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Paris

Région :
Île-de-France
Département :
Paris

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(14/05/1941 - 01/06/1942) Amiral François Marc Alphonse Bard, Préfet de police de la Seine (1889-1944)
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(01/06/1942 - 19/08/1944) Préfet de police de la Seine lors de la rafle du Vél d’Hiv (1886-1953)
René Bouffet
(19/08/1942 - 19/08/1944) Préfet de la Seine. Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
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(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
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Bernard Tanenzaph

dit Bernard Natan
Texte pour ecartement lateral

Paris 75010 Paris
Nom de naissance: Natan Tanenzaph
Date de naissance: 14/07/1886 (Jassi (Roumanie))
Date de décès: 1942 (Auschwitz (Pologne))
Nationalité : Français
Arrestations: 1939
Age de l'arrestation : 56
Date et lieu de la déportation : 25/09/1942
Numéro de convoi : 37
Nom du camp : Auschwitz (Pologne)
Profession: Producteur
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Bernard-Tanenzaph
Bernard Natan Tanenzaph en 1932
source photo : Arch. fam. Kirschen
crédit photo : D.R.
Histoire

Pathé-Natan

Bernard Natan, né Natan Tanenzaph le 14 juillet 1886 à Iași (Roumanie) et mort en 1942 au camp d'Auschwitz, est un producteur franco-roumain des années 1920 et 1930.

Bernard Natan acquiert en 1929 Pathé, qui devient l'une des deux plus importantes sociétés de cinéma françaises. Pathé-Natan s'effondre en 1935, et Natan est accusé d'escroquerie. Il a contribué à fonder l'industrie du cinéma en France.

Né le 14 juillet 1886 de parents juifs à Iași en Roumanie près de la frontière russo-roumaine, Natan Tanenzaph s'installe en France au début du xxe siècle (en 1906). Lors de la déclaration de la Première Guerre mondiale, il se présente à la mairie du 10e arrondissement de Paris dès le 2 août 1914, et s'engage dans la Légion étrangère comme volontaire étranger, pour la durée de la guerre. Il passe 21 mois au front, est gazé en 1916, cité à l’ordre de la division. Libéré le 11 octobre 1918, il est naturalisé français en 1921, francisant son nom en Bernard Natan.

Il fonde son propre laboratoire, « Rapid Film », pour développer des films. Dans les années 1920, il travaille aussi pour Paramount Pictures. La réputation de Rapid Film devient telle que Natan est nommé membre du comité exécutif de la fédération des employeurs cinématographiques.

En 1926, il ajoute deux ateliers pour le son sur disque. Il produit également les films d'autres studios.

En février 1929, Bernard Natan s'associe avec Paul Thomas et achète la société Pathé, qui est alors la plus grande compagnie de cinéma de France. Il accepte de fusionner son propre studio, Rapid Films (qui valait 25 millions de l'époque) avec Pathé en échange de 50 millions de francs en actions. Après la fusion, Natan renomme la société « Pathé-Natan ».

En octobre 1929, il lance la diffusion du premier film français parlant, Les Trois Masques au Marivaux-Pathé, puis le premier cartoon de Mickey (The Opry House), dans la même salle, un mois plus tard.

Pathé subissait déjà une situation financière difficile. La reprise de Bernard Natan coïncide avec la Grande Dépression de 1929 qui atteint tous les secteurs de l'économie.

Bernard Natan tente de renflouer les caisses de Pathé et de moderniser les studios et leurs méthodes de travail. Il reprend un autre studio, la Société des cinéromans, d'Arthur Bernède et Gaston Leroux, qui permet à Pathé-Natan d'étendre ses activités à la manufacture électronique et à la projection. Cependant, Bernard Natan est attaqué sans répit par la presse française qui critique sa façon de diriger son groupe. Plusieurs de ces attaques sont d'ordre antisémite.

En novembre 1929, Bernard Natan s'associe avec l'Écossais John Logie Baird en fondant la première compagnie de télévision de France, dénommée « Télévision-Baird-Natan ».

Le 3 novembre 1930, le théâtre de L'Olympia accueille une démonstration publique de télévision système Baird-Natan. Sur un écran formé de 1 200 ampoules, le fantaisiste Jean Marsac apparait devant les premiers téléspectateurs français.

Un an après, c'est avec Fernand Vitus et la société anonyme Radio-Natan-Vitus filiale de Pathé Journal, qu'il prend le contrôle d'une station de radio à Paris, Radio Vitus, qui deviendra un véritable empire radiophonique.

Entre 1930 et 1935, la compagnie Pathé-Natan réalise 100 millions de francs de profits, et produit plus de 60 films (autant que les studios américains de l'époque). Bernard Natan relance les films d'actualité Pathé Journal, qui n'ont plus vu le jour depuis 1927.

