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Région :
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Département :
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René Bouffet
(19/08/1942 - 19/08/1944) Préfet de la Seine. Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
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(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
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Marcel Bloch

dit Marcel Dassault
Texte pour ecartement lateral

Paris 75000 Paris
Nom de naissance: Marcel Ferdinand Bloch
Date de naissance: 22/01/1892 (Paris 9e)
Date de décès: 17/04/1986 (Neuilly-sur-Seine)
Profession: Ingénieur, homme politique et entrepreneur
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Marcel-Bloch
Marcel Bloch en 1914
source photo : Par Inconnuhttp://rbmn.free.fr/Dassault_marcel_bloch_1914.jpg, CC BY-SA 3.0, Lien
crédit photo : D.R.
Histoire

Marcel Ferdinand Bloch est le fils d'Adolphe Bloch, médecin d'une société mutualiste, et de Noémie Allatini, mère au foyer1. Il est un petit-neveu par sa mère, Noémie Allatini, de Moïse Allatini, originaire de Livourne, première fortune de Salonique et troisième fortune de l'Empire ottoman, et descend par son père, Adolphe Bloch, d'une famille juive alsacienne, originaire de Fénétrange en Moselle (Lorraine). Adolphe né à Strasbourg en 1844 est venu à Paris faire ses études de médecine. Marcel est le dernier d'une famille de quatre enfants : l'aîné Jules fait une carrière commerciale dans l'assurance, le deuxième Darius Paul Bloch devient général d'armée, le troisième, René, chirurgien des hôpitaux de Paris, meurt en déportation à Auschwitz2. Ils sont cousins de Darius Milhaud et de Nissim de Camondo. Marcel fait ses études secondaires au lycée Condorcet à Paris, avant d'entrer à l’École d'électricité Breguet (ESIEE), puis d'intégrer l’École supérieure d'aéronautique et de construction mécanique (Supaéro) dont il sort diplômé en 1913. Marcel raconte dans son autobiographie qu'il est passionné par les exploits des aviateurs de son époque et décide d'embrasser la carrière aéronautique lorsque le 18 octobre 19093, en récréation dans la cour de l'école Breguet, il voit le Wright du comte de Lambert boucler la tour Eiffel4.

19/05/2019
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L'entre-deux-guerres

Marcel Bloch est incorporé le 9 octobre 1913, au 2e groupe aéronautique à Reims où il fait ses classes en compagnie de l'aviateur Dieudonné Costes. Le 1er février 1914, il est affecté au Laboratoire de recherches aéronautiques de Chalais-Meudon dirigé par le colonel Émile Dorand5. Associé à un ancien élève de Supaéro, Henry Potez, il y dessine l'Hélice Éclair pour avion en 1915, utilisée par l’aviation française durant la Première Guerre mondiale6. Les deux associés toujours soldats créent en 1917 la SEA, Société d'études aéronautiques et reçoivent le renfort de Louis Coroller pour concevoir un prototype d'un avion complet, un biplace d'observation, le SEA IV. L'armée en commande 1 000, mais la fin de la guerre arrive rapidement. Le 11 novembre 1918, 100 SEA IV sont livrés, mais le reste de la commande est résilié7.

Avec la paix, le marché de l'aéronautique s'écroule, ce qui n'empêche pas Potez de persévérer et de créer sa propre compagnie d'aviation, mais Bloch quitte pendant douze ans le domaine aéronautique, et se lance dans le commerce du meuble, l'immobilier et la carrosserie automobile8.

En 1928, Poincaré institue un Ministère de l'Air qui favorise la conception par des ingénieurs de prototypes artisanaux. C'est l'occasion pour Bloch de revenir à l'aéronautique en créant la Société des avions Marcel Bloch en 1931 et de recevoir la commande de 20 avions sanitaires à la fin de l'année 19319. En 1933, pour honorer une commande plus importante de bombardiers bimoteurs Bloch 200, Marcel Bloch en sous-traite la fabrication aux usines de son ami Potez10, mais bientôt, il s'installe à Courbevoie dans une usine qui comptait 700 ouvriers en 193511.

