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Département :
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Texte pour ecartement lateral

Les Lilas en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 93260
Gentilé : Lilasiens, Lilasiennes

- Seine-Saint-Denis
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Les Lilas en 1939-1945
La mairie des Lilas
source photo : Par Chabe01 — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=64744586
crédit photo : D.R.

Voir l'histoire du département de la Seine-Saint-Denis
Histoire
Les Lilas est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis.

27/03/2009

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Une famille protégée aux Lilas

Ida Zaïontz raconte la rafle du Vélodrome d'Hiver (16-17 juillet 1942) :
« Dans une pièce mansardée sous les toits, serrés les uns contre les autres, mes parents, mes deux sœurs plus jeunes et moi-même retenions notre souffle, chaque pas nous faisait sursauter. La concierge est au courant de notre cachette. Le matin elle a dit aux policiers que nous sommes partis. Mais elle a peur que nous restions là et nous a incités à nous en aller. Mais où aller ? Nous sommes cinq. Qui nous acceptera ? Il faut se disperser. Mes parents, et la plus jeune sœur âgée de dix ans, iront chez une cousine aux Lilas. Mon autre soeur et moi nous sommes souvenues d’une fille française de ma classe, Marie, qui me paraissait sympathique, mais je ne connaissais pas ses parents. Il m’a fallu beaucoup de courage pour frapper à leur porte, 35, rue des Écoles, aux Lilas. Nous avons été reçues très aimablement par une femme assez jeune, la mère de Marie. Je lui ai expliqué que nous lui demandions de nous héberger pendant deux ou trois jours. Elle nous a fait entrer. Ces trois jours sont devenus trois mois ! Nous sommes devenues de la famille. Nous avons tenté à deux reprises de passer en zone libre mais, à chaque fois, il a fallu rebrousser chemin. Finalement, la fille aînée, Jeanine, nous a accompagnées et a traversé avec nous la ligne de démarcation.»

13/12/2018
Lien : Mairie de Paris

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Entre la vengeance et le pardon, la mémoire doit s'imposer

Sur les ROUTES de l'EXODE

Mai-Juin 1940, 2 parisiens sur 3 fuient l'arrivée des troupes allemandes : c’est l'exode. L'armée française vient d'être défaite dans les Vosges. Les chars d'Hitler ont percé les Ardennes et font route sur la capitale. Le gouvernement de Pétain s'est déjà replié sur Bordeaux depuis le 10 juin, avant Tours puis Vichy. Le 14, Paris est occupé. Au matin du 22 juin, le pays s'apprête à vivre plusieurs années avec une ligne de démarcation séparant la France de la zone occupée de celle de la zone libre.

Aux LILAS, on ÉVACUE les ENFANTS

Au début de la drôle de guerre, dès septembre '39, à l'institution Ségaux, on avait pensé à protéger les élèves. Maurice Ségaux* les évacue tous au nord d'Angers, dans le château de Moyré à Soeurdres. Ils y rejoignent ceux de l'Institution Vaysse du Pré-Saint-Gervais, accueillis par son directeur, un ami de longue date.
A l’Institution Gay, Gisèle migre en juillet 1939 en Dordogne, avec 120 enfants. Son mari, le Dr Georges, venait tout juste d'acheter le Château de Giverzac à Domme, en prévision de l'arrivée de la guerre et d'une évacuation des enfants. Les écoles publiques envoient les leurs dans la Nièvre le 13 mai 1940. 240 colons partis en colonies de vacances seront recueillis dans des familles du Puy de Dôme. 

La RAFLE du VEL D'HIV

En décembre 1940, les 1° lois sur le statut des juifs réduisent leurs libertés. Leur avenir s'assombrit. En juillet 1941, la solution finale est ordonnée par Göring. En juin 1942, après le retour de Laval, le port de l'étoile jaune leur est imposé. Le 16 juillet plus de 13.000 d'entre eux sont raflés à leur domicile. Parmi eux, 4 115 enfants sont entassés pendant 6 jours au Vélodrome d'Hiver avec leurs parents. Auschwitz sera leur destination finale. Aucun de ces enfants n'en reviendra. 

