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Lot

Région :
Occitanie
Département :
Lot

Préfets :
Maurice Bezagu
(05/02/1940 - 14/11/1941)
Robert Dumas
(17/08/1944 - 04/01/1946)
Jean Cabouat
(22/05/1937 - 05/02/1940) Préfet du Lot
Antoine Petit
(14/11/1941 - 19/02/1944) Antoine Loïc Petit, Préfet du Lot
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(19/02/1944 - 17/08/1944) Préfet du Lot

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Les Résistances juives pendant l'occupation

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La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943

 

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Abcdaire de la résistance

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Texte pour ecartement lateral

Cahors en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 46000
Gentilé : Cadurciens, Cadurciennes
Sous-préfecture : Cahors

- Lot
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Cahors en 1939-1945
Barrage sur le pont de Cabessut, dit pont Neuf, à Cahors
source photo : Inconnu
crédit photo : D.R.
Cahors en 1939-1945
Le pont Valentré à Cahors
source photo : Carte postale
crédit photo : D.R.
Cahors en 1939-1945
Cathédrale Saint-Étienne de Cahors
source photo : FC Georgio
crédit photo : D.R.

Voir l'histoire du département du Lot
Histoire

La commune des Cadurciens

Cahors est la préfecture du Lot, construite sur une boucle du Lot.

Lors du recensement de 1936, la commune comptait 13 269 habitants.

30/03/2010

[Compléter l'article]

Occupation de Cahors

Les premières forces Allemandes, entrent dans Cahors le 11 novembre 1942 à 16 h. A ce moment, les SS n’étaient pas encore nécessaires pour le maintien de l’ordre.
La Kommandantur installe son siège à l’hôtel de l’Europe, rue Wilson.

Le 4 octobre 1943 arrive à Cahors, Figeac, Souillac et quelques autres villages du département, le premier numéro du premier journal clandestin de la résistance du Lot, Le Lot résistant.

La Milice du Lot est créée le dimanche 2 mai 1943, à 10 heures, au Théâtre Municipal, sous la présidence du Préfet et de ses collaborateurs. La Franc-Garde, partie militaire de la Milice, était formée des éléments les plus actifs et souvent les plus jeunes, nommés par le Préfet. Sa mission était la lutte contre les groupes armés du maquis. Tous les Francs-Gardes furent fusillés à la Libération. Symbole de la collaboration dans ses aspects les plus abjects, ses effectifs dans le Lot furent d’environ 165 (soit très peu par rapport aux autres départements du Sud-ouest), selon un document retrouvé aux A.D. de l’Isère.

Après les manifestations du 11 novembre 1943, faisant suite aux sabotages qui se multiplièrent depuis mi-octobre, les Allemands prennent le relais des forces de Vichy pour assurer le maintien de l’ordre. La répression s’organise avec méthode en s’appuyant sur des renseignements fournis par des français, miliciens, ou agents de la Gestapo.
Le siège de la Gestapo est d’abord installé à l’ancien dancing "Robinson", à l’écart de la ville, puis transféré, par crainte des maquis, rue Emile-Zola, Villa Artigues, en avril 1944.
Le chef de la Gestapo est le Sturmscharführer SS Henri Jensen.

Guy Lamazères témoigne : "A Cahors, la Gestapo s'est installée dans les villas Robinson et Artigues. Dans la pièce d'interrogatoire de cette dernière, où on a mis au mur une poulie et un clou. Pour faire parler les prisonniers, les Allemands les suspendent à ce piton, par les pieds et les poings, quasiment nus, comme du bétail dans une boucherie. C'est pour mieux les frapper, aux pires endroits, avec une tringle de fer, jusqu'à l'évanouissement. Ensuite, on piétine le patriote avec des talonnettes à crampons de fer. Ou bien on le force à s'agenouiller des heures durant sur une règle métallique soigneusement aiguisée. Lorsqu'il n'y a plus rien à en tirer, il est jeté dans la cave, où il rejoint d'autres martyrs".1

En 1944, c’est le Colonel Gelhof qui commandait les troupes d’occupation formées de 400 soldats de la Wehrmacht, 250 Mongols, 50 Feldgendarmes, 20 agents de la Gestapo et 50 cheminots. Le siège de la Feldgendarmerie était à l’hôtel Terminus.

