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39/45 en France (WWII)
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Région :
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Préfets :
Georges Malick
(10/1937 - 08/1940) Préfet de la Charente
Alfred Papinot
(08/1940 - 08/1943) Préfet de la Charente
Louis Bourgain
(16/08/1940 - 1944) Vice-amiral, Préfet de de la Vienne et préfet régional de la région de Poitiers (Charente-Maritime (Charente-Inférieure jusqu'en 1941), Deux-Sèvres et Vendée et les parties occupées de la Charente, de Dordogne et de la Vienne. Condamné à huit ans de prison à la Libération (1881-1970)
Pierre Berger
(1941 - 1942) Pierre Jean Berger, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Antoine Lemoine
(01/05/1942 - 1943) Antoine Jean Marcel Lemoine, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
René Rivière
(Jan. 1943 - 1943) René Édouard Rivière, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Pierre Daguerre
(08/1943 - 01/09/1944) Préfet de la Charente
Marc Freund-Valade
(11/09/1943 - 10/05/1944) Marc Paul Freund dit Freund-Valade, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
André Fourcade
(10/05/1944 - 06/1944) André Fourcade dit Vergnaud, Commissaire régional de la République de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne), arrêté par la Gestapo en juin 1944, fusillé à Buzet-sur-le-Tarn le 17 août 1944
Jean Schuhler
(06/1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Poitiers (Charente-Maritime (Charente-Inférieure jusqu'en 1941), Deux-Sèvres et Vendée et les parties occupées de la Charente, de Dordogne et de la Vienne)
Joseph Garnier
(01/09/1944 - 12/1951) Préfet de la Charente
Pierre Boursicot
(23/10/1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
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Hommage aux Juifs déportés d’Angoulême et aux Justes de Charente, inauguré le 08/10/2012 source photo : Yad Vashem crédit photo : D.R. | |
Hôtel de Ville source photo : Ville d'Angoulême crédit photo : D.R. | |
Le sens de la marché, 31 août 1940 source photo : Arch. fam. Vilain crédit photo : D.R. |
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La commune des Angoumoisins
Angoulême est une commune de la Charente.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 38 915 habitants et 44 244 en 1946.
24/06/2024
La Seconde Guerre mondiale
17/08/2011
La ligne de démarcation
L'article 2 de l'armistice du 22 juin 1940, prévoit « Pour assurer les intérêts du Reich allemand, le territoire français situé au nord et à l’ouest de la ligne tracée sur la carte ci-annexée sera occupé par les troupes allemandes. Les territoires qui ne sont pas encore aux mains des troupes allemandes seront immédiatement occupés après la conclusion de la présente convention ».
Les Allemands mettent en place toute une série de mesures pour limiter sur le territoire la circulation des personnes et des marchandises et le trafic postal entre les deux grandes zones.
La ligne de démarcation, qui entre en vigueur trois jours plus tard, traverse treize départements : Basses-Pyrénées (Pyrénées-Atlantiques), Landes, Gironde, Dordogne, Charente, Vienne, Indre-et-Loire, Loir-et-Cher, Cher, Allier, Saône-et-Loire, Jura, Ain.
La ligne de démarcation, dont le tracé est publié le 30 juillet, passe près d’Angoulême, à l'est d'Aubeterre-sur-Dronne, à l'ouest de Ribérac, à Montpon-Ménestérol, Castillon-la-Bataille et Sainte-Foy, La Réole, Auros, Roquefort (Landes), Mont-de-Marsan, Saint-Sever, Hagetmau, Orthez, Mauléon, Saint-Jean-Pied-de-Port, Vanxains...
La ligne de démarcation est comme une frontière. Des guérites et des barrières aux couleurs allemandes sont installées aux postes de passage, signalés par des pancartes. Un Ausweis (laissez-passer), délivré par les Kommandanturen (bureaux de l'autorité allemande chargés de l'administration militaire ou civile d'une zone déterminée du territoire) et très difficile à obtenir, est obligatoire pour aller d’une zone à l’autre, que ce soit à pied, en voiture ou en train.
Les personnes qui résident à dix kilomètres de part et d'autre de la ligne peuvent demander des Ausweis für den kleinen Grenzverkehr (laissez-passer pour la petite circulation frontalière) qui leur permettent de circuler pour un temps déterminé sur le territoire de leur département coupé en deux. La délivrance de ces laissez-passer est du ressort des Feldkommandanturen et des Kreiskommandanturen locales.
