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Vaucluse

Région :
Provence-Alpes-Côte d'Azur
Département :
Vaucluse

Préfets :
Marcel Ribière
(1940 - 1943) Marcel Julien Henri Ribière, Préfet de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1892-1986)
Raymond Aubrac
(1944 - 1945) Raymond Aubrac, de son vrai nom Raymond Samuel, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1914)
Paul Haag
(1945 - 1946) Paul Maurice Louis Haag, Commissaire de la République de la région de Marseille (Alpes-Maritimes, Basses-Alpes (Alpes-de-Haute-Provence), Bouches-du-Rhône, Corse, Gard, Hautes-Alpes, Var et le Vaucluse) (1891-1976)

À lire, à voir…

 AACCE AACCE
Les Juifs ont résisté en France (1940-1945)

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Paul Schaffer Paul Schaffer
Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945

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Katy Hazan Katy Hazan
Les orphelins de la Shoah - Les maisons de l'espoir (1944-1960)

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Stéphane Simonnet Stéphane Simonnet
Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944 - 8 mai 1945

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Isaac Lewendel Isaac Lewendel
Bernard Weisz
Vichy, la Pègre et les Nazis, La traque des Juifs en Provence

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 Collectif Collectif
Jean-Pierre Guéno
Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

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Les Tsiganes. Une destinée européenne

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Frida Wattenberg
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Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945

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Marie-Christine Hubert Marie-Christine Hubert
Emmanuel Filhol
Les Tsiganes en France - Un sort à part (1939-1946)

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Cécile Leblanc
Amis des Juifs

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Katy Hazan Katy Hazan
Le sauvetage des enfants juifs pendant l'Occupation, dans les maisons de l'OSE 1938-1945

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 Fondation pour la Mémoire de la Déportation Fondation pour la Mémoire de la Déportation
Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945 - 4 volumes

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Georges Loinger Georges Loinger
Les Résistances juives pendant l'occupation

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Pierre Copernik Pierre Copernik
Abcdaire de la résistance

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L'enfant cachée

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L'innocence et la ruse

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Paul Schaffer Paul Schaffer
Als ich in Auschwitz war - Bericht eines Überlebenden (Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945 ; en langue allemande)

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Texte pour ecartement lateral

Mérindol en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 84360
Gentilé : Mérindolais, Mérindolaises

- Vaucluse
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Merindol en 1939-1945
Mérindol
source photo : Ville de Mérindol
crédit photo : D.R.
Merindol en 1939-1945
Hôtel de Ville
source photo : Ville de Mérindol
crédit photo : D.R.
Merindol en 1939-1945
allocution de Mme Michèle Bitton le 11 novembre 2012 devant la plaque des déportés en compagnie de Mr Philippe Batoux, maire
source photo : Inconnu
crédit photo : jean Priol

