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Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
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Hauts-de-Seine

Région :
Île-de-France
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Nanterre


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Jean-Pierre Guéno
Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

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Le pont - Un adolescent de l'Exode à la Libération (1940-1944)

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Département des Hauts-de-Seine en 1939-1945


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Departement des Hauts-de-Seine en 1939-1945
La préfecture des Hauts-de-Seine, à Nanterre
source photo : www.fdpi.eu
crédit photo : Old 326
Histoire
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.

Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin.
La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.

Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées.
Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice.

Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands. La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km : Ain, Allier, Charente, Cher, Dordogne, Gironde, Indre-et-Loire, Jura, Landes, Loir-et-Cher, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Vienne.
La Demarkationsline disparaîtra le 11 novembre 1942, après l’occupation totale de la France.

Les proscrits du régime
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils seront massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront. Les Tsiganes sont internés dans les camps français. Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.

Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.


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Toutes les communes des Hauts-de-Seine

Les camps et les lieux d'internement des Hauts-de-Seine

Camp de Meudon 92190 Meudon
Fort du Mont Valérien 92150 Suresnes
Stade Buffalo 92120 Montrouge
Stade de Colombes 92700 Colombes

Les lieux de sauvetage des Hauts-de-Seine

Centre de l'UGIF Neuilly 92200 Neuilly-sur-Seine
Château de Boucicaut 92260 Fontenay-aux-Roses
Clinique des diaconesses 92200 Neuilly-sur-Seine
Compagnie des Filles de la Charité de Saint-Vincent-de-Paul 92200 Neuilly-sur-Seine
École nationale de cadres féminins 92210 Saint-Cloud
Institution de la Croix 92160 Antony
La petite famille 92310 Sèvres
Le petit monde 92190 Meudon
Les Bruyères 92310 Sèvres
Les Sœurs de Saint-Vincent-de-Paul 92190 Meudon
Maison d'enfants de Sèvres 92310 Sèvres
Nouvelle Étoile des Enfants de France 92400 Courbevoie
Petit collège Saint-Jean 92300 Levallois-Perret
Refuge Israélite de Neuilly 92200 Neuilly-sur-Seine
Soeurs de l'oeuvre éducatrice de La Ruche 92200 Neuilly-sur-Seine

Les 51 Justes parmi les Nations des Hauts-de-Seine


8 Familles hébergées, cachées ou sauvées des Hauts-de-Seine[Compléter]

Colombes

1943 Famille Goldhamer - Joseph et Hélène passèrent 8 mois cachés à Colombes chez Elbis* et Yervante Beurkdjian*, à Colombes, jusqu'à l'été 1943.

Levallois-Perret

Famille EMILIANO JORGE HIDALGO - Emiliano Jorge Hidalgo1921 - 1942 Né(e) 15.7.1921 à Seca (La) Décédé(e) 4.2.1942 à Hartheim BIOGRAPHIE Emiliano JORGE HIDALGO était un républicain espagnol qui a mené la guerre d'Espagne contre les troupes de Franco. Né en 1921, il était encore mineur, puisque la guerre d’Espagne a commencé en 1936. En train de perdre la guerre, il a dû partir en exil pour la France, où il a été détenu dans un des camps de concentration français sur les plages d'ARGELES, ST CYPRIEN ou BARCARES. C’est là qu’il a probablement été recruté pour travailler en tant que mécanicien (c'est le métier qui est mentionné dans le registre du camp de MAUTHAUSEN) dans une usine de LEVALLOIS PERRET, et que la famille CLAUS, qui vivait au 32 passage Trébert, dans le quartier des chiffonniers, l'a recueilli, entre 1937 et 1939 (incertitude dans les dates). Selon une source familiale il serait resté dans cette famille (arrières grand-parents de mon mari) pendant une assez longue période. La famille CLAUS était composée d’Eugénie et d’Auguste CLAUS, ainsi que de leurs deux fils, Roland et André, tous deux à peu près du même âge qu’Emiliano. Dans une lettre trouvée dans les archives familiales il demande à Roland de ne pas suivre l'exemple de son frère André (le grand père de mon mari), qui s'est retrouvé en prison pour avoir fabriqué de fausses cartes d'alimentation, début de l'année 1940. Roland a par la suite été tué par les Allemands, en 1942. Suite à l’appel national du 1er septembre 1939, Emiliano s'est engagé volontairement et s’est fait enregistrer au bureau central de recrutement de Seine sous le matricule 7313. Enrôlé dans le 22ème RMVE (régiment créé le 24 octobre 1939, composé en grand partie d’Espagnols), il a dû partir ensuite pour une période d’entrainement au camp de Barcarès, en Avril 40. C’est peut-être là qu’il a écrit la lettre adressé à Roland, car il semble "attendre" de partir sur le front et il donne de ses nouvelles à cette famille, de laquelle il est donc vraisemblable qu'il soit à ce moment-là éloigné géographiquement. Début mai 1940 le 22ème RMVE, composé de 2500 hommes, et renommé le régiment des bouts de ficelles, tant ses équipements faisaient peine à voir, rejoint le front en Alsace, puis dans la Somme. Le 26 mai le 22ème RMVE est anéanti par les chars Allemands à VILLIERS CARBONEL. Emiliano est alors fait prisonnier par la Werhmacht, comme 800 autres de ces compagnons d’infortune. Regroupés dans un Front Stalag, ils seront ensuite transférés dans un camp de prisonnier de guerre, après un interminable voyage en train à bestiaux. Il est ensuite détenu dans le stalag VI C de BATHORN sous le numéro d'immatriculation 36633. Le 22 juillet 1941, il est transféré à MAUTHAUSEN sous le numéro de prisonnier 3271. Il est envoyé ensuite au sous-camp de GUSEN le 20 octobre 1941 sous le numéro 13546. Malade, il finira dans le bloc 32, sélectionné pour être gazé le 4 février 1942 au château d'HARTHEIM, à l'âge de 20 ans, 6 mois et 25 jours. A noter que sur les documents du camp de MAUTHAUSEN il