Le 9 avril 1944, suite au sabotage d'un train venant de Carjarc, dès 6 heures du matin, une poignée de soldats allemands arrivent à Figeac et cernent rapidement quelques maisons rue Gambetta et place Vival. Ils arrêtent trois personnes qu’ils amènent à la Gestapo de Cahors pour interrogatoire. Les premières arrestations venaient de commencer.

Le 10 avril, au petit matin, Cajarc est investi par huit maquis FTP, soit presque 400 hommes commandés par "Philippe". Après la neutralisation des voies de communication et la mise en place d’embuscades, la gendarmerie, la poste et la mairie sont occupées. La voie ferrée fut coupée – avec la complicité des cheminots - à un kilomètre de part et d’autre de la ville. Trois traitres responsables de l’extermination du maquis Douaumont, sont arrêtés, jugés par l'état-majour de J.-J. Chapou, et fusillés sur la place.

Les Allemands prévenus, arrivant depuis Cahors, tombent sur le barrage tenu à Larnagol par le maquis France. L’engagement, qui ne dura que quelques minutes, permet à une voiture allemande de faire demi-tour pour aller chercher du renfort. Quatre soldats allemands sont tués, un résistant blessé. Mais la Gestapo de Cahors était alertée et vers 15 heures, arrivèrent des GMR2, des miliciens, des soldats allemands, des agents de la Gestapo qui attaquent le barrage de tous côtés. Rapidement, compte-tenu de la différence de force au feu, le repli est nécessaire, d’autant que deux maquisards sont tués, d’autres capturés.

Les groupes de GMR attaquent presque tous les barrages autour de Cajarc, aussi "Philippe" ordonne le repli. Ce coup de force, qui a un fort impact sur la population, a été demandé par le gouvernement provisoire d’Alger, afin de soulager les maquis des départements limitrophes. Le bilan fut de cinq morts, trois prisonniers fusillés quelques jours après à Toulouse, un blessé grave.

Dans la nuit du 21 au 22 avril, un parachutage anglais manque sa cible, sur le plateau de Lascamps, entre Faycelles et Béduer. C’était un lieu de rendez-vous des résistants qui y recevaient armes, munitions, provisions. Les Allemands informés que des habitants ont trouvés des caisses, arrivent de Cahors avec deux camions, les chargent, pour repartir après avoir patrouillé dans le secteur et perquisitionné les granges alentours.

Le dimanche 23 avril, à 4 heures du matin, une centaine de soldats allemands en camions et voitures, arrivent à Figeac, mettent des fusils mitrailleurs en batterie dans les carrefours, cernent plusieurs maisons dans lesquelles ils pénètrent pour procéder à des arrestations ; l’opération dure toute la matinée. Après bien des interrogatoires, des fouilles en règle, des vols, les soldats partent à la recherche de la villa Yvonne. Ils vont et viennent sans la trouver. Dans leur course à travers la ville et furieux de ne rien trouver, ils arrêtent trois hommes qui travaillent dans leur jardin, afin de les interroger. Comme ils ne savent pas répondre, ils les abattent d’une rafale de mitraillette tirée à bout portant. Ils repartent vers Cahors, emmenant les personnes qu’ils ont arrêtés dans la journée, soit sept hommes et trois femmes tous morts en déportation. Les funérailles de ces trois innocents, malgré les interdictions, furent imposantes.

Le 17 août 1944, après des combats meurtriers, le département du Lot est libéré.

17/02/2015
Lien : Chronologie de résistances et de répressions

[Compléter l'article]

La libération de Cahors

L'activité des maquis a pris une intensité maximum depuis le débarquement allié. La ligne de chemin de fer Paris-Toulouse est coupée, les communications téléphoniques et télégraphiques interrompues, la RN 20 rendue inutilisable entre Cahors et Brive. De ce fait la garnison allemande de Cahors ne sort plus de la ville, à l'exception de quelques patrouilles effectuées aux abords même. La cité est devenue pour eux un camp retranché, barrages et chicanes ayant été dressés aux entrées.