Voir l'histoire du département du Vaucluse
Histoire

Discours

Dimanche 11 novembre 2012
Mesdames et Messieurs les Elus,
Mesdames, Messieurs les Présidents et membres d’associations,
Mesdames et Messieurs les Déportés, Résistants et Anciens Combattants,
Messieurs les Porte-Drapeaux,
Chers Concitoyens,
Il y a plus de 65 ans les camps d’extermination étaient libérés. Lorsque les Alliés y pénètrent, ils découvrent l’horreur d’une réalité cachée ou supposée. Des charniers à ciel ouvert, des rescapés squelettiques et hagards, des entrepôts remplis de monceaux de valises, de chaussures ou de cheveux des victimes, que sais-je encore.
L’horreur est présente partout, où que le regard se pose. Les nazis surpris par l’avancée inexorable des forces alliées n’ont même plus pris la peine de cacher ce que le monde allait découvrir avec stupéfaction et consternation lors des procès de Nuremberg.
Le voile noir des ténèbres avait alors recouvert pendant plusieurs années la quasi totalité de l’Europe asservie. La terreur était partout présente. L’idéologie nazie régnait en maître. Une idéologie raciste, xénophobe et antisémite, fondée sur la croyance abjecte et folle qu’une race est supérieure à une autre.
Aux disparus d’abord, parce que nés juifs-ils furent 6 millions-, parce que nés tziganes, parce qu’handicapés, parce que résistants, parce que franc-maçons, parce qu’homosexuels : tous furent victimes de l’implacable planification et mise en oeuvre de la solution finale conçue par Hitler et le régime nazi.
Ils furent des millions à être dépossédés de leur nom, réduits à l’état d’un matricule tatoué sur le bras, expédiés à la mort dans les chambres à gaz.
N’oublions pas que très peu réchappèrent des camps de la mort. Hommage aux Justes parmi les nations ensuite, qui malgré les dangers encourus n’hésitèrent pas, de façon admirable, à protéger et à cacher des hommes, des femmes, des enfants, des familles entières parfois.
Il y a quelques années déjà, ici à Mérindol, nous reconnaissions l’engagement, le courage, la solidarité agissante de deux de nos concitoyens reconnus justes. Leur action porte un message universel car, comme le proclame le Talmud « qui sauve une vie sauve l’humanité tout entière » ; ces mots ornent la médaille des Justes.
Oui, pour l’honneur de notre pays outragé et meurtri par la collaboration servile du gouvernement de Vichy et de l’Etat français, il y eut cette France combattante et solidaire, cette France fidèle à son héritage républicain et humaniste qui n’accepta pas que l’on attente à la vie de ses propres enfants au nom d’une funeste idéologie.
Dans notre pays, plus de 140 000 personnes furent déportées. Parmi elles, environ 76 000 juifs de nationalité française ou étrangère dont 11 000 enfants. 4 000 d’entre eux furent arrêtés à Paris lors de la rafle criminelle du Vel d’hiv des 16 et 17 juillet 1942.
Ici, à Mérindol, rue principale, aujourd’hui rue du Relarguier, vivaient trois couples de juifs d’origine luxembourgeoise ou allemande. Parmi ces six personnes, trois furent déportées à Auschwitz après un rapide passage au camp des Milles puis celui de Drancy. Ces trois là se nommaient Bertha et Julian Eisemann et Sigmund Kahn. Ils ne sont jamais revenus et figurent sur les registres de notre État civil.
Ce sont eux que nous célébrons ce matin, ce sont leurs noms qui sont inscrits sur cette plaque que nous allons dévoiler dans un instant.
L’homme est ainsi fait qu’il a besoin de se souvenir pour ne pas oublier.
C’est le sens aussi du Site Mémorial installé dans l’ancien camp des Milles et dont la devise est « Comprendre pour demain ».
Les noms des victimes persécutées qui n’étaient que des numéros pour leurs bourreaux sont redevenus des noms d’hommes, de femmes et d’enfants à jamais gravés dans ces lieux de mémoire et dans la conscience de chacune et chacun d’entre nous.
Dans quelques années, les rescapés des camps ne seront plus là pour témoigner. Il appartiendra alors aux jeunes générations, de rappeler cette effroyable tragédie et de perpétuer cet indispensable devoir de mémoire.
Paul ELUARD disait : « Si l’écho de leur voix faiblit, nous périrons ». Ces quelques mots sont si forts et si justes !
Nous avons tenu à Mérindol, à l’instar d’autres communes de notre département, à honorer la mémoire des femmes et des hommes juifs déportés.
Je veux, en mon nom et au nom de la Commune, remercier chaleureusement l’Association « Mémoire et histoire » qui nous a proposé de tenir ce matin cette cérémonie d’hommage qui a permis la tenue de cette exposition que vous pourrez découvrir tout à l’heure et qui recevra nos classes élémentaires en début de semaine.
Dans notre époque encore des actes odieux de profanation de sépultures, juives et musulmanes, des agressions physiques ont montré que la bête immonde était toujours prête à ressurgir. Ne l’acceptons jamais et sachons reconnaître ceux qui voudraient nous entrainer sur le chemin du racisme et de l’antisémitisme.
Ne l’acceptons pas ! Dénonçons et combattons toute idéologie contraire à nos valeurs car toute parole et tout acte ont un sens.
C’est aux jeunes générations que nous devons nous adresser. Elles sont l’espoir parce qu’elles incarnent l’avenir. Ce sont elles qui demain porteront les valeurs d’espérance et de paix, les valeurs d’humanisme, de tolérance et de respect de l’autre.
Ne les oublions pas, n’oublions jamais ce qui s’est passé il y a presque 70 ans. Gardons toujours à l’esprit que le renoncement aux valeurs de notre République peut conduire au pire. Et enseignons à nos jeunes cette histoire aussi douloureuse soit-elle.