Cependant, en 1935 Pathé tombe en banqueroute. Dans le but de financer l'expansion de la société, le conseil de direction (qui comprend toujours Charles Pathé) vote en 1930 la vente de 105 millions de francs d'actions. Mais avec la dépression, seules 50 % des actions sont vendues. L'une des banques qui avait investi fait faillite et la société Pathé est forcée de continuer à acheter et équiper des salles de cinéma, sans en avoir financièrement les moyens. Elle finit par perdre plus d'argent qu'elle n'en gagne.

La chute de Pathé amène les autorités françaises à inculper Bernard Natan pour escroquerie. Il est accusé d'avoir créé des sociétés fictives, et de mauvaise gestion des affaires. On[Qui ?] l'accuse même d'avoir caché ses origines roumaines et juives en changeant de nom. Il est arrêté et emprisonné en 1939.

En 1942, il est déchu de la nationalité française et devient donc apatride. Il sort de prison en septembre 1942 et est envoyé au camp de Drancy.

Le gouvernement français le livre ensuite aux forces d'occupation allemandes le 23 septembre 1942. Il est alors déporté sans retour au camp d'extermination d'Auschwitz, par le convoi n° 37, en date du 25 septembre 1942.

10/09/2022
Lien : Wikipedia

[Compléter l'article]

La famille Kirschen

La famille Kirschen, roumaine juive, fuit l'antisémitisme et s'installe en France en 1930. Marie née Tanenzaph et Joseph Kirschen ont deux enfants : André âgé de 4 ans et Bernard âgé de 9 ans. 

Famille bourgeoise, Joseph Kirschen, né en 1878 à Tulcea en Roumanie est un ingénieur radiologue réputé, son beau-frère Bernard Natan né Natan Tanenzaph, arrivé en France en 1906, créera Pathé Natan.

La famille s’installe au 27 rue Cardinetdans le  XVlle arrondissement de Paris, puis déménage en 1935 ou 1936 dans un appartement plus petit au 31 rue Duret, dans le XVIe Paris (XVIe arrondissement de Paris.

André fait ses études primaires au lycée Carnot, puis au lycée Janson de Sailly où son frère de cinq ans plus âgé fait également ses études. Il suit ensuite des études secondaires, d’abord à Janson de Sailly puis au lycée Pasteur à Neuilly-sur-Seine.

André s’intéresse très jeune à la politique. Il se passionne pour l’histoire de la Commune, de la Révolution française et lit beaucoup.
En 1938, il suit les débats et conférences d’un « club » d’extrême-gauche, intitulé « les amis du front populaire et des volontaires de la Liberté » qui est installé rue de la Boétie dans le Vllle arrondissement. Il en est un spectateur assidu mais n’a évidemment aucune activité politique en raison de son jeune âge. 

Au cours de l’été 1940, Bernard qui a fréquenté à la Sorbonne des étudiants communistes adhère au Parti clandestin, en l’occurrence à l’Union des Etudiants et lycéens communistes de France » (UELCF). II propose à André de participer à ses activités malgré le fait qu’il vient juste d’avoir quatorze ans. Celui-ci accepte avec enthousiasme et participe avec de nombreux jeunes à des activités multiples (distribution de tracts, collage de papillons, participation à la manifestation devant le Collège de France contre l’arrestation de Paul Langevin, manifestation au Père-Lachaise (très peu de participants). 

Bernard a été nommé « responsable de secteur », appellation pompeuse qui recouvre en fait la coordination d’une douzaine d’étudiants (parmi lesquels Pierre Daix ou Pierre Kast).

En novembre 1940, la police française découvre chez une étudiante arrêtée pour distribution de tracts l’organigramme de l’UELCF.

Le 27 novembre, le commissaire Cougoule en personne s’est déplacé pour procéder à son arrestation. On découvre dans le bureau de Bernard une petite imprimerie enfantine pour confectionner des papillons, des centaines de numéros du journal La Relève et des dizaines d’ouvrages marxistes. André qui ne figure pas sur l’organigramme n’est pas arrêté.

Bernard est emprisonné à la prison de la Santé.

C’est à partir de ce moment que André, dit Rossel, commence son activité militante autonome. Il ne milite pas au lycée Pasteur, jugé trop bourgeois, mais dans le secteur des Ecoles primaires supérieures. II en fut même un éphémère responsable (une dizaine d’adhérents). II est muté finalement aux Jeunesses communistes du XVie arrondissement, lance des tracts à la volée sur des marchés, participe à des collages de tracts et de papillons sur les murs.

André participe à la très importante manifestation du_14Juillet 1941. Le rendez-vous était boulevard Saint-Michel, totalement quadrillé par la police. II entonne avec un petit groupe de militants La Marseillaise, vite interrompue par une charge de la police. Il apprend alors qu’un autre rendez-vous est prévu sur les grands boulevards. Descendu au métro Strasbourg-Saint-Denis, il est impressionné par l’ampleur de la manifestation qui occupe tout le boulevard de Bonne-Nouvelle. Le cortège est chargé à la hauteur de Richelieu-Drouot. Il est convoqué pour une autre manifestation début août. II exprime alors au responsable qui le convoie son désir de se battre autrement qu’en distribuant des tracts. Étonné, celui-ci lui fait confirmer ses propos et lui répond qu’en effet on est en train de recruter des camarades pour tenter d’organiser la lutte armée. Il l’amène alors square Louis XVI où il lui fait rencontrer son futur responsable « Pétrus » (Pierre Tourette). Celui-ci lui demande son âge. André bluffe en annonçant qu’il a seize ans, alors qu’il vient juste d’atteindre ses quinze ans. C’est ainsi qu’il devient un des premiers adhérents de l’Organisation spéciale (OS). 

