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Région :
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Robert Bach
(1941 - 1943) Préfet de la Haute-Loire
Charles Chevreux
(1941 - 1941) Jacques Charles Adrien Chevreux, Préfet de la région de Clermont-Ferrand (Cantal, Haute-Loire, Puy-de-Dôme et la partie non-occupée de l'Allier)(1883-1951)
Paul Brun
(1942 - 1944) Paul Ferdinand Eugène Brun, Préfet de la région de Clermont-Ferrand (Cantal, Haute-Loire, Puy-de-Dôme et la partie non-occupée de l'Allier) (1892-1965)
Henri Ingrand
(1944 - 1946) Commissaire régional de la République (Cantal, Haute-Loire, Puy-de-Dôme et la partie non-occupée de l'Allier)(1908-2003)
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Temple de Freycinet de Saint-Jeures source photo : Arch. Haute-Loire crédit photo : D.R. | |
Le village de Saint-Jeures, vu du Suc du Mounier source photo : Berrucomons crédit photo : D.R. |
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La commune des Saint-Jeurois
Saint-Jeures est une petite commune de la Haute-Loire.
En 1876, la commune cède une portion de son territoire communal, avec également une contribution de celle de Tence, pour la création de la commune de Chenereilles.
Lors du recensement de 1962, la commune comptait 954 habitants.
11/12/2012
Résistances spirituelle et armée dans le pays du Mont Lizieux 1940-1944
L’histoire de la Montagne a une montagne toute particulière : le mont Lizieux (1388 mètres). Ce mont symbolise le pays. Il est au centre de la résistance spirituelle, notamment protestante, d’abord avec les Juifs puis avec les réfractaires du Service au Travail obligatoire qui font naître les maquis. Nous voudrions en quelque sorte réaliser une histoire de la Montagne, non à partir d’un bourg donné, mais de la montagne-refuge elle-même, qui se partage entre les communes d’Araules, Champclause, Saint-Jeures et Le Mazet-Saint-Voy et ses 6000 habitants d’alors.
I. Le pays du Lizieux : d’un pays traditionnel à un pays-refuge judéo-protestant
Si nous lisons les archives du registre du conseil municipal du Mazet ou d’Araules, le mont Lizieux est d’abord une réserve de bois et de genêt dans une période de restrictions. Le premier refuge est donc matériel.
Face au maréchal Pétain, le cultivateur de la Montagne n’est pas plus iconoclaste qu’un autre. Il n’est pas hostile à la personnalité patriotique du maréchal Pétain, qui est attentif de surcroît au sort matériel et moral des paysans. En revanche, il se méfie rapidement du gouvernement du Vichy, du cléricalisme ambiant. Les premiers suspects de la Montagne fin 1941 ne se trouvent pas cependant autour du mont Lizieux, mais au Chambon-sur-Lignon, avec l’élite protestante.
Plusieurs centaines de Juifs résident sur la Montagne par différents moyens : hôtels, pensions de famille, homes d’enfants, pièces d’accueil chez le paysan. Est-ce que les communes d’Araules, Champclause, Saint-, Le Mazet-Saint-Voy sont à l’écart ou au coeur de ce refuge ?
Premier élément : l’organisation du refuge, matériel, intellectuel et moral, passe par Le Chambon. Mais la diffusion du refuge, dans l’urgence de contrer les rafles dans un deuxième temps, passe par le monde paysan de toutes les communes environnantes, surtout à travers l’organisation d’une fuite vers la Suisse. Le témoignage du passeur Pierre Piton montre toute l’importance de cet arrière-pays afin de "passer au vert".
Deuxième élément : l’hostilité du monde réformé sur la Montagne aux rafles trouve le témoignage de l’élite, comme l’accueil pour le moins difficile du secrétaire général de la jeunesse Georges Lamirand au Chambon. Sa visite à Tence est parfaite ; quant au Mazet, il ne s’y déplace pas. Mais le monde populaire et paysan, surtout réformé, de la Montagne, désapprouve tout autant les rafles de l’été 1942. Les aspects spirituels de rapprochement judéoprotestant, à travers la lecture de la Bible et les souvenirs des persécutions, sont clairement perceptibles, chez les réformés comme chez les darbystes ou l’Eglise du Riou5.
