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Région :
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Préfets :
M. Graux
(26/08/1936 - 15/05/1940)
M. Bouché-Leclercq
(15/05/1940 - 14/11/1941)
M. Roger-Machart
(14/11/1941 - 08/02/1943)
M. Monzat
(08/02/1943 - 24/01/1944)
M. Gomot
(24/01/1944 - 09/1944)
M. Hudeley
(09/1944 - 27/05/1947)
Louis Bourgain
(18/07/1940 - 1944) Vice-amiral, Préfet de de la Vienne et préfet régional de la région de Poitiers (Charente-Maritime (Charente-Inférieure jusqu'en 1941), Deux-Sèvres et Vendée et les parties occupées de la Charente, de Dordogne et de la Vienne. Condamné à huit ans de prison à la Libération (1881-1970)
Jean Schuhler
(06/1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Poitiers (Charente-Maritime (Charente-Inférieure jusqu'en 1941), Deux-Sèvres et Vendée et les parties occupées de la Charente, de Dordogne et de la Vienne)
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La commune des Parthenaisiens
07/12/2011
La rafle du 31 janvier 1944
Il est minuit, ce 31 janvier 1944. Rue Ganne, rue Marcellin-Berthelot, rue du Sépulcre, la même scène se répète. Vingt juifs sont arrêtés par les gendarmes. Vingt personnes, des hommes, des femmes et des enfants, sont emmenées place du Drapeau. Là, les attendent des autobus Brivin réquisitionnés pour la circonstance qui vont d'abord les acheminer à Niort pour quelques jours. Ils seront ensuite transférés au camp de Poitiers le 2 février, puis au camp de Drancy. Le 10 février 1944, le convoi numéro 68 part de Drancy. Il emmène à son bord 1.500 personnes vers Auschwitz, parmi lesquelles tous les Deux-Sévriens.
Deux femmes seulement ont survécu à l'enfer
Ordonnée par les Allemands, cette rafle avait été préparée par le préfet des Deux-Sèvres, Henri Gaumot, et les ordres transmis aux brigades de gendarmerie du département (58 personnes au total seront arrêtées cette nuit-là). Huguette Blum, une jeune femme qui habitait rue Francisco-Ferrer, n'oubliera jamais cette nuit au cours de laquelle elle a assisté à l'arrestation de ses parents : « A minuit vingt, ils sont venus chercher ma famille. En me voyant, ils ont dit que je n'étais pas sur la liste, alors je n'ai pas été emmenée… Prenez un petit bagage ont-ils dit à mes parents… J'ai passé huit jours à Parthenay cachée chez Clovis Macouin* puis j'ai rejoint Paris ».
Huguette Blum avait été arrêtée un an auparavant, à la suite d'une altercation avec un agent de ville qui voulait l'empêcher d'aller voir un match de football. Elle avait alors été internée au camp de Poitiers puis libérée grâce à l'intervention du député Clovis Macouin* Toujours considérée comme déportée, voilà pourquoi elle ne figurait plus sur la liste de personnes à arrêter ce 31 janvier !
A Parthenay deux hommes réussissent à s'enfuir et à se cacher. Gérard Dreyfus sautera par-dessus un mur et courra se réfugier dans une ferme voisine à La Peyratte. Hébergé ensuite par l'un de ses amis, Claude Corniller, il se procurera de faux papiers et quittera la région.
Adolphe Dreyfus, son épouse Lily née Worms et leurs enfants Claude née en 1928 et Gérard habitaient à Parthenay depuis 1940. Rue du Bourg-Belais, la vie suivait son cours tranquillement et Adolphe Dreyfus ne sentait pas le piège se refermer. Ancien officier alsacien, Israélite français, et patriote, il n'avait « rien à se reprocher ». Alors, pourquoi se méfier ? Mais, cette nuit-là, quand la sonnette a retenti, l'homme a compris que l'incroyable était à sa porte.
" Fous le camp fous le camp ! "
« Fous le camp, fous le camp ! », dira-t-il à son fils. Gérard Weill, lui, s'enfuira par les toits et trouvera refuge chez une amie. Par l'intermédiaire du député Clovis Macouin*, il obtiendra de faux papiers et pourra rejoindre Paris.
