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Paris

Région :
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Département :
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(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
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Frymet Cukier

Texte pour ecartement lateral

Paris 75020 Paris
Nom de naissance: Strausman
Nom d'épouse: Cukier
Date de naissance: 1896 (Pzrytyk (Pologne))
Date de décès: 1979 (Paris)
Nationalité : Polonaise
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Histoire

Témoignage de Jacob Cukier

Très peu de temps après la déclaration de guerre le 1er septembre 1939, nous avons (mon père Moszek Cukier, ma mère Frymet Cukier née Strausman et moi, leur enfant unique, Jacob Michel né en 1933) quitté Paris et sommes descendus vivre à Bollène où depuis le 10 février 1940 était stationnée une unité de la section polonaise de l’armée française dans laquelle avait été versé mon père, citoyen polonais, engagé volontaire dans l’armée française.
C’est dans cette petite ville de 5000 habitants à l’époque, que nous avons vécu, d’abord sous le régime de Vichy en zone non occupée, après l’armistice de juin 1940, puis sous occupation italienne à partir du 11 novembre 1942. Les italiens nous laissèrent en paix. Ils refusèrent d’appliquer les directives anti-juives du gouvernement du Maréchal Pétain et de son premier ministre Pierre Laval, et durant cette période d’occupation italienne, qui a duré une dizaine de mois, aucun juif ne fut arrêté à Bollène.
Le 8 septembre 1943, coup de tonnerre, la radio annonce la capitulation de l’Italie. Les troupes italiennes quittent Bollène. Je les ai vues s’entasser dans les camions pour partir. Pour mes parents, il était évident que les allemands n’allaient pas tarder. La situation des juifs persécutés par la Milice1 en collaboration directe avec les SS et la Gestapo allait devenir intenable. Il fallait prendre une décision immédiate et me cacher. J’ai vu partir les italiens. Je n’ai jamais vu l’arrivée des allemands. J’avais été caché, subrepticement mis en lieu sûr.

Une nouvelle page s’ouvrait dans ma vie, celle d’un enfant caché chez deux paysans des alentours de Bollène, Georges * et Marie-Angèle Charmaison* qui m’ont hébergé, nourri, blanchi, protégé pendant toute une année dans leur ferme, dans le quartier de l’Étang, route de Mondragon. Ils l’ont fait au péril de leur vie, sans demander la moindre rétribution. Et ils n’étaient pas riches, loin de là.