Compte tenu de l’inexpérience de ses camarades et encore plus de la sienne, plusieurs projets de sabotages ou d’attaques d’officiers allemands n’aboutissent pas. II déclare qu’il,est plus simple de se déplacer seul à la recherche d’un officier isolé. On lui prête alors un petit revolver 6,35 mm avec lequel il abat un Allemand Porte Dauphine le 10 septembre 1941.
II croit avoir tué un officier. Il apprendra des dizaines d’années plus tard qu’il ne s’agissait que d’un sous-officier de la marine (son magnifique uniforme l’avait trompé) et qu’il ne l’avait que blessé.
Il est arrêté par la police française le 9 mars 1942 à un rendez-vous devant la statue d’Albert Ier. Amené à la Préfecture de Police, il est l’objet d’interrogatoires « musclés » pendant deux jours et finalement livré à la police allemande qui reprend les interrogatoires à coups de matraques et de nerfs de boeuf.

Incarcéré, les mains entravées jour et nuit par des menottes, à la deuxième division de la prison de la Santé, il s’attend à être fusillé comme otage ou à la suite d’un procès expéditif.

II est amené le 7 avril 1942 à la Maison de la Chimie où se déroule un procès qui regroupe 27 combattants. Il a raconté le déroulement de ce procès dans le livre Le Procès de la Maison de la Chimie, (Editions de l’Harmattan, 2002). Il pense que ses derniers jours sont venus. Avec stupéfaction, il apprend le 13 avril à la fin du procès qu’il ne sera condamné qu’à dix ans de prison parce que le code militaire allemand ne prévoit pas la peine de mort avant seize ans ! Il a en avril 1942, quinze ans et 8 mois).
Deux autres jeunes combattants, âgés de dix-sept ans (André Aubouet et Kart Schoenhaar), seront condamnés à mort et exécutés le 17 avril.

André est déporté en Allemagne le 4 mai 1942 mais sera enfermé non dans un camp de concentration mais dans une prison puisqu’il a été condamné à une peine de prison. II restera trois ans dans l’isolement le plus total, seul en cellule. C’est là qu’il apprend en 1942 le sort de sa famille : son père Joseph Kirschen et son frère Bernard Kirschen ont été fusillés comme orages le 11 août 1942 au Mont-Valérien, son oncle Bernard Tanenzaph a été déporté sans retour vers Auschwitz (Pologne) par le convoi n° 37 et et sa mère Marie Kirschen a été déportée sans retour vers Auschwitz (Pologne) en septembre 1942 par le convoi n° 38. 

Rapatrié le 8 mai 1945, il a du mal à retrouver une vie normale.

II reprend ses études, interrompues an classe de seconde. Il obtient les deux parties du baccalauréat en « session spéciale » en mars et juillet 1945. II entreprend alors des études d’Histoire et de Psychologie à la Sorbonne. Il est obligé pour gagner sa vie d’exercer plusieurs emplois éphémères (surveillant d’externat à son ancien Lycée) et est professeur de français dans les Ecoles d’apprentissage (futurs lycées professionnels).

Membre du parti communiste jusqu’en 1979, il n’y occupe aucune fonction notable, mais il participera à la lutte contre la guerre d’Indochine puis contre la guerre d’Algérie.

Il se marie en septembre 1953 avec Jeanne-Marie Sorozabal et a deux enfants jumeaux nés le 27 août 1956. Ainsi le groupe familial de quatre personnes qu’il avait connu dans son enfance est reconstitué.

Il crée finalement en 1960 une maison d’édition qui connaîtra des succès et des déboires en raison de ses faibles moyens financiers.

II devient en 1970 directeur d’une maison d’édition appartenant au groupe communiste Odéon-Diffusion, ce qui lui permet d’éditer plusieurs centaines de livres intéressants.

Il sera l’auteur d’ouvrages originaux, notamment les « Journaux du temps passé », reproduction en fac simile au format réel et complets de journaux anciens, formule qui aura un grand succès et sera reprise par de nombreux éditeurs plus importants. Il est l’auteur d’une Histoire du Premier mai

Ayant pris sa retraite officielle en 1992, il entreprend différentes recherches historiques qui l’amèneront à publier outre Le procès de la Maison de la Chimie, un livre consacré à l’Histoire de l’industrie cinématographique : Pathé Natan, la véritable Histoire et Louis Ferdinand Céline ou comment on bâtit une légende (paru en 2004).

AERI Les Amis de la Fondation de la Résistance

10/09/2022

asso 8865

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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
4 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
8 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )

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