Un REFUGE pour les ENFANTS JUIFS

A son retour aux Lilas, Maurice Ségaux* retrouve ses bâtiments saccagés par l'occupant et ses archives détruites. La famille s'organise alors malgré les restrictions et en prenant parfois de gros risques. Tout naturellement, les valeurs d'humanisme de Maurice Ségaux* et de son équipe les amènent à faire de l'école un refuge pour des enfants juifs. Pour les protéger, leurs noms sont modifiés. Cohen répond au nom de Meunier, Levi à celui de Moulin. Les registres de l'école ne portant pas leurs noms, l'établissement devient vulnérable en cas de contrôle. Et, sans cartes d'alimentation, ils dépendent totalement de la famille Ségaux. "Mais neuf enfants de plus, qu'est ce que c'est pour le ravitaillement d'une pension?" dit Maurice. Alors, son fils Jacques Ségaux* va chercher de la farine à bicyclette jusque dans le Gatinais, à la ferme de sa sœur Elyane. La nuit, le pain est cuit par leur mère.
L'autre soeur, Simone, qui termine ses études de médecine, soigne tous les enfants. Parfois, ils risquent gros. En janvier 1943, les gendarmes viennent arrêter un petit pensionnaire. Sa famille, déportée, est morte à Auschwitz. Maurice le défend avec passion; il réussit à le sauver et à le cacher. Plus d'un, parmi les jeunes recueillis, se retrouve ainsi privé de ses parents, avec plus personne pour payer les frais de scolarité. Les Ségaux montrent alors encore leur générosité. "Il fallait le faire, nous l'avons fait" dira Maurice plus tard. Les enfants vivent ainsi de janvier 1942 à août 1944, date de la libération. Devenus adultes, Jacques Toros et Joseph Klejner témoigneront du courage, de la chaleur et du dévouement de cette famille, pendant cette terrible période. En 1987, la médaille de "Juste parmi les Nations", attribué par Yad Vashem, en confirmera la reconnaissance officielle. Le ministre plénipotentiaire d'Israël ajoutera le jour de la remise: "entre la vengeance et le pardon, la mémoire doit s'imposer". 

RÉAGIR pour NE PAS SUBIR

Gisèle Gay revient aux Lilas avec ses enfants en octobre 1940. Elle continue pourtant ses aller-retour à Giverzac, pour faire passer en zone libre de jeunes enfants juives. Elle en emmène à chaque fois une douzaine, avec ses propres enfants, et affirme lors des contrôles que ce sont "tous mes enfants". Parmi eux la petite Régine Zylberberg, future reine des nuits parisiennes. Au retour, elle n'est plus accompagnée que de ses vrais enfants. Elle recueille trois petites filles abandonnées en 1942 qu'elle n'inscrira pas non plus sur les registres. Pour nourrir tout son monde elle ira même jusqu'à ramener une vache à l'institution, pour que les enfants aient leur verre de lait frais chaque jour. Elle dira plus tard de cette époque "nous étions tous vraiment inconscients". La légion d'honneur lui sera décernée en 1986.

Mon VOISIN, ce HÉROS

Aux Lilas, d'autres héros, connus depuis ou restés modestement anonymes, ont risqué leur vie en agissant pour le sauvetage de Juifs. On sait que les familles Fournier, Marie, Paret et Devauchelle ont caché des familles juives. Au service du ravitaillement de la mairie, c'est Paul Pretêt qui fournit des cartes d'alimentation aux personnes "disparues" sous la bienveillante autorité du secrétaire général Barré. On leur trouve aussi un hébergement, avec la complicité de monsieur Sénaux, hôtelier rue Floréal. Au commissariat, on fait obtenir des certificats de complaisance grâce à des médecins amis. Et combien d'autres? Ces hommes et ces femmes agissaient en pleine conscience. Ils savaient l'ampleur des menaces sur eux et leur famille, mais c'était vécu presque dans l'enthousiasme et dans l'ignorance du danger. Ainsi concluait Jean Huret notre historien local.

