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Nord

Région :
Hauts-de-France
Département :
Nord

Préfets :
Fernand Carles
(1936 - 1944) Préfet régional
Henry Darrouy
(1941 - 1944) Préfet délégué
Jean Michel Adrien Cabouat
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République
Roger Édouard Verlomme
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République
Francis Louis Closon
(1944 - 1948) Commissaire régional de la République
Roger Verlomme
(1944 - 1946) Préfet
Marcel Lanquetin
(1946 - 1955) Préfet

À lire, à voir…

Pierre Copernik Pierre Copernik
Abcdaire de la résistance

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Cédric Gruat Cédric Gruat
Cécile Leblanc
Amis des Juifs

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Georges Loinger Georges Loinger
Les Résistances juives pendant l'occupation

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Franck Fajnkuchen Franck Fajnkuchen
Yzkor. Une famille juive en France entre 1940 et 1944

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Frédéric Viey Frédéric Viey
Franck d'Almeida
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie

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Étienne Dejonghe Étienne Dejonghe
Yves Le Maner
Le Nord-Pas-de-Calais dans la main allemande, 1940-1944

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Marie-Christine Hubert Marie-Christine Hubert
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Les Tsiganes en France - Un sort à part (1939-1946)

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Als ich in Auschwitz war - Bericht eines Überlebenden (Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945 ; en langue allemande)

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 Fondation pour la Mémoire de la Déportation Fondation pour la Mémoire de la Déportation
Livre-Mémorial des déportés de France arrêtés par mesure de répression et dans certains cas par mesure de persécution 1940-1945 - 4 volumes

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Stéphane Simonnet Stéphane Simonnet
Atlas de la libération de la France : 6 juin 1944 - 8 mai 1945

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Organisation juive de combat : Résistance-sauvetage. France 1940-1945

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Sauvons les enfants ! : Histoire du comité lillois de secours

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Paroles d'étoiles - Mémoire d'enfants cachés (1939-1945)

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Le soleil voilé - Auschwitz 1942-1945

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Les Juifs ont résisté en France (1940-1945)

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Les orphelins de la Shoah - Les maisons de l'espoir (1944-1960)

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Le sauvetage des enfants juifs pendant l'Occupation, dans les maisons de l'OSE 1938-1945

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Texte pour ecartement lateral

Valenciennes en 1939-1945

Texte pour ecartement lateral
Code postal : 59300
Gentilé : Valenciennois, Valenciennoises

- Nord
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Valenciennes en 1939-1945
Musée des Beaux-Arts de Valenciennes, construit au début du XXe siècle
source photo : Arch.
crédit photo : D.R.
Valenciennes en 1939-1945
L'hôtel de ville et la place d'Armes
source photo : R59
crédit photo : Copyleft
Valenciennes en 1939-1945
La bibliothèque municipale ou bibliothèque des Jésuites, installée dans l'ancien collège de la Compagnie de Jésus fondé au début du XVIe siècle
source photo : Strikehard
crédit photo : D.R.

Voir l'histoire du département du Nord
Histoire

La commune des Valenciennois

Valenciennes, historiquement capitale du comté du Hainaut est sous-préfecture du département du Nord depuis 1824, située entre Bruxelles (à 106 km) et Amiens (à 127 km).

Située au confluent de l’Escaut avec la Rhônelle. Valenciennes, ville fut une ville industrielle et minière très prospère au XIXe siècle.

Lors du recensement de 1936, la commune comptait 42 564 habitants et 28 684 en 1946.

 

03/12/2012

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Les deux guerres mondiales

Les Allemands occupent la ville en 1914. C'est l’armée britannique et son corps canadien qui délivrent la cité en 1918 après de durs combats.

Le 10 mai 1940, la ville, abandonnée par ses habitants partis sur les routes de l'exode, est livrée à des pillards de l'armée française. Un gigantesque incendie dévore le cœur de la cité, alimenté notamment par un dépôt de carburant. Les troupes allemandes occupent ensuite la ville en ruines, le 27 mai.

Le lycée Watteau devient siège de la GFP (Geheime Feldpolizei, police militaire secrète), on y torture des résistants dans les caves.

Le 2 septembre 1944, après des combats sanglants, les troupes américaines entrent dans Valenciennes et libèrent la ville.

03/12/2012
Lien : Wikipedia

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L'eglise évangélique

L'eglise évangélique s'implante à Valenciennes en mars 1940.

