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Page d'accueil Les communes de France durant la  Seconde Guerre mondiale  
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Somme

Région :
Hauts-de-France
Carte du département

Préfecture :
Amiens

Préfets :
Émile Pelletier
(1940 - 1942) Préfet de la Somme (1898-1975)
(09/1941 - 05/1942) Préfet régional de Saint-Quentin (Aisne, Somme, Oise, Ardennes), révoqué par Vichy et recherché par la Gestapo pour son activité de résistant (1903-1971).
Gaston Mumber
(1943 - 1944) Gaston Jules Antoine Mumber, Préfet de la région de Laon-Saint-Quentin (Aisne, Ardennes, Oise et Somme) (1897-1970)
Roger Homo
(1944 - 1944) Roger Marie Calentin Paul Homo, Préfet de la région de Laon-Saint-Quentin (Aisne, Ardennes, Oise et Somme) (1892-1977)
Pierre Pène
(1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Laon-Saint-Quentin (Aisne, Ardennes, Oise et Somme) (1898-1972)

À lire, à voir…

Étienne Dejonghe Étienne Dejonghe
Yves Le Maner
Le Nord-Pas-de-Calais dans la main allemande, 1940-1944

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Frédéric Viey Frédéric Viey
Franck d'Almeida
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie

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Franck Fajnkuchen Franck Fajnkuchen
Yzkor. Une famille juive en France entre 1940 et 1944

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Grégory Célerse Grégory Célerse
Sauvons les enfants ! : Histoire du comité lillois de secours

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Département de la Somme en 1939-1945


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Departement de la Somme en 1939-1945
Préfecture de la Somme, Amiens
source photo : www.fdpi.eu
crédit photo : Drômois
Histoire
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.

Le gouvernement désemparé se replie de Paris à Bordeaux dès le 11 juin.
La France est envahie. C’est l’exode vers le sud.
Le président du Conseil, Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement et obtiendra les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940. La République est abolie.

Le 14 juin 1940, les troupes allemandes défilent à Paris, sur les Champs-Élysées.
Le 20 ils sont à Brest, le 22 à La Rochelle, à Lyon...
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice.

Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands. La ligne de démarcation traverse treize départements sur 1 200 km : Ain, Allier, Charente, Cher, Dordogne, Gironde, Indre-et-Loire, Jura, Landes, Loir-et-Cher, Pyrénées-Atlantiques, Saône-et-Loire, Vienne.
La Demarkationsline disparaîtra le 11 novembre 1942, après l’occupation totale de la France.

Les proscrits du régime
Des hommes, des femmes, des enfants, des familles, français ou étrangers, sont pourchassés et persécutés parce que Juifs. Ils seront massivement déportés vers l'Est et exterminés. Très peu survivront. Les Tsiganes sont internés dans les camps français. Les Francs-maçons et les Communistes, considérés comme "indésirables" sont démis de leurs fonctions au sein de l'administration, pourchassés, arrêtés et internés.
A partir de 1943, les réfractaires du STO entrent dans la clandestinité. Certains rejoignent les résistants également pourchassés.

Près de 76 000 Juifs dont plus de 11 000 enfants seront arrêtés et déportés de France, dont 38 000 à Paris.


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« Libération-Nord »

Dans le département de la Somme, les liens avec la franc-maçonnerie forment une composante supplémentaire.

Dès août 1940, l'un des premiers groupes se constitue autour de Léon Gonthier, Vénérable de la loge Picardie et chef de bureau à la Préfecture de la Somme. On y trouve Léon Tellier, chef de section chemin de fer ; Joseph Garrou, économe au lycée d'Amiens ; Orlue, Flet et Cogneau, instituteurs ; Denant, ingénieur ; Pannetier, industriel ; Le Parquier, fonctionnaire de l'Enregistrement ; Derobertmazure, employé à la Direction départementale de la Main d'Oeuvre, qui se rencontrent régulièrement dans des cafés d'Amiens. Ils sont, de plus, en contact avec le réseau franc-maçon Patriam Recuperare par l'intermédiaire de Lamorlette, inspecteur d'Académie. Un autre groupe formé de syndicalistes se crée autour de Louis Saillant, secrétaire du Syndicat du Bâtiment d'Amiens et délégué régional des industries du bois. Au même moment, Léon Sellier, ancien trésorier de la fédération SFIO de la Somme, tente de regrouper quelques adhérents pour reformer, dans la clandestinité, les sections socialistes du département. C'est la convergence de ces trois groupes qui donne naissance au Mouvement Libération-Nord dans le Somme.