Jusqu'en septembre 1940, aucun courrier ne peut circuler d'une zone à l'autre.
La Demarkationslinie - la ligne de démarcation - ne disparaîtra que le 1er mars 1943, plusieurs mois après l’occupation totale de la France, le 11 novembre 1942.
01/01/2022
Le Père Le Bideau
Arrivé à Angoulême en 1933, dans la communauté Montfortaine d'Obezine, le Père Jean-Baptiste Le Bideau anime un patronage pour les enfants de quartiers défavorisés où vivent des familles dans une grande pauvreté. Dès le début de la guerre, le patronage prend de l'ampleur. Une cantine est créée et le Père Le Bideau devient mendiant pour nourrir les enfants.
Devant le flux des enfants égarés, abandonnés, orphelins suite à la débâcle, la Petite Œuvre, comme on l'appelle alors, s'installe d'abord dans diverses maisons jamais assez grandes, puis dans les baraquements militaires de Chanzy.
Une association est créée en 1941. Elle prend le nom de "La Mère des Pauvres" et ses statuts sont déposés à la préfecture d'Angoulême.
A la fin de la guerre, l'Association et ses centaines d'enfants s'installent sur le camp "des Trois Chênes" à Basseau où se trouve encore aujourd'hui le siège. Elle prend alors le nom de "Marie Mère des Pauvres".
26/06/2012
Lien : Association Père Le Bideau
La rafle du 8 octobre 1942
Le 8 octobre 1942, la police française organisait une grande rafle des juifs habitant en Charente et dans le Périgord Blanc, habitant dans les villes et dans les petits villages à l’ouest de Verteillac et Ribérac (24). Ils ont été arrêtés parce que juifs et rassemblés dans la salle philarmonique d’Angoulême, en vue de leur déportation par le train, via Drancy.
Au total, 422 juifs, hommes, femmes, enfants, ont été arrêtés. Les Français ont alors procédé à un "tri". Les juifs français et les bébés ont été extraits de la salle de concert et ont eu la vie sauve, pour cette fois-ci au moins. Les 387 autres ont été déportées vers les camps de la mort, parmi elles, 85 enfants.
Nombre de personnes arrêtés dans les 22 communes de Charente et du Périgord blanc rattaché à la Charente.1
06/11/2021
Gustave Guillon
(1925-1941) Destitué par le régime de Vichy
Ariste Pallas
(1941-1944)
Antoine Rougerie
(1944-1945)
Antonin Denis
(1945-1947)
Roger Baudrin
(1947-1954)
Jean-Baptiste Mégnin
Évêque d'Angoulême ( 07/12/1933-†09/05/1965 )
>> Voir les 88 familles arrêtées dans la commune <<
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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog
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Jean-Baptiste Le Bideau
Prêtre Nommé "Gardien de la vie"
Les 31 Justes parmi les Nations de la Charente
Marguerite Bredier (Aubusson)
(Montrollet)
Jean Kéruzoré (La Couronne)
Valentine Vacheyroux (Angoulême)
Henriette Briand (Châteaubernard)
Liliane Lacore Bloch-Morhange (Manot)
Marie-Louise Vacheyroux Dannequin (Angoulême)
Familles réfugiées à Angoulême
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
88 Familles arrêtées (Angoulême)
[Compléter]
1942
Famille Bard - Daniel, 30 ans, né le 12/07/1912 à Rozhnyativ, Ivano-Frankivsk, Ukraine était domicilié à Angoulême. Arrêté pare que juif, il est interné à Poitiers et déporté sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 8 du 20/07/1942.
Déportation : 20/07/1942
convoi no 8
Source : Mémorial de la déportation des Juifs de France
08/10/1942
Famille Bazes - Heinrich, 68 ans, né le 26/06/1874 à Vienne (Autriche), et son épouse Wilhelmine née Kirsch, 55 ans, née le 03/05/1887 à Vienne (Autriche), sont domiciliés 8 ter Rue Corderant à Angoulême. Arrêtés parce que juifs, ils sont déportés sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 42 du 06/11/1942.
Déportation : 06/11/1942
convoi no 42
Source : Mémorial de la déportation des Juifs de France
08/10/1942
Famille Ber - Kalia, 37 ans, née Eisenberg Osterlanda le 23/11/1904 à Cracovie (Pologne), réfugiée à Angoulême résidait 100 Route de Bordeaux. Arrêtée parce que juive, elle et déportée sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 40 du 04/11/1942.