C’est en 1936 qu’un couple alla en vacances au Andelys chez des amis. Ils assistèrent à des réunions, et de retour chez eux, ils en parlèrent à leurs voisins. Ils prirent contact avec le Pasteur Falq qui assurait des réunions sur Lille. Ce pasteur a commencé des réunions rue Louis Bracq à Valenciennes. Pendant la guerre, il quitta le pays à cause de sa nationalité.

Des réunions furent assurées dans des maisons par différentes personnes venue de Belgique.

Le 30 mars 1940 : 1er dépôt des statuts de l'église évangélique de Valenciennes. Le 25 avril 1940 : parution dans le J.O. Un local fut trouvé rue Malplaqué (le long du canal) au Faubourg de Paris.

Venant de Rouen, Monsieur Valot en fut le pasteur de nombreuses années (1941 – 1968). Des réunions furent assurées à Caudry, Blanc Misseron, Bruay sur Escaut, Fresnes les Râches. Des églises fondées à Saint Quentin, Douai, Maubeuge, Hirson. Pendant de nombreuses années, une colonie de vacances pour les jeunes de Valenciennes fut ouverte au Coq Banni. De la rue Malplaqué, l’église à été transférée rue de la digue (faubourg de Paris) et ensuite rue Saint Géry près du Square Froissart.

Le pasteur Marcel Goffin prend le relais de Monsieur Valot en 1957.1

06/12/2012
Auteur : Eglise évangélique de Valenciennes Lien : Petit Historique de l'Eglise de Valenciennes

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Bref aperçu historique de la communauté juive de Valenciennes 1790-1945

Bref aperçu historique de la communauté juive de Valenciennes 1790-1945 par Danielle Delmaire Professeur émérite de l’université de Lille3., historienne des communautés juives

Avant 1789 : Passage de colporteurs juifs dans le Nord et dans la région de Valenciennes.
Un registre particulier à l’inhumation des non catholiques et comédiens (« inhumation de ceux auxquels la sépulture ecclésiastique ne sera pas accordée »), pour la ville de Valenciennes, porte le nom de Mardochée Lazare, en date du 9 octobre 1789 (AMV).

Sous la Révolution et l’Empire : Apparition d’une petite communauté.
Selon divers recensements (ADN, AN et Jér.), on compte une douzaine de personnes à Valenciennes entre 1798 et 1805 et 8 en 1806 (ADN et AN). Une liste de 1810 n’en comporte plus que deux mais les couples sont mixtes et la liste ne recense que les juifs de ces couples (Jér.).
La ville de Valenciennes a conservé, dans ses archives, des carnets qui notent les noms des personnes, étrangères à la ville, qui entrent et sortent par les portes de la ville en 1798-1799 : plusieurs noms de juifs de la région ou du reste de la France y sont inscrits.
Toutes ces familles vivent du colportage de marchandises diverses, commerce très modeste qui les fait vivre dans l’indigence. Elles sont toutes très pauvres et sont originaires d’Alsace et de Lorraine.

Première moitié du XIXe siècle : Présence de quelques familles
Les divers recensements (ADN, AN et Jér.) des années 1820-1850 prouvent l’existence d’une très petite communauté mais la présence juive ne semble pas avoir disparu.
1837 : 4 personnes
1841 : environ une vingtaine.
1851 : 30 personnes au moins.

Sous le Second Empire (1852-1870) : La communauté s’agrandit
C’est durant cette période que véritablement la présence juive se constitue en communauté structurée.
1854 : 90 personnes
1861 : 194 personnes
1869-1871 : 218 personnes,
à cette date, Valenciennes abrite la seconde communauté du Nord, après Lille, pour ce qui est du nombre de personnes. Cette population représente, environ, 1 % de la population valenciennoise. En 1871, environ 80 % des enfants (moins de 20 ans) de la communauté juive sont nés à Valenciennes. Les nouveaux arrivants sont majoritairement originaires d’Alsace et de Lorraine. Parmi eux, une fratrie de 5 frères et une sœur ainsi que deux cousins (tous mariés) arrivent à Valenciennes. A elle seule cette fratrie constitue près de la moitié de la communauté. Il s’agit des frères Meyer et de leur sœur, épouse Frybourg. Les Villar, les Schnerf, les Weill, les Cahen etc. composent aussi cette communauté.
Dès 1850, la communauté est desservie par un ministre officiant et on note la présence d’un shohet en 1853. Dans le même temps, la communauté se dote d’une commission administrative (ADN, AN).
En 1849, elle acquiert un local qui lui sert de synagogue. Désormais, les juifs de Valenciennes ont un lieu de prières qui n’est plus une pièce aménagée chez un particulier mais un bâtiment indépendant et ne servant qu’à la prière. Enfin en 1850, un terrain leur est attribué par la municipalité pour leur servir de cimetière (AMV).
En 1862, la communauté qui s’est agrandie a besoin d’une synagogue plus vaste et achète une bâtisse sise 36 rue de l’Intendance. C’est une ancienne maison qui date au moins du début du siècle (AN). Elle est aménagée pour la prière et pour l’habitat du ministre officiant. Elle est inaugurée en 1863. C’est actuellement la plus ancienne synagogue du Nord/Pas-de-Calais pour ce qui concerne le bâtiment.
La communauté, composée essentiellement de commerçants, s’intègre bien dans la société valenciennoise, sa participation à la fête des Incas en 1866 l’atteste (AMV). La fête associe annuellement toute la population pour un défilé de chars et le produit des quêtes qui l’accompagnent permet à la ville d’aider les indigents de Valenciennes. Cette année-là, la municipalité demande à la communauté de fabriquer le char qui représente les Hébreux apportant leur bienfait à l’Humanité en marche vers la modernité. Sur le char, des juifs de Valenciennes incarnent Moïse et les Hébreux qui apportent la Torah.

