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Isère

Région :
Auvergne-Rhône-Alpes
Département :
Isère

Préfets :
Jean Surchamp
(06/06/1939 - 08/08/1940) Préfet de l'Isère
Raoul Didkowski
(08/08/1940 - 05/08/1943) Secrétaire général : Marcel Delpeyrou
Directeur de cabinet : Louis Amade

Alexandre Angeli
(1940 - 1944) Alexandre Benoît Joseph Angeli, Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1893-1962)
Paul Balley
(05/08/1943 - 06/11/1943)
Louis Jacques-Henry
(06/11/1943 - 24/01/1944)
Roger Homo
(24/01/1944 - 23/06/1944) Préfet de l'Isère
(24/01/1944 - 05/1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire). Résistant, dénoncé par la Milice, il est arrêté par la Gestapo et déporté à Neuengamme (1899-1945).
André Boutemy
(1944 - 1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1905-1959)
Philippe Frantz
(23/06/1944 - 01/08/1944) Préfet de l’Isère, favorable aux idées nationale-socialistes, il est abattu par la Résistance le 1er août 1944 (1911-1944)
Albert Reynier
(22/08/1944 - 02/02/1949) Préfet de l'Isère
Yves Farge
(1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1899-1953)

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César Chamay

Texte pour ecartement lateral

Grenoble 38000 Isère
Date de naissance: 02/01/1910 (Alexandrie (Égypte))
Date de décès: 1960
Arrestations: 18/07/1944
Motif de la non déportation : Évadé du convoi 17/08/1944
Aidé ou sauvé par : - Amélie Capiod - Henri Capiod - Régis Capiod
Qualité: Résistant OJC
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Cesar-Chamay
César Chamay (à droite) avec un groupe d'internés au camp de Mérignac, 1943.
source photo : Inconnu
crédit photo : X
Histoire

La Sixième-Éclaireurs israélites de France

Période de Résistance
De 1942 au 18 juillet 1944 (Toulouse, Paris)

Réseau
Organisation Juive de Combat (OJC)

Dès 1940, César Chamay fait partie d'un groupe gaulliste à Grenoble. Il est arrêté le 12 décembre 1942 à Toulouse par la police allemande alors qu'il convoie vers l'Espagne via Perpignan des résistants désireux de rejoindre de Gaulle. Torturé par la Gestapo, il ne parle pas. D'abord enfermé à la prison Saint-Michel à Toulouse, il est transféré au fort du Hâ à Bordeaux, puis au camp de Mérignac. Le 25 novembre 1943, il est envoyé à Drancy, d'où il est déporté le 7 décembre. Le 8 décembre, César Chamay, Félix Dratwa, les frères Francis et Maurice Pluntz font sauter les barreaux de leur wagon et s'évadent du convoi de déportation pour Auschwitz. Dans le même wagon se trouve le pianiste François Lang qui refuse de sauter de peur de s'abîmer les mains... César Chamay reprend aussitôt le combat en région parisienne. Il est alors le chef du renseignement de l’Organisation Juive de Combat (OJC) et participe activement aux actions du corps franc de Paris. Arrêté le 18 juillet 1944 dans la souricière de la rue Erlanger avec Maurice Loebenberg (Cachoud) du Mouvement de libération nationale (MLN), il est torturé par la Gestapo de la rue de la Pompe. Il ne parle pas, donnant seulement sa véritable identité – les gestapistes se moquent de ce « César ». Il est emprisonné à Fresnes, puis déporté avec les chefs de l'Organisation Juive de Combat (OJC) le 17 août 1944 par le convoi des 51 otages. Le 21 août 1944, il s'évade avec de nombreux camarades dans la région de Saint-Quentin (Aisne), après avoir arraché les barreaux de la lucarne du wagon. Les 23 évadés se scindent en petits groupes de deux ou trois ; César Chamay rentre à Paris avec André Amar le 25 août, à la libération de la ville.

Médaille de la Résistance

04/09/2010
Auteur : Frida Wattenberg Lien : Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945

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César CHAMAY, Résistant actif qui fut 2 fois arrêté, mais évadé 2 fois !

César CHAMAY, Résistant actif qui fut 2 fois arrêté, mais évadé 2 fois ! Originaire d'Alexandrie en Égypte, César CHAMAY est né le 2 janvier 1910.