Dès 1940, des socialistes d'Abbeville, sous la direction d'Alfred Somont, organisent des chaînes d'évasion pour les prisonniers de guerre français ou britanniques. En novembre, ils étendent leur action à la distribution de tracts, de journaux (comme Le Populaire ou Libération), et de photos du général de Gaulle.

Dès la fin de 1942, les responsables locaux tentent de multiplier les contacts avec les autres mouvements, tant sur le plan départemental que sur une grande partie du nord de la France dans le but de favoriser la coordination de toutes les organisations clandestines. Léon Tellier se met donc en relation avec des réseaux comme Brutus, Jeune France ou Zéro France puis avec les mouvements Résistance en Picardie, Charles de Gaulle, OCM et ORA.

En 1943, le Front National est à son tour contacté. C'est à la suite de l'une des premières réunions que Louis Sellier est arrêté. Il est alors remplacé par Joseph Garrou (dit "Dossau") au poste de responsable civil de Libé-Nord pendant que Léon Tellier (alias "Casimir Perrier"), responsable militaire, assure, avec son fils, la liaison avec Paris.

A la fin de 1943, le mouvement s'étend à quasiment la totalité du département. Outre Amiens et Abbeville,on trouve de nombreux résistants de Libé-Nord à Beaucamps-le-Vieux, Corbie, Ailly-sur-Noye, Albert, Ham et Péronne. Organisés militairement, ces résistants cumulent plusieurs types d'action : le sabotage, le transport d'armes, l'établissement de liaisons radio avec l'Angleterre.

Peu avant la Libération, les effectifs de Libé-Nord sont estimés à 1 600 hommes. 

18/11/2022
Auteur : Philippe Pauchet Lien : La Résistance dans la Somme

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Toutes les communes de la Somme

Les camps et les lieux d'internement de la Somme

19e CTE Saleux 80480 Saleux
52e CTE Amiens 80000 Amiens
Camp de Fort-Mahon 80790 Fort-Mahon-Plage
Camp de Saint-Quentin-en-Tourmont 80120 Saint-Quentin-en-Tourmont
Camp Doullens 80600 Doullens
Carrière des Bourdonnières 50670 Saint-Michel-de-Montjoie
Caserne Bellevue 50000 Saint-Lô
Caserne Friedrich 90000 Belfort
Centre Rosières-en-Santerre 80170 Rosières-en-Santerre
Champ de foire 50450 Gavray
Citadelle d’Amiens 80000 Amiens
Cité de le Mine 50720 Barenton
Frontstalag 100 Amiens 80000 Amiens
Frontstalag 102 Amiens 80000 Amiens
Frontstalag 130 Amiens 80000 Amiens
Frontstalag 137 Giromagny 90200 Giromagny
Frontstalag 140 Belfort 90000 Belfort
Frontstalag 171 Amiens 80000 Amiens
Frontstalag 172 Amiens 80000 Amiens
Frontstalag 172 Doullens 80600 Doullens
Frontstalag 172A Abbeville 80100 Abbeville
Frontstalag 204 Amiens 80000 Amiens
Frontstalag 204 Péronne 80200 Péronne
Prison d'Avranches 50300 Avranches
Prison de Coutances 50200 Coutances
Prison de Saint-Lô 50000 Saint-Lô

Les lieux de sauvetage de la Somme

Abbaye de Valloires 80120 Argoules
Camp des Bocqfs 50190 Saint-Martin-d'Aubigny

4 Familles hébergées, cachées ou sauvées de la Somme[Compléter]

Argoules

1942 - 1944 Famille Bonszyfer - Mina et Jules sont conduits à l’Abbaye de Valloires. Thérèse Papillon* va sauver les enfants et les cacher entre 1942 et 1944.

1942 - 1944 Famille Kleinhandler - Joseph né à Strasbourg en 1932 est conduit à l’Abbaye de Valloires. Ses parents, raflés, seront déportés sans retour. Thérèse Papillon* va sauver l’enfant et le cacher entre 1942 et 1944

1942 - 1944 Famille Mandelbaum - Daniel, né en 1940, a 2 ans lorsque son père l'amène à vélo au préventorium. Par chance, il retrouvera ses parents revenus de déportation en 1945.

Corbie

1941 - 1945 Famille Vast - Obligés d'évacuer Boulogne-sur-Mer et ses environs (Outreau), toute la famille Vast part se réfugier à Corbie (80). Paul Vast, son épouse Odette Caille, et leurs enfants (Monique, Pierre et Etienne), la mère d'Angèle Caille, ainsi que la famille Frocaut (?), des amis de la famille.


