hôtel Thomassin. Selon le témoignage de madame Jeanine Talmon, les prisonniers furent rapidement interrogés devant l’Hôtel. Le maire Jules Niel, avec véhémence, insiste auprès de l’autorité allemande pour échanger sa vie contre les prisonniers. Il a pu sauver deux prisonniers civils, mais pas le troisième déclaré innocent par lui, parce qu’arrêté avec un revolver à la main. Ensuite l’autorité allemande le major Unger ne voulut plus discuter.
Qui donc par la suite a donné l’ordre d’exécution ? Cette question fut capitale lors du procès militaire en 1951 à Marseille et resta sans réponse. Le major Unger se trouvait dans l’Hôtel un court instant quand l’ordre d’exécution a été donné. Lorsqu’il en sortit, 6 à 8 exécutés se trouvaient déjà par terre.
D’après le témoignage du Oberleutnant Blank de la 9me section de reconnaissance blindée, l’ordre d’exécution fut donné par un commandant fanatique du SD, car son chauffeur avait été blessé à l’approche de Valréas. On a soupçonné le commandant Wilhelm Hentsch responsable de la Feldgendarmerie d’Avignon. Il s’est défendu en précisant qu’en tant qu’officier de police on l’informait toujours après l’action militaire et que de plus il n’était pas à Valréas ce jour là. Le lieutenant Demetrio fut également soupçonné mais il put démontrer que sept ou huit morts se trouvaient par terre lorsqu’il arriva sur le lieu d’exécution après avoir mené les interrogatoires à la mairie. D’après les témoignages lors de l’instruction (surtout celui du maire Niel) le major Unger n’a pas donné l’ordre d’exécution. On peut supposer que sa demande ultérieure de mutation résulte du fait que son prestige avait été écorné parce que l’ordre d’exécution de Valréas avait été donné par un officier subalterne.
En tout il y a eu 53 morts à déplorer, dont 10 personnes pendant l’attaque sur Valréas. Quatre personnes ont survécu à l’exécution, Emile Bouchet, Joseph Coutton, Auguste Mary et Gratien Soureillat. Un cinquième, Alfred Buey, est mort à l’hôpital des suites de ses blessures. Ainsi 47 personnes se trouvaient devant le peloton d’exécution.
Parmi les 53 morts, 27 venaient de la résistance et les 26 autres étaient des civils considérés comme otages par les Français. Les exécutés devaient être transportés par camion pour être enterrés quelque part, ce qui aurait permis aux allemands de découvrir les blessés.
Jeannine Talmon a pu empêcher le déplacement des cadavres. En tant que représentante de la croix rouge elle avait eu un entretient familier avec un lieutenant allemand qui avait étudié l’électronique à Grenoble. Après discussion avec son supérieur, le lieutenant obtint que les morts restent sur place jusqu’au lendemain matin pour être comptés par un officier allemand et le maire. Pendant la nuit les blessés furent évacués vers l’hôpital et remplacés par des morts lors des combats précédents.
Le lendemain, à 6h le matin, les morts sont rassemblés dans la chapelle des pénitents blancs instituée comme chapelle ardente. Après mise en cercueil les familles purent identifier les leurs. L’enterrement eut lieu à 6h30 le 14 juin sous les conditions de la préfecture.
Le convoi funèbre de 7 charrettes tirées par des chevaux fut accompagné non par la population mais seulement par le maire, ses deux adjoints et les fossoyeurs. Mais le jour même les tombes étaient recouvertes de fleurs.
01/10/2019
Auteur : Michel Reboul
Source : Association des Familles de Fusillés Valréas Vaucluse
Lien :
Jules Niel
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René Bézer (Villes-sur-Auzon)
(Flassan)
Didier Delaunay (Valréas)
(Bayonne)
Pierre Guigue (Vaison-la-Romaine)
Georges Charmaison (Bollène)
Marie Garagnoli (Cabrières-d'Avignon)
Lucien Roux (Marseille)
(Le Barroux)
3 Familles réfugiées à Valréas
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1942 / 1943
Famille Epchtein
- Georges Epchtein, vingt ans, s'était enfui de Biarritz. Le jeune homme avait fait la connaissance de Didier Delaunay* par l’intermédiaire de son fils Jacques Delaunay, camarade de classe qui est resté son ami.
Hospitalisé à l’hôpital de Valréas, il survivra à l’Occupation.
1942 / 1943
Famille Kaminker
- Georgette Kaminker, elle aussi trouve refuge à l’hôpital où elle est engagée en qualité d’aide-blanchisseuse, avec ses deux jeunes enfants Alain et Jean-Pierre né le 7 septembre 1932 à La Baule. Simone, née en 1921 à Wiesbaden (Allemagne) qui deviendra actrice sous le nom de "Simone Signoret" reste au lycée de Vannes.
09/1942 / 1943
Famille Léon
- Monsieur Léon et ses deux filles, Madeleine et Aude. Monsieur Léon était professeur de philosophie au lycée de Bayonne. Malvoyant, il est totalement dépendant de ses filles. En réponse à l’invitation du directeur, ils arrivent tous les trois en septembre 1942 à l’Hôpital de Valréas, munis de faux papiers et de cartes d’alimentation.
1 Famille arrêtée (Valréas)
[Compléter]
1943
Famille Canaud - Marguerite Canaud, 37 ans, née à Valréas le 29 décembre 1905, est arrêtée parce que juive et déportée sans retour de Drancy vers Sobibor le 23 mars 1943 par le convoi n° 52.