Meudon

1942 - 1944 Famille Deutscher - Ida et sa fille Henriette.

Neuilly-sur-Seine

Famille Bakalja - Esther, née le 06/02/1931, Marguerite, née le 27/02/1932, et Sarah, née le 18/09/1933, toutes trois à l'hôpital Rothschild à Paris dans le 12e arrondissement.

Famille Czarnobroda - Jacques Czarnobroda (24 ans en 1941) fut protégé à Neuilly-sur-Seine par Lucienne Blanchot* qui l'hébergea pendant trois semaines avant de l'envoyer chez ses parents Édouard Félix* et Francine Bondoux* à Glux-en-Glenne dans le Morvan.

Sèvres

Famille Farhi - Claude et Estelle, deux des trois enfants de Raphaël (Rudolph) Farhi, sont placé à La petite famille.

06/1941 - 09/1943 Famille Ségal - Le petit Claude Ségal, né en 1932, arrivé au pensionnat en juin 1941 avec sa soeur Monique, née en 1937. Ils y demeureront jusqu'en septembre 1943.

Famille Tuschneider Lang - Éva et ses deux sœurs sont sorties du camp de Rivesaltes par l’O.S.E. Après un séjour au centre de Palavas-les-Flots et la rafle du 27 août 1942 dans la maison du Couret en Haute-Vienne, elles sont envoyées sous le nom de "Drapier" à la Maison des Basses-Fontaines située dans le village de Saint-Laurent-des-Eaux, dirigée par Mme Chautard. Après une visite de la police, les fillettes sont envoyées en Indre-et-Loire, dans une autre maison du Secours National : le Château du Coudray. Elles reviendront ensuite aux Basses-Fontaines, avant de partir pour la Maison de Sèvres.


27 Familles arrêtées dans le département [Compléter]

Asnières
02/03/1944 Famille Kahn - André Kahn, né à Maisons-Laffitte en 1888, commerçant, et son épouse Jane, née Weill, habitaient 7, villa des Basses Bruyères à Asnières (Hauts-de-Seine) avec leurs trois enfants, Francine, née le 18/02/1929 à Paris 9e, Danièle, née le 05/01/1932 à Asnières, et Marcel, né le 18/07/1936 à Asnières. En 1944, le frère d'André, Lucien Kahn et son épouse Hélène née Oswald étaient venus se réfugier chez eux après que leur habitation à Ivry avait été bombardée.
Le 2 mars 1944, André, Jeanne, Francine, 15 ans, et Marcel, 7 ans et demi, ainsi que Lucien et Hélène Kahn, sont arrêtés par la police parce que juifs. Ils seront tous internés à Drancy, puis déportés sans retour par le convoi n° 69, parti de Drancy pour Auschwitz le 7 mars 1944.
Danièle, qui était au Lycée Racine, échappe à la rafle.
Déportation : 07/03/1944 convoi no 69

Boulogne-Billancourt
Famille Schmitko - Lucienne, Boris et Henri Schmitko sont tués durant les bombardements de Boulogne-Billancourt en mars 1942.