42 Familles arrêtées dans le département [Compléter]


04/01/1944 Famille Lazard - Ferdinand Lazard, fils de Benjamin Lazard et Esther Haas, est né à Santiago du Chili en 1868. Après le retour de sa famille à Paris en 1877, il s'installe à Amiens en 1901 comme confectionneur, reprenant l'affaire que son beau-frère, Arthur Caën (1860-1944), y avait créée en 1890. Il épouse à Paris, en 1899, Berthe Dreyfus, née à Anvers en 1879, dont Il a deux enfants, Jean, né en 1902, déporté à Aurigny de 1941 à 1944, et Simonne, née en 1905, mariée à un entrepreneur amiénois, René Audelin. Au moment de son arrestation, le 4 janvier 1944, Ferdinand Lazard est âgé de 75 ans et exerce le métier de voyageur de commerce, depuis la cession de son entreprise vers 1930. C'est la profession qui figure sur les documents officiels.Selon un témoignage recueilli en 1945, Ferdinand Lazard est mort pendant le voyage, tué d'un coup de révolver par un Allemand, tandis que Berthe a été gazée dès son arrivée au camp.
Déportation : 20/01/1944 convoi no 66
Date d'exécution : 23/01/1944

Abbeville
13/03/1944 Famille Branlant - Lucien Maurice Aurel Branlant est né le 10 décembre 1916 à Nibas (Somme), de nationalité française, blessé le 24 mai 1940, hospitalisé à Toulouse, résistant FTP, arrêté le 13 mars 1944 à Abbeville pour sabotage de voies ferrées, détenu à Compiègne, déporté à Buchenwald, libéré le 11 avril 1945, revenu en France (ou le 28 avril).
Source : Résistance 60


22/06/1944 Famille Sevry - Georges Sevry est né le 7 mai 1921 à Mers-les-Bains (Somme), de nationalité française, membre du mouvement FTP de la Somme, il est arrêté, déporté à Buchenwald puis à Neu-Stassfurt, libéré le 8 mai 1945, revenu en France.
Source : Résistance 60

Amiens
05/1944 Famille Challe - Bernard Challe est né le 16 octobre 1906 à Commercy (Meuse), de nationalité française, ce Saint-Cyrien devient élève pilote en 1929. Formé à Avord, il est affecté au 2e Régiment de Chasse de Strasbourg. Pilote en AFN de 1932 à 1938, il devient chef d’escadrille au GCI/3. Capitaine d’aviation, il combat lors de la Campagne de France et remporte 3 victoires homologuées seul, 2 victoires en collaboration et 2 victoires probables dont une en collaboration. Le 18 juin, il traverse la Méditerranée avec un détachement de 13 pilotes. Il est à Kaala-Djerba le jour de l’armistice avec son Groupe de 25 pilotes. Commandant du GCI/3 de juillet 1940 à fin septembre 1941, il revient en métropole. Entré dans la Résistance en 1942, il est membre de l’ORA et chef de la région d’Amiens. Arrêté en mai 1944, déporté à Buchenwald (il y retrouve son oncle le général Challe), il est libéré le 11 avril 1945. Revenu en France gravement malade, il reprend du service à Dijon puis à Paris. Colonel en décembre 1945, inspecteur adjoint aux Forces Aériennes d’Outre-Mer, il est affecté en 1948 au cabinet militaire du Président du Conseil. De novembre 1955 à août 1958, il commande la 1ère région aérienne. Devenu en 1960 général de corps d’armée, il dirige la 2e région aérienne. Il quitte l’armée le 24 mai 1961, en désaccord avec la politique du gouvernement. Il décède le 12 janvier 1977. Bernard Challe était Commandeur de la Légion d’honneur et chevalier de l’Ordre de Léopold Ier. Il s’était vu décerner les croix de guerre 1939-1945 (7 palmes), croix de guerre TOE, croix du combattant, médaille de la résistance avec rosette et la médaille coloniale.
Source : Résistance 60


1942 Famille Doubchak - Leib, né à Odessa (Russie), habitait Amiens. Il est arrêté parce que Juif et déporté sans retour le 14 septembre 1942 par le convoi n° 32 vers Auschwitz.
Déportation : 14/09/1942 convoi no 32

>> Voir les 42 familles arrêtées dans le département <<

Chronologie [Ajouter]