Durant le Front populaire, en 1936-1937, la société Bloch est nationalisée et incorporée à la Société nationale des constructions aéronautiques du sud-ouest (SNCASO), société d'économie mixte où l'État était actionnaire majoritaire. En plus de l'usine de Courbevoie, la SNCASO regroupe une usine à Bordeaux et une autre à Rochefort. Marcel Bloch est nommé administrateur délégué (c'est-à-dire principal dirigeant) de la SNCASO, et avec le chèque reçu pour son expropriation, il investit dans la Société anonyme des avions Marcel Bloch (SAAMB), bureau d'études qu'il a fondé en décembre 1936. Marcel Bloch passe des contrats au bureau d'études SAAMB qui perçoit de substantiels droits de licences12. Cette situation quelque peu scabreuse vaut à l'avionneur de devenir la cible de la presse d'extrême-droite et en particulier de l'hebdomadaire Gringoire13.

La course aux armements qui précède la Seconde Guerre mondiale se traduit par une croissance spectaculaire du secteur aéronautique. La SNCASO qui compte 1 500 ouvriers en 1937 en comptera 7 000 en 194014. Une nouvelle usine est construite à Châteauroux15. Marcel Bloch qui dispose d'une usine à Saint-Cloud, en fait construire une autre à Thiers16 et fonde Bordeaux-Aéronautique, le 17 octobre 1939. Au début de l'année 1940, pour mettre un terme à la situation ambiguë dont il a été question, Marcel Bloch démissionne de son poste d'administrateur délégué de la SNCASO.17

19/05/2019
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Les difficultés durant la Seconde Guerre mondiale

Après la défaite de la France et l'armistice qui suit, Marcel Bloch se retire dans sa villa de Cannes18, alors que son frère, le général Darius Paul Bloch se rallie secrètement à de Gaulle immédiatement après son appel du 18 Juin. En juillet 1940, Focke-Wulf commande deux cents Bloch 17519. Cependant Gringoire continue de se déchaîner contre le Juif Marcel Bloch20. Le 6 octobre 1940, il est arrêté à Cannes et interné administrativement par le gouvernement de Vichy dans l'Indre, à Pellevoisin d'abord et en Ardèche, à Vals-les-Bains ensuite, avec un certain nombre de personnalités dont Marx Dormoy, Vincent Auriol, Georges Mandel, Jules Moch et quelques autres dont Eugène Montel, maire de Colomiers (siège d'usines Dassault après la guerre)21. Le ministre de l'Intérieur Marcel Peyrouton obtient de son collègue de l'Air le général Bergeret qu'il soit libéré en janvier 1941 et assigné à résidence à Thiers où une usine est en construction. Sa libération déclenche une nouvelle campagne de presse, Au Pilori se joignant à Gringoire pour demander que Bloch soit jugé pour avoir « extirpé à l’État français la coquette somme de cent millions de francs pour une certaine convention de licence22 ». Bloch rédige un mémoire de onze pages pour répondre aux attaques, mais Bergeret obtient qu'il soit à nouveau incarcéré à Thiers le 9 avril 1941, puis transféré à la maison d'arrêt de Riom23. Libéré sous caution le 13 octobre 1941 après que la chambre d'accusation eut débouté l'appel de Bergeret, il est arrêté quelques heures après sa sortie sur ordre du même Bergeret et à nouveau interné administratif à Vals-les-Bains. Ses compagnons de détention sont alors Paul Reynaud et le colonel Groussard, toujours Georges Mandel et le général Cochet24. Ses problèmes de santé justifient son transfert, en mars 1943, à la prison-hôpital d'Écully, près de Lyon où il séjourne jusqu'en mars 194425. Pendant sa détention à Thiers, le Commissariat aux questions juives envoie aux directions régionales du service d'épuration économique de Marseille et de Limoges l'ordre de procéder à des enquêtes sur les sociétés Bloch et sur les conditions dans lesquelles ont été construits un certain nombre d'avions, mais le comité d'organisation de l'aéronautique dirigé par Joseph Roos parvient à faire traîner les processus d'aryanisation si bien qu'aucune entreprise d'aéronautique n'est véritablement aryanisée selon les lois de Vichy26. En 1942 cependant, les autorités allemandes de la Militärbefehlshaber in Frankreich (MBF) nomment un administrateur provisoire de l'entreprise Bloch à Saint-Cloud, Jean de Broë26 tandis que Claude de Cambronne devient le représentant provisoire pour la zone libre. Henri Deplante, engagé par Bloch en 1930 et responsable du bureau d'études de la SNCASO en 1940, replié sur Châteauroux, puis sur Mandelieu est sollicité en septembre 1942 pour rejoindre la région parisienne et travailler avec les Allemands, mais il refuse et passe en Espagne après l'invasion de la zone libre en novembre 194227.