A Parthenay, 47 personnes avaient été recensées comme étant de confession juive en 1940, 20 furent arrêtées le 31 janvier 44, 4 en dehors des rafles, et 23 réussirent à s'enfuir à temps. Deux femmes seulement survivront à l'enfer du camp d'extermination : Yvette Baum et Gisèle Atlan, une autre ayant été libérée à Drancy : Marie-Rose Panzani.
Des femmes dénoncées
Qui se souvient aujourd'hui d'Anna Golstein et de sa fille Charlotte, qui tenaient un magasin de tissus au 14, rue Jean-Jaurès et qui furent dénoncées parce qu'elles ne portaient pas l'étoile jaune ? Et de Mathilde Weil, la mercière du 58 de la même rue, dont les biens furent saisis et vendus et dont toute la famille fut arrêtée en franchissant la ligne de démarcation ? Pendant ce temps-là, des Français écrivaient au préfet à la recherche d'un magasin juif à vendre… à un prix intéressant ! D'autres encore furent arrêtés sur dénonciation, en dehors des rafles. Ce fut le cas de Jean-Jacques Blum qui habitait rue Marcel-Sambat. Il fut arrêté dans une épicerie de la place Picard, le 1er février 1943 pour « propos anti-Allemands ». Sa femme et sa fille se cachèrent dans la cave de M. Marolleau qui habitait rue des Batteries. Sylvianne Arnaud, quant à elle, tenait une pharmacie à L'Absie. Elle eut le triste privilège d'être dénoncée comme juive par un pharmacien concurrent, alors qu'elle ne l'était pas. 1
Ils ont aidé des juifs
Des Parthenaisiens aidèrent des juifs. Ce fut le cas du Dr Breiffeil qui établit de faux certificats médicaux pour protéger une personne hospitalisée. La directrice de l'école de La Couldre, Léontine Lemanner, en fit également partie. Elle allait à Paris chercher des enfants juifs qu'elle cachait dans l'école : cinq purent ainsi être sauvés. Il y eut aussi ce gendarme, Frédéric Augé, qui demanda à sa femme d'aller prévenir la famille Atlan qu'il y aurait une rafle dans la nuit. D'autres encore sauvèrent des juifs : la famille Chattelier (photographes, avenue de la Gare) avait une employée juive, Hortha Kraemer. Ils lui conseillèrent de ne pas se faire inscrire au recensement du 15 octobre 1940. Puis elle partit pour la zone libre avec son fils Raymond. Au Retail, près de Secondigny, le jeune Roger Mitrani se cacha chez Emile Nargeot, puis chez Siméon Geffard. Une famille juive fut cachée à la Parthenaisière de Fenioux. Un autre juif trouva refuge à Chicheville (près du Beugnon), chez M. Croisé, jusqu'en 1943.
26/02/2023
Auteur : Gil Beucher avec cor. NR, J.-C. Giraud
Source : Article de presse relevé dans la Nouvelle République du 31/01/2014
Lien : La Nouvelle République
Paul-Marie Grouanne
(1939-1941)
>> Voir les 8 familles arrêtées dans la commune <<
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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog
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(1941-1944)
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(1945-1953)
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François Naffrechoux (Clussais-la-Pommeraie)
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Familles réfugiées à Parthenay
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Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
8 Familles arrêtées (Parthenay)
[Compléter]
1944
Famille Baer - Marcel, né le 18/11/1901 à Sonetz, marchand de bestiaux, fils de David et Blanche, et son épouse Marthe vivaient à Soultz-sous-Forêts et étaient réfugiés à Parthenay.
Marcel, 43 ans, est arrêté parce que juif et déporté sans retour de Drancy vers Auschwitz le 10/02/1944 par le convoi n° 68.
