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Paris

Région :
Île-de-France
Département :
Paris

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(14/05/1941 - 01/06/1942) Amiral François Marc Alphonse Bard, Préfet de police de la Seine (1889-1944)
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René Bouffet
(19/08/1942 - 19/08/1944) Préfet de la Seine. Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
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(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
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Sidonie Colette

dite Colette
Texte pour ecartement lateral

Paris 75001 Paris
Nom de naissance: Sidonie-Gabrielle Colette
Nom d'épouse: Goudeket
Date de naissance: 28/01/1873 (Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne))
Date de décès: 03/08/1954 (Paris)
Nationalité : Française
Profession: Romancière
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Sidonie-Colette
Maurice Goudeket et Colette
source photo : Arch.
crédit photo : D.R.
Histoire

Colette

Sidonie-Gabrielle Colette née le 28 janvier 1873 à Saint-Sauveur-en-Puisaye (Yonne), et morte le 3 août 1954 à Paris, est une femme de lettres française, connue surtout comme romancière, mais qui fut aussi mime, actrice et journaliste.

Après Judith Gautier en 1910, Colette est la deuxième femme élue membre de l'académie Goncourt en 1945, dont elle devient présidente, entre 1949 et 1954. 

Gabrielle Colette est la dernière des quatre enfants (deux filles et deux garçons) de Sidonie Landoy, dite « Sido », remariée au capitaine Jules-Joseph Colette, saint-cyrien, zouave qui a perdu une jambe lors de la bataille de Melegnano et est devenu percepteur. Elle passe une enfance heureuse dans sa maison natale à Saint-Sauveur-en-Puisaye, un gros village de Bourgogne. Adorée par sa mère comme un « joyau tout en or » au sein d'une nature fraternelle, elle reçoit une éducation laïque. Sido, féministe et athée convaincue qui ne craint pas de troubler le curé de Saint-Sauveur avec son chien ou de lire Corneille caché dans un missel, lui apprend l'art de l'observation, notamment dans le jardin donnant sur la cour de la maison.

La jeune Gabrielle lit très tôt les grands classiques et prend des leçons de français et de style auprès de son père, grand lecteur de journaux. Sido ayant des goûts de luxe que son mari ne peut lui refuser, la famille ruinée doit quitter Saint-Sauveur et s'installe en novembre 1891 à Châtillon-sur-Loing.
Adolescente, Gabrielle rencontre Henry Gauthier-Villars, séducteur compulsif surnommé « Willy », avec qui elle se marie le 15 mai 1893 à Châtillon-sur-Loing. Willy est un critique musical très influent et un auteur prolifique de romans populaires, écrits en tout ou partie par des nègres. Il est aussi l'un des propriétaires de la maison d'édition Gauthier-Villars au 55 quai des Grands-Augustins, et le couple s'installe au dernier étage de l'immeuble. Il introduit sa jeune femme dans les cercles littéraires et musicaux de la capitale où Gabrielle fait sensation avec l'accent rocailleux de sa Bourgogne natale. Surpris par les dons d'écriture de sa jeune épouse, Willy l'utilise elle aussi comme nègre littéraire (le premier manuscrit de Colette date de 1893). Femme inconnue dans le monde littéraire de l'époque, elle signera Colette Willy jusqu'en 1923.

En 1895, il l'engage à écrire ses souvenirs d'école, puis les signe de son seul nom. Ainsi paraît, sous le pseudonyme « Willy », Claudine à l'école, bientôt suivi d'une série de Claudine : Claudine à Paris, Claudine en ménage, Claudine s'en va. Après leur séparation, Colette écrira et signera seule la fin de la série des Claudine avec La retraite sentimentale.