13/12/2018
Lien : Les Lilas avant

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Les camps et les lieux d'internement de la Seine-Saint-Denis

218e-219e CTE de la Pallice 17000 La Rochelle
83e CTE Royan 17200 Royan
Asile de Maison-Blanche 93330 Neuilly-sur-Marne
Camp de Drancy 93700 Drancy
Camp de La Jarne 17220 La Jarne
Camp de Lalleu 17000 La Rochelle
Camp de Mazeray 17400 Mazeray
Camp de Montguyon 17270 Montguyon
Camp de Saint-Denis 93200 Saint-Denis
Camp de Surgères 17700 Surgères
Camp de travail de Saintes 17100 Saintes
Camp des Chaumes 17130 Montendre
Camp militaire 17210 Bussac-Forêt
Caserne 3e Colonial 17300 Rochefort
Caserne Bremond d’Ars 17100 Saintes
Caserne Taillebourg 17100 Saintes
Centre pénitentiaire de Saint-Martin-de-Ré 17410 Saint-Martin-de-Ré
Fort de Romainville 93230 Romainville
Fort Liédot 17123 Île-d'Aix
Frontstalag 111 Drancy 93700 Drancy
Frontstalag 220 Saint-Denis 93200 Saint-Denis
Ilag Drancy 93700 Drancy
Ilag Saint-Denis 93200 Saint-Denis
Lycée de La Rochelle 17000 La Rochelle
Prison de Royan 17200 Royan
Prison de Saintes 17100 Saintes
Prison Saint Maurice 17300 Rochefort

Les lieux de sauvetage de la Seine-Saint-Denis

Centre de l'UGIF Montreuil 93100 Montreuil
Institution Ségaux 93260 Les Lilas
Pension Clerbois 93110 Rosny-sous-Bois
Pensionnat de jeunes filles Beau Séjour 93340 Le Raincy

Maires de Les Lilas

Émile Marie *  Conseiller municipal
Henri Ghyse  Maire des Lilas (uillet 1938 - mai 1941)
Selle-Berthier  Maire des Lilas (Mai 1941 - avril 1942)
Laurent Fleury-Lourd  Maire des Lilas (Août 1942 - avril 1943) Né en 1871 (71 ans). Inventeur de la Lucillite pour remplacer l'ivoire des boules de billards
Georges Valognes  Maire des Lilas (Avril 1943 - août 1944)
David Rosenfeld  Maire des Lilas (Août 1944 - mai 1945) Résistant, né en 1914 (30 ans)
Daniel Georges  Maire des Lilas (Mai 1945 - octobre 1947) Résistant, né en 1912 (33 ans)

Les 70 Justes parmi les Nations de la Seine-Saint-Denis



Familles réfugiées à Les Lilas [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.


Familles arrêtées (Les Lilas) [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes arrêtées ou exécutées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, les circonstances de l'arrestation et la date de l'arrestation, si possible.

Chronologie [Ajouter]

7/04/1942 - François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
10/1940 - Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
20/08/1941 - Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
16/07/1942 - 16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

Comment ajouter le votre. En savoir plus…

Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse 7 pages, réalisation 2013
Auteur : Thierry Noël-Guitelman - terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Les Lilas sur Wikipedia 
2 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
3 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
4 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
5 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
6 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
7 Les grands entretiens : Jacques Altmann (Né en 1923, Jacques Altmann est l'aîné de cinq garçons. Ses parents Dina et Suscher et ses quatre plus jeunes frères sont déportés sans retour à Auschwitz le 3 novembre 1942. Jacques Altmann les rejoint le 10 février 1944 après avoir séjourné dans les camps parisiens annexes de Drancy, Austerlitz et Lévitan. Il sera libéré en 1945. )

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***  Recherche info sur Jeanne Benoit épouse Talard communiste Déposée le 19/05/2023

    Bonjour
    Je recherche des informations sur mon arrière grand - mère son nom de jeune fillle Jeanne Benoit son nom d'épouse Jeanne Talard. Je sais seulement qu'elle était communiste et qu'elle a été internée à Drancy mais je n'ai pas d'autres informations et je souhaite en savoir plus.
    [répondre]

***  zazou Déposée le 27/11/2017

    bonjour,
    je suis réalisatrice et je prépare un film documentaire sur les zazous pendant la guerre. Certains d'entre eux ont été déportés au camp de Drancy en 1942 pour voir arboré une étoile jaune détournée. J'aimerais comprendre ces "amis des juifs" que la jeunesse a d'instinct poussé à un acte intuitif et subversif de solidarité. Merci de tous les renseignements, conseils sources et témoignages que vous pourrez me donner pour raconter l'histoire de cette jeunesse là.
    [répondre]


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 * Juste parmi les Nations
 

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