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Paris

Région :
Île-de-France
Département :
Paris

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(1934 - 1940) Achille Joseph Henri Villey-Desmeserets, Préfet de la Seine (1878-1953)
Charles Paul Magny
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(19/08/1942 - 19/08/1944) Préfet de la Seine. Arrêté et révoqué par la Résistance le 19 août 1944 (1896-1945)
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(1944 - 1946) Préfet de la Seine (1892-1971)
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Salomon Grumbach

Texte pour ecartement lateral

Paris 75000 Paris
Date de naissance: 06/01/1884 (Hattstatt (Alsace))
Date de décès: 13/07/1952 (Neuilly-sur-Seine)
Aidé ou sauvé par : - Paul Ramadier Profession: Homme politique et journaliste
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Salomon-Grumbach
Salomon Grumbach et Giuseppe Emanuele Modigliani (Italie) au Congrès socialiste en 1927
source photo : Bibliothèque nationale de France
crédit photo : Domaine public
Histoire

Imprégnation culturelle et politique

Salomon Grumbach est né le 6 janvier 18841 à Hattstatt (Alsace). Il est le fils d'une famille modeste, sont père est vendeur de fromage et sa mère est couturière.

Son enfance est marquée par une éducation littéraire où les cultures française et allemande se trouvent sur le même plan, tout comme les langues de ces deux pays.

Dès sa jeunesse, il fait partie du cercle d'écrivains et d'artistes Junges Elsass qui publie la revue Die Stürmer. Ce cercle se considère comme étant un intermédiaire entre l'Allemagne et la France et vise à un renouveau culturel et intellectuel, un "alsacisme intellectuel" (de) "geistiges Elsässertum"1, qui doit dépasser les frontières régionales et nationales et ouvrir des perspectives européennes ou plutôt universelles2. On trouve parmi les membres de ce cercle : Otto Flake, René Schickele, Ernst Stadler, Hermann Wendel, Bernd Isemann et René Prévôt.

En 1904, ce groupe qui a fortement imprégné la pensée politique de Grumbach se dissout. Quelques membres - Grumbach, Flake et Wendel – entrent au SPD.

12/02/2014
Lien : Wikipedia

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Rédacteur socialiste

De 1904 à 1907, Grumbach travaille comme rédacteur de la Volksstimme, le journal social-démocrate de Francfort-sur-le-Main. Il publie des articles sur la situation politique en Alsace-Lorraine, sur la politique intérieure de l'Empire allemand tout comme sur le mouvement ouvrier français et autrichien. Grumbach écrit également des contributions pour des feuilletons et participe activement de par sa culture littéraire et historique au comité de Francfort pour la formation des ouvriers. En juillet 1907, Grumbach quitte la rédaction de la Volksstimme. Par la suite, il voyage entre Berlin, Strasbourg et Paris. Dans la capitale française, il travaille pour le journal socialiste L’Humanité et rédige quelques textes pour l'organe central social-démocratique le Vorwärts tout comme pour le journal alsacien Freie Presse. Il est en outre secrétaire d'un club de lecture socialiste. C'est à cette période qu'il nous de bons contacts avec les socialistes français de premier plan comme Jean Jaurès, Marcel Sembat ou Albert Thomas. De 1907 jusqu'au début de la Première Guerre mondiale, Grumbach critique de plus en plus la politique de germanisation de l'Alsace-Lorraine ainsi que le militarisme et le danger que représente la guerre et qui éclate fin 1913 lors de l'Incident de Saverne. Il milite pour une constitution républicaine pour l'Alsace-Lorraine. En 1911, Grumbach salue d'ailleurs la constitution donnée comme un pas dans la bonne direction.

12/02/2014
Lien : Wikipedia

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Journalisme et politique pendant la Première Guerre mondiale

Peu avant le déclenchement de la Première Guerre mondiale, Grumbach part s'installer en Suisse où il travaille comme correspondant de l'Humanité. Face à la division du mouvement ouvrier international, Grumbach rejoint le côté français. Ses positions face à la SPD se refroidissent très visiblement. Contrairement à la majorité des sociaux-démocrates allemands, il part du fait que l'Empire allemand mène une guerre d'agression. Il prône en outre le droit de l'Alsace à disposer d'elle-même. En 1917, il publie une collection de textes et de documents visant à éclairer les buts de guerre allemands3. Pendant la guerre, il garde contact avec une minorité croissante de sociaux-démocrates qui refuse la Burgfrieden du SPD, et essaie de les amener autour d'une table ronde avec les socialistes français.4

12/02/2014
Lien : Wikipedia

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Politique dans l'entre-deux-guerres

Grumbach et la SFIO

Devenu citoyen français et membre de la SFIO en 1918, Grumbach fait partie de la minorité qui refuse une collaboration internationale avec des partis communistes. En 1920, la majorité fonde le Parti communiste français qui se rallie au Komintern. Grumbach prend de l'importance au sein de la SFIO où il fait partie de l'aile droite et occupe des fonctions dirigeantes et devient membre de la Commission administrative politique. Vis-à-vis des dangers fondamentaux concernant la préservation des valeurs républicaines, Grumbach prône une politique commune aux partis s'investissant pour la sauvegarde de la république et contre les formes d'État autoritaires.