César est le fils de Joseph Chamay et Esther Menasce, juifs d’origine syrienne.

Il n’a que 7 ans lorsque son père décède le 22 juillet 1918 à La Haye aux Pays-Bas. Sa mère est officiellement nommée en tant que tutrice, conformément à une décision de justice. Après avoir vécu à Bruxelles et en Suisse, la mère et son fils choisissent de s'établir à Paris vers 1920. Ils résident d'abord au square du Trocadéro, puis au numéro 1 de la rue Le-Nôtre, dans l'élégant XVIe arrondissement.

César s’inscrit et suit les cours de l’École libre des sciences politiques.

Le 21 novembre 1930, en vertu du décret 13228-30, César obtient la nationalité française. Il est fier d’être français et ne tarde pas à accomplir son service militaire au 6e bataillon de chasseurs alpins.

Le 10 juillet 1934, il épouse à Paris Susan Ann Hugues, une Américaine de 22 ans. Le couple habite à 2 pas du bois de Boulogne, dans un luxueux appartement au 10 boulevard Suchet dans le XVIe. Ils ont 3 domestiques. De leur union, naissent deux enfants en 1935 et en 1936.

Jusqu’en septembre 1939, César Chamay, journaliste de profession, est le gérant du bureau parisien de la maison Loeb et Liverpool, 18 place de la Madeleine. Il est obilisé en septembre 1939 et démobilisé le 8 juin 1940. Par sécurité, en début 1940, sa femme et ses enfants partent en Amérique. César Chamay habite au 10 boulevard Suchet à Paris XVIe, jusqu’en juin 1940, date à laquelle son immeuble est réquisitionné.

En décembre 1940, Chamay rejoint un groupe lié au Mouvement de libération nationale (préfiguration du mouvement Combat) à Bayonne. Sa mission principale consiste à convoyer de Narbonne à Perpignan des personnes souhaitant rejoindre les Forces Française Libres du Général de Gaulle. Arrêté le 8 décembre 1942 (ou le 12 selon les sources) alors qu’ils tentent de franchir la frontière espagnole avec des clandestins. César est torturé par la Gestapo et incarcéré à la prison Saint-Michel de Toulouse. Il sera par la suite, enfermé au fort du Hâ à Bordeaux. De là, il est envoyé ensuite au camp de Mérignac où il se rapproche du rabbin Stourzé. Après la déportation du rabbin, César Chamay est nommé chef des Juifs du camp, ce qui lui permet notamment d’avoir des contacts avec l’extérieur.

Félix Dratwa quant à lui est arrêté par la Gestapo le 13 février 1943 alors qu'il effectuait un passage en Espagne à Saint-Pé-de-Bigorre. Interrogé au siège de la Gestapo de Pau dans la villa Worms. Il est détenu au fort du Hâ à Bordeaux avant d’être interné à Mérignac. Félix est finalement transféré à Drancy le 25 novembre 1943.

Le 20 octobre 1943, la commission chargée de la révision des naturalisations étudie le dossier de César Chamay. L’enquête menée par la Préfecture de Police a révélé que César Chamay a été vainement recherché. Les autorités ignorent ce que Chamay est devenu depuis 1940. Le gouvernement de Vichy lui retire finalement la nationalité française le 14 mai 1944 par décret du 4 mai 1944.

Le 25 novembre 1943, César Chamay est transféré à Drancy. Le 7 décembre 1943, à la première heure, César Chamay et ses compagnons d’infortune sont conduits en autobus jusqu’à la gare de Bobigny. Ils embarquent dans les wagons à bestiaux. Le numéro d'identification de ce convoi sera le 64. Le train quitte la gare à 12h10 à destination d’Auschwitz. Il est accompagné d'une escorte de la police allemande sous le commandement du lieutenant Wannenmacher. César Chamay et trois autres déportés (Félix Dratwa, Francis et Maurice Pluntz) parviennent à faire sauter les barreaux de la lucarne du wagon à l’aide d’une pince. Malgré l’opposition d’autres déportés, ils s’évadent en sautant du train le 8 décembre aux environs de Pont-a-Mousson. Ils arrivent le soir même à Paris. Les frères Pluntz, César Chamay et Félix Dratwa frappèrent à la porte de Paule Boivin, une femme médecin et résistante. Elle demanda au couple Capiod dont Amélie Capiod était concierge, de recevoir les évadés. César connaît cette famille depuis longtemps et décide qu’il peut leur faire confiance. Malgré les risques encourus, les Capiod acceptent de mettre un modeste appartement à leur disposition. Henri Capiod se charge pour leur compte de contacter les mouvements de résistance juive. En effet, les hommes sont soignés et rasés, mais en état de faiblesse manifeste. De ce fait, ils ne peuvent pas sortir sans être immédiatement repérés. Les fugitifs reprendront très vite contact avec la résistance juive par l’intermédiaire de Jacqueline Amar née Perquel (1909-1987).