Willy entretient, entre autres, une liaison avec la femme d'Émile Cohl, Marie-Louise Servat, dont il a eu un fils, Jacques Henry Gauthier-Villars, né en 1889, et donc bien avant leur mariage ; c'est d'ailleurs en mettant cet enfant en nourrice à Châtillon-Coligny qu'il rencontre Colette. Celle-ci, jalouse et frustrée, se libère de plus en plus de cette tutelle. En 1905, elle publie Dialogues de bêtes sous le nom de Colette Willy et fréquente assidûment la baronne Madeleine Deslandes « que je vois le soir quand l'ombre a rendu impénétrable les futaies de la rue Christophe-Colomb, car je suis sa relation inavouable ».
Pour gagner sa vie, encouragée par le comédien et mime Georges Wague (1874-1965), elle poursuit de 1906 à 1912 une carrière au music-hall, où elle présente des pantomimes orientales (« la première mime féminine de mon temps » écrit-elle) dans des tenues très légères (la préfecture de police interdit notamment son spectacle de pantomime nu sous une peau de panthère), puis se produit au théâtre Marigny, au Moulin Rouge, au Bataclan ou en province (ces spectacles transparaîtront dans La Vagabonde ou L'Envers du music-hall). Ce sont des années de scandale et de libération morale : après son divorce d'avec Willy en 1906, elle vit plusieurs relations homosexuelles, notamment avec Mathilde de Morny (Missy), fille du duc de Morny et sa partenaire sur scène, en 1911, chez qui elle vit le plus souvent et qui lui a offert la villa Roz Ven à Saint-Coulomb en Bretagne, ou avec Natalie Clifford Barney dite « l'Amazone ». Durant toute cette période, Colette chemine aussi dans sa vocation d'écrivain. Elle publie des ouvrages évoquant ces années, comme La Vagabonde, L'Envers du music-hall ou En tournée.

Après une brève liaison avec Auguste-Olympe Hériot, rencontré à la fin de 1909, elle fait la connaissance d'Henry de Jouvenel, politicien et journaliste, qu'elle épouse en 1912 et qui l'engage à donner quelques billets et reportages au journal Le Matin, dont il est le rédacteur en chef. De lui, à Castel Novel de Varetz en Corrèze, elle a son seul enfant, Colette Renée de Jouvenel, dite « Bel-Gazou » (« beau gazouillis » en provençal). À plus de quarante ans, alors que son mari la trompe, elle couche avec le fils de son époux, Bertrand de Jouvenel, qui a alors seize ans. Cette relation qui dure cinq années nourrit les thèmes et les situations dans Le Blé en herbe. En ce qui concerne Chéri, c'est un fantasme devenu réalité, puisque le livre publié en 1920 a été conçu en 1912, soit quelques années avant sa liaison avec Bertrand de Jouvenel. Le divorce d'avec Henry de Jouvenel sera prononcé en 1923. Comme elle le fera pour Willy dans Mes apprentissages, Colette se vengera de son ex-mari par un roman, Julie de Carneilhan.
En juin 1919, Colette, directrice littéraire du journal Le Matin, contacte Léopold Marchand, figure marquante du théâtre entre les deux guerres, pour contribuer à une nouvelle rubrique dénommée Mille et un Matins. C'est au Matin qu'elle embauche Hélène Picard, qui devient par la suite son amie, comme secrétaire. Colette invite Léopold Marchand dans sa demeure bretonne de Roz Ven à Saint-Coulomb près de Saint-Malo. En 1921, Léopold Marchand collabore avec Colette à l'adaptation théâtrale de Chéri. Il s'occupe de la mise en scène et joue même un rôle. En 1923, il adapte pour le théâtre le roman de Colette La Vagabonde. Colette a publié dans La Jumelle noire l'ensemble des critiques littéraires qu'elle a écrites sur les pièces de Léopold Marchand.

Mélomane avertie, Colette collabore avec Maurice Ravel entre 1919 et 1925 pour la fantaisie lyrique L'Enfant et les Sortilèges. Elle a été l'amie de la reine Élisabeth de Belgique, de Marguerite Moreno, de Renée Vivien, et a eu quelques brouilles avec la célèbre demi-mondaine de la Belle Époque, Liane de Pougy.