Troisième élément : La cinquantaine de Juifs qui arrivent au pays du Lizieux semblent venir plutôt en 1943-1944. Ce ne sont pas les premiers arrivés, mais plutôt ceux qui se cachent dans l’incognito. Ils font peut-être moins partie de l’élite juive comme au Chambon. Ils sont placés dans des familles et apportent un coup de main supplémentaire, nécessaire, dans le travail de la terre, comme le jeune François Stupp à Araules.6
II. Contre le STO et avec le maquis
Le refus en bloc de la loi du 16 février 1943 sur le Service du Travail Obligatoire trouve son illustration avec l’arrivée des nombreux réfractaires dans le pays du mont Lizieux : réfractaires autochtones, souvent protestants, jeunes gens de la Loire ou du Puy-de-Dôme. Le refuge des Juifs peut être utilisé pour les jeunes réfractaires du STO. Les familles cachent des leurs7.
Les opérations de gendarmerie se concentrent autour du Lizieux à l’été 1943 sans obtenir beaucoup d’arrestations. En août 1943, le service des renseignements de la France Libre à Londres le Bureau Central de Renseignements et d’Actions (BCRA) signale : "la région du Chambon-Mazet abrite actuellement plusieurs milliers de jeunes"8. Au cours de l’année 1943, le particularisme protestant joue de nouveau à plein pour le refuge des jeunes réfractaires qui trouvent dans le pays du Lizieux, un refuge exemplaire, peut-être un des plus importants dans les deux départements de la Haute-Loire et de l’Ardèche.
Fin 1943 et début 1944, la présence des maquis de plus en plus active et opérationnelle devient une menace. Le sous-préfet d'Yssingeaux en février 1944, après une visite dans le pays, ne distingue plus les réactions des deux populations religieuses face au maquis. Son jugement sur l'état d’esprit est alors plus global : la crainte domine.
Au cours de la journée du samedi 22 avril 1944, l’horreur est atteinte pour la première fois en Haute-Loire. Des Allemands, accompagnés de quelques civils parlant le français, non-miliciens, semble-t-il, "littéralement terrifient" le pays du mont Lizieux. Ils assassinent sauvagement cinq résistants FTP et quatre cultivateurs sur les communes d’Araules (Arnissac, Montbuzat, "Chièze" et "Majal") et d’Yssingeaux ("La Champ des Cayres"), entre les massifs du Lizieux et du Meygal. Trois fermes sont brûlées et cinq personnes prisonnières. C’est l’événement le plus sauvage de l’histoire de la Montagne pendant ces années dramatiques. Début juin 1944, contre ces "hordes', un tract demande "vengeance".
Avec l’annonce du Débarquement, la Montagne se libère une première fois en juin 1944 avec les FFI, mais commence alors une période trouble, incertaine, sans gendarmerie, où l’Allemand et le milicien peuvent toujours revenir. Les maquis tiennent la Montagne, avec les places fortes des monts Lizieux, Meygal et Mézenc. Les parachutages de juillet-août peuvent rassurer. La Libération se manifeste surtout par l’arrivée, début septembre, de l’armée française d’Afrique.
L’épuration sauvage, puis judiciaire, est modeste. En revanche, comme ailleurs, les haines de village redoublent. Au Mazet, le maire sous l’Occupation, Pierre Salque, conseiller départemental en 1942, est réélu. A l’élection du maire le 12 mai 1945, sur 14 bulletins, treize se prononcent pour Pierre Salque, un vote pour Lucie Ruel* ; les nouveaux conseillers sont sept hommes et une femme sur quatorze.
Le "génie du lieu" dans ce pays du Lizieux est donc réel entre 1940 et 1944 avec les différents combats de la Résistance française : du type-même du refuge juif en pays huguenot à la photographie la plus célèbre d’un maquis de France, prise à Boussoulet à la fin du printemps 1944.
François Boulet, professeur agrégé, docteur en histoire, membre du Conseil d’Administration de la Société d’Histoire de la Montagne, auteur de "L’état d’esprit en Haute-Loire 1940-1944 : des refuges aux maquis, Le Puy-en-Velay", in Les Cahiers de la Haute-Loire, Société d’Histoire de la Montagne, 2003.
11/12/2012
Auteur : François Boulet
Lien : Bulletin du Mazet-Saint-Voy
Victor Ruel
Président du comité local de libération (1944-1945)
Victor Ruel
Maire (1945-1965) Premier maire protestant de Saint-Jeures (Source : Histoire locale du Mazet-Saint-Voy).