Dès le 16 août 1944, les FTP-Vény, placés sous le commandement de "Georges", prennent leurs dispositions pour continuer la lutte et libérer Cahors, seule ville encore tenue par l'ennemie. Les troupes assurent le maintien de l'ordre dans le département et prennent ainsi position sur les principaux axes d'accès à la ville.

Personne ne peut prévoir l'attitude de la garnison allemande, composée de plus de 700 hommes, même si les moyens de la Résistance sont suffisants pour obtenir sa reddition. Mais cette solution a été écartée par l'état-major, en raison des risques en vies humaines et les destructions inévitables qu'une telle action aurait entrainées. De nombreuses unités de maquisards prennent position autour de Cahors.

Le 17 les Allemands quittent la ville à 15 heures pour rejoindre Montauban. A la tombée de la nuit, ce même jour, le colonel Georges et le commandant Raymond (Picard), font leur entrée dans la ville, accompagnés de Alain (René Andrieu), Dominique (Maurice Défenin), Marcel (Faurant), Papy (René Darses), Paul (Robert Dumas), Gilbert (Bru) et d'autres membres de l'état major départemental.

Le préfet de Vichy, Empetaz, laisse naturellement Paul ("le préfet des bois") s'installer à sa place. Une importante réunion a lieu à la Préfecture, présidée par Robert Dumas, et d'importantes décisions sont prises concernant la sécurités des habitants, le ravitaillement, le fonctionnement des différents services, la réquisition d'un certain nombre d'édifices publics et de quelques hôtels, ceci pour les besoins des services, organismes civils et militaires. Ce nom de "Paul" (Robert Dumas), - représentant le Gouvernement Provisoire - associé à celui de "Georges" (Robert Noireau), - Chef d'État-major des FFI du Lot - sont ceux que les Cadurciens découvriront le 18 août au matin au bas d'une affiche qui annonçant la libération du département, promet le châtiment des traitres dans l'ordre et recommande le calme.

Le 18, quelques accrochages auront lieu au sud de Cahors, entre des trainards de l'armée allemandes et des groupes de FFI lancés à leur poursuite. Une vingtaine d'Allemands seront ainsi capturés.

L'état-major s'installe à l'hôtel des Ambassadeurs et le Comité de Libération à la Préfecture. Trois jours après, tous les services fonctionnent normalement et l'ordre règne. Le 19 au soir, un ordre du colonel Serge Ravanel, chef régional des FFI, désigne le colonel Georges pour rejoindre Toulouse. Il partira le lendemain à la tête d'un important contingent de près de 1500 hommes pour se mettre à la disposition des autorités toulousaines.

Le 19 août 1944, quinze personnes, la plupart favorables à la Collaboration, sont fusillées dans le cimetière, à l'issue d'un "procès" hâtif. Sans doute s'agit-il d'une sorte de catharsis collective.3

15/09/2011
Lien : Résistance en Quercy

[Compléter l'article]

Les camps et les lieux d'internement du Lot

25e-154e-156e CTE-536e GTE de la Poudrerie 46500 Rocamadour
508e GTE Cajarc 46160 Cajarc
538e GTE Vers 46090 Vers
554e GTE Catus 46150 Catus
Camp de Catus-Cavalier 46150 Catus
Camp de Puy-l'Évêque 46700 Puy-l'Évêque

Les lieux de sauvetage du Lot

Château de Lavercantière 46340 Lavercantière
Couvent de Luzech 46140 Luzech
Couvent des Dames de Nevers 46000 Cahors
Frères des Ecoles chrétiennes 46100 Figeac
Hôpital de Cahors 46000 Cahors
Institution Sainte-Jeanne d'Arc 46000 Cahors
Lycée Champollion 46100 Figeac
Maison d'enfants 46400 Saint-Céré
Maison Espère 46090 Espère
Soeurs Notre-Dame du Calvaire 46500 Gramat

Maires de Cahors

Anatole de Monzie   (1919-1942) Maire de Cahors depuis 1919, vote les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain le 10 juillet 1940. Ami d'Otto Abetz, de Darquier de Pellepoix, de Fernand de Brinon, sa carrière politique s'acheva en février 1942 avec son départ forcé de la mairie de Cahors.
Xavier Gisbert   (1942-1944)
M. Teysseyre   (1944-1945)
Dr Jean Calvet   (1945-1955)