Troisième République, 1870-1940 : la communauté dans le consistoire de Lille
La communauté s’agrandit encore avec l’arrivée des juifs d’Alsace et de Lorraine qui optent pour la France après l’annexion de leur région à l’Allemagne, mais dans une proportion moindre que sous le Second Empire.
De ce fait, un rabbinat est créé en Valenciennes en 1873 (Lille vient d’être élevée au rang de consistoire départemental). Le premier rabbin est J. Lévy (ADN). En 1882, arrive le rabbin Félix Meyer. Il a été formé au séminaire rabbinique et c’est un érudit (il est l’auteur de divers articles savants en histoire), très proche de sa communauté. Il reste à Valenciennes jusqu’en 1905. A la fin du XIXe siècle, un ministre officiant assiste le rabbin.
En 1876, 34 électeurs consistoriaux sont des Valenciennois (sur 137 électeurs pour tout le consistoire). En 1888, ils sont 52 sur 239 (ADN), ce qui signifie que d’autres familles arrivent dans les années 1880, mais comme partout dans le consistoire de Lille. A partir de 1880, un Valenciennois (Dreyfus) siège au consistoire de Lille (ADN).
Le commerce n’est plus la seule occupation professionnelle des juifs de Valenciennes, quelques-uns d’entre eux vivent de leur art ou des services nouveaux comme les chemins de fer.
En 1882, la communauté améliore l’aménagement de la maison qui sert de synagogue, notamment le passage qui relie les deux bâtiments est couvert, donnant l’impression d’une unique bâtisse (ADN).
Enfin, suite à la loi de séparation des Eglises et de l’Etat (1905), la communauté de Valenciennes se constitue en Association cultuelle israélite (ACI).
Dans l’entre-deux-guerres, l’arrivée de juifs de Pologne (très peu de Turquie) vient encore grossir la communauté. La plupart sont peu fortunés et vivent du petit commerce, quelques-uns travaillent dans l’industrie. Ils sont souvent plus religieux que leurs coreligionnaires français et plus réceptifs au sionisme.
A la veille de la Seconde Guerre mondiale, la communauté juive de Valenciennes est composite : une partie est originaire de France depuis plusieurs générations et une autre est issue de l’immigration récente.

La Seconde Guerre mondiale, 1940-1944 : la catastrophe
A l’invasion de la France, des familles juives quittent Valenciennes et participent à l’exode comme le reste de la population. Certaines d’entre elles restent en zone non occupée tandis que d’autres rentrent rapidement chez elles.
Des juifs réfugiés dans le sud prennent part à la Résistance. Ceux qui se trouvent à Valenciennes et dans les environs subissent les diverses restrictions qu’impose le gouvernement militaire allemand de Bruxelles dont dépendent le Nord et le Pas-de-Calais depuis juin 1940. En juin 1942, le port de l’étoile est rendu obligatoire. Les juifs sont désormais repérables et localisables quand ils ont été recensés.
A l’été 1942, commencent les premières arrestations mais c’est surtout la grande rafle du 11 septembre 1942 qui décime la communauté de Valenciennes et des environs. Toutefois, des enfants ont pu être soustraits de la rafle avant l’arrestation ou sur le chemin menant à la gare. Les juifs raflés à Valenciennes rejoignent leurs coreligionnaires de la région, arrêtés comme eux le 11 septembre 1942 et regroupés en gare de Lille. Là des cheminots aident quelques uns d’entre eux à sortir de la gare. Le train les achemine vers Malines, à la caserne Dossin. Ils forment la moitié du convoi X qui quitte Malines pour Auschwitz le 15 septembre 1942.
Après la rafle, ceux qui ont eu le bonheur d’en échapper doivent vivre dans la clandestinité avec l’aide d’amis, de voisins. Certains participent à la Résistance.

