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La commune des Rissois
Ris-Orangis est une commune de l'Essonne.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 3 783 habitants et 4 014 en 1946.
05/12/2020
Ris-Orangis durant la Seconde Guerre mondiale
Durant quatre années les Allemands occupent la ville, réquisitionnant bâtiments, véhicules etc. Pendant ce temps l'approvisionnement des denrées alimentaires est de plus en plus difficile.
Le secours national, mis en place par la municipalité, va de ferme en ferme pour recueillir tout ce qui pourra servir à nourrir, surtout les enfants qui sont réunis dans la Salle des Fêtes (l'ancienne Orangerie du Château de Fromont) pour recevoir des repas chauds.
Après quatre années d'Occupation allemande les Américains rentrent à Ris-Orangis le 24 août 1944.
Les américains étaient attendus depuis plusieurs jours et leur avancée vers Paris avait été suivie avec beaucoup d'impatience.
Après la fusillade qui avait endeuillé la ville trois jours auparavant, l'incendie allumé par les Allemands à l'école du Domaine (Boulesteix) et la destruction du pont sur la Seine, les Rissois vont accueillir les libérateurs avec joie
05/12/2020
Ris-Orangis le 21 août 1944
Neuf victimes civiles massacrées en représailles par les Allemands, le 21 août 1944, au hasard dans les rues de Ris-Orangis (Seine-et-Oise). Une camionnette allemande venant de Paris et se dirigeant vers Corbeil essuya des coups de feux le 21 août 1944. Un soldat allemand fut légèrement blessé.
En représailles, les Allemands exécutèrent neuf victimes civiles rencontrées au hasard des rues de Ris-Orangis.
La liste des victimes est la suivante :
Des civils furent ensuite pris en otage, puis libérés suite à l’intervention conjointe du maire Louis Kany et du docteur Perrier.
Trois jours plus tard, le 24 août, la ville fut libérée par les Américains.
Neuf plaques commémoratives sont apposées sur chaque lieu individuel d’exécution à Ris-Orangis.1
05/12/2020
Auteur : Benoît Prieur
Lien : Le Maitron
Henri-Frédéric Léon Kellermeier
Maire de Ris-Orangis (1934-1941) Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse
7 pages,
réalisation 2013 Liens externes
Notes Annonces de recherche
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Fernand Paul-Henri Cabaud
Maire de Ris-Orangis (1941-1942)
Louis Kany
Maire de Ris-Orangis (1942-1944) Voyageur de commerce
Jean-Pierre Gourdou
Maire de Ris-Orangis (1944-1947) Mécanicien
Les 60 Justes parmi les Nations de l'Essonne
Paul Arnoult (Savigny-sur-Orge)
André Charpentier (Athis-Mons)
Henriette Lannes Tracol (Villemoisson-sur-Orge)
Cécile Blanc (Orsay)
Roger de Vilmorin (Verrières-le-Buisson)
Simone Nugeyre Tenenboim (Janville-sur-Juine)
Yvonne Bonnaventure (Paris 75013)
(Villebon-sur-Yvette)
Georges Dilsizian (Brunoy)
(Montacher)
Louis Rameau (Saint-Michel-sur-Orge)
Robert Bonnaventure (Paris 75013)
(Villebon-sur-Yvette)
André Dilsizian (Montacher)
(Brunoy)
Juliette Rameau (Saint-Michel-sur-Orge)
Simone Bonnaventure (Paris 75013)
(Villebon-sur-Yvette)
René Drouet (Méréville)
Georgette Remoissenet (Savigny-sur-Orge)
Gaston Bonnin (Boussy-Saint-Antoine)
(Paris)
Madeleine Drouet (Méréville)
Francis Remoissenet (Savigny-sur-Orge)
Alice Bonnin (Boussy-Saint-Antoine)
(Paris)
Marguerite Dubouloz (Yerres)
Lucienne Reuter (Villebon-sur-Yvette)
Blanche Bonnin Tussa (Boussy-Saint-Antoine)
(Paris)
Lucien Dubouloz (Yerres)
Lise Septier Fuga (Moigny)
Marie-Françoise Borel (Romainville)
(Vert-le-Petit)
Germaine Durand (Draveil)
Maurice Simon (Draveil)
Eugénie Cerclet (Janville-sur-Juine)
Charles Herbault (Dourdan)
Yvonne Trihoreau (Saint-Michel-sur-Orge)
Charlotte Chacou (Saint-Sulpice-de-Favières)
Juliette Jacquemard (Étampes)
Jeannine Trihoreau Baron (Saint-Michel-sur-Orge)
Gabriel Chacou (Saint-Sulpice-de-Favières)
Pierre Lagarde (Sainte-Geneviève-des-Bois)
Robert Vilgard (Brunoy)
Maurice Charollais (Vigneux-sur-Seine)
Lucienne Lagarde (Sainte-Geneviève-des-Bois)
Christiane Vilgard (Brunoy)
Familles réfugiées à Ris-Orangis
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
Familles arrêtées (Ris-Orangis)
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes arrêtées ou exécutées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, les circonstances de l'arrestation et la date de l'arrestation, si possible.
7/04/1942 -
François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
10/1940 -
Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
20/08/1941 -
Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
16/07/1942 -
16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.
Auteur :
Thierry Noël-Guitelman
- terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.
2 Le témoignage d'Eddy Mendelsohn (Chez Lise )
3 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
4 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
- 1 - Source : — site web du Groupe Rissois d’Histoire Locale (GRHL) — site web personnel de Stéphane Raffalli — Mémorial Gen Web.
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