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39/45 en France (WWII)
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Région :
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Préfecture :
Valence Préfets : Alexandre Angeli
(1940 - 1944) Alexandre Benoît Joseph Angeli, Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1893-1962)
(24/01/1944 - 05/1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire). Résistant, dénoncé par la Milice, il est arrêté par la Gestapo et déporté à Neuengamme (1899-1945). André Boutemy
(1944 - 1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1905-1959)
Yves Farge
(1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1899-1953)
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La Seconde Guerre mondiale
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin. La France est envahie. C’est l’exode vers le sud. Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice et se trouve coupée en deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone sud où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.
La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km.
L’avance allemande s’arrête fin juin 1940 sur la rivière Isère, occupant le tiers nord du département. La Drôme est alors dans la zone dite libre, occupée le 11 novembre 1942, par les troupes allemandes et italiennes.
La Drôme va rester sous administration italienne jusqu'à la capitulation de l'Italie en septembre 1943. Les Allemands occuperont alors la Drôme.
Dès le début de la guerre, des habitants de Paris, du nord et de l’est de la France sont venus se réfugier dans la Drôme. Parmi eux, plus qu’ailleurs, de nombreux intellectuels ont trouvé refuge à Dieulefit (Pierre Emmanuel, Emmanuel Mounier...), à Mirmande et à Saint-Donat qui a hébergé Elsa et Louis Aragon. Ces intellectuels ont aidé la Résistance armée par l’organisation de réseaux spécialisés (écrivains, médecins, juristes…), mais aussi en écrivant des poèmes de lutte, des tracts, en créant des journaux clandestins comme La Drôme en armes.
16/02/2015
Les proscrits du régime
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils sont internés dans les camps du département avant d'être massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront.
Les Tsiganes, les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.
Dans la Drôme, Recoubeau, Saint-Martin-en-Vercors, Loriol, Montélimar, Saint-Vincent-de-Charpey, Crest... sont autant de lieux d'enfermement des "indésirables" (Juifs, Tsiganes, réfugiés fuyant le nazisme...). Ces camps multiformes ont souvent servi de réservoirs de main-d'œuvre, mais aussi d'antichambres vers les camps d'extermination.
Les réfugiés Juifs
La Drôme n'a pas de communautés juives anciennes.
La grande majorité des Juifs qui y résident durant la guerre sont des réfugiés étrangers ou Français ayant fui la zone occupée.
Dès 1935 les environs de Nyons accueillent une cinquantaine de juifs allemands fuyant leur région que vient annexée par Hitler. Entre 1938 et 1941, d'autres Juifs les rejoignent, à la suite des regroupements familiaux, d'assignations à résidence de Juifs internés dans les camps français, ou de démobilisation d'engagés dans l'armée française.
Nombre de Juifs Sarrois était des gens jeunes, dynamiques et disposant de ressources. Ils achètent des fermes aux environs ou des commerces et ouvrent des ateliers artisanaux. Ils sont bien intégrés et les enfants sont scolarisés.
La communauté protestante leur prête même un local où ils installent leur synagogue.
Entre 1940 et 1942 beaucoup de juifs de zone occupée arrivent.
Les rafles et les arrestations se multiplient durant l'année 1942.
Selon le recensement des juifs daté du 15 mars 1942, il y a dans la Drôme 967 juifs, dont 745 Français.
Persécutés par l'Etat français jusqu'en novembre 1942, ils auront un temps de répit, les Italiens n'appliquant pas les mesures antisémites.
En 1943, la Drôme occupée par les Italiens voit affluer de nouveaux réfugiés de la zone sud.
Fin 1943 début 1944, on voit affluer des juifs jusque là réfugiés sur la Côte d’Azur. C'est aussi le temps de l'occupation allemande à partir de septembre 1943. Les Français aideront alors les Allemands à pourchasser les juifs.
Après la fermeture du camp de Montélimar, les Juifs sont assignés à résidence à Buis-les-Baronnies.
D'autres Juifs étrangers, des hommes jeunes pour la plupart, se retrouvent dans le Groupe de travailleurs étrangers de Crest.
267 Juifs, arrêtés à Crest, à Montélimar, à Valence, à Nyons, à Buis-les-Baronnies et à Saint-Rambert-d’Albon seront déportés de la Drôme vers Drancy puis vers Auschwitz.
16/02/2015
La résistance
La Drôme a été un des départements où la Résistance a été la plus active.
En 1943, la Résistance s’organise et s’amplifie.
Le général de Gaulle déclare en 1943 : "La Résistance, c’est-à-dire l’espérance nationale, s’est accrochée sur la pente à deux pôles qui ne cédèrent point. L’une était le tronçon de l’épée, l’autre la pensée française...".
De nombreux Drômois s’engagent. Avec l’instauration du STO, les jeunes hommes sont requis pour aller travailler en Allemagne.
Nombre d’entre eux refusent cette situation et vont se cacher dans la campagne ou rejoignent le maquis. La Résistance se développe dans tout le département dans de petites unités. Le relief de la Drôme est propice à l'installation des camps. La population soutient de plus en plus les résistants.