Francis Pluntz reste dans cette cachette environ deux semaines avant de rejoindre des combattants du Maquis qui agissent dans le sud de la France. Félix Dratwa rejoignit un groupe de résistants de l’AJ (Armée Juive) à Paris et reste cachés chez les Capiod jusqu'à l'été 1944. César Chamay devient chef du service de renseignement de l’Organisation juive de combat. Il participe aux actions du corps franc de Paris commandé par Ernest Appenzeller (1926-1974). La famille Capiod a accepté de dissimuler dans leur foyer, les armes des Résistants ainsi que des documents d'une importance capitale. Nonobstant les risques encourus, les Capiod ont, à plusieurs occasions, accorde l'hospitalité à des fuyards. Leur logis accueille occasionnellement les réunions des responsables de l'Organisation Juive de Combat.

Les agents de la Gestapo de la rue de la Pompe organisent, le 18 juillet 1944, une embuscade dans la rue Erlanger. Chamay et 13 autres chefs de l’OJC y ont été arrêtés. Ils sont soumis à la torture avant d'être emprisonnés à Fresnes puis parqués à Drancy.

Vers le 20 juillet 1944, La famille Capiod frôle l'arrestation, lorsque la Gestapo procède à une fouille minutieuse de l'appartement des Capiod sans rien trouver de compromettant. Paule Boivin fut bien inspirée en faisant "le ménage".

Le 19 juillet 1944, Paule Boivin est prise au piège dressé par la police allemande à l'Hôtel Beauséjour, sis au 1 rue de la Fontaine-au-Roi. La jeune femme parvient à s'enfuir et va, avec des camarades, chez les Capiod pour récupérer les documents et les armes qui y étaient cachés.

Le 17 août 1944, Chamay est déporté avec les chefs de l'OJC par le convoi dit des 51 otages. Dans la nuit du 18 au 19 août 1944, il parvient à arracher les barreaux de la lucarne du wagon. À la hauteur de Morcourt, à proximité de Saint-Quentin, il parvient à s'enfuir avec 22 de ses compagnons. Ses camarades fuyards sont entre autres ; André Amar (1908-1990), Joseph Bleiberg (1921-1989), Maurice Brener (1912-1978), Eddy Florentin (1923-2012), Jean Frydman (1925-2021), René Kapel (1907-1994), Jacques Lazarus (1916-2014) , Henry Pohoryles (1920-1997)… Les fugitifs se divisent en groupes restreints de deux ou trois évadés. César Chamay et André Amar regagnent Paris le 25 août, jour de la libération de la capitale par les hommes du général Leclerc.

Par décret du 10 octobre 1945, César Chamay est décoré de la médaille de la Résistance française. Sa médaille est transformée en médaille de la Résistance avec rosette par décret du 17 mai 1946. Il est reçu Chevalier de la Légion d'Honneur le 9 décembre 1957, le même jour que Josephine Baker.

Il décède en 1960 à Paris, à l’âge de 49 ans.

Le 15 mai 1991, le couple Capiod et son fils Régis recevront le titre de Justes parmi les Nations.

