Soutenez le travail de l'AJPN |
Recherche de personne, de lieu : affiche la page | Recherche type Google : propose des pages | |||
| ||||||
| ||||||
39/45 en France (WWII)
Nouveaux articles
base des données identifiées par AJPN.org Une page au hasard 38080 noms de commune 95 départements et l'étranger 1230 lieux d'internement 744 lieux de sauvetage 33 organisations de sauvetage 4342 Justes de France 1072 résistants juifs 15987 personnes sauvées, cachées | ||||||
Expositions pédagogiques AJPN
L'enfant cachée Das versteckte Kind Chronologie 1905/1945 En France dans les communes Les Justes parmi les Nations Républicains espagnols Tsiganes français en 1939-1945 Les lieux d'internement Les sauvetages en France Bibliothèque : 1387 ouvrages Cartographie Glossaire Plan du site Signaler un problème technique |
||||||
|
||||||
|
Région :
|
Préfecture :
Châteauroux Préfets : Raoul Grimal
(Mai 1938 - Juin 1940) Préfet de l'Indre
Léon Gonzalve
(06/1940 - 09/1940) Préfet de l'Indre
Jacques Moranne
(25/06/1940 - 1942) Jacques Alexandre Moranne, Préfet régional d’Orléans (Eure-et-Loir, Loiret et Loir-et-Cher et les parties occupées du Cher et de l'Indre) (1901-1982)
René Faugère
(09/1940 - 09/1940) Préfet de l'Indre
Raoul Grimal
(09/1940 - 08/1941) Préfet de l'Indre
André Jacquemart
(08/1941 - 08/1944) Préfet de l'Indre
Pierre Berger
(1941 - 1942) Pierre Jean Berger, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Antoine Lemoine
(01/05/1942 - 1943) Antoine Jean Marcel Lemoine, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Jacques Bussière
(25/11/1942 - 1944) Jacques Félix Bussière, Préfet régional d’Orléans (Eure-et-Loir, Loiret et Loir-et-Cher et les parties occupées du Cher et de l'Indre). Arrêté, interné au camp de Compiègne puis déporté en Allemagne, il mourra en déportation (1895-1945)
René Rivière
(Jan. 1943 - 1943) René Édouard Rivière, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Marc Freund-Valade
(11/09/1943 - 10/05/1944) Marc Paul Freund dit Freund-Valade, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Angelo Chiappe
(06/02/1944 - 08/1944) Ange Marie Pascal Eugène Chiappe, Préfet régional d’Orléans (Eure-et-Loir, Loiret et Loir-et-Cher et les parties occupées du Cher et de l'Indre). Arrêté à la Libération, il est fusillé le 23 janvier 1945. (1889-1945)
André Fourcade
(10/05/1944 - 06/1944) André Fourcade dit Vergnaud, Commissaire régional de la République de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne), arrêté par la Gestapo en juin 1944, fusillé à Buzet-sur-le-Tarn le 17 août 1944
Jean-Georges Laporte
(08/1944 - 03/1946) Préfet de l'Indre
Pierre Boursicot
(23/10/1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
André Mars
(1944 - 1946) Commissaire régional de la République d’Orléans (Eure-et-Loir, Loiret et Loir-et-Cher et les parties occupées du Cher et de l'Indre) (1896-1957)
|
|
[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo] |
|
La drôle de guerre et l'occupation
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin.
La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.
Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées.
Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice.
Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands. La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km : Ain, Allier, Charente, Cher, Dordogne, Gironde, Indre-et-Loire, Jura, Landes, Loir-et-Cher, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Vienne.
L’Indre, département frontalier, devient alors le premier point de chute des réfugiés de Zone occupée.
La Demarkationsline disparaîtra le 11 novembre 1942, après l’occupation totale de la France.
09/05/2024
Les proscrits du régime
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils seront massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront. Les Tsiganes sont internés dans les camps français. Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.
C'est à Châteauroux, Buzançais, Levroux et Issoudun que la chasse aux réfractaire a été la plus intense.
09/05/2024
Les Juifs de l'Indre
L'Indre compte peu de familles juives, souvent bien intégrées dans la vie locale, à l'instar de Max Hymans, député de l'Indre en 1928.
Le premier statut des Juifs du 3 octobre 1940 et le deuxième du 2 juin 1941 excluent les Juifs de la société. Ils sont listés, internés ou assignés à résidence.