Colette préside (dès la seconde année) le jury du prix littéraire La Renaissance créé par Henry Lapauze en 1921 en vue de distinguer « l'auteur du meilleur ouvrage » ; les lauréats de ce prix seront successivement en 1921 Alexandre Arnoux pour Indice 33, en 1922 Henry-Jacques pour un volume de vers intitulé La Symphonie héroïque et Pierre Mac Orlan pour son roman La Cavalière d'Elsa, en 1923 Paul Morand pour Fermé la Nuit, et le romancier belge André Baillon pour la réédition de son livre En sabots, etc. En 1928, elle préside toujours le jury du même prix.
Colette dans son appartement de l'hôtel Claridge, no 74 avenue des Champs-Élysées à Paris, en 1932.
Elle rencontre son troisième mari, Maurice Goudeket, en accompagnant son amie Marguerite Moreno, chez Andrée Bloch-Levalois, au début de l'année 1925.
Colette fréquente assidûment la Côte d'Azur. Elle séjourne un temps dans sa villa de Guerrevieille, à Sainte-Maxime, puis elle s'installe plus longuement à La Treille-Muscate, à Saint-Tropez (auquel elle consacre de nombreux essais ou romans comme La Naissance du jour, Bella Vista, Prisons et paradis ou Journal à rebours), qu'elle quitte en 1938 en se plaignant de l'affluence trop importante de touristes à la suite de la promotion de son maire Léon Volterra. Elle vend alors sa villa à l'acteur Charles Vanel.
En 1932, Colette, qui a besoin de gagner sa vie, ouvre rue de Miromesnil à Paris un institut de beauté qui ne reçoit pas le succès escompté et ferme assez rapidement.

Pendant l'Occupation, elle séjourne quelques mois chez sa fille en Corrèze dans le village de Curemonte puis revient à Paris, avec Maurice Goudeket (qu'elle sauva de la Gestapo), passer toute la durée de la guerre dans son appartement du Palais-Royal au no 9 de la rue de Beaujolais. Immobilisée dans sa « solitude en hauteur » dans son « lit-radeau » (offert par la princesse de Polignac) par une arthrite de la hanche, elle continue d'écrire à partir des fenêtres, véritables portes ouvertes sur le monde.

En 1945, Colette est élue à l'unanimité à l'académie Goncourt, dont elle devient présidente en 1949. Ayant vite compris que la célébrité passe par la maîtrise de son image, elle devient l'écrivain la plus photographiée du xxe siècle. Les Œuvres complètes de Colette sont publiées en quinze volumes par la maison d'édition Le Fleuron, créée par Maurice Goudeket.

En 1952 elle interprète son propre personnage dans le documentaire que lui consacre Yannick Bellon intitulé simplement Colette et qui est devenu un classique du genre, puisqu'il s'agit du seul film qu'elle interprète. En 1953, elle est élevée à la dignité de grand officier de l'ordre national de la Légion d'honneur. Elle compte Jean Cocteau parmi ses voisins. Sur ses vieux jours, celui qu'elle surnomme « son meilleur ami », c'est-à-dire Maurice Goudeket, l'aide à supporter sa polyarthrite, qui ralentit durablement sa production à la fin des années 1940.

Elle meurt le 3 août 1954 au 9, rue de Beaujolais.

Sa réputation sulfureuse conduit au refus par l'Église catholique d'un enterrement religieux. La France l'honore : Colette est la deuxième femme (la première fut Sarah Bernhardt en 1923) à laquelle la République ait accordé des obsèques nationales19,20. Elle est enterrée au cimetière du Père-Lachaise (4e division) à Paris. Sa fille repose à ses côtés.

03/11/2018
Lien : Wikipedia

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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


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1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
4 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
8 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )

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