Au lendemain de la guerre, la communauté renaît non sans difficultés mais surtout meurtrie par le désastre de la Shoah.

Les principales sources d’archives utilisées pour ce travail sont les archives municipales de Valenciennes (AMV), les archives départementales du Nord (ADN), les archives nationales (AN), des archives à Jérusalem (Jér.).

28/03/2013
Auteur : Danielle Delmaire Lien : Synagogue de Valenciennes

[Compléter l'article]

Les camps et les lieux d'internement du Nord

13e CTE Avesnes-les-Aubert 59129 Avesnes-les-Aubert
15e CTE Hazebrouck 59190 Hazebrouck
52e-101e-102e-103e CTE Cambrai 59400 Cambrai
59e CTE Bray Dunes 59140 Dunkerque
71e CTE Valenciennes 59300 Valenciennes
972e GTE du Fort de Chapoly 69000 Lyon
Camp de Vénissieux 69200 Vénissieux
Caserne Kleber 59000 Lille
Caserne Vincent 59300 Valenciennes
Centre Ranchal 69470 Ranchal
École du service de santé militaire 69000 Lyon
Fort de Chapoly 69290 Saint-Genis-les-Ollières
Fort de Feyzin 69320 Feyzin
Fort de Lorette 69230 Saint-Genis-Laval
Fort du Paillet 69570 Dardilly
Fort Lamothe ou La Motte 69000 Lyon
Fort Lobau 59910 Bondues
Frontstalag 100 Hazebrouck 59190 Hazebrouck
Frontstalag 101 Cambrai 59400 Cambrai
Frontstalag 102 Lille 59000 Lille
Frontstalag 185 Tourcoing 59200 Tourcoing
Frontstalag 186 Lille 59000 Lille
Petit dépôt de Lyon 69000 Lyon
Prison de Cuincy-Douai 59553 Cuincy
Prison de Loos-lès-Lille 59120 Loos
Prison Montluc 69000 Lyon
Prison Saint-Paul 69000 Lyon

Les lieux de sauvetage du Nord

Asile de mineurs 59000 Lille
Château de la Huda 59132 Trélon
Clinique Sainte-Catherine 59000 Lille
Couvent des Carmes 59000 Lille
Couvent des Franciscaines 59100 Roubaix
Enfant-Jésus de Lille 59000 Lille
École régionale des cadres de la jeunesse 59237 Verlinghem
Fort de Bron 69500 Bron
Fort de la Duchère 69000 Lyon
Foyer du peuple 59000 Lille
Foyer Massabielle 59130 Lambersart
Frères Saint-Jean-de-Dieu 59350 Saint-André-lez-Lille
Hôpital Ambroise Paré 59000 Lille
Lycée Fénelon 59000 Lille
Maison du Buisson 59700 Marcq-en-Barœul
Notre-Dame de Grâce 59000 Lille
Notre-Dame de la Treille 59000 Lille
Notre-Dame de Loos 59120 Loos
Orphelinat de Lauwin-Planque 59553 Lauwin-Planque
Orphelinat Saint-Pierre 59830 Bouvines
Préventorium Le Coteau 59270 Saint-Jans-Cappel
Religieuses de Notre-Dame de Lourdes 59000 Lille


Les 75 Justes parmi les Nations du Nord



Familles réfugiées à Valenciennes [Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.


1 Famille arrêtée (Valenciennes) [Compléter]

11/09/1942
Famille Lewkowitz - Shmuel Lewkowitz, né à Lodz (Pologne) et son épouse, Perla née Skerz, arrivés de Pologne avant la guerre, habitaient à Valenciennes. Shmuel était fourreur. Le 11 septembre 1942, jour de la grande rafle des Juifs de Valenciennes, la police française se présenta au domicile de la famille. Shmuel Lewkowitz était sorti avec deux des enfants, Betty, 7 ans, et Jacques, 5 ans. La police arrêta Perla Lewkowitz et le petit Michel, âgé de 2 ans et demi, né le 31/07/1940 à Domfront, parce que juifs. Internés à Malines (Belgique), ils seront déportés sans retour de Drancy à Auschwitz.
Déportation : 1942

Chronologie [Ajouter]