De nombreux juifs de la zone occupée tentent de se réfugier en zone non occupée.
À partir du 1er juillet 1942, les juifs français et étrangers qui changent de résidence doivent en faire la déclaration au Commissaire de Police de la Commune de leur domicile si la durée du déplacement prévu dépasse 30 jours.
Répondant à la demande des Allemands, Vichy regroupe en novembre 1941 les diverses associations juives de France au sein de l’Union Générale des Israélites de France (UGIF).
Les lettres de dénonciation se multiplient... dans les préfectures et les commissariats de police.
Une rafle de Juifs, hommes, femmes et enfants est organisée par la police française dans la nuit du 25 au 26 août 1942. Les Juifs raflés emmenés Salle Diredot à Châteauroux avant d'être envoyés au camp de Douadic.
Les documents d'archives prouvent l'implication des forces de l'ordre (gendarmerie, police, G.M.R.) dans les arrestations et le rôle essentiel des services préfectoraux dans l'organisation et la mise en œuvre de la rafle d'août 1942 et des opérations qui suivront.
Cependant, le 2 octobre 1942, René Bousquet1, Secrétaire Général à la Police attire l'attention des préfets sur le fait que le Commissaire Général aux Questions Juives lui signale que des Préfets de la zone occupée rencontrent parfois des difficultés pour obtenir de leurs collègues de la zone non occupée tous les renseignements nécessaires pour leur permettre d'identifier les immeubles appartenant à des Juifs, afin de les placer sous administration provisoire.2
Le 14 octobre 1942, un rapport concernant les étrangers hébergés au "Centre d'Accueil de Douadic", seul centre d'hébergement existant dans l'Indre, fait état de 139 israélites étrangers dont 45 hommes, 78 femmes et 16 enfants de moins de 12 ans. Le même rapport précise que les étrangers sont nourris moyennant une somme de 16 francs 50 par jour.3
Une nouvelle rafle de Juifs a lieu le 23 février 1943 dans l'Indre. Environ 300 personnes sont amenées au camp de Douadic.
Le 15 mai 1943, le préfet fait état de 74 Israélites hébergés au Centre d'Accueil de Douadic.
Le 9 juillet 1943, le sous-préfet du Blanc fait connaître les effectifs du camps : 167 personnes.4
Le 25 octobre 1943, un nouveau rapport fait état de l'augmentation des effectifs du camp, dû à l'arrivée d'étrangers venant des camps de Brens et de 104 vieillards arrivant du camp de Gurs.5
Un rapport du 12 janvier 1944 précise que le camp compte actuellement 110 hébergés (96 femmes et 14 hommes).6
Le 7 juillet 1944, le sous-préfet de Blanc fait état de 75 hebergés au camp de Douadic : 10 hommes, 59 femmes et 11 enfants.7
Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.
09/05/2024
Lucienne Barrangé (Saint-Pierre-de-Lamps) | Henriette Gateault (Châtillon-sur-Indre) | Henri Morissé (Mézières-en-Brenne) |
Daniel Barrangé (Saint-Pierre-de-Lamps) | Charlotte Gauvin (Levroux) | Thérèse Morissé (Mézières-en-Brenne) |
Yvonne Berthet (Châtillon-sur-Indre) | Stephan Janicki (La Chapelle-Orthemale) | Karol Orzakiewicz (Paulnay) |
Marie Bertrand (Villedieu-sur-Indre) | Bronislawa Janicki (La Chapelle-Orthemale) | Gaston Patoux (Vendœuvres) |
Joseph Chérioux (Tournon-Saint-Martin) | Clémentine Lavillonnière (Bouesse) | Pierrette Poirier Prous (Poitiers) (Châteauroux) |
Marthe Chérioux (Tournon-Saint-Martin) | Clément Lavillonnière (Bouesse) | Jacqueline Prandi Apard (Oulches) |
Germaine Clément (Saint-Benoît-du-Sault) | Henriette Le Pelley du Manoir (Saint-Pierre-de-Lamps) | Albert Prévault (Levroux) |
Maurice Clément (Saint-Benoît-du-Sault) | Fernande Lecomte (Châtillon-sur-Indre) | Jeanne Prévault (Levroux) |
Eugène de la Ferté Meun (Mâron) | Odette Marais Androt (Prissac) | Jeanne Rouzeau (Giroux) (La Chapelle-Saint-Laurian) |
Elly de la Ferté Meun (Mâron) | Julia Martin (Saint-Gaultier) | Paul Rouzeau (Giroux) (La Chapelle-Saint-Laurian) |
Lucienne Detiche Wisberg (Châtillon-sur-Indre) (Tours) | Raymond Martin (Saint-Gaultier) | Fernande Saulnier (Néret) |
Hélène Désiré (Villedieu-sur-Indre) | Raymonde Mayeux (Ardentes) | Marie-Louise Taphanel (Saint-Michel-en-Brenne) (Sainte-Eulalie-d'Ans) |
Pierre Doliveux (Châtillon-sur-Indre) | Suzanne Morand Baron (Saint-Gaultier) | Raymonde Thomas Dayan (Le Blanc) |
>> Voir les 23 familles réfugiées dans le département <<
>> Voir les 76 familles arrêtées dans le département <<
Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
[Ajouter le votre]
Pas de travaux actuellement sur ce sujet… Vous pouvez mettre le votre en ligne sur le site ajpn.org.