Mandats politiques

Dans le canton de Sainte-Marie-aux-Mines, Grumbach est élu conseiller général en 1919. En 1919 et 1924, il perd lors des élections législatives. Ce n'est qu'en 1928 qu'il parvient à être élu au second tour. Le parlement choisit Grumbach au poste de vice-président de la commission pour les Affaires étrangères et comme conseiller technique de la France pour la Société des Nations. Il est de plus membre de la commission pour l'Alsace-Lorraine et de la Commission des mines et de la force motrice. Il perd son siège à l'assemblée en 1932. Fin avril 1936, il est élu député de Castres.

Participation aux conférences internationales

Après la fin de la guerre, Grumbach tient à son rôle d'intermédiaire entre la France et l'Allemagne. C'est ainsi qu'il prend part par exemple en 1921 à la conférence d'Amsterdam qui voit de manière critique les dispositions du Traité de Versailles et en même temps blâme l'Allemagne de ne pas avoir de plan visant à réparer les dommages de guerre. On trouve parmi les participants à cette conférence des délégués du groupe socialiste français, de l'Unabhängige Sozialdemokratische Partei Deutschlands et de l'Independent Labour Party britannique. En janvier 1922, Grumbach intervient lors d'une manifestation internationale à Berlin. Un mois plus tard, il prend part au congrès de l'Union des partis socialistes pour l'action internationale à Francfort dédié aux questions de la démilitarisation et des réparations de guerre. Lors du congrès du parti social-démocrate à Leipzig en 1931, Grumbach plaide en tant qu'orateur invité pour une réconciliation franco-allemande. En 1924, il accompagne Édouard Herriot à Londres où se tiennent les discussions sur le Plan Dawes en vue de régler les réparations allemandes. L'année suivante, il accompagne Aristide Briand à Locarno.

Passeur et interprète de la politique franco-allemande

Après l'arrivée au pouvoir du NSDAP le 30 janvier 1933, Grumbach parvient à aider un groupe d'allemands qui cherche à fuir le nouveau régime. Il utilise pour cela ses fonctions de président de la commission d'immigration de la SFIO et ses contacts étroits avec la Société des Nations. On compte parmi les personnes aidées par Grumbach : le maire d'Altona Max Brauer, son ami et avovat Rudolf Katz et l'ancien ministre des Finances prussien Otto Klepper5. Entre décembre 1933 et janvier 1936, Grumbach publie une série d'articles dans le Pariser Tageblatt, journal français de langue allemande. Dans ces contributions, il utilise deux pseudonymes. Du point de vue du contenu, il s'intéresse aux relations franco-allemandes et à la situation en Allemagne, en particulier à la politique d'armement du Troisième Reich. En tant que grand connaisseur de la politique française, il expose à ses lecteurs les caractéristiques et les détails de la politique intérieure française et du système des partis français.6

12/02/2014
Lien : Wikipedia

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Activités pendant la Seconde Guerre mondiale et politique d'après-guerre

Évasion et résistance

En réaction à l'invasion allemande de 1940, Grumbach s'embarque en juillet 1940 avec 26 autres parlementaires sur le Massilia vers le Maroc. Le navire est détourné sur Casablanca et doit faire route inverse. En septembre 1940, Grumbach est arrêté et reste interné jusqu'en mai 1941. Il vit alors sous contrôle policier à Mende. Il parvient malgré cette surveillance à prendre contact avec la résistance. En novembre 1942, il prend le maquis dans les Cévennes.

Mandats après la Seconde Guerre mondiale

En octobre 1945, Grumbach est délégué pour Castres de la première Assemblée nationale. Il y représente la SFIO et reprend la direction de la commission pour les Affaires étrangères tout comme la direction de la commission d'enquête parlementaire pour la zone d'occupation française. Cette commission d'enquête parlementaire parcourt sous sa direction la zone d'occupation française et montre de nombreux dysfonctionnements7. A la mi-décembre 1946, Grumbach est élu au Conseil de la République jusqu'en 1948. À partir de fin 1948, il est membre de la délégation française aux Nations Unies.