01/06/1940 - Le Général Allemand Alfred Waeger étonné et impressionné par le courage des défenseurs français durant la bataille de Lille (27 mai - 31 mai 1940) autorise ceux-ci à défiler en arme jusqu'à la captivité. Les troupes allemandes rendent les honneurs militaires aux troupes françaises le 1er juin 1940.
22/06/1940 - Signature de l’armistice dans la forêt de Compiègne, à Rethondes.
26/05/1941 - Grève des mineurs des bassins houillers dans le nord à l'usine d’Ostricourt et dans le Pas de Calais à la mines de Dourges, suite à l'arrestation d’un grand nombre d’ouvriers par les Autorités allemandes et la condamnation de onze d’entre eux et de deux femmes aux travaux forcés. Cette grève se terminera le 10 juin 1941. La répression allemande contre ces grèves est forte.
11/09/1942 - Le vendredi 11 septembre 1942 a lieu dans la Région Nord-Pas-de-Calais la plus grande rafle depuis la mise en place de la solution finale. Elle restera comme l'opération la plus importante de toute l'occupation dans le Nord de la France. 528 personnes, hommes, femmes et enfants sont envoyés au camp Dossin de Malines dès le lendemain (soit le 12 septembre 1942). Les déportés seront finalement envoyés à Auschwitz (Pologne) pour y être gazés. Seul neuf d'entre eux auront la chance de survivre...
01/09/1944 - Le 1er septembre 1944, les différents mouvements de résistance se mettent d'accord pour lancer le mot d'ordre de soulèvement général. Dans toute la ville, dès le vendredi soir, la Résistance s'attaque aux différents objectifs désignés et aux convois allemands qui repartent vers la Belgique.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

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Les persécutions des Juifs victimes de la Solution Finale à Berck sur Mer pendant la 2de Guerre mondiale , Mémoire ou thèse 60 pages, réalisation 2014
Auteur : Cyril Brossard - terminal
Étude réalisée à la suite d'un voyage d'études à Auschwitz-Birkenau et suite à une demande d'élèves de Terminales ES du lycée Jan Lavezzari. Etude qui sert aussi à la préparation au CNRD 2014-2015 dont le thème est la découverte des camps de concentration, le retour des déportés et la découverte du système concentrationnaire nazi.
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie , Mémoire ou thèse 148 pages, réalisation 2009
Auteurs : Frédéric Viey, Franck d'Almeyda - terminal
Cette Histoire des Juifs du Nord et de Picardie relate le quotidien des Juifs dans le Nord de la France à partir du Moyen-Âge jusqu'à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Communautés Juives de ces régions ont payé un lourd tribu en perte humaine : la déportation et l'exécution après être passé par le Camp des Malines. Aujourd'hui dans toutes les Communautés un monument rappelle les sacrifices faits par le Peuple Juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, la population juive de France est exsangue. Les survivants vont essayer de faire revivre leur patrimoine religieux et culturel.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 la Famille Angel (Histoire tragique d'une famille qui a tenté d'échapper à son destin en se sauvant de Lille, vers la Loire Atlantique )
2 François Molet (François Molet, né à Beaurevoir le 14 mars 1905 est fusillé le 7 avril 1942 au Mont-Valérien. )
3 René Wallard (Page facebook du livre qui est en préparation sur son histoire.
Titre du livre "Dis leur de ne jamais pardonner". )

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***  Charles Goldfeil Déposée le 20/01/2022

    Je recherche des information sur mon grand pere : Charles (Chaim) Goldfeil.
    Il etait au front stalag 204 matricule 3373 prisonnier militaire .
    Transféré au Camp Albert dans la somme, puis au camp Suzanne en Bray puis finalement internes à Drancy jusqu'à la liberation du camp. Dans tout les camps, il était prisonnier interprète.
    Merci de votre aide.
    [répondre]

***  Hargicourt, 15 Juin 1940 Déposée le 06/02/2021

    Bonjour,
    mon père Bronislaw Czerniejewski (1903-1964) faisait partie du 208ème régiment d´infanterie français. Il a été fait prisonnier par les allemands à Hargicourt dans la Somme le 15 Juin 1940. Est-ce que quelqu´un a des infos sur le 208ème à cet endroit?
    [répondre]

***  Quatre parachutistes américains sauvés par mon grand-père Déposée le 17/04/2016

    Je recherche les quatre parachutistes américains sauvés par mon grand-père en 1944 dans le village de Contay. Mon grand-père a caché les parachutistes dans les caves d'une fabrique de briques : Monsieur Heccquet Julien, mort en déportation après avoir été dénoncé. [répondre]
Répondue le 19/11/2017
    Bonjour, connaissez-vous les noms de ces parachutistes ? Si oui pouvez-vous me le donner pour vous aidez svp ?
    Monsieur Hecquet Julien était votre grand-père ?
     
Répondue le 26/04/2018
    Bonjour,
    Dans le fichier des "French Helpers", pour la commune de Contay, on trouve le nom Mme Eugénie Hecquet qui habitait rue Hérissart. Serait-elle de votre famille ? Si oui, vous pouvez demander son dossier à la NARA aux USA.
    Cordialement
    Jmd
     

***  Recherche ma mère, Altea-Marie Pauluzzi Déposée le 17/04/2016

    Recherche un personne ayant connu Melle Altea-Marie Pauluzzi. [répondre]

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