Comment suis-je arrivé chez les Charmaison* ?
À vrai dire, je ne le sais pas vraiment. J’aurais pu l’apprendre plus tard. Il n’en fut rien. Mes parents et moi n’avons jamais, je dis bien, jamais dit un seul mot sur cette période et je ne sais donc pas de façon certaine comment mes parents ont organisé mon sauvetage, ni même comment ils ont assuré leur propre survie. Je ne peux qu’essayer de reconstituer l’histoire.
Fin 1942 et dans les premiers mois de l’année 43, deux personnes courageuses décident de recueillir des enfants de déportés de la région parisienne : Madame le Docteur Marianne Basch2 et Monsieur André Rombeau. Marianne Basch, initiatrice du projet, je l’ai bien connue. André Rombeau, lui, je ne l’ai jamais vu. Il fut de ces français qui n’ont jamais collaboré qui détestait le régime de Vichy et l’Allemagne nazie. Aussi, quand Marianne Basch est venue soigner la famille Rombeau, André Rombeau et elle étaient-ils faits pour s’entendre.
Mme Basch avait besoin d’une liste de familles bollénoises de confiance, prêtes à accueillir ces enfants. Elle demande à André Rombeau de l’aider3. C’est lui qui établit ce véritable réseau d’entraide. À qui d’autre qu’à Marianne Basch mes parents auraient-il pu s’adresser pour me cacher ? J’imagine que les Charmaison* devaient figurer sur la liste.
Je n’ai gardé aucun souvenir du jour où je fus séparé de mes parents pour atterrir chez des étrangers.
Les Charmaison* savaient que j’étais juif; ils n’en ont dit mot à personne; leurs enfants non plus. Ils avaient fait croire que j’étais un petit neveu venant de l’Ariège4. Les agriculteurs alentour l’avaient admis. J’avais changé de nom : "Jacques Cullérier", et pour rien au monde aurais-je répondu au nom de Jacob Cukier. Mes parents m’avaient fait la leçon. J’avais compris.
Georges Charmaison* était né à Alboussières, dans l’Ardèche le 27 novembre 1880. Son épouse, Marie-Angèle*, née Rimbert, de trois ans plus jeune que lui, était née en 1883 à Bollène. Tous deux avaient donc la soixantaine quand ils m’ont accueilli dans leur petite ferme en novembre 1943. Georges Charmaison* était arrivé à Bollène un peu avant la guerre de 1914, comme ouvrier agricole et c’est là qu’il a connu celle qui devait devenir sa femme et la mère de leurs deux enfants, Marius et Éva. Marius, allait devenir employé des Chemins de Fer; marié, il n’eut pas d’enfants. Éva, qui ne s’est jamais mariée, travaillait comme couturière à domicile, à une époque où, à la campagne, la confection et la réparation des vêtements s’effectuaient chez les particuliers et non en atelier. Malgré la modicité de ses revenus, c’est elle qui aidait ses parents.
Georges Charmaison*, de petite taille, un peu rondouillet, souriant, tranquille, aimait la nature et les animaux. Il avait acquis une réputation de spécialiste des plants de vigne et des greffes entre arbres. C’était un communiste farouche, admirateur inconditionnel de l’Union Soviétique et de Joseph Staline dont il portait la photo en permanence dans sa poche. Il partageait les mêmes opinions avec le père de Gilbert Mégier qui m’a transmis toutes ces informations. Il faut dire que Bollène et ses environs étaient des fiefs communistes.
Marie-Angèle* plus mince, toujours vêtue de noir faisait bien plus vieille. Tous deux d’une gentillesse extrême m’ont traité comme le petit-fils qu’ils n’ont jamais eu. Quand des personnes venaient leur rendre visite, ce qui était rare, Marie-Angèle* me prenait par la main et me conduisait dehors, l’air de rien, pour me soustraire à la curiosité qui aurait pu me trahir.
Leur ferme était petite, flanquée d’une remise dont l’étage servait de grenier à foin. On y accédait par une échelle. Quand les gendarmes faisaient leur ronde, je grimpais à toute vitesse me cacher dans le foin. Le souvenir de l’arrestation de ma tante, Sarah Hendl Straussman, la sœur de ma mère, me hantait. Elle avait été arrêtée en ma présence par les gendarmes et n’était pas revenue; j’avais peur d’être emmené par les gendarmes pour ne pas revenir. Plus de soixante ans plus tard, quand je suis venu revoir la ferme, l’échelle était toujours là, exactement à la même place!
Leur ferme était pauvre avec peu de terres. Leur maigre culture de pommes de terre et de céréales avec l’élevage de quelques poules, d’un cochon et d’un petit troupeau de moutons et de chèvres (dont j’allais devenir le «berger»), leur permettait de vivre frugalement. Pour les moissons, le seul cheval de la ferme n’aurait pas eu la force de tirer une moissonneuse-batteuse. Les Mégier leur prêtaient leurs deux chevaux qu’amenait Gilbert Mégier, le fils des voisins les plus proches, alors âgé de 16 ou 17 ans et qui se souvient parfaitement des événements de l’époque. J’observais les moissons de loin, ce qui surprenait les moissonneurs habitués à se voir entourés d’enfants. Prudence et crainte devaient sans doute me rendre méfiant et m’incitaient à éviter des rencontres inopinées.
Je ne garde de cette période que des souvenirs heureux, André Mégier, lui, se souvient de moi comme d’un petit garçon en pleurs. La première fois qu’il m’a vu, Madame Charmaison* était sortie de sa chambre, me tenant par la main, répétant en patois provençal : « je ne sais plus qu’en faire, je ne sais plus qu’en faire!». Celui dont elle ne savait plus que faire, c’était moi, en pleurs.
Mon père ne montait jamais. Ma mère, prétendant faire une promenade, est venue une fois ou deux durant toute l’année où je fus caché. Elle passait devant la maison. Je n’allais pas la voir et elle ne me faisait aucun signe. Nous étions convenus de ne pas nous reconnaître. De nous voir devait nous suffire.
Dans la journée, je faisais fonction de berger. Le soir, par beau temps, Georges Charmaison* m’apprenait à lire les configurations des étoiles.
Les Charmaison* élevaient un cochon. On l’appelait Adolphe! Un des plus beaux souvenirs date du jour où on l’a tué.
J’ai appris un peu de patois. Je n’allais pas à l’école. L’école buissonnière était quotidienne. Ainsi s’écoulèrent les mois de cette année entre septembre 1943 et août 1944, mois durant lesquels je n’ai vu ni milicien ni allemand. J’étais bien caché, en lieu sûr, dans cette ferme juchée sur une colline au-dessus de Bollène.

En bas, à Bollène, la situation reste tendue. Les dénonciations se poursuivent. Georges Cruon qui avait transporté ma tante depuis Bollène jusqu’au camp des Mille, était devenu le chef de la milice de Bollène et allait transmettre à Avignon une liste de juifs de Bollène5.
Mes parents exposés comme juifs étrangers pouvaient se faire arrêter à chaque instant. Pourquoi ne l’ont-ils pas été ? Qui sait ? Bienveillance de la municipalité qui n’a dénoncé personne ? Simplement la chance ? La girouette du vent de l’histoire ? La police ne voulait plus participer à la chasse aux juifs.
La Gestapo et les SS durent s’appuyer sur cette organisation collaboratrice parallèle abominable, la Milice, dont les membres se recrutaient parmi les anciens de la Légion Française des Combattants et surtout parmi la pègre, les malfrats et les repris de justice. Les miliciens armés travaillent main dans la main avec les SS et la Gestapo pour arrétéer des juifs et des résistants. Ce fut le cas de la rafle du 13 septembre 1943 au cours de laquelle 7 patriotes bollénois ont été arrêtés, parmi eux André Rombeau. Déporté au camp de Buchenwald, il y fut assassiné. Le 1er décembre 1943, Mme le docteur Basch réussit à échapper à la Gestapo venue l’arrêter.
La population de Bollène prend très mal toutes ces exactions, "la population du Vaucluse leur (aux juifs) marque une certaine sympathie et déplore ouvertement les mesures dont ils sont l’objet"6.