La Milice, créée en février 1943, est chargée de réprimer les opposants.
La répression contre les résistants devient de plus en plus féroce. Plus de 800 Drômois sont déportés dans les camps nazis de concentration ou d’extermination, notamment les Juifs.
Après le déraillement d’un train de militaires allemands le 23 décembre 1943 à Vercheny, dans le nord de la Drôme, 55 personnes sont arrêtées par la Gestapo dans les villages voisins pour être déportées le 22 janvier 1944 vers les camps de travail en Allemagne.
16/02/2015
Les combats pour la Libération
Après le débarquement du 6 juin 1944, la mobilisation contre l’occupant s’intensifie. Les sabotages des voies de communication gênent considérablement le ravitaillement et les mouvements
de troupe allemands. Des accrochages violents opposent résistants et occupants.
Un grand nombre de résistants se regroupe dans le Vercors, passant de 400 à 4 000 après le 6 juin 1944, mais leur armement ne leur permet pas, malgré leur courage et leur sacrifice, de s’opposer aux troupes allemandes qui l'attaquent en juillet 1944. C’est le drame qui frappe les villages du massif et notamment Vassieux et La Chapelle où maquisards et civils sont massacrés.
D’autres communes, comme Saint-Donat, Crest, ont particulièrement souffert des exactions des troupes allemandes et de leurs complices français.
La libération du département après le débarquement du 15 août en Provence a été marquée par des combats meurtriers, auxquels ont pris part résistants et Alliés, en particulier la bataille dite de Montélimar. Le 1er septembre 1944, les troupes allemandes avaient toutes quitté la Drôme.
16/02/2015
Madeleine Abeille (Romans-sur-Isère) | Madeleine Dureau (Châteauneuf-sur-Isère) | Rose Raillon (Montélimar) |
Aline Abeille Mottin (Romans-sur-Isère) | Auguste Eisenreich (Romans-sur-Isère) | Aimée Regache (Romans-sur-Isère) |
Albert Achard (Roche-Saint-Secret) | Suzanne François (Châteauneuf-sur-Isère) | Marie-Louise Richaud (Mirabel-et-Blacons) |
Louise Achard (Roche-Saint-Secret) | Gabrielle Genevey (Grenoble) (Romans-sur-Isère) | Camille Rivoire (Romans-sur-Isère) |
Pol Arcens (Dieulefit) | Ninette Grassias (Valence) (Vercheny) | Jeanne Romand (Saint-Nazaire-en-Royans) |
Marcel Arsac (La Bégude-de-Mazenc) (Portes-en-Valdaine) | Jean Grassias (Valence) (Vercheny) | André Rostaing (Puy-Saint-Martin) |
Colette Arsac (La Bégude-de-Mazenc) (Portes-en-Valdaine) | Jean Guillaud (Saint-Jean-en-Royans) | Louise Rostaing (Puy-Saint-Martin) |
Édouard Badon (Puy-Saint-Martin) | Renée Guillaud (Saint-Jean-en-Royans) | Noël Rostaing (Puy-Saint-Martin) |
Jean Badon (Puy-Saint-Martin) | Sully Julien (Roche-Saint-Secret) | Denise Serret (Montségur-sur-Lauzon) |
Germaine Bastide (Romans-sur-Isère) | Louise Longueville (Chatuzange-le-Goubet) | Georges Tena (Montségur-sur-Lauzon) |
René Bastide (Romans-sur-Isère) | Georges Magnet (Portes-en-Valdaine) (Dieulefit) | Pierre Tena (Montségur-sur-Lauzon) |
Victorinne-Jeanne Berger (Mours-Saint-Eusèbe) | Simone Monnier (Dieulefit) | François Tena (Montségur-sur-Lauzon) |
André-Louis Berger (Mours-Saint-Eusèbe) | Marie Monteillet (Romans-sur-Isère) | Antonine Tena (Montségur-sur-Lauzon) |
Jeanne Borel Touranche (Buis-les-Baronnies) | Gaston Nogier (Portes-lès-Valence) | Janine Tena Ricou (Montségur-sur-Lauzon) |
Angèle Brunet (Saint-Sorlin-en-Valloire) | Jean Oddon (Valence) (Vercheny) | Noémie Tessier (Pithiviers) (Loriol-sur-Drôme) |
Clovis Brunet (Saint-Sorlin-en-Valloire) | Reine Oddon (Valence) (Vercheny) | Henri Tessier (Pithiviers) (Loriol-sur-Drôme) |
Hélène Buffet (Romans-sur-Isère) | Augusta Paquien (Geyssans) | Jeanine Tessier (Pithiviers) (Loriol-sur-Drôme) |
>> Voir les 25 familles réfugiées dans le département <<
>> Voir les 42 familles arrêtées dans le département <<
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Liens externes
25/06/1940 -
Par la signature de l'Armistice, la Drôme est contrôlée par l'Italie.
25/08/1942 -
Rafle des Juifs étrangers effectuée par la police et la gendarmerie française dans la nuit du 25 au 26 août.
26/08/1942 -
Mesures de regroupement des israélites étrangers dans le département de la Drôme.