Déportation : 10/02/1944
convoi no 68
Source : Daf Ed - Simone Cahen née Baer
1944
Famille Baum - Simon, né le 06/02/1881 à Schweighouse (Haut-Rhin), marchand de houblon, fils de David et Karolin née Kohen, Blanche née Bloch le 15/06/1891 à Trimbach (67), et leurs enfants Yvonne et André, habitaient 8, rue des Roses au Haguneau et étaient réfugiés à Parthenay, rue Ganneron avec les parents de Blanche, Charles, né à Trimbach (67) et Justine née Kahn en 1858 à Kolbsheim (67), fille de Minette et Marx.
Charles, 86 ans, Justine, 86 ans, Simon, 63 ans, Blanche, 53 ans, et Yvonne sont arrêtés parce que juifs et déportés sans retour vers Auschwitz le 10/02/1944 par le convoi n° 68.
Déportation : 10/02/1944
convoi no 68
Source : Daf Ed - André Baum
1944
Famille Bloch - Max, né le 24 mars 1897 à Frimbach, commerçant de bestiaux, son épouse Yvonne née Baer, le 29 mars 1904 à Soultz-sous-Forêts (Bas-Rhin), et leur fils Claude, né le 1 juin 1928 à Haguenau (Bas-Rhin), habitaient 8, rue des Roses à Haguenau. Il était réfugié à Parthenay, 48, faubourg Kléber.
Arrêtés parce que Juifs, Max, 46 ans, Yvonne, 40 ans, et Claude, 16 ans, seront déportés sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 68 du 10 février 1944.
Déportation : 10/02/1944
convoi no 68
Source : Daf Ed - André Baum
1943
Famille Blum - Jean-Jacques, né à Colmar (68) le 12/05/1886, est le fils Jules Blum et de Marguerite Lévy. Élève au Lycée Bartholdi de 1892 à 1901, il est négociant. Dénoncé pour "offenses à l'armée allemande", Jean-Jacques, 57 ans, est arrêté et sera déporté sans retour de Drancy à Auschwitz le 31/07/1943 par le convoi n° 58.
Déportation : 31/07/1943
convoi no 58
JO : Shoah Names Database
31/01/1944
Famille Blum - Isaac Blum, né le 06/01/1887 à Dambach (Bas-Rhin), ingénieur, et son épouse Sara née Simon le 22/01/1898 à Diemeringen (Bas-Rhin), habitaient Strasbourg avec leurs enfants. Réfugiés à Parthenay, Isaac, 57 ans, et Sara
, 46 ans, sont arrêtés parce que juifs dans la nuit du 31 janvier au 1er février 1944 et déportés sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 68.
Déportation : 10/02/1944
convoi no 68
Source : Daf Ed - Huguette Meyer née Blum
05/08/1942 -
La circulaire n° 2765 du secrétaire général à la Police envoyée au préfet régional de Limoges vise les étrangers suivants en vue de leur transfert en zone occupée : "Les israélites allemands, autrichiens, tchécoslovaques, polonais, estoniens, lituaniens, lettons, dantzicois, sarrois, soviétiques et les réfugiés russes entrés en France postérieurement au 1er janvier 1936 incorporés dans des groupes de T.E., hébergés au centre du Service social des étrangers, dans les centres des comités privés ou dans ceux de l'UGIF, placés dans les centres de regroupement israélites en application des circulaires du 3 novembre 1941 et du 2 janvier 1942 ainsi que ceux en résidence libre, seront transportés en zone occupée avant le 15 septembre". La circulaire exclut quelques catégories de Juifs, dont les vieillards de plus de 60 ans, les enfants de moins de 18 ans non accompagnés, les femmes enceintes...
26/08/1942 -
Rafle de Juifs réfugiés en Limousin. 446 Juifs dont 68 enfants de la région sont regroupés au camp de Nexon sont acheminés vers Drancy le 29 août 1942 et déportés vers Auschwitz par les convois n° 26 et 27.
08/10/1942 -
Rafle des Juifs en Charente dans la nuit du 8 au 9 octobre 1942.
05/1943 -
Implantation du mouvement Libération-Nord.
31/01/1944 -
Dernière grande rafle des Deux-Sèvres.