Mon retour à Bollène.
Vers la mi-août 1944, l’armée allemande est en déroute. Le 6 juin, le jour D, les troupes alliées débarquent en Normandie. Les 14 et 15 août, deuxième débarquement allié sur les côtes de Var. Mes parents sont dans leur petite maison et vers le 17 août mon père, depuis le soupirail de la cave, aperçoit une compagnie d’une vingtaine de SS faisant des allées et venues, comme s’ils étaient devenus fous. Après un dernier passage en direction du pont, mon père entend une immense explosion, sans doute la destruction du pont. Il était clair qu’ils ne reviendraient plus. Les allemands ne sont plus là. Les troupes alliées ne sont pas encore arrivées, mais Bollène est libre.

Mes parents viennent me chercher. Là non plus, je n’ai aucun souvenir de ce jour. Nous avions survécu, mais une personne qui m’était chère manquait à l’appel : ma tante qui avait été arrêtée lors de la rafle du mois d’août 1942. Sa disparition restera comme une ombre portée sur toute la durée de vie de mes parents. Nous n’en avons jamais parlé.

Paris s’était soulevé du 18 au 24 août 1944 et le 25 les allemands de Paris capitulent.

Nous sommes rapidement remontés à Paris. J’ai dû retourner à l’école. Le bon temps de l’école buissonnière de Bollène était bel et bien terminé. Après avoir survécu, il fallut reconstruire.

Marie-Angèle Charmaison* est décédée le 1er décembre 1957.
Georges Charmaison* est décédé le 12 Octobre1962.
Leurs enfants n’ont laissé aucun descendant.

En leur honneur, j’ai obtenu en 1996, en leur nom, pour la ville de Bollène, la médaille des Justes parmi les Nations. Le 13 juin 2006, une plaque de commémoration fut apposée à l’entrée de la mairie.

Jamais je ne pourrai exprimer toute ma reconnaissance à tous les bollénois qui nous ont témoigné leur solidarité, à André Rombeau et Madame le Docteur Marianne Basch qui m’ont permis d’être accueilli par les Charmaison*, et surtout à Georges* et Marie-Angèle Charmaison* qui m’ont adopté comme si j’avais été leur petit-fils, au péril de leur vie. Ils ont pris ce risque tout simplement pour parce que leur conscience leur a dicté de venir en aide à leurs semblables en perdition.
Je ne suis jamais revenu les voir. C’est soixante ans après les événements, alors qu’ils n’étaient déjà plus de ce monde que je me suis remis à penser à eux. J’en ai honte. Mais que faire ? Sans doute ce que je fais maintenant : parler d’eux et les faire honorer.
Merci à eux
Professeur Jacob Cukier

Témoignage rédigé pour l'AJPN le 08/08/2011.

Jacob Cukier

08/08/2011

asso 6536

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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


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1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
4 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
8 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )

Notes

- 1 - En janvier 1943, le Service d’Ordre Légionnaire moribond avait été remplacé par la Milice, sous les ordres de Joseph Darnand. Cette organisation devient une police secrète de Vichy, totalement indépendante. Ses membres doivent prêter un serment en vingt et un points dont « Contre la dissidence gaulliste ….. Contre la lèpre juive. …. Pour la pureté française ». Darnand, son chef, prête personnellement serment de loyauté envers Hitler.
- 2 - Fille de Marius Moutet et belle-fille de Victor Basch un des fondateurs de la Ligue des Droits de l’Homme. Son époux, Georges Basch, officier dans l’armée française, n’ayant pas supporté le débâcle s’est suicidé le 20 juin 1940. Mme Marianne Basch vient alors s’installer comme médecin à Bollène. Elle fut après la guerre mon professeur de gynécologie et nous n’avons jamais évoqué la période de la guerre.
- 3 - Communication personnelle de Jacob Cukieravec Mme Michelle Rombeau, épouse Massonnet, qui se souvient de la conversation entre Marianne Basch et son père André Rombeau.
- 4 - Communication personnelle de Jacob Cukieravec Gilbert Mégier, un voisin proche de la ferme des Charmaison, auteur d’un petit livre très intéressant : Le livre de Derboux, mis à jour dans une nouvelle édition, le 30 juillet 2010.
- 5 - Communication personnelle de mon ami Isaac Levendel auteur du livre Un hiver en Provence, paru aux Éditions de l'Aube en 1996.
- 6 - Note du commissaire spécial des Renseignements Généraux. A.D.Vaucluse 3W29 qui m’a été signalée par Isaac Levendel.

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