30/06/1940 -
Les troupes allemandes évacuent le département de l'Indre.
02/11/1940 -
Le gouvernement de Vichy révoque 3 préfets et les place en disponibilités. M. Jouany, préfet d'Ille-et-Vilaine, M. Moulin, préfet d'Eure-et-Loir, et M. Morel, préfet dans les Hautes-Alpes.
28/05/1942 -
Visite du maréchal Pétain dans l'Indre ; il est reçu par la municipalité de Châteauroux et son maire Louis Deschizeaux.
29/08/1942 -
Rafle de 210 Juifs de l'Indre, du Cher et d'Indre-et-Loire. Ils seront envoyés au Camp de Douadic, officiellement choisi comme camp de Transit, puis « triées »pendant quelques jours pour déterminer celles qui sont déportables, avant d'être envoyés au fur et à mesure vers les camps régionaux de Nexon (Haute-Vienne) ou de Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), puis vers Drancy, dernière étape avant les camps d'extermination.
23/02/1943 -
Seconde rafle dans la zone non-occupée, pour les hommes juifs étrangers. C'est une liste d'une centaine de noms qui est dressée, beaucoup étant prévenus par la gendarmerie puis cachés. Les convois les acheminent vers Gurs (Pyrénées-Atlantiques), puis Drancy.
05/1943 -
Fin mai 1943 : Constitution du premier maquis (à l'origine des maquis Francs-Tireurs et Partisans dans l'Indre) dans la forêt de Taille de Ruines près de Dun-le-Poëlier.
10/09/1944 -
Libération du département de l'Indre.
Autres articles parus dans le site de l'AJPN
Liens externes
[Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]Notes
- 1 - René Bousquet a été Secrétaire général à la police du régime de Vichy du 18 avril 1942 au 31 décembre 1943.
- 2 - Archives départementales de l'Indre, M 2722.
- 3 - Archives départementales de l'Indre, M 3262.
- 4 - Archives départementales de l'Indre, M 3262.
- 5 - Archives départementales de l'Indre, M 3262.
- 6 - Archives départementales de l'Indre, M 3262.
- 7 - Archives départementales de l'Indre, M 3263.
- 8 - Sources : n° 10 du registre des décès d’Anjouin. — ANACR Indre, Combats des maquisards Indre été 1944, 2012. — Notes de Jean Luc Stiver.
- 9 - Sources : n° 12 du registre des décès d’Anjouin « inconnu » et n°39 du registre des décès 1956 de Valençay. — ANACR Indre, Combats des maquisards Indre été 1944, 2012.
- 10 - Sources : n° 11 du registre des décès d’Anjouin ANACR Indre. — Combats des maquisards Indre été 1944, 2012. — Notes de Jean Luc Stiver.
- 11 - Sources : n° 9 du registre des décès d’Anjouin — ANACR Indre, Combats des maquisards Indre été 1944, 2012.