Cultes à Cahors

Jean-Joseph-Aimé Moussaron  Évêque de Cahors ( 1936-1940 ) Transféré à Albi le 23/07/1940
Paul Chevrier  Évêque de Cahors ( 1941-1962 ) Retiré en 1962

Les 52 Justes parmi les Nations du Lot



1 Familles réfugiées à Cahors [Compléter]
Famille Bystryn - Jean-Claude, né le 8 mai 1938, et Denise, née à Paris le 27 février 1933. Denise, qui a 10 ans à son arrivée, restera au couvent jusqu'en avril 1944 sous son vrai nom de Bystryn. Jean-Claude, qui a quatre ans à l'époque, ne peut passer la nuit dans ce couvent parce que c'est un garçon et est alors placé en famille. En 1943, Jean-Claude est placé à Escamps, chez Alfred* et Louise Aymard* où il reste à l’abri jusqu’à la fin de la guerre.

4 Familles arrêtées (Cahors) [Compléter]

05/05/1944
Famille Bernheim - Paul, né le 22/11/1897 à Mulhouse, fils de de Théodore Bernheim et Rosalie Aaron, son épouse Olga née Kuperman le 03/02/1906 à Paris, leur fille, Jacqueline née à Bruxelles-Belgique le 11/05/1938, et les parents de Simone, Maurice Kuperman et Adèle Kuperman née Friedmann à Altenstadt en Allemagne le 01/07/1872, vivaient à Bruxelles avant la guerre. Réfugiés à Cahors, Paul, 47 ans, Olga, 38 ans, leur fille, Jacqueline, 6 ans et Adèle Kuperman, 72 ans, sont arrêtés parce que juifs le 5 mai 1944, chez eux, au 5 rue du Portail Alban, à Cahors où ils étaient réfugiés et seront déportés sans retour de Drancy à Auschwitz le 20/05/1944 par le convoi n° 74.
L'asso du camp de Flossenbürg a trace du passage de Olga Bernheim au kdo de Wilischthal qui dépendait de ce camp. Elle n'est donc pas dcd à Auschwitz, probablement évacué et DCD à Terezin en mai 1945.

Déportation : 20/05/1944
   convoi no 74

1942
Famille Grinfeder - Thérèse, 22 ans, née le 7 juillet 1920 à Varsovie en Pologne, habitait à Amiens. Réfugiée à Cahors, 6, rue des Augustins, elle est arrêtée parce que Juive et déportée sans retour le 21 septembre 1942 par le convoi n° 35.
Déportation : 21/09/1942
   convoi no 35


5/05/1944
Famille Immergluck - Gaston Immergluck, né le 3 novembre 1903 à Paris, employé à la mutuelle agricole du Quercy, et Paule, son épouse, née 8 avril 1900 à Sartene (Corse), sont arrêtés le 5 mai 1944. Ils habitaient à côté de chez les Bernheim, au 2 rue du Portail Alban, à Cahors. D’après une note des RG en date du 5 mai 1944 : « On apprend que la police allemande a procédé cette après-midi 5 mai, à 14 heures, à l’arrestation de deux israélites, au moment où ils allaient prendre leur service à la Mutualité Agricole du Quercy, 4 rue du Portail Alban à Cahors. Il s’agit des nommés Bernheim et Immergluck, ainsi que la femme de ce dernier. Le motif de ces arrestations est ignoré. »


Famille Pinkenson - Michel Pinkenson est né le 26 décembre 1890 à Breletz. Profession : industriel. Juif. Il est arrêté le 12 mars 1944, vers 7 heures, par des policiers allemands, avec sa fiancée, Mademoiselle Lahontaa, à leur domicile, 75 Boulevard Gambetta à Cahors. D'après le traducteur de la Gestapo de Cahors: « Après un interrogatoire assez sommaire, il fut transféré à la prison Saint-Michel à Toulouse, vu sa confession, le mercredi 16 mars à 17 heures, alors que Mademoiselle Lahontaa, reconnue aryenne, fut relâchée." Dans les jours qui suivent, des collaborateurs allemands et français de la Gestapo se rendent dans une propriété que Michel Pinkenson possède près de Montcucq, et ils emportent tout ce qu’ils trouvent ("vêtements, denrées alimentaires, volailles, postes de TSF, etc… » Michel Pikenson aurait été « donné » à la Gestapo par le chef de la milice cadurcienne. Il est déporté par le convoi 73 qui part de Drancy, le 15 mai 1944, et va à Kaunas / Reval. Il ne survivra pas.
Déportation : 15/05/1944
   convoi no 73