Les raisons précises pour lesquelles Marcel Bloch est arrêté par la Gestapo en mars 1944 ne sont pas très claires. Toujours est-il qu'il est interné à la prison Montluc, à Lyon, où son compagnon de cellule est André Frossard28. Madeleine, épouse de Marcel, et Claude, leur fils aîné, ont été également arrêtés le 30 mars, mais relâchés le lendemain. Marcel les retrouve avec son autre fils Serge au camp de Drancy, où il est transféré au mois de juillet. Il est cependant déporté sans sa famille à Buchenwald, par le convoi du 17 août 194429. À Buchenwald, il porte le triangle rouge des prisonniers politiques30. De santé fragile et âgé de 52 ans, Marcel Bloch peut redouter de ne pas survivre longtemps dans un camp de concentration particulièrement dur, mais il est repéré par Henri Frager (1897-1944)31 et signalé auprès du « Comité des intérêts français » dirigé par Marcel Paul, membre du Parti communiste français et chef de l'organisation clandestine du camp, et également par Albert Baudet. C'est à cette organisation qu'il doit d'être encore vivant à la libération du camp en avril 194532. Il manifeste par la suite sa gratitude en nommant Albert Baudet directeur de la publicité du magazine Jours de France et en versant chaque année une somme d'argent au journal l’Humanité et à la Fédération des déportés FNDIRP. Il témoigne publiquement en faveur de l'action de Marcel Paul à Buchenwald. 

19/05/2019
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Le succès après-guerre

En 1946, il fait changer son patronyme en Bloch-Dassault (décret paru au Journal officiel du 4 décembre 1946), puis en Dassault (décret paru au Journal officiel du 15 février 1949)33. Dassault est une déformation du nom de code « Chardasso » (anglicisation de « char d'assaut », avec rajout à Dassaut de la lettre l comme un aile), un des pseudonymes utilisés par son frère, le général Darius Paul Bloch, dans la résistance34.

Tout juste après la guerre, la France bénéficie du Plan Marshall , et fait partie de l'OTAN. L'entreprise de Marcel Dassault obtient une commande de construction d'une nouvelle flotte d'avions qui serait la première pour l'armée de l'air française avec des moteurs à réaction. C'est un des plus grand contrat d’armement qui représente un pourcentage non négligeable du plan Marshall. C'est ce contrat qui a permis à Marcel Dassault de se différencier et se distinguer des autres industriels d'aviation.

Marcel Dassault se convertit au catholicisme en 195035. En 1956, il est élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur36, plus haute distinction française.

Sa société devient la société des avions Marcel Dassault, puis la Générale Aéronautique Marcel Dassault (GAMD), qui produit les premiers avions à réaction français : Ouragan (1949), Mystère II (1952), Mystère IV (1954), Super-Mystère B-2 (1955), Mirage III (1956), Mirage IV (1959) qui équipent les forces nucléaires françaises et l'avion civil, bi-réacteur d'affaires Mystère-Falcon (1963). Puis le Mirage F1 dont le premier vol a lieu en 1966. Une division électronique est également créée en 1954 pour le développement de radars.

Absorbant les usines Bréguet, la GAMD est renommée avions Marcel Dassault-Bréguet aviation (AMD-BA) en 1971. Elle produit alors l'Alpha Jet (1973) avec l'allemand Dornier, avion d'entraînement qui équipe entre autres la Patrouille de France, le Jaguar avec British Aircraft Corporation, le Mirage 2000 (1978), l'avion de transport de passagers Mercure (1973), le Rafale et des évolutions de la série des Falcon. Il se crée ainsi un groupe industriel militaire et civil centré sur l'aviation, l'électronique (Électronique Serge Dassault) et l'informatique (Dassault Systèmes). Après l'élection de François Mitterrand comme président de la République, en 1981, Marcel Dassault échappe à la nationalisation en faisant don à l'État de 26 % de ses actions. En 1990, la société AMD-BA est renommée Dassault Aviation et devient leader mondial dans ce domaine.