En 1952, il se porte candidat à nouveau au Conseil de la République mais échoue. Immédiatement après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Grumbach prend contact avec le SPD. En août 1946 déjà, il avait pris la parole aux côtés de Max Brauer à Hambourg alors d'une manifestation publique du SPD. Il est d'ailleurs à cette occasion le premier représentant de la SFIO à parler lors d'un congrès de la SPD. Même plus tard, il apparaît régulièrement en Allemagne. Il devient quelqu'un de reconnu au sein du SPD, ce que souligne le service de presse social-démocrate dans la nécrologie de Grumbach en 19528. La direction de la SFIO estimait certes ses connaissances de la langue allemande et du pays voisin mais son influence dans les affaires allemandes est restée faible9.

Une rue porte son nom à Mulhouse.

12/02/2014
Lien : Wikipedia

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Chronologie [Ajouter]
Cet article n'est pas encore renseigné par l'AJPN, mais n'hésitez pas à le faire afin de restituer à cette commune sa mémoire de la Seconde Guerre mondiale.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

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Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
2 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
3 Notre Dame de Sion : les Justes (La première religieuse de Sion à recevoir ce titre en 1989 est Denise Paulin-Aguadich (Soeur Joséphine), qui, à l’époque de la guerre, était ancelle (en religion, fille qui voue sa vie au service de Dieu). Depuis, six autres sœurs de la congrégation, ainsi qu’un religieux de Notre-Dame de Sion ont reçu la même marque de reconnaissance à titre posthume. Ils ont agi à Grenoble, Paris, Anvers, Rome. L’action de ces religieuses et religieux qui ont sauvé des Juifs pendant la deuxième guerre mondiale mérite de ne pas être oubliée. Et il y en a d’autres, qui, même s’ils n’ont pas (encore ?) reçu de reconnaissance officielle, ont œuvré dans le même sens, chacun à leur place. )
4 L'histoire des Van Cleef et Arpels (Blog de Jean-Jacques Richard, très documenté. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
8 Les grands entretiens : Simon Liwerant (Témoignage de Simon Liwerant est né en 1928. Son père Aron Liwerant, ouvrier maroquinier né à Varsovie, et sa mère Sara née Redler, seront arrêtés et déportés sans retour. )

Notes

- 1 - René Schickele, Adrien Finck, Maryse Staiber, Elsässer, Europäer, Pazifist, Morstadt, 1984, p.26.
- 2 - Voir Günter Scholdt, Literatur als Mittler? Der Raum Saar-Lor-Lux-Elsaß als Erkenntnismodell, p.3 ff.
- 3 - Salomon Grumbach, Das annexionistische Deutschland. Eine Sammlung von Dokumenten, die seit dem 4. August 1914 in Deutschland öffentlich oder geheim verbreitet wurden, Payot, Lausanne, 1917.
- 4 - Karl-Heinz Klär, Der Zusammenbruch der Zweiten Internationale. Campus-Verlag, Frankfurt a. M./New York 1981, p.217 et p.332, Remarque 348.
- 5 - Axel Schildt, Max Brauer. Ellert und Richter, Hamburg 2002, p.48f. Christa Fladhammer/Michael Wildt, Einleitung, Dans : Dieselben (Éd.), Max Brauer im Exil. Briefe und Reden 1933-1946. Hans Christians Verlag, Hamburg, 1994, p.30 f. ISBN 3-7672-1219-6. Fladhammer/Wildt et Schildt font l'erreur de noter que Grumbach a été membre du Reichstag avant-guerre.
- 6 - Gilbert Badia: Salomon Grumbach.
- 7 - Jürgen Klöckler, Abendland - Alpenland - Alemannien. Frankreich und die Neugliederungsdiskussion in Südwestdeutschland 1945-1947 (Studien zur Zeitgeschichte, Bd. 55), Oldenbourg, München 1998. p.55.
- 8 - Sozialdemokratischer Pressedienst du 14 juillet 1952, p.2a.
- 9 - eatrix W. Bouvier, Französische Sozialisten und deutsche Sozialdemokraten im Vergleich, [archive] in: Eliten in Deutschland und Frankreich im 19. und 20. Jahrhundert. Strukturen und Beziehungen = Élites en France et en Allemagne aux XIXe et XXe siècles, im Auftrag des Deutsch-Französischen Historikerkomitees, Bd. 2. Oldenbourg, München 1994 p.97, ISBN 3-486-56094-8.

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