Chronologie [Ajouter]

06/05/1942 - Le Cadurcien Louis Darquier (dit de Pellepoix) succède à Xavier Vallat à la tête du Commissariat général aux questions juives. L’appartement de sa mère croule sous les fleurs, envoyés par les Cadurciens qui veulent saluer la mère du « plus jeune ministre de France ». Louis Darquier, appelé par certains « l’Eichmann français », est en effet le fils d'un médecin, Pierre Darquier, maire de Cahors de 1907 à 1919. Il vient d'une famille implantée à Cahors depuis des générations. Farouchement antisémite, il est responsable, avec René Bousquet, de la rafle du Vel’ d’Hiv’ au cours de laquelle près de 13.000 Juifs sont arrêtés et déportés. Après la guerre, Louis Darquier vivra paisiblement dans l'Espagne franquiste...
11/11/1942 - Le département du Lot est occupé par les troupes allemandes à partir du 11 novembre 1942.
11/05/1944 - Lors de la rafle à Saint-Céré, 55 personnes, dont 39 Juifs sont arrêtés, 6 hommes sont abattus pendant la rafle.Saint-Céré


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Vous êtes venus me chercher L'histoire de Rosa Goldmark, Récit 157 pages, réalisation 2014
Auteur : SYLVIE GOLL SOLINAS - terminal



Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Cahors sur Wikipedia 
2 Jacques Chapou (Jacques Chapou (1909-1944) Professeur révoqué par l'État français. Résistant avec le grade de capitaine FFI dans le Lot, la Corrèze et la Creuse. )
3 Rencontre avec Paul Niedermann (Conférence de Paul Niedermann (1h24) enregistrée en mars 2011 au collège d'Estagel dans les Pyrénées-Orientales. Paul Niedermann retrace son parcours entre 1935 et 1945 de Karlsruhe à la Maison d'Izieu, en détaillant son passage au Camp de Rivesaltes. )
4 Page Facebook de Lois Gunden Clemens
5 Lien vers l'éditeur du livre "La Villa St Christophe à Canet-Plage" (La Villa Saint Christophe maison de convalescence pour enfants des camps d'internement avril 1941 février 1943 )
6 Vous êtes venus me chercher (Blog de l'auteur - parutions, conférences, signatures... )
7 Elie Cavarroc, Juste des Nations (M. Elie Cavarroc, nommé Juste des Nations. Référence du dossier n°10002 du Comité Français pour Tad Vashem )

Notes

- 1 - In Pierre Bouthoumieux, Vie et mort d'un résistant socialiste Toulousain, L'Harmattan, 1999
- 2 - Groupes Mobiles de Réserve : unités paramilitaires créées par le gouvernement de Vichy. Appartenant à la Police nationale, ils n'avaient donc pas le statut de militaire, ce qui, formellement, respectait les termes de la convention d'armistice. Leur développement fut l'affaire privilégiée de René Bousquet, chef suprême de la police de l'État français.
- 3 - Cécile Vaissié, professeur des Universités, professeur en études russes et soviétiques à l’Université Rennes 2, Docteur en sciences politiques (IEP de Paris), auteur de nombreux ouvrages.

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***  Goldenberg Georges Déposée le 03/02/2020

    Bonjour a tous. Je recherche toutes informations sur la vie et la mort de mon grand-père GOLDENDERG Georges,Robert, déclaré décédé dans 2 villes CAHORS et LABASTIDE MARULIAC le 29/02/1944.Je ne trouve pas la commune de LABASTIDE MARULIAC et pourquoi as-t-il été déclaré décédé dans ces 2 communes ? [répondre]
Répondue le 05/03/2020
    Bonjour,
    Il s'agit sans doute de Labastide Marnhac commune située dans le Lot.
    Vous pourriez consulter les registres d'état-civil des deux communes et vérifier où a été enregistré son décès.
    Cordialement,
    JD
     
Répondue le 15/05/2022
    Son domicile était Cahors. Son décès a eu lieu à Labastide-Marnhac. 

