Soutenez le travail de l'AJPN |
Recherche de personne, de lieu : affiche la page | Recherche type Google : propose des pages | |||
| ||||||
| ||||||
39/45 en France (WWII)
Nouveaux articles
base des données identifiées par AJPN.org Une page au hasard 38080 noms de commune 95 départements et l'étranger 1230 lieux d'internement 744 lieux de sauvetage 33 organisations de sauvetage 4342 Justes de France 1072 résistants juifs 15987 personnes sauvées, cachées | ||||||
Expositions pédagogiques AJPN
L'enfant cachée Das versteckte Kind Chronologie 1905/1945 En France dans les communes Les Justes parmi les Nations Républicains espagnols Tsiganes français en 1939-1945 Les lieux d'internement Les sauvetages en France Bibliothèque : 1387 ouvrages Cartographie Glossaire Plan du site Signaler un problème technique |
||||||
|
||||||
|
Région :
|
Préfecture :
Épinal Préfets : Paul Dupuy
(1936 - 11/1941) Préfet des Vosges
Edmond Jean Schmidt
(21/09/1940 - 04/11/1946) Préfet de Meurthe-et-Moselle à compétence régionale. En janvier 1942 il est promu préfet de Meurthe-et-Moselle, de la Meuse et des Vosges, sous tutelle de la Feldkommandantur
André Parmentier
(11/1941 - 09/1942) André Auguste Parmentier, Préfet des Vosges. Arrêté et révoqué par la Résistance en 1944, il est relevé de sa condamnation pour faits de Résistance (1896-1991)Jean Spach, directeur de cabinet Albert-René Daudonnet
(09/1942 - 1944) Albert René Daudonnet, Préfet des Vosges. Accusé d'aider la résistance, il est arrêté par la Gestapo le 14/05/1944 et libéré le 01/05/1945.
Georges Parisot
(1944 - 1946) Georges Nicolas René Robert Parisot, Préfet des Vosges
|
|
[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo] |
La préfecture des Vosges, Epinal source photo : www.fdpi.eu crédit photo : Titanium |
|
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin. La France est envahie. C’est l’exode vers le sud. Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.
Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées. Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice. Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone sud où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.
La Moselle est annexée au Reich et rattachée au Gau de Sarre-Palatinat tandis que les trois autres départements de la Lorraine (Meurthe-et-Moselle, Meuse et Vosges) restent français - mais occupés par les Allemands et au surplus dans la zone interdite qui s’étend de la mer du Nord à la frontière suisse, sans qu'aucune mention spécifique n'ait été faite dans les conventions d'armistice. L'Alsace est rattachée au Gau de Bade.
Les proscrits du régime
Vichy développe une politique antijuive dans la perspective d'une collaboration avec l'Allemagne nazie et fait promulguer le premier statut des Juifs le 3 octobre 1940 avec l'aval et la confiance d'une grande partie de l'opinion publique.
Dès la mi-octobre 1940, les commerces juifs sont désignés par une affiche posée sur la devanture.
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, seront pourchassés et persécutés parce que Juifs et massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront.
Les Tsiganes sont internés dans les camps français.
Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.
Plus de 1 200 juifs sont arrêtés dans les Vosges, la très grande majorité sera déportée sans retour vers les camps d'extermination.
Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.
04/04/2013
Les Juifs dans les Vosges
Vers 1801 des Juifs qui arrivent des pays de l'Est et d'Alsace s'installent dans les Vosges.
Après la guerre franco-prussienne de 1870, des industriels alsaciens fuyant l'Allemagne s'installent dans les Vosges et créent des usines textiles. Leur nombre ne cesse de s'accroître jusqu'en 1881. Ils sont fabricant de tissu, boucher, marchand de bétail, de chiffons.
Bruyères, Charmes, Épinal, Gérardmer, Lamarche, Neufchâteau, Rambervillers, Raon-l'Étape, Remiremont, Saint-Dié-des-Vosges, Senones, Le Thillot. Chacune de ces communautés dispose d'un cimetière et d'une synagogue. Au départ cette dernière est une simple salle, souvent louée. Par la suite les communautés les plus importantes font édifier des lieux de culte plus imposants, qui doivent être le signe de leur intégration dans la société environnante. Leur plan est calqué sur celui des églises. C'est le cas des synagogues d'Épinal (inaugurée en 1856) et de Remiremont (inaugurée en 1873).