Sources : - Fabrice Bourrée, - Frida Wattenberg, - Recensement de Paris de 1936, - Archives nationales : BB/11/12367 (Dossier de naturalisation 23200 X 29), - AJPN, - Service historique de la Défense, Vincennes : GR 16P 117 588 (dossier d'homologation) ; 2010 PA 52 (fonds du MLN), - Journal Officiel, - Ordre de la Libération, l’Institut Yad Vashem, - commission nationale de la médaille de la Résistance française, - Généanet, - Filae, - Geni, - MyHeritage, Find a Grave, - Mémorial de la Shoah, Paris : - CMXX-2 fonds Lublin, monographies de résistants membres de l‘OJC - DLXI_13, témoignage manuscrit de César Chamay, 1973, - Muriel Flicoteaux et Sabi Soulam, « Engagements, Résistances » in Mémorial des Judéo-Espagnols déportés de France, Paris, édition Muestros Dezaparesidos, 2019, - Organisation juive de combat – France – 1940-1945, Paris, éditions Autrement, 2006, - Juifs au Combat, témoignage sur l’activité d’un mouvement de résistance, par Jacques Lazarus (Capitaine Jacquel) chef du groupe parisien de l’Organisation Juive de Combat, Centre de Documentation Juive Contemporaine, Série « Etudes et monographies » n°9, Paris, éditions du Centre, 1947, 153 p.

02/06/2024
Auteur : Marc Danaux Lien : Consulter la généalogie de César Chamay

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1 César Chamay (« Mémoire et Espoirs de la Résistance », association créée en 1994 à l’initiative de la Fondation de la Résistance, s’efforce de pérenniser au plan national les héritages humanistes de la Résistance Française. )
2 Les réfugiés espagnols dans le département de l’Isère 1936-1939 (Mémoire de Master 1 « Sciences humaines et sociales » Année universitaire 2007-2008 Mention : Histoire - Histoire de l’art Spécialité : Relations et échanges culturels internationaux sous la direction de Mme Marie-Anne MATARD-BONUCCI )
3 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" )
4 Le site du poète Pierre Emmanuel (Le site officiel du poète Pierre Emmanuel. Vous y trouverez aussi des pages sur sa vie et son action à Dieulefit durant la guerre, à Beauvallon, puis à la Roseraie. )
5 Guy Sanglerat, ancien membre du Coq Enchaîné (Le Coq Enchaîné était un réseau de résistance de la région qui pendant l'occupation allemande rassemblait des syndicalistes, des socialistes et des radicaux de la mouvance d’Édouard Herriot. Membre du réseau, Guy Sanglerat publie ses souvenirs.. )
6 Le Coq enchaîné (Le Coq enchaîné : un journal clandestin sous l'occupation allemande. Le premier numéro fait son apparition en mars 1942. Les membres du Coq Enchaîné mèneront aussi des actions de résistance. Il a compté jusqu'à 400 membres. Le réseau sera décimé en 1943. Guy Sanglerat raconte ... )
7 Les archives du conseil général de Savoie (La liste des 168 "travailleurs israëlites" en partance de Ruffieux, établie le 24 Août 1942. )
8 Là où coule le Gier (La guerre, énorme chaos bouleversant les vies. Tel est le décor dans lequel évoluent René et Aima. De leur jeunesse à leurs combats, l'auteur nous invite à les suivre dans cette aventure où chacun fera preuve d'un courage incroyable. Ce roman, basé sur des faits réels, nous emmène de la Vallée du Gier dans la Loire à Clermont-Ferrand et nous fait traverser certains camps de concentration en Allemagne en suivant le parcours de deux jeunes gens que la vie a forgé pour combattre aussi bien dans l'univers ouvrier des années 30 que pendant la seconde guerre mondiale avec leur implication dans la résistance. Cette plongée dans le passé a nécessité de nombreuses recherches suivies d'une longue enquête menée sur la vie de ces deux personnages. )
9 Marianne Cohn (Page dédiée à Marianne Cohn et à ses compagnons de résistance. Un mois avant d"être arrêtée, elle a sauvé ma tante Eva et mon père Maurice Finkelstein )
10 L'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 (Page consacrée à l'ouvrage "L'attentat de la Poterne, un drame au cœur de Clermont" (2015).
Cette étude sur l'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 recoupe des documents d'archive à des témoignages oraux et écrits. Elle reprend de manière chronologique les évènements, de l'attentat de résistants sur un détachement allemands à l'immensité des représailles qui ont suivi : incendie d'immeubles, nombreuses arrestations, déportations et condamnations à mort. )
11 "Objectif Lyon !"
12 Laurent Neury, l'espoir au bout du pont. Histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019
13 L'abbé André Payot, résistant et chef de réseau (Biographie détaillée d'André Payot et de ses activités de résistant durant la seconde guerre mondiale à Chamonix et Vallorcine (Haute-Savoie). Livre écrit par Jean-Luc de Uffredi, publié en 2019 aux éditions les Passionnés de bouquins. )

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