***  informations maquis CATUS (LOT) 10 juin 1944 Déposée le 16/04/2019

    Bonjour,

    Je suis en recherche d'informations sur la maquis de CATUS et le décès de mon grand père Mr Louis GORET résistant FFI survenu le 10 juin 1944 lors d'une opération de parachutage.Son nom apparaît sur le monument aux morts de Catus

    Merci à tous ceux qui pourraient m'aider
    [répondre]

***  recherche sur un deces en 1964 a pradines cahors de ma maman Déposée le 11/02/2018

    ma maman son nom madama rougie ginette andree decedee le 21 juin 1964 j avais moi son fils 4 ans et je voudrai savoir dans quelle condition sa c passe j ai fait pas mal de recherche sans aboutir a qoiu que se soit elle etait mariee avec monsieur brunet gilbert ne le 25 fevrier 1929 ma maman le 7 fevrier 1934 elle a sautee du pont de pradine a 10 heure lot et garonne merci [répondre]

***  Recherche de mon aïeul Déposée le 29/04/2016

    Bonjour,
    Ma maman est née à Montfaucon 46 en 1927 de Léonie Lagarrigue et Paul Serres gendarme.
    Elle est décédée aujourd'hui mais me parlait souvent de son grand-père qui avait une briqueterie et un haras et de son arrière grand-père qui aurait été maire d'un village aux alentours de Montfaucon pendant plus de 20 ans et ce, malgré qu'il ait perdu la vue.
    Ces personnes portent soit le nom de Lagarrigue, soit le nom de Serres.
    Si quelqu'un a entendu parler de ces personnes, merci de me contacter.
    [répondre]

***  Marc Vincent Déposée le 20/04/2014

    Je cherche des informations sur mon grand-père Marc Vincent qui travaillait à la préfecture de Cahors en 1942. Il était inspecteur de police.
    merci
    [répondre]
Répondue le 27/02/2015
    Bonjour
    J'espère que vous avez avancé dans vos recherches.
    Je recherche les parents de mon père, plusieurs pistes me conduisent à cahors....
    Et on lui aurait prête le nom de Vincent. Savez vous si votre grand père a servi de prête nom pour sauver des enfants ?
    Mon père est né en 1942...
     

***  origine polonaise cahors 1943 Déposée le 21/04/2012

    Bonjour, je recherche les origines de mon père né à cahors le 18 avril 1943 d'une mère polonaise de 20 ans et d'un père biologique médecin. Qui aurait des informations sur la communauté polonaise installée à Cahors à cette époque ? Merci de votre aide. [répondre]
Répondue le 21/04/2012
    essayez de vous adresser au consulat polonais ou a la mairie de Cahors....deposez votre annonce sur le site franco polonais klubskid... 
Répondue le 21/07/2014
    merci pour votre réponse, malheureusement le site que vous m'indiquez n'existe plus. quant à la mairie de Cahors c'est déjà fait (sans succès) et je n'ai pas fait le consulat polonais mais je vais m'y atteler . merci encore de votre aide.  

***  André Ulysse Déhais Déposée le 27/01/2014

    Je recherche des informations sur mon grand'père. Il travaillait dans l'aviation à Villacoublay et est venu cacher un prototype d'avion dans une grange à Lamothe-Fénelon en 1939. Il est reparti sur Paris, mais sa vie étant en danger il est revenu dans le lot où il a participer à la Résistance. Il était communiste. Dans les années 1960 il habitait Martel à l'hôtel du Lion d'Or. Le Dimanche nous allions chez M. et Mme BERGOUGNIOUX (je pense que c'est ce nom) qui tenaient un hôtel Restaurant à Lamothe-Fénelon, ces personnes avaient reçus mon grand'père à cette époque et il me faisait porté un bouquet de roses chaque fois pour les remercier.
    Mon grand'père est décédé en 1964 à Martel.
    Merci de me donner des renseignements ou des informations, je souhaite laisser une trace de sa vie pour ses descendants.
    [répondre]


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