A partir de la fin du 19e siècle, la communauté juive vosgienne décline numériquement. Alors qu'elle comptait 1956 fidèles en 1892, elle n'en compte plus que 1713 en 1905. Depuis cette date, du fait de la séparation des cultes et de l'État, on ne dispose plus de recensements précis. Cette situation est le résultat de la forte émigration vers Nancy et Paris, souvent liée à l'ascension sociale. Ainsi le grand-père du sociologue Raymond Aron qui avait créé un commerce de textiles à Rambervillers décide de le transférer à Nancy. Ces départs ne sont pas compensés par l'arrivée dans les Vosges de quelques Juifs d'Europe de l'Est (Pologne, Russie, Roumanie) à partir des années 1880 et jusqu'au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Ce déclin frappe particulièrement les communautés des petites villes, qui au lendemain de la guerre de 1914-1918 n'ont plus de ministres-officiants salariés et ou les offices très souvent ne sont plus célébrés que pour les fêtes. C'est le cas à Bruyères. A Remiremont, à la fin des années 30 la communauté n'a plus de rabbin.
A la veille de la seconde guerre mondiale, seule la communauté d'Épinal continue à prospérer, sous la présidence d'Albert Netter. Elle dispose d'un Grand rabbin, Simon Morali (1909-984). originaire d'Algérie, futur Grand rabbin de Nancy de 1945 à 1969, d'un ministre-officiant, Tobie Tynski, originaire de Pologne, de deux boucheries "cachères" (rituelles). Elle met sur pied en 1938 un comité, qui accueille une trentaine de Juifs allemands, qui ont dû fuir leur pays à cause des persécutions nazies.
En juin 1940 la France est envahie par l'armée allemande. La IIIème République est remplacée par le gouvernement de Vichy qui adopte des mesures antisémites. Le statut des Juifs d'octobre 1940 les oblige à se faire recenser. II les exclut des fonctions d'autorité et d'influence (des mandats électifs, de la fonction publique) et les exproprie de leurs entreprises. En conséquence, le maire d'Épinal. Léon Schwab, celui de Lamarche. Camille Picard, et celui de Raon l'étape, Weil, doivent renoncer à leur poste.
La population juive connaît de profonds bouleversements car beaucoup de Juifs vosgiens ont fui dans la zone libre mais des Juifs de l'Alsace-Lorraine annexée se sont réfugiés dans les Vosges.
A partir de 1942 les Juifs doivent porter l'étoile jaune et font l'objet de rafles. 563 d'entre eux sont arrêtés dans les Vosges (69 en 1942, 162 en 1943, 357 en 1944). Parmi ces Juifs arrêtés se trouvent 200 Juifs polonais, dont le poète Izthak Kaztzenelson, porteurs de passeports latino-américains, transférés des ghettos et des camps de travail de Pologne au camp des internés civils anglais et américains de Vittel dans les premiers mois de 1943 et déportés les 18 avril et 16 mai 1944.
Tous les Juifs arrêtés dans les Vosges ont d'abord été envoyés au camp d'Écrouves, près de Toul, avant de partir vers les camps de la mort. Seuls 26 d'entre eux en sont revenus, soit 5 % du total. La majorité de ces Juifs arrêtés dans les Vosges ne vivaient pas dans ce département avant guerre.