24/11/2012
Auteur : Philippe Batoux, maire

[Compléter l'article]

Les camps et les lieux d'internement du Vaucluse

104e-105e CTE Orange 84100 Orange
104e-148e CTE-GTE Le Pontet 84130 Le Pontet
148e CTE-GTE L'Isle-sur-la-Sorgue 84800 L'Isle-sur-la-Sorgue
210e CTE-GTE Beaumont-de-Pertuis 84120 Beaumont-de-Pertuis
801e GTE de Vacqueyras-Montmirail 84190 Vacqueyras
Centre Vedène 84270 Vedène
Chantiers de la Jeunesse Française 84300 Cavaillon

Les lieux de sauvetage du Vaucluse

Collège Saint-Joseph 84000 Avignon
Couvent de l'Immaculée-Conception 84000 Avignon
Couvent du Sacré-Coeur Avignon 84000 Avignon
Hôpital de Valréas 84600 Valréas
Hôpital Sainte-Marthe 84000 Avignon
Monastère Sainte-Claire de Montfavet 84000 Avignon


Les 31 Justes parmi les Nations du Vaucluse



Familles réfugiées à Mérindol [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.


2 Familles arrêtées (Mérindol) [Compléter]

26/08/1942
Famille Eisemann - Berta, née Kahn le 6 avril 1896 à Brosdorf et Jules (Julien), né le 3 mars 1898 à Gaudenbach, sont réfugiés à Mérindol, rue Principale. Recensés en 1941, ils sont visé par la liste d'arrestations des Juifs du 24 août 1942. Transféré aux Milles le 26 août, puis à à Drancy le 2 septembre 1942, ils seront déportés sans retour par le convoi n° 29.
Déportation : 07/09/1942
   convoi no 29
JO :
CDJC C29-33a

26/08/1942
Famille Khan - Sigmund Khan, beau-frère de Eisemann Julius fut déporté, laissant sa femme Lily à Mérindol où elle résida jusqu'en 1945. Les trois personnes sont inscrites dans le registre des décès de la commune. Une plaque à l'entrée du cimetière de Mérindol rappelle leurs noms.
Déportation : 07/09/1942
   convoi no 29
Date d'exécution :
12/09/1942

Chronologie [Ajouter]

02/11/1940 - Le gouvernement de Vichy révoque 3 préfets et les place en disponibilités. M. Jouany, préfet d'Ille-et-Vilaine, M. Moulin, préfet d'Eure-et-Loir, et M. Morel, préfet dans les Hautes Alpes.
26/08/1942 - Rafle des Juifs étrangers par la police de Vichy dans les Alpes-Maritimes, les Basses-Alpes (54 personnes) et la principauté de Monaco.
08/09/1943 - Rafle des Juifs par la Gestapo dans les Alpes-Maritimes.