Bourg-la-Reine
??/??/1941/4 Famille Sztejnberg - Les parents Sztejnberg et leurs deux fils habitaient à Paris, dans le 3e arrondissement. Nyssen, né le 13/09/1912 à Kaluszyn (Pologne), était tailleur et Bajla (Bella), née Alterman le 15/01/1910 à Kaluszyn (Pologne), était finisseuse. Bajla est arrêtée pour vérification d'identité à Bourg-la-Reine en revenant de la Ferme de la Matelotte à coté de Cerdon, dans le Loiret, en 1941-42 où son mari Nyssen était interné. Bajla est relâchée mais sera arrêtée à nouveau lors de la rafle du Vel d'Hiv avec ses 2 fils : Henri (Henieck), né le 13/04/1934 à Paris 10e, et Marcel. Internés à Beaune-la-Rolande, Bajla, 32 ans, sera déportée sans retour du Camp de Pithiviers à Auschwitz par le convoi n° 16 du 07/08/1942 et Henri, 8 ans, par le convoi n° 34. Nyssen, 30 ans, avait été déporté sans retour le 17/07/1942 du Camp de Pithiviers à Auschwitz par le convoi n° 6. Seul Marcel survivra.
Déportation : 17/07/1942 convoi no 6, 16, 34

Clamart
Famille benusiglio -
Déportation : 15/5/1944 convoi no 74
Date d'exécution : 6/1944
JO : jo 2007 p17115/17118


Famille blaska -
Déportation : 13/02/1943 convoi no 48
Date d'exécution : 18/2/1943
JO : jo 215 p 9334/9337

>> Voir les 27 familles arrêtées dans le département <<

Chronologie [Ajouter]

7/04/1942 - François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
10/1940 - Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
20/08/1941 - Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
16/07/1942 - 16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.


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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
4 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
5 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )

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***  André Delval Résistant mort à 17 ans à Toulon Déposée le 28/02/2021

    Bonjour,
    Je recherche tout renseignement concernant André Delval né le 08/08/1927, mort de ses blessures le 25/08/1944 à Toulon.
    Il aurait été blessé en montant au fort de Toulon en amenant du ravitaillement pendant la libération. Je ne sais pas quel fort.
    Je ne sais pas quel type de blessures, à quel endroit il a été blessé. Je ne connais pas ses compagnons de combat.
    Une rue aurait porté son nom . Je n'ai rien trouvé en ce sens.
    N'étant pas d'origine de Toulon, et à 16 ans, je ne sais pas pourquoi il y est allé.
    Il est rentré en résistance en janvier 1944 dans le CFL Savelli.
    Il est mort à l'hopital St Anne.Je sais ou il est enterré.
    Il aurait vécu dans le quartier de Valbourdin et route nationale. Je ne sais pas chez qui.
    Un André Delval est sur le monument aux morts du quartier de Valbourdin. Je suppose que c'est lui.
    Je joint une photo. J'aimerai trouver l'endroit ou cette photo a été faite . A Toulon je suppose .
    J'aimerai savoir aussi qui la prise.
    Avait il des amis sur Toulon ? Avait il une amie ?

    Merci.
    [répondre]
Répondue le 27/11/2022
    SOURCES : Arch. dép. Var, 1 W 108 (témoignage inspecteur Pech, 1er septembre 1944) et 37 J 11/10 n°712 (fonds FFI). ⎯ site internet Mémoire des hommes SHD Caen AC 21 P 116435). ⎯ registre décès Toulon (arch. municipales 4 E 139). — Notes de François Sauvé.
    Bonjour, sur la fiche MAITRON de Mr DELVAL, vous avez le nom du rédacteur qui pourra peut-être vous répondre. Cordialement
     

***  Docteur Juif - résidant Avenue du Bois Préau - Rueil-Malmaison Déposée le 08/04/2021

    Bonjour,

    Je recherche le médecin du Rueil-Malmaison autrefois rue du Bois Préau et déporté pendant la guerre.

    A cette époque, il était l'unique médecin de Rueil-Malmaison, néanmoins je ne trouve pas de documentation sur le référencement de ces derniers à cette époque.

    Son nom serait "Docteur Khan" ou " Docteur Kein", ou peut être dans une autre orthographe que celles-ci.

    Il serait potentiellement né avant 1900.

    Pierre
    [répondre]
Répondue le 08/04/2021
    ok 

***  Recherche de déportés de répression Déposée le 11/06/2017

    Je recherche pour une personne son grand-père paternel : Nom-BROS, il venait d'Auvergne et il est venu en Haut-de-Seine (Colombes). Il a été déporté de répression. Il a épousé une normande.

    Cordialement
    [répondre]
Répondue le 21/03/2021
    gaston bros né à st etienne? 

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