Parmi les Juifs vosgiens qui avaient cru trouver un refuge à l'extérieur, un certain nombre d'entre eux sont aussi arrêtés et au total, c'est environ 200 Juifs vosgiens qui sont morts victimes de la solution finale. Un monument édifié à l'entrée du cimetière israélite d'Épinal (rue Saint-Michel) honore leur mémoire. Ces 200 Juifs vosgiens font partie des 80.000 Juifs de France morts en déportation (soit 24 % de la population juive de 1940, 16 % des Juifs français et 30 % des Juifs étrangers).1
03/05/2016
Marie Colin (Chantraine) | Marie-Louise Durant Pardonnet Cousot (Bazoilles-et-Ménil) | Jean-Baptiste Rozenkrantz (Épinal) |
Henriette Delavenna (Châtenois) (Saint-Claude) | Ermance Petitgenêt (Épinal) | Madeleine White Steinberg (Vittel) |
>> Voir les 59 familles arrêtées dans le département <<
Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
[Ajouter le votre]
Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog
2 pages,
réalisation 2011 Liens externes
Notes Annonces de recherche
[Déposer une annonce]
22/06/1940 -
L'armistice met fin aux combats. L'Alsace est occupée par l'Allemagne nazie. L'administration civile de l'Alsace est confiée au Gauleiter de Bade-Alsace, Robert Wagner, avec pour mission de gagner en une décennie la population alsacienne à la cause du national-socialisme.
13/07/1940 -
Le Gauleiter Robert Wagner décide d'expulser les Juifs restés en Alsace, et de confisquer tous leurs biens, intérêts et droits au profit de l'État.
14/07/1940 -
Les Alsaciens non Juifs sont autorisés à rentrer chez eux.
16/03/1941 -
Le gauleiter Bürckel, responsable, entre autre, de l'Alsace Lorraine, demande aux Mosellans se reconnaissant Français une déclaration d'option.
08/04/1941 -
Départ vers la France des Mosellans se reconnaissant Français.
29/07/1941 -
L'allemand devient la langue obligatoire en Alsace-Lorraine.
25/12/1944 -
L'Alsace étant annexée et les déboires de l'armée allemande sont fréquents. Le 2 décembre 1944, toutes les unités des forces terrestres, de l'air et des Waffen-SS sont placées sous le haut commandement du Reichsführer-SS Heinrich Himmler et doivent coute que coute empêcher que les Forces de Libération traversent le Rhin. Ce sera le début de la "Poche de Colmar" Heinrich Himmler en personne vient galvaniser ses troupes et sera signalé à Wuenheim durant la Nuit de Noël 1944 où il passera la nuit au presbytère du villageWuenheim France
06/02/1945 -
Les troupes de 1ère Armée Française sont arrêtées sur la rivière de la Doller depuis quelques semaines. Il a beaucoup neigé en ce début d'année 1945. Fin janvier l'état major décide de reprendre les combats pour éradiquer la "Poche de Colmar" Au Sud des combats ont lieu à l'Ochsenfeld et dans les rues de Cernay. Le 4 février au petit matin les Allemands quittent Wuenheim et font sauter le pont au bas du village. Vers 14 heures le 4ème RSM et le 1er RTM libèrent le village et poursuivent vers Soultz Guebwiller et quelques éléments arrivent même à entrer dans RouffachWuenheim France
07/05/1945 -
Le général Jodl et l'amiral Freideburg signent la capitulation sans condition au quartier général d'Eisenhower à Reims, en présence de représentants britanniques, français, américains et soviétiques. La reddition entrera en vigueur le 8 mai à minuit.
Auteur :
Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
Paul Ernest dit Paul Bourson Farouche opposant au régime nazi, Exposé
2 pages,
réalisation 2011
Auteur :
Alain LAPLACE
- terminal
Article extrait d'une étude généalogique sur la famille BOURSON de Vigy (Moselle) et alliés (http://majoresorum.eklablog.com)
1 Journal de guerre de Charles Altorffer
2 Site officiel de la Commune de Montigny-les-Monts
3 Site non officiel de la commune d' Auxon (Démarches administratives, histoire du village, cartes postales et photos anciennes.
)
4 Saint-Dizier la période 1939-1945 en photos (La ville de Haute-Marne la période 1939-1945 en photos )
5 Histoire de Lièpvre de 1870 à 1945.
- 1 - Les Juifs dans les Vosges, par Gilles Grivel, professeur d'histoire au lycée Jean-Lurçat de Bruyères, président de l'association Daniel-Osiris pour la sauvegarde de l'ancienne synagogue de Bruyères. Article paru dans la revue Relations, d'Épinal, mai-juin 1994.