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Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Mérindol sur Wikipedia 
2 Les enfants et amis Abadi (Voir le site Les enfants et amis Abadi, remarquable !
Odette Rosenstock et Moussa Abadi avec le concours de Monseigneur Paul Rémond, Archevêque-Évêque de Nice, ont créé le réseau Marcel pour lutter contre le nazisme et les lois antijuives de Vichy. Ils ont caché et sauvé, dans le diocèse de Nice, 527 enfants juifs de 1942 à 1944.
« Les Enfants et Amis Abadi » est une association loi 1901 créée le 4 mai 2000 par Jeannette Wolgust. Elle a pour but de réunir les amis et les enfants cachés par Odette et Moussa Abadi, afin de préserver et perpétuer leur mémoire, et plus généralement de préserver et perpétuer la mémoire de la Shoah. )
3 Les Allemands n’étaient pas seuls (Pour en savoir plus sur la persécution des Juifs dans le Vaucluse, ce site a été créé afin d’essayer de déterminer le visage Vauclusien de la solution finale, dénombrer les victimes et identifier les auteurs du crime. Une place spéciale est réservée à ceux qui ont pris des risques considérables pour protéger les persécutés. )
4 Camp de Saliers. 1942-1944. Une mémoire en héritage. (Histoires et mémoires du camp d'internement pour Nomades de Saliers (Bouches-du-Rhône) ayant accueilli près de 700 voyageurs, sinti, manouches, gitans, yeniches, mais aussi forains, dont 26 ne sont pas revenus… Na bister! (N'oublions pas!) )

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***  Je recherche mon grand père Déposée le 01/06/2015

    Bonjour,

    La photo ci-jointe m'a été donnée par ma mère. Elle a été prise en 1947 à Paris où résidait sans doute mon grand-père, polonais dont le prénom peut être francisé pour l'occasion devrait être Jules. Il a séjourné dans le Vaucluse en Avignon en 1948.

    Quelqu'un pourrait il m'aider à le reconnaître et réparer un peu les ravages de l'Histoire ?

    Vous remerciant par avance de votre aide,

    Christelle
    [répondre]
Répondue le 18/04/2018
    Bonjour,

    En espérant que cela puisse vous aidez à le retrouver.
    lien pour accéder à l'image : https://zupimages.net/up/18/16/1ioh.png

    Merci de me répondre à cette adresse mail plutôt que sur ce site.

    clementguilaumont@gmail.com


    Clément Guillaumont, 18 ans.

     

***  Mme de Roquefeuil Déposée le 08/02/2018

    Quelqu'un se souvient t-il des activités de Mme de Roquefeuil en Vaucluse et notamment à Sault, qui aurait permis de faire héberger clandestinement des enfants juifs à Sault, ferme du Clerc proche du Hameau de la Loge. Merci par avance de vos informations éventuelles qui permettraient d'avance un peu dans cette recherche de faits inconnus ou hélas oubliés en Pays de Sault. [répondre]

***  Pasteur Rouger Déposée le 13/11/2017

    Bonjour,

    Quelqu'un se souvient-il du pasteur Rouger de la paroisse d'Avignon qui a aidé le pasteur Manen du camp des Milles ou le Père Roche du lycée Saint-Joseph et le chanoine Delorme ?
    [répondre]

***  Enfants chemin de Lopi, Avignon ? Déposée le 06/02/2017

    Nous recherchons des renseignements sur des enfants qui ont pu être accueillis à Avignon, 13 chemin de Lopi dans la famille Zimberlin entre 1942 et 1944. Cet accueil a peut-être pu se faire avec l’aide du pasteur Pierre ROUGER.
    Ces enfants ont pu être envoyés ultérieurement au Chambon-sur-Lignon.
    Dorothée Zimberlin avait en 1942 80 ans et sa fille Sophie Zimberlin 43 ans.

    [répondre]

***  ZIMBERLIN, chemin de Lopi Déposée le 11/01/2017

    Quatre enfants juifs ont été hébergés chez Me Zimberlin et sa fille Sophie, chemin de Lopi à Avignon.

    Sophie Zimberlin tenait un magasin dans le centre : les soieries Dandine.
    Qui se souviennent-d'elles ?
    [répondre]


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