Déportation : 23/03/1943
convoi no 52
02/11/1940 -
Le gouvernement de Vichy révoque 3 préfets et les place en disponibilités. M. Jouany, préfet d'Ille-et-Vilaine, M. Moulin, préfet d'Eure-et-Loir, et M. Morel, préfet dans les Hautes Alpes.
26/08/1942 -
Rafle des Juifs étrangers par la police de Vichy dans les Alpes-Maritimes, les Basses-Alpes (54 personnes) et la principauté de Monaco.
11/11/1942 -
Une centaine de personnes se rassemblent le 11 Novembre au Monument aux morts de Valréas, malgré l'interdiction par le Préfet de tout rassemblement devant les monuments aux morts.3
08/09/1943 -
Rafle des Juifs par la Gestapo dans les Alpes-Maritimes.
12/06/1944 -
Le 12 juin 1944, massacre à Valréas, 27 FFI et 26 otages civils tués par le "Kampfgruppe Unger" composé d'une compagnie du régiment "Brandenburg" et d'un élément de la Luftwaffe de la Wehrmacht.
2 Les enfants et amis Abadi (Voir le site Les enfants et amis Abadi, remarquable !
Odette Rosenstock et Moussa Abadi avec le concours de Monseigneur Paul Rémond, Archevêque-Évêque de Nice, ont créé le réseau Marcel pour lutter contre le nazisme et les lois antijuives de Vichy. Ils ont caché et sauvé, dans le diocèse de Nice, 527 enfants juifs de 1942 à 1944.
« Les Enfants et Amis Abadi » est une association loi 1901 créée le 4 mai 2000 par Jeannette Wolgust. Elle a pour but de réunir les amis et les enfants cachés par Odette et Moussa Abadi, afin de préserver et perpétuer leur mémoire, et plus généralement de préserver et perpétuer la mémoire de la Shoah. )
3 Les Allemands n’étaient pas seuls (Pour en savoir plus sur la persécution des Juifs dans le Vaucluse, ce site a été créé afin d’essayer de déterminer le visage Vauclusien de la solution finale, dénombrer les victimes et identifier les auteurs du crime. Une place spéciale est réservée à ceux qui ont pris des risques considérables pour protéger les persécutés. )
4 Camp de Saliers. 1942-1944. Une mémoire en héritage. (Histoires et mémoires du camp d'internement pour Nomades de Saliers (Bouches-du-Rhône) ayant accueilli près de 700 voyageurs, sinti, manouches, gitans, yeniches, mais aussi forains, dont 26 ne sont pas revenus… Na bister! (N'oublions pas!) )
- 1 - La persécution contrariée. Les Kaminker à Valréas (1943-1944) entre antisémitisme et bienveillance d’une population, Limoges, Lambert Lucas, 2007, 492 p.
- 2 - Jean-Marie Guillon, Encyclopédie Ventoux, p.223.
- 3 - A.D. Vaucluse 3W90.
*** Je recherche mon grand père Déposée le 01/06/2015
Bonjour,
La photo ci-jointe m'a été donnée par ma mère. Elle a été prise en 1947 à Paris où résidait sans doute mon grand-père, polonais dont le prénom peut être francisé pour l'occasion devrait être Jules. Il a séjourné dans le Vaucluse en Avignon en 1948.
Quelqu'un pourrait il m'aider à le reconnaître et réparer un peu les ravages de l'Histoire ?
Vous remerciant par avance de votre aide,
Christelle
[répondre]
Répondue le 18/04/2018
Bonjour,
En espérant que cela puisse vous aidez à le retrouver.
lien pour accéder à l'image : https://zupimages.net/up/18/16/1ioh.png
Merci de me répondre à cette adresse mail plutôt que sur ce site.
clementguilaumont@gmail.com
Clément Guillaumont, 18 ans.
*** Mme de Roquefeuil Déposée le 08/02/2018
Quelqu'un se souvient t-il des activités de Mme de Roquefeuil en Vaucluse et notamment à Sault, qui aurait permis de faire héberger clandestinement des enfants juifs à Sault, ferme du Clerc proche du Hameau de la Loge. Merci par avance de vos informations éventuelles qui permettraient d'avance un peu dans cette recherche de faits inconnus ou hélas oubliés en Pays de Sault.
[répondre]
*** Pasteur Rouger Déposée le 13/11/2017
Bonjour,
Quelqu'un se souvient-il du pasteur Rouger de la paroisse d'Avignon qui a aidé le pasteur Manen du camp des Milles ou le Père Roche du lycée Saint-Joseph et le chanoine Delorme ?
[répondre]
*** Enfants chemin de Lopi, Avignon ? Déposée le 06/02/2017
Nous recherchons des renseignements sur des enfants qui ont pu être accueillis à Avignon, 13 chemin de Lopi dans la famille Zimberlin entre 1942 et 1944. Cet accueil a peut-être pu se faire avec l’aide du pasteur Pierre ROUGER.
Ces enfants ont pu être envoyés ultérieurement au Chambon-sur-Lignon.
Dorothée Zimberlin avait en 1942 80 ans et sa fille Sophie Zimberlin 43 ans.
[répondre]
*** ZIMBERLIN, chemin de Lopi Déposée le 11/01/2017
Quatre enfants juifs ont été hébergés chez Me Zimberlin et sa fille Sophie, chemin de Lopi à Avignon.
Sophie Zimberlin tenait un magasin dans le centre : les soieries Dandine.
Qui se souviennent-d'elles ?
[répondre]
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