Il s'intéresse également à la presse en créant un hebdomadaire, Jours de Francenotes 1, concurrent de Paris Match, dans lequel il fit une part belle à l'aviation et à ses idoles Chantal Goya et Thierry Le Luron. Lui-même y tenait une rubrique, « le Café du commerce ». En 1962, il fait aussi partie des actionnaires fondateurs de Minute37.

Gaulliste, il est sénateur des Alpes-Maritimes, puis député de l'Oise jusqu'à sa mort à 94 ans. Il joue un rôle dans le début de la carrière de Jacques Chirac, fils d'un de ses collaborateurs, en le recommandant à Georges Pompidou. Doyen de l'Assemblée nationale de 1978 à 1986, il ouvrit, le jeudi 2 juillet 1981, la première législature de gauche de l'histoire de la Cinquième République38.

Le 22 mai 1964, sa femme est enlevée sous ses yeux par des truands exigeant une rançon pour sa libération. Ils seront arrêtés et sa femme libérée deux jours plus tard. Le 20 octobre 1984, l'Action Directe organise un attentat à la bombe contre son usine de Saint-Cloud.
Au palmarès des plus grandes fortunes de France, il arrive premier en 1985 avec sept milliards de francs.

Il meurt à l'hôpital américain de Neuilly et a droit à un hommage exceptionnel de la part du gouvernement Chirac qui organise ses obsèques en la cathédrale du diocèse aux armées, Saint-Louis-des-Invalides, le 22 avril 1986, geste unique envers un industriel français39. Il est enterré au cimetière de Passy (8e division). Son épouse Madeleine (née Minckès) décède en 1992 à 91 ans.

19/05/2019
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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
4 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
8 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )

Notes

- 1 - Marie-Odile Mergnac, Histoire familiale des hommes politiques français, Archives & culture, 1997, p. 72.
- 2 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 20.
- 3 - « Un aéroplane sur Paris », Le Matin, no 9366,‎ 19 octobre 1909, p. 1
- 4 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 34.
- 5 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 39.
- 6 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 45.
- 7 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 46-48.
- 8 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 53-55.
- 9 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 60-69.
- 10 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 73.
- 11 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 81.
- 12 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 99-102.
- 13 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 111.
- 14 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 157.
- 15 - « Usine de construction aéronautique Marcel Bloch, puis de la Société Nationale des Constructions Aéronautiques du Sud-Ouest, actuellement aéroport », notice no IA36003610, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- 16 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 139.
- 17 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 131.
- 18 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 142.
- 19 - Klemm, op cit, p 54.
- 20 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 144-145.
- 21 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 148.
- 22 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 153-155.
- 23 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 156-159.
- 24 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 164-167.
- 25 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 173.
- 26 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 161.
- 27 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 172.
- 28 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 176-177.
- 29 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 180.
- 30 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 186.
- 31 - Jorge Semprún, Le Fer rouge de la mémoire, Quel beau dimanche Gallimard Quarto, pp. 624 et 625.
- 32 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, pp. 185-205.
- 33 - Histoire familiale des hommes politiques français, Archives & culture, 1997, p. 72.
- 34 - Pierre Dallenne, Des Trente Glorieuses à la Nouvelle économie, Ellipses, 2000, p. 12.
- 35 - Pierre Assouline, Monsieur Dassault, Balland, 1983, p. 218.
- 36 - Biographie - Site de Dassault Aviation.
- 37 - «Minute», ascenseur pour les fachos, par Christophe Forcari, Libération, 18 novembre 2013.
- 38 - Compte-rendu intégral de la séance du 2 juillet 1981 - Journal officiel de la République française.
- 39 - Jean Garrigues, La France de la Ve République : 1958-2008, Armand Colin, 2008, p. 127.

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