01/06/1940 - Le Général Allemand Alfred Waeger étonné et impressionné par le courage des défenseurs français durant la bataille de Lille (27 mai - 31 mai 1940) autorise ceux-ci à défiler en arme jusqu'à la captivité. Les troupes allemandes rendent les honneurs militaires aux troupes françaises le 1er juin 1940.
22/06/1940 - Signature de l’armistice dans la forêt de Compiègne, à Rethondes.
26/05/1941 - Grève des mineurs des bassins houillers dans le nord à l'usine d’Ostricourt et dans le Pas de Calais à la mines de Dourges, suite à l'arrestation d’un grand nombre d’ouvriers par les Autorités allemandes et la condamnation de onze d’entre eux et de deux femmes aux travaux forcés. Cette grève se terminera le 10 juin 1941. La répression allemande contre ces grèves est forte.
11/09/1942 - Le vendredi 11 septembre 1942 a lieu dans la Région Nord-Pas-de-Calais la plus grande rafle depuis la mise en place de la solution finale. Elle restera comme l'opération la plus importante de toute l'occupation dans le Nord de la France. 528 personnes, hommes, femmes et enfants sont envoyés au camp Dossin de Malines dès le lendemain (soit le 12 septembre 1942). Les déportés seront finalement envoyés à Auschwitz (Pologne) pour y être gazés. Seul neuf d'entre eux auront la chance de survivre...
01/09/1944 - Le 1er septembre 1944, les différents mouvements de résistance se mettent d'accord pour lancer le mot d'ordre de soulèvement général. Dans toute la ville, dès le vendredi soir, la Résistance s'attaque aux différents objectifs désignés et aux convois allemands qui repartent vers la Belgique.
02/09/1944 - Valenciennes est libéré.


Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires [Ajouter le votre]

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Les persécutions des Juifs victimes de la Solution Finale à Berck sur Mer pendant la 2de Guerre mondiale , Mémoire ou thèse 60 pages, réalisation 2014
Auteur : Cyril Brossard - terminal
Étude réalisée à la suite d'un voyage d'études à Auschwitz-Birkenau et suite à une demande d'élèves de Terminales ES du lycée Jan Lavezzari. Etude qui sert aussi à la préparation au CNRD 2014-2015 dont le thème est la découverte des camps de concentration, le retour des déportés et la découverte du système concentrationnaire nazi.
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie , Mémoire ou thèse 148 pages, réalisation 2009
Auteurs : Frédéric Viey, Franck d'Almeyda - terminal
Cette Histoire des Juifs du Nord et de Picardie relate le quotidien des Juifs dans le Nord de la France à partir du Moyen-Âge jusqu'à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Communautés Juives de ces régions ont payé un lourd tribu en perte humaine : la déportation et l'exécution après être passé par le Camp des Malines. Aujourd'hui dans toutes les Communautés un monument rappelle les sacrifices faits par le Peuple Juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, la population juive de France est exsangue. Les survivants vont essayer de faire revivre leur patrimoine religieux et culturel.


Liens externes [Ajouter un lien vers un article d'intérêt ou un site internet]
1 Valenciennes sur Wikipedia 
2 la Famille Angel (Histoire tragique d'une famille qui a tenté d'échapper à son destin en se sauvant de Lille, vers la Loire Atlantique )
3 François Molet (François Molet, né à Beaurevoir le 14 mars 1905 est fusillé le 7 avril 1942 au Mont-Valérien. )
4 "Lettre à Esther" et "Enfances volées" ("Lettre à Esther" : vidéo (20mn) réalisée dans le cadre d'un projet scolaire sur l'histoire de la famille Angel, réfugie à St-Michel-Chef-Chef, arrêtée en juillet 1942, déportée à Auschwitz
"Enfances volées" : vidéo (10mn) sur Rachel Angel et Victor Pérahia, arrêtés en juillet 1942 )
5 René Wallard (Page facebook du livre qui est en préparation sur son histoire.
Titre du livre "Dis leur de ne jamais pardonner". )

Notes

- 1 - Petit Historique de l’Église de Valenciennes.