Annonces de recherche
[Déposer une annonce]
|
*** complément et rectification Déposée le 29/08/2019 |
Après la guerre, elle s'est mariée en 1946, avec Simon Borenstein et ils ont eu un fils né en 1947. [répondre] |
|
*** recherche enfants cachés à Paris Déposée le 28/08/2019 |
Photos de Madame Yvonne en 1941 [répondre] |
|
*** Dr Avrane Déposée le 13/01/2017 |
Merci de vos informations [répondre] |
Répondue le 17/09/2017
/A
Je viens de voir votre réponse. Pourriez-vous m'en dire un peu plus. Je viens de réaliser l'histoire de la famille Wajntreter qu'il a beaucoup aidé pendant la 2nde Guerre. Merci d'avance |
*** hotel de france Déposée le 13/01/2017 |
Merci de vos réponses [répondre] |
|
*** Famille Grimberg Laboratoire à St Quentin Fuyant St Gaultier en 11/1942. Déposée le 12/03/2014 |
Or je viens d'apprendre que les 2 filles ainées s'appelaient Sabine et Hélène, et qu'il y avait encore 2 bébés un garçon (peut être un "Pierre") et une fille. Enfin, fin 1942, la famille a récupéré d'urgence les aînés à l'école, et plus personne n'a vu cette famille de 6 personnes ensuite, jusque 1944, la libération. Peut être ont t'ils étés cachés tout près de Saint-Gaultier, au château de la Roche, à Anjouin ? D'autant plus que mon grand père louait 2 étages d'une maison propriété de Mr Berthelot, résistant de la 1ère heure, qui a pu être avisé de l'invasion de la zone libre. Il est curieux que le sujet de ce Chateau d'ANJOUIN soit si peu alimenté: aurais je mal cherché sur ce site ? Donc nous recherchons les Grimberg, et surtout Hélène et Sabine. Merci à vous. Hervé Smagghe (06 15 06 36 45) [répondre] |
Répondue le 14/03/2014
Les éléments ci dessous viennent de ses souvenirs et des recherches de l'historien Simon Ostermann, via Mme Katy Hazan de OSE Orthographe certaine, avec G final GRIMBERG. Il était pharmacien, mais pas d'officine, mais de laboratoire Prénommé Arthur, ce Grimberg, est né le 12/12/1890 à Darabani, Roumanie, naturalisé français, et engagé volontaire pour 14/18. En 1920 devient directeur du laboratoire COLLOVACCINS et d'un autre labo à Paris. A déposé le brevet d'un vaccin contre la tuberculose osseuse, et seul détenteur du secret de fabrication, avec sa femme Entre décembre 1930 (Sabine) novembre 1933 (Hélène) et mars 1936 (Danielle), 3 de ses 4 enfants sont nés à Paris. Le dernier, Pierre est né à Cahors le 15/1/1940. Toute la famille de 6 personnes, caché par mon grand père chez Mr Berthelot, dans la rue qui était à l'époque rue du blanc ou rue du stade. C'est le CAT actuel, rue Langlois Bertrand. La maman est la fameuse Juliette, grande amie de feu ma mère Paulette Housay, qui était épouse Smagghe depuis le 25/4/40 ! Mme Grimberg est née Hendle le 14/8/1901 à Hermanville/Mer dép. 14. Il y a, dans sa famille et celle de sa sœur des préfets et conseiller d'état, ce qui, avec le secret du vaccin, a contribué à une meilleure situation pour des juifs en 1940/42. En 1942, la famille a récupéré dans l'urgence ses 2 aînés à l'école: plus jamais la famille fut vue à St Gaultier: la date peut être celle de la 1ère rafle de fin août 42, ou peu avant l'invasion de la zone libre par les nazis, en 11/42. Mais, de 1946 à 1969, ils étaient bien vivants, et le labo à St Quentin 02 !! Si vous pouvez faire des recherches sur biusante.parisdescartes.fr, vous y trouverez ce Mr Arthur Grimberg: je n'ai pas su me servir de leur logiciel !!! Merci de votre aide ! Hervé Smagghe 06.15.06.36.45
jean.hivernault@gmail.com |
*** Recherche éléments biographiques concernant Raoul GRIMAL Déposée le 24/10/2012 |
|
|
Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org |
* Juste parmi les Nations |
|
|||
Justes parmi les Nations - Righteous among the Nations - De Gerechten mank de Völker - Giusti tra le nazioni - Drept între popoare - Gerechter unter den Völkern - Sprawiedliwy wsród Narodów Swiata - Rechtvaardige onder de Volkeren - Justuloj inter la popoloj - Rättfärdig bland folken - Spravodlivý medzi národmi - Spravedlivý mezi národy - Vanhurskaat kansakuntien joukossa - Világ Igaza - Justos entre as nações - Justos entre las Naciones - Justos entre les Nacions |
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024 |