31/01/1944 -
Grande rafle ordonnée par le Préfet de région Poitou-CharentesLencloître France
15/08/1944 -
Naissance des FFI dans les Deux-Sèvres sous les ordres de "Chaumette".
09/1944 -
Prise de fonction du Comité Départemental de Libération.
06/09/1944 -
Libération officielle des Deux-Sèvres.
06/09/1944 -
Prise de fonction du Préfet René Hudeley.
29/04/1945 -
29 avril et 13 mai : Élections municipales.
23/09/1945 -
23 et 30 septembre : Élections cantonales.
21/10/1945 -
Élections législatives d'une Assemblée Constituante.
Auteur :
Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
2 Comité national français en hommage à Aristides de Sousa Mendes
3 Connus ou inconnus mais Justes (C’est dans le sillon creusé par Aristides de Sousa Mendès, Madeleine Barot, Charles Altorffer, Marc Boegner, Henry Dupuy, Raoul Laporterie… que s'ancre le souvenir de tous ces Justes que la modestie pourrait renvoyer à l’oubli et à l’indifférence.
Ce livret du Crif Sud-Ouest Aquitaine, écrit et coordonné par Hellen Kaufmann, présidente de l'AJPN, rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. La moindre des choses était de leur permettre de dire et de déposer leur histoire, pour que l’avenir ne les oublie plus jamais, ni eux ni les anonymes qui ont aidé au sauvetage de Juifs. )
4 Victime en représailles à Mussidan
5 Souvenir Français Loudun - GABORIAUD Alphonse (Site du Souvenir Français - Comité de Loudun Page GABORIAUD Alphonse )
6 Souvenir Français Loudun - ROWEK Albert (Souvenir Français Comité de Loudun - Page ROWEK Albert )
7 Les neufs jours de Sousa Mendes - Os nove dias de Sousa Mendes (Documentaires de Mélanie Pelletier, 2012.
Avec António de Moncada de Sousa Mendes, Andrée Lotey, Elvira Limão, Hellen Kaufmann, Manuel Dias Vaz, Irene Flunser Pimentel, Esther Mucznik, José Caré júnior, Marie-Rose Faure, Maria Barroso… et António de Oliveira Salazar, Charles de Gaulle, le Maréchal Philippe Pétain, et le rabin Haïm Kruger. )
8 Jean Amado Juif à Niort
9 De l'autre côté des nuages
10 Marsac 23210 La population remerciée (Article du Journal La Montagne du 04/07/2021: la population est remerciée pour avoir protégé des familles juives. Trois familles ont été honorées. )
- 1 - NDLR : par respect pour leurs familles, nous ne citons pas les noms des délateurs, même si ceux-ci sont identifiés.
*** Chateau d'Oriou - 79 Saint Maxire Déposée le 27/08/2012
Je recherche des témoignages sur Mme Lambert (amie de Mme Gonse Boas) qui à recueilli 25 enfants de 1940 jusqu'à la fin de la guerre dans son château d'Oriou commune de Saint-Maxire; Mme Gonse Boas et sa fille y ont séjourné quelques temps. Mme Lambert à reçu une médaille pour ses actes.
[répondre]
Répondue le 04/10/2023
Je suis le petit-fils de Madame Lambert, décédée en 1971 et toujours propriétaire du Château d'Oriou qui fut pendant la seconde guerre mondiale le refuge entre autre, de la famille Gonse et pendant plusieurs années le refuge de nombreux enfants séparés de leur famille et recueillis par la "Nouvelle Etoile" et accueillis par ma Grand-mère.
Répondue le 04/10/2023
Je suis le petit-fils de Madame Lambert, décédée en 1971 et toujours propriétaire du Château d'Oriou qui fut pendant la seconde guerre mondiale le refuge entre autre, de la famille Gonse et pendant plusieurs années le refuge de nombreux enfants séparés de leur famille et recueillis par la "Nouvelle Etoile" et accueillis par ma Grand-mère.
*** chateau de chiché Déposée le 07/07/2015
bonjour,
je recherche des témoignages sur le centre de la croix-rouge du château de chiché pendant la guerre 1939-1945.
[répondre]
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