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***  Qui a connu Marie Françoise COLETTE, née le 9 Juin 1940 à Lille Déposée le 12/03/2019

    Marie Françoise Colette est née le 09 juin 1940 à Lille,14 place Sébastopol assistée par la religieuse Marguerite Bonte, âgée de 63 ans. Puis, il semblerait que ce soit la société de patronage des enfants moralement abandonnés du département du Nord qui dans un premier temps ce soit occupé de Marie Francoise Colette, relayée par l'association d'adoption des tout petits ?. Les dates "charnières" de l'adoption ? ou placement en famille d'accueil ? de ce bébé sont octobre 1940 puis février 1941 date à laquelle Marie Françoise a été adoptée et emmenée à Paris. Nos questions : Que devenaient les jeunes enfants après leur naissance ? combien de temps restaient-ils à la maternité Sebastopol , étaient-ils ensuite placés dans des familles d'accueil, à plusieurs ? , un orphelinat ? Existe-t-il une liste des familles qui accueillaient ces enfants en 1940 ? avant d'être proposés à l'adoption ? Par avance un grand merci à celles ou ceux qui pourront nous donner des indications sur le "parcours" de ces enfants et peut-être sur ce bébé. Marie-Aurore G [répondre]
Répondue le 06/06/2023
    Bonjour,ma mère MARIE FRAN9OISE CHANTAL est déclarée en mairie par la même religieuse Marguerite Bonte . sa date de naissance est le 18 mars 1942. Deux copies de certificat de baptême avec des informations différentes. Baptême qui s’est déroulé à la maternité sainte famille. Elle a été placée à la société de patronage des enfants moralement abandonnés le 7 juillet et adoptée à la Bassée par la famille Deleplancque lorsqu’elle avait 18 mois. Mes grands parents adoptifs ont également adopté un garçon 3 mois plus tard. Je suis surprise qu’en pleine guerre , avec des rationnements alimentaires, ont ait confié deux enfants à un couple qui avait 42 ans chacun. Aucune mention de pupille de la nation, ni naissance sous X. Aucun dossier aux archives de la société de patronage . La présence de ma mère correspond a celle durant laquelle l’abbé Stahl a caché les enfants juifs sauvés de la rafle de Lille Fives.
    Je recherche également toute personne pouvant m’aider
     
Répondue le 18/07/2023
    Avez-vous obtenu des réponses ? 
Répondue le 30/07/2023
    La religieuse marguerite bonte était originaire de Marcq-en-baroeul où se situé la maison du buisson fondée par la société de patronage de la région Nord qui œuvrait pour le placement en orphelinat et en famille d’accueil des enfants orphelins ou nés sous X pendant la 2nd guerre mondiale et elle était tenue par des religieuses dont soeur marguerite bonte faisait partie.Officiellement ils ne prenaient pas d’enfants avant 14 ans mais officieusement ils devaient en accueillir puis vite les placer en famille d’accueil ou les faire adopter. Les identités des enfants étaient modifiées surtout s’ils étaient juifs ;donc votre mère était elle vraiment née à Lille? 

***  Recherche mon grand père biologique Déposée le 11/05/2023

    Bonjour ,
    Je recherche l’identité du père de mon père né le 23 janvier 1946.
    Mon père s’appelle Alfred Lecointe et ma grand-mère s’appelait Germaine Rousseaux Lecointe née le 06/03/1925.
    Mon grand-père biologique et ma grand-mère se sont vraisemblablement connus à Armentières en 1945.
    Mon grand-père biologique devait être de religion juive et était probablement jumeau ou fils de jumeau ( j’ai des jumeaux ) .
    J’espère vraiment trouver des réponses…Merci
    [répondre]

***  Recherche famille Carette ou Carelte Déposée le 26/11/2020

    Mon père Ephrem Chicoine, soldat de l'armée canadienne, a correspondu avec la famille Carette ou Carelte, de Lille. J'ignore les prénoms du père et de la mère, mais ils avaient un fils du nom de Paul, et au moins deux filles nommées Jeanne (21 ans en 1945) et Renée (environ 12 ans en 1945). Je cherche à contacter des descendants de cette famille dans l'espoir de trouver des photos ou des lettres de mon père. Merci! [répondre]
Répondue le 18/12/2021
    Bonjour je suis chercheur et historien lillois. Je travaille sur la Seconde Guerre mondiale. Je veux bien vous aider à retrouver la trace des descendants des Carette. Je vous laisse mon mail si vous voulez correspondre : gregory.celerse@gmail.com