Charles Delizy
*
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06/09/1940 -
Le général Cochet, ancien commandant des Forces aériennes de la Ve armée lance de la Haute-Loire son premier appel à la Résistance.
25/08/1942 -
Rafle des Juifs étrangers effectuée par la police et la gendarmerie française dans la nuit du 25 au 26 août.
11/11/1942 -
Les Allemands et les Italiens se partagent la zone dite "libre".
29/06/1943 -
Rafle de la Gestapo à la Maison des Roches au Chambon-sur-Lignon. Dix-huit pensionnaires et le directeur, Daniel Trocmé*, sont arrêtés. Ils seront déportés : cinq jeunes juifs mourront à Auschwitz et Daniel Trocmé à Maïdanek.
08/05/1945 -
L'Allemagne capitule.
2 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" )
3 Le site du poète Pierre Emmanuel (Le site officiel du poète Pierre Emmanuel. Vous y trouverez aussi des pages sur sa vie et son action à Dieulefit durant la guerre, à Beauvallon, puis à la Roseraie. )
4 Guy Sanglerat, ancien membre du Coq Enchaîné (Le Coq Enchaîné était un réseau de résistance de la région qui pendant l'occupation allemande rassemblait des syndicalistes, des socialistes et des radicaux de la mouvance d’Édouard Herriot. Membre du réseau, Guy Sanglerat publie ses souvenirs.. )
5 Le Coq enchaîné (Le Coq enchaîné : un journal clandestin sous l'occupation allemande. Le premier numéro fait son apparition en mars 1942. Les membres du Coq Enchaîné mèneront aussi des actions de résistance. Il a compté jusqu'à 400 membres. Le réseau sera décimé en 1943. Guy Sanglerat raconte ... )
6 Les archives du conseil général de Savoie (La liste des 168 "travailleurs israëlites" en partance de Ruffieux, établie le 24 Août 1942. )
7 Là où coule le Gier (La guerre, énorme chaos bouleversant les vies. Tel est le décor dans lequel évoluent René et Aima. De leur jeunesse à leurs combats, l'auteur nous invite à les suivre dans cette aventure où chacun fera preuve d'un courage incroyable. Ce roman, basé sur des faits réels, nous emmène de la Vallée du Gier dans la Loire à Clermont-Ferrand et nous fait traverser certains camps de concentration en Allemagne en suivant le parcours de deux jeunes gens que la vie a forgé pour combattre aussi bien dans l'univers ouvrier des années 30 que pendant la seconde guerre mondiale avec leur implication dans la résistance. Cette plongée dans le passé a nécessité de nombreuses recherches suivies d'une longue enquête menée sur la vie de ces deux personnages. )
8 Marianne Cohn (Page dédiée à Marianne Cohn et à ses compagnons de résistance. Un mois avant d"être arrêtée, elle a sauvé ma tante Eva et mon père Maurice Finkelstein )
9 L'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 (Page consacrée à l'ouvrage "L'attentat de la Poterne, un drame au cœur de Clermont" (2015).
Cette étude sur l'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 recoupe des documents d'archive à des témoignages oraux et écrits. Elle reprend de manière chronologique les évènements, de l'attentat de résistants sur un détachement allemands à l'immensité des représailles qui ont suivi : incendie d'immeubles, nombreuses arrestations, déportations et condamnations à mort.
)
10 "Objectif Lyon !"
11 Laurent Neury, l'espoir au bout du pont. Histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019
12 L'abbé André Payot, résistant et chef de réseau (Biographie détaillée d'André Payot et de ses activités de résistant durant la seconde guerre mondiale à Chamonix et Vallorcine (Haute-Savoie). Livre écrit par Jean-Luc de Uffredi, publié en 2019 aux éditions les Passionnés de bouquins. )
*** Famille Goron- Yssingeaux Déposée le 08/02/2014
Recherche tout renseignement sur la famille/les personnes/école-internat, qui aurait accueilli , ou qui aurait connu Yvonne et Jean-Claude GORON, vers 1940, (plus tard leurs parents Sacha et Marguerite GORON, les auraient rejoint aussi)
Ils ont rencontrés là-bas la famille de républicains Espagnols RAGASSOL.
La famille Goron a finalement fui vers l´Espagne et après au Mexique.
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