Déportation : 04/11/1942
convoi no 40
Source : Mémorial de la déportation des Juifs de France
1942
Famille Bergstein - Rosa, 19 ans, née le 18/10/1922 à Baranow Sandomierski (Pologne) était internée à la Maison d'Arrêt Angoulême parce que juive. Elle sera internée à Poitiers et déportée sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 8 du 20/07/1942.
Déportation : 20/07/1942
convoi no 8
Source : Mémorial de la déportation des Juifs de France
08/10/1942
Famille Bloch - Sophie, 62 ans, née Ermann (Hermann) le 20/01/1880 à Mehring (Allemagne) domicilié 30 Rue Gaudichaud à Angoulême. Arrêté parce que juive, elle est déportée sans retour vers Auschwitz par le convoi n° 40 du 04/11/1942.
Déportation : 04/11/1942
convoi no 40
Source : Mémorial de la déportation des Juifs de France
20/08/1940 -
Le 20 août 1940 part d'Angoulême un convoi de républicains espagnols : le convoi des 927. c'est le premier convoi de déportés.
05/08/1942 -
La circulaire n° 2765 du secrétaire général à la Police envoyée au préfet régional de Limoges vise les étrangers suivants en vue de leur transfert en zone occupée : "Les israélites allemands, autrichiens, tchécoslovaques, polonais, estoniens, lituaniens, lettons, dantzicois, sarrois, soviétiques et les réfugiés russes entrés en France postérieurement au 1er janvier 1936 incorporés dans des groupes de T.E., hébergés au centre du Service social des étrangers, dans les centres des comités privés ou dans ceux de l'UGIF, placés dans les centres de regroupement israélites en application des circulaires du 3 novembre 1941 et du 2 janvier 1942 ainsi que ceux en résidence libre, seront transportés en zone occupée avant le 15 septembre". La circulaire exclut quelques catégories de Juifs, dont les vieillards de plus de 60 ans, les enfants de moins de 18 ans non accompagnés, les femmes enceintes...
26/08/1942 -
Rafle de Juifs réfugiés en Limousin. 446 Juifs dont 68 enfants de la région sont regroupés au camp de Nexon sont acheminés vers Drancy le 29 août 1942 et déportés vers Auschwitz par les convois n° 26 et 27.
08/10/1942 -
Rafle des Juifs en Charente dans la nuit du 8 au 9 octobre 1942.
31/01/1944 -
Grande rafle ordonnée par le Préfet de région Poitou-CharentesLencloître France
Auteur :
Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
2 Comité national français en hommage à Aristides de Sousa Mendes
3 Connus ou inconnus mais Justes (C’est dans le sillon creusé par Aristides de Sousa Mendès, Madeleine Barot, Charles Altorffer, Marc Boegner, Henry Dupuy, Raoul Laporterie… que s'ancre le souvenir de tous ces Justes que la modestie pourrait renvoyer à l’oubli et à l’indifférence.
Ce livret du Crif Sud-Ouest Aquitaine, écrit et coordonné par Hellen Kaufmann, présidente de l'AJPN, rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. La moindre des choses était de leur permettre de dire et de déposer leur histoire, pour que l’avenir ne les oublie plus jamais, ni eux ni les anonymes qui ont aidé au sauvetage de Juifs. )
4 Victime en représailles à Mussidan
5 Souvenir Français Loudun - GABORIAUD Alphonse (Site du Souvenir Français - Comité de Loudun Page GABORIAUD Alphonse )
6 Souvenir Français Loudun - ROWEK Albert (Souvenir Français Comité de Loudun - Page ROWEK Albert )
7 Les neufs jours de Sousa Mendes - Os nove dias de Sousa Mendes (Documentaires de Mélanie Pelletier, 2012.
Avec António de Moncada de Sousa Mendes, Andrée Lotey, Elvira Limão, Hellen Kaufmann, Manuel Dias Vaz, Irene Flunser Pimentel, Esther Mucznik, José Caré júnior, Marie-Rose Faure, Maria Barroso… et António de Oliveira Salazar, Charles de Gaulle, le Maréchal Philippe Pétain, et le rabin Haïm Kruger. )
8 De l'autre côté des nuages
9 Marsac 23210 La population remerciée (Article du Journal La Montagne du 04/07/2021: la population est remerciée pour avoir protégé des familles juives. Trois familles ont été honorées. )
*** Recherche de renseignements sur une famille juive hébergée à Gond-Pontouvre Déposée le 19/11/2012
Je suis le petit fils d'une personne dont les parents ont hébergé durant la guerre une famille juive, dans la rue Aristide Briand à Gond-Pontouvre (Charente) ; ma grand-mère, qui était jeune à l'époque, se souvient d'une petite fille qui se prénommait Fanny.