11/11/1942 -
Les Allemands et les Italiens se partagent la zone dite "libre".
29/06/1943 -
Rafle de la Gestapo à la Maison des Roches au Chambon-sur-Lignon. Dix-huit pensionnaires et le directeur, Daniel Trocmé*, sont arrêtés. Ils seront déportés : cinq jeunes juifs mourront à Auschwitz et Daniel Trocmé à Maïdanek.
21/07/1944 -
Du 21 au 23 juillet, les Allemands prennent d'assaut le maquis du Vercors. 120 FFI et 72 civils seront tués, hommes, femmes et enfants par les parachutistes de la "Kampfgeschwader 200" de la Wehrmacht et Sipo/SD de Lyon.
01/09/1944 -
La Drôme est libérée le 1er septembre 1944.
08/05/1945 -
L'Allemagne capitule.
1 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" )
2 Dieulefit et l'homme le confirma (Critique de Bruno Frappat, dans La Croix. Aux pires périodes de la seconde guerre mondiale, un millier de réfugiés seront passés par Dieulefit. Anne Vallaeys nous raconte une histoire : celle des habitants qui firent de leur village un havre de paix. Caché, s'y cacher, y être caché. Dans son joli récit, Anne Vallaeys s'y promène en reporter sur les traces d'une saga discrète, héroïque, silencieuse en effet et un peu oubliée : celle des habitants de Dieulefit qui, durant la Seconde Guerre mondiale, firent de leur village un havre de paix, un refuge pour les proscrits, une halte bénéfique au flanc d'une histoire faite de violences et d'exils. )
3 Le site du poète Pierre Emmanuel (Le site officiel du poète Pierre Emmanuel. Vous y trouverez aussi des pages sur sa vie et son action à Dieulefit durant la guerre, à Beauvallon, puis à la Roseraie. )
4 Guy Sanglerat, ancien membre du Coq Enchaîné (Le Coq Enchaîné était un réseau de résistance de la région qui pendant l'occupation allemande rassemblait des syndicalistes, des socialistes et des radicaux de la mouvance d’Édouard Herriot. Membre du réseau, Guy Sanglerat publie ses souvenirs.. )
5 Le Coq enchaîné (Le Coq enchaîné : un journal clandestin sous l'occupation allemande. Le premier numéro fait son apparition en mars 1942. Les membres du Coq Enchaîné mèneront aussi des actions de résistance. Il a compté jusqu'à 400 membres. Le réseau sera décimé en 1943. Guy Sanglerat raconte ... )
6 Les archives du conseil général de Savoie (La liste des 168 "travailleurs israëlites" en partance de Ruffieux, établie le 24 Août 1942. )
7 Là où coule le Gier (La guerre, énorme chaos bouleversant les vies. Tel est le décor dans lequel évoluent René et Aima. De leur jeunesse à leurs combats, l'auteur nous invite à les suivre dans cette aventure où chacun fera preuve d'un courage incroyable. Ce roman, basé sur des faits réels, nous emmène de la Vallée du Gier dans la Loire à Clermont-Ferrand et nous fait traverser certains camps de concentration en Allemagne en suivant le parcours de deux jeunes gens que la vie a forgé pour combattre aussi bien dans l'univers ouvrier des années 30 que pendant la seconde guerre mondiale avec leur implication dans la résistance. Cette plongée dans le passé a nécessité de nombreuses recherches suivies d'une longue enquête menée sur la vie de ces deux personnages. )
8 Marianne Cohn (Page dédiée à Marianne Cohn et à ses compagnons de résistance. Un mois avant d"être arrêtée, elle a sauvé ma tante Eva et mon père Maurice Finkelstein )
9 L'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 (Page consacrée à l'ouvrage "L'attentat de la Poterne, un drame au cœur de Clermont" (2015).
Cette étude sur l'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 recoupe des documents d'archive à des témoignages oraux et écrits. Elle reprend de manière chronologique les évènements, de l'attentat de résistants sur un détachement allemands à l'immensité des représailles qui ont suivi : incendie d'immeubles, nombreuses arrestations, déportations et condamnations à mort.
)
10 "Objectif Lyon !"
11 Laurent Neury, l'espoir au bout du pont. Histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019
12 L'abbé André Payot, résistant et chef de réseau (Biographie détaillée d'André Payot et de ses activités de résistant durant la seconde guerre mondiale à Chamonix et Vallorcine (Haute-Savoie). Livre écrit par Jean-Luc de Uffredi, publié en 2019 aux éditions les Passionnés de bouquins. )
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*** recherche de justes parmi les nations Déposée le 11/06/2023 |
Bjr, Je suis à la recherche de la famille qui a hébergé et sauvé la famille Andgel ou Angel(les 2 sont idem) la mère Régine, le père Péppo et leur fils Albert, durant la guerre. Ils ont été nommés justes parmi les nations, mais j'ignore leur nom. Peut être les mêmes ou des proches ont ils aussi sauvé la famille Nakman, frère de la précédente famille citée.Merci à toute personne qui me donnerait une piste pour poursuivre mes recherches. Jacqueline N. [répondre] |
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