    Cordialement,

    Grégory
     

***  recherche Hélène née le 05 décembre 1944 Déposée le 02/02/2020

    Ma demi-soeur est née le 05 décembre 1944.Elle a été recueillie à la société de patronage des enfants moralement abandonnées de Lille le 30 décembre 1944. elle fut confié à l'association des tout petits. son nom de naissance est sarpeaux et le prénom est Hélène. elle a été adopter . le parcours de ses enfants? la plupart été envoyer sur paris? [répondre]
Répondue le 27/04/2020
    Bonjour,
    Je confirme que les dossiers ont été remis à l'OEUVRE DE L'ADOPTION DES TOUT-PETITS appelée, ensuite : OEUVRE DE L'ADOPTION. Il y en à LILLE et à PARIS. Comme vous semblez connaître sa date de naissance et son nom ainsi que son prénom, vous pouvez demander son acte de naissance avec mentions marginales à la Mairie de plusieurs communes du département 59. Cela peut être LILLE, mais aussi de ROUBAIX. Mon mari vient de là. Les parcours peuvent être très différents surtout lorsque les enfants sont confiés à des Oeuvres privées. A votre disposition et cordialement. Bernadette
     
Répondue le 06/05/2020
    Bonjour Bernadette,Merci pour votre message que je n'ai découvert qu'hier le 5 mai 2020.Nous sommes déjà allés à la mairie de Lille où figure son acte de naissance à son nom d'adoption et les mentions marginales de sa famille adoptive (les grands parents que j'ai connu), mais ce sont des noms donnés par les oeuvres d'adoption et bien souvent inventés pour que l'on ne retrouve pas les origines de ces enfants. A moins que vous n'ayez des informations sur les us et pratiques de l'époque. peut être votre époux a t il glané des informations que nous pourrions partager ? comment ces noms et prénoms sont-ils choisis ? souvent au nombre de 3. nous avons une incertitude quand à la date exacte de sa naissance. pourtant la mairie indique des données qui sont aujourd'hui les siennes. pouvons-nous faire confiance ? y a t il eu des modifications sur ces dates réelles de naissance. tout est imaginable car c'était la guerre aussi ne pas hésiter à élargir les périodes de recherche. c'est ce que nous tentons de faire. je reste à votre disposition et en contact pour d'autres échanges mails. je vais surveiller davantage le site de l'AjpN. bien à vous, marie Aurore G 
Répondue le 06/05/2020
    Bonjour, je réponds à l'annonce de la recherche d'Helene née le 5 décembre 1944. Je n'ai pas d'infos à son sujet mais, Concernant l'envoi des enfants à Paris, en ce qui concerne ma mère, il semblerait que ses parents adoptifs aient rencontré Madame Leleu à l'époque à Estaires-La Gorgue en charge de l'oeuvre de l'Adoption et cela bien avant la naissance de ma mère. en effet, Mon grand père était à l'époque en garnison dans la région pas loin d Estaires La Gorgue et souhaitant adopter il aurait entendu parler de cette oeuvre et de Madame Leleu qu'ils auraient rencontrée. Auraient-ils "reservés" à l'avance un enfant ? cela parait être le cas. Ma mère aurait alors été emmenée à Paris, mais seulement 6 mois après sa naissance..... en février 41. Pourquoi ? ce sont des questions qui ne trouvent pas de réponses...si ce n'est que la guerre sévissait.. mais alors où était-elle tout ce temps ? il existe un livre qui nous a fait découvrir pas mal d'infos , celui de Patricia Fagué qui a écrit "Née sous X" que je vous recommande, la journaliste y parle de la Fondation d'Heucqueville. Un reportage a été aussi tourné. Voici ce que je peux partager avec vous. bien cordialement. MAG 

***  Bombardement briqueterie Coudekerque/Cappelle-la-Grande Déposée le 02/04/2014

    Bonjour, je recherche des informations sur le bombardement de la briqueterie de Coudekerque-Branche. Plusieurs familles s'étaient réfugiées à l'intérieur pour échapper au bombardement sur Dunkerque, et malheureusement la briqueterie a été bombardée ce soir là. La tante de mon grand-père ainsi que ses enfants faisaient partis des victimes. [répondre]
Répondue le 03/04/2014
    lis appelle 
Répondue le 01/05/2018
    mon arrière grand père son épouse certaines de ses filles et ses petits enfants soit 13 personnes ont été tués dans ce bombardement famille LEYNAERT VANCEUNEBROECK ROMMELAERE tués le 25 mai 1940 enterrés au cimetière de cappelle-la-grande
     

***  Jean-Marie Cotteau, recherche d'origine Déposée le 02/08/2017

    Mon père est né sous le nom de Jean - Marie Cotteau le 24 novembre 1931, place sébastopole, à Lille d’une mère inconnue. Il été à l'orphelinat directement après sa naissance (Societé de Patronage des enfants moralement abandonnés de la région du nord).
    Quelques années plus tard il a été adopté par le couple Ollier-Liabeuf.
    J'ai les papiers d'adoptioi
    Malheureusement, je n'ai que le nom de famille de sa mère (Cottteau). Il me manque au moins un prénom pour retrouver sa (ma) famille d’origine.
    Mon père est décédé en 1979 à Cologne, en Allemagne.