Merci de me contacter pour tout renseignement sur cette famille.
[répondre]
Répondue le 25/04/2015
Bonjour,
Répondue le 04/10/2018
Je fais actuellement des recherches sur les Juifs étrangers déportés lors de la rafle d'aout 1942 sur la région de Limoges. Je me concentre sur les personnes déportées depuis la Haute-Vienne, mais, attendu que la région de Limoges était beaucoup plus vaste et qu'elle comprenait la Charente-Libre, je peux avoir certains renseignements sur quelques personnes réfugiées en Charente qui furent raflées à l'époque. Je recherche tout témoignage utile sur le sujet globalement.
N'hésitez pas à m'envoyer un message.
bonjour,
Répondue le 16/02/2019
je suis également à la recherche de renseignements sur des familles juives mosellanes expulsées de Moselle suite à l'annexion et recueillies en Charente. plus particulièrement la famille Gliott dont les parents on été arrêtés en 1942.
Auriez-vous des pistes pour mes recherches ?
Plus une question qu'une réponse... Avez-vous connaissances de l'arrestation dans cette rafle de Sara Herscher (déportée par le convoi 40) et éventuellement de ses 3 filles: Cécile, Odette et Marguerite, précédemment réfugiées ou assignées à résidence à St Privat des Prés, en Dordogne?
Répondue le 16/02/2019
Plus une question qu'une réponse... Avez-vous connaissances de l'arrestation dans cette rafle de Sara Herscher (déportée par le convoi 40) et éventuellement de ses 3 filles: Cécile, Odette et Marguerite, précédemment réfugiées ou assignées à résidence à St Privat des Prés, en Dordogne?
*** Recherche sur un militaire Français au Frontst. 184 Déposée le 09/07/2018
Bonjour,
Je recherche tous renseignements sur le sergent Maurice POIREAU né le 29/03/1908 à Aulnay(17).
Classe 1928; matricule 487 (bureau de La Rochelle).
Fait prisonnier à Viteau (?)le 17/06/1940, évadé et repris le 22/06/1941 et arrivé au Frontstalag 184 à Angoulême.
[répondre]
Répondue le 10/07/2018
Bonjour,
Vous pourriez lancer une rechercher auprès
de l'organisme suivant :
- Service historique de la défense
Division des archives des victimes des conflits contemporains
Rue Neuve du Bourg l’Abbé
14037 Caen cedex
Cordialement,
JD
*** RAFLE D'ANGOULEME AOUT 1942 Déposée le 29/04/2013
Je suis à la recherche d'information concernant deux petites filles juives et de leur mère qui ont été arrêtées lors de la rafle d'août 1942 à Angoulême. Les petites s'appelées Ginette et Josette Lambert, respectivement 13 et 14 ans. Je ne sais pas comment s’appelait leur maman qui était juive (donc peut être arrêtée sous son nom de jeune fille). Les deux petites sont répertoriées comme faisant partie du convoi n°68 du 10 février 1944 (site des Klarsfeld "children of the holocaust"). Je ne sais pas si elles sont mortes ni ce qui est advenu de leur maman. Toute information sera la bienvenue. C'est pour ma grand mère (92 ans) à qui je viens d'offrir le livre de Franck Svensen sur la Rafle d'Angoulême et qui a connu Ginette. Merci.
[répondre]
Répondue le 02/05/2013
BONJOUR
Répondue le 02/10/2015
J'ai fait des recherches sur le site de YAD VACHEM..et helas j'ai retrouve Ginette et Josette..deportees a Aushwitz.il y a un temoignage de leur oncle
Merci. J'ai aussi trouvé cette information et depuis beaucoup d'autres sur l'histoire de cette famille. Mais il y a encore beaucoup de "blanc" dans ma recherche. Toute information sera la bienvenue.
*** RECHERCHE PARENT TYCZEWSKI IGNACE Déposée le 09/09/2015
je recherche des infos sur mon oncle Tyczewski Ignace qui a quitté (ou fui ) le Pas de Calais en Avril 1944 pour Langeais en Indre et Loire ,il n'a plus jamais contacté sa famille et doit être décédé dans les années 1960
merci
Monique P
[répondre]
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