- 2 - Témoignage de Marie-Christine Tournier, fille de Marie Pierrat, le 07/09/2011.
*** Joseph Bloch Déposée le 02/12/2021
Joseph BLOCH, mon grand oncle est né le 17/09/1891 à Drachenbronn (67). Il m'est impossible à ce jour de retrouver sa trace.
Je n'ai que son extrait de naissance et rien d'autre. Ses parents étaient Félix BLOCH et Rosine née SAMUEL.
Je serai ravie si quelqu'un pouvait m'aider à le retrouver, ainsi que sa descendance s'il en a une.
Merci d'avance !
[répondre]
*** recherche concernant Jacob Gilbert André Déposée le 07/08/2019
Ouvrir le doc
Gilbert est né le 23/09/1920 à Pagny-sur-Meuse. Il était infirmier à l'hôpital de Neufchateau. Il a été arrêté probablement, le 27 mai 1943, et déporté à Buchenwald, le 25 juin 1943. Il est mort à Dora, le 24 mars 1944.
J'aimerais connaître les conditions de son arrestation et par qui (police française ou allemande ?) que s'est-il passé avant sa déportation ? et enfin, obtenir une photo. Ci-joint, une liste de fiches allemandes le concernant.
Cordialement
A.Brunel
[répondre]
*** Recherche grand-père paternel Déposée le 28/12/2018
Je recherche mon grand-père paternel Lambolez Joseph Adolphe, né le 31/01/1877 à Rupt/Moselle, au dernier recensement en 1936 travaillait comme tisserand chez Peltier-France à Ramonchamp. Aucun membre de ma famille à l'époque ne savait où il se trouvait ou exerçait !Il avait fait la guerre de 1914/1918 et avait retravaillé sur Saint Maurice/Moselle, puis Ramonchamp. Il était séparé de son épouse depuis 1924 ou 1926 et qui elle résidait sur Remiremont. Aucune trace administrative AD88, paroisses, cimetières,etc...J'ai écrit également maintes fois à la Mairie de Ramonchamp actuellement sans aucune réponse depuis plusieurs mois, afin de retrouver une trace....Je demande de l'aide pour situer sa date de décès et son lieu d'inhumation ! Je réside dans le sud-ouest ! Merci par avance
[répondre]
*** famille Bloch Déposée le 08/02/2017
Bonjour,
je suis enseignante à Paris et prépare avec mes élèves la pose commémorative d'une plaque dans mon établissement.
Je recherche des informations sur la famille Bloch (parents : Benoît et Lucie, née Metzger ; fils : Gilbert Emmanuel) qui habitait à Paris, rue d'Ulm et s'est réfugiée à Saint Dié (Vosges). Elle a été arrêtée en 1944. Ils ont été internés à Ecrouves. Benoît et Gilbert ont été déportés sans retour. Lucie a été libérée. Cette famille ne figure pas dans la liste recensée sur votre site pour Saint Dié pour les familles réfugiées et arrêtées). Je ne trouve pas de traces de Lucie après son internement à Ecrouves. Ils étaient domiciliés 1, rue Dauphine à Saint Dié.
C'est Gilbert Emmanuel dont le nom sera inscrit sur la plaque du groupe scolaire car il y a été inscrit.
Je vous remercie par avance de toute information dont vous pourriez me faire part.
Bien cordialement,
Karine Martin (enseignante Paris)
mail : kar.ma2006@orange.fr
[répondre]
Répondue le 09/02/2017
Bonjour,
Le livre du mémorial de S.Klarsfeld indique à la page 90 que Benoît Bloch est né le 18/09/1882 à Wintzheim. Son fils Gilbert le 01/10/1927 à Paris 13ème.
Vous pourriez peut-être vous adresser à la mairie du lieu de naissance du père pour demander une fiche familiale d'état civil avec indication des mentions marginales. Devraient figurer les dates du mariage et le nom de l'épouse avec indication du lieu de naissance. Faire la même démarche pour l'épouse ce qui devrait vous renseigner sur sa date de décès. Pour ce qui concerne Paris, les demandes peuvent être faites en ligne.
Cordialement,
Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org
* Juste parmi les Nations
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024