    [répondre]
Répondue le 08/08/2017
    Bonjour,
    Si on considère que la date de mariage de la tante "du bébé que vous adoptez" est un point de départ, peut-être pourriez-vous rechercher à la mairie les mariage qui ont eu lieu à cette date. Voir si une femme du nom de votre grand-mère s'est bien mariée ce jour là. Il y aura des indications sur elle très certainement et ses parents. Si vous découvrez le lieu de naissance de cette personne, vous pourriez demander à la mairie du lieu de naissance, une fiche individuelle d'état-civil avec indications des mentions marginales. Ensuite rechercher les mêmes informations sur les parents de cette "tante" et partant remonter sur les enfants que ce couple a eu. Bien cordialement.
     
Répondue le 08/08/2017
    A toutes fins utiles, on peut consulter le site geopatronyme.
    JD
     

***  décédée le 20 mai 1940 à Saultain Déposée le 05/04/2017

    Mon arrière grand-mère Marie-Thérèse Renotte est décédée le 20 mai 1940 à Saultain dans des circonstances inconnues par les membres de ma famille; une des versions serait qu'elle aurait été touchée par un bombardement. Au départ, plusieurs membres de ma famille ont quitté leur village d'Estinnes en Belgique vers le nord de la France mais sur place, c'était le chaos ; ils ont décidé de faire demi-tour et retourner chez eux mais ils n'ont plus retrouvé mon arrière grand-mère;par la suite, ils ont appris son décès. si quelqu'un a des informations sur ce qui s'est passé et plus précisément pour elle ça m'intéresse. Merci [répondre]

***  RECHERCHE ORIGINES Déposée le 06/01/2012

    Bonjour,
    Ma mère est née le 21 juin 1941, à Lille. Elle a été recueillie par la Société de Patronage de la Région du Nord (16 rue du Marais à Lille ou 21 rue de Courtrai à Lille). Elle m'a demandé de faire quelques recherches sur ses origines. Si quelqu'un avait quelques éléments complémentaires sur ses origines, merci de m'en informer.
    Son nom de naissance : THOS - Son nom adoptif : DEBUF. Ses prénoms : Chantal Yolaine
    [répondre]
Répondue le 08/01/2012
    j'ai consulte un site genealogique Geneanet et j'ai trouve un genealogiste Yves Thos qui a construit un arbre genealogique....contactez le
    yvesthos@laposte.net
     
Répondue le 25/04/2015
    bonjour
    connaissez-vous le CNAOP centre national d'accès à ses origines
    à Paris 14 avenue Duquesne 75350 Paris 07 SP
    0140567217
    peut-être peuvent-ils vous aider dans votre recherche
    bonne continuation
    Francoise R.
     
Répondue le 18/08/2016
    Bonjour Françoise,
    Je découvre seulement aujourd'hui ce site et, donc, votre annonce qui date de 2012 et peut-être avez-vous pu avancer dans vos recherches ?
    Mon mari vient de cette "Société de Patronage de la Région du Nord". Je peux vous aider mais je pense que j'arrive trop tard et tant mieux pour vous.
    Une petite précision mais vous l'avez appris certainement : c'est l'OEUVRE DE L'ADOPTION DE LILLE qui a repris cette Société d'adoption de 1941.
    A bientôt et bien sincèrement,
    Bernadette
     
Répondue le 18/08/2016
    Excusez-moi ! je me suis trompée de prénom en vous répondant .... 

***  DEPORTES DE DENAIN VERS AUSCHWITZ Déposée le 27/01/2015

    Bonjour,

    Mon arriére Grand pére, maintenant décédé, a été interné à Auschwitz, pendant au moins 2 ans.Il n'a jamais voulu raconter son histoire , ni laisser plus qu'entrevoir son matricule d'Auschwitz.

    Il était de Denain, dans le Nord...peut être a t il fait parti de la grande rafle qui a eu lieu à Denain le vendredi 11 septembre 1942.
    je sais qu'il s'est évadé en s'attachant sous un train avec 2 autres hommes, dont un est mort.A son retour, il s'est exilé avec femme JULIENNE et enfants dans un petit village du Cambresis: Le Bois de l'abbaye..;il a toujours refusé les invitations des anciens combattants ou autre association...
    il s'appelait PHILIPPE DE CEAURIZ....J'apprécierais toute aide et toute information...Merci
    [répondre]


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