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Région :
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Préfets :
Fernand Carles
(1936 - 1944) Préfet régional
Henry Darrouy
(1941 - 1944) Préfet délégué
Jean Michel Adrien Cabouat
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République
Roger Édouard Verlomme
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République
Francis Louis Closon
(1944 - 1948) Commissaire régional de la République
Roger Verlomme
(1944 - 1946) Préfet
Marcel Lanquetin
(1946 - 1955) Préfet
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La commune des Valenciennois
Valenciennes, historiquement capitale du comté du Hainaut est sous-préfecture du département du Nord depuis 1824, située entre Bruxelles (à 106 km) et Amiens (à 127 km).
Située au confluent de l’Escaut avec la Rhônelle. Valenciennes, ville fut une ville industrielle et minière très prospère au XIXe siècle.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 42 564 habitants et 28 684 en 1946.
03/12/2012
Les deux guerres mondiales
Les Allemands occupent la ville en 1914. C'est l’armée britannique et son corps canadien qui délivrent la cité en 1918 après de durs combats.
Le 10 mai 1940, la ville, abandonnée par ses habitants partis sur les routes de l'exode, est livrée à des pillards de l'armée française. Un gigantesque incendie dévore le cœur de la cité, alimenté notamment par un dépôt de carburant. Les troupes allemandes occupent ensuite la ville en ruines, le 27 mai.
Le lycée Watteau devient siège de la GFP (Geheime Feldpolizei, police militaire secrète), on y torture des résistants dans les caves.
Le 2 septembre 1944, après des combats sanglants, les troupes américaines entrent dans Valenciennes et libèrent la ville.
03/12/2012
Lien : Wikipedia
L'eglise évangélique
L'eglise évangélique s'implante à Valenciennes en mars 1940.
C’est en 1936 qu’un couple alla en vacances au Andelys chez des amis. Ils assistèrent à des réunions, et de retour chez eux, ils en parlèrent à leurs voisins. Ils prirent contact avec le Pasteur Falq qui assurait des réunions sur Lille. Ce pasteur a commencé des réunions rue Louis Bracq à Valenciennes. Pendant la guerre, il quitta le pays à cause de sa nationalité.
Des réunions furent assurées dans des maisons par différentes personnes venue de Belgique.
Le 30 mars 1940 : 1er dépôt des statuts de l'église évangélique de Valenciennes. Le 25 avril 1940 : parution dans le J.O. Un local fut trouvé rue Malplaqué (le long du canal) au Faubourg de Paris.
Venant de Rouen, Monsieur Valot en fut le pasteur de nombreuses années (1941 – 1968). Des réunions furent assurées à Caudry, Blanc Misseron, Bruay sur Escaut, Fresnes les Râches. Des églises fondées à Saint Quentin, Douai, Maubeuge, Hirson. Pendant de nombreuses années, une colonie de vacances pour les jeunes de Valenciennes fut ouverte au Coq Banni. De la rue Malplaqué, l’église à été transférée rue de la digue (faubourg de Paris) et ensuite rue Saint Géry près du Square Froissart.
Le pasteur Marcel Goffin prend le relais de Monsieur Valot en 1957.1
06/12/2012
Auteur : Eglise évangélique de Valenciennes
Lien : Petit Historique de l'Eglise de Valenciennes
Bref aperçu historique de la communauté juive de Valenciennes 1790-1945
Bref aperçu historique de la communauté juive de Valenciennes 1790-1945 par Danielle Delmaire Professeur émérite de l’université de Lille3., historienne des communautés juives
Avant 1789 : Passage de colporteurs juifs dans le Nord et dans la région de Valenciennes.
Un registre particulier à l’inhumation des non catholiques et comédiens (« inhumation de ceux auxquels la sépulture ecclésiastique ne sera pas accordée »), pour la ville de Valenciennes, porte le nom de Mardochée Lazare, en date du 9 octobre 1789 (AMV).
Sous la Révolution et l’Empire : Apparition d’une petite communauté.
Selon divers recensements (ADN, AN et Jér.), on compte une douzaine de personnes à Valenciennes entre 1798 et 1805 et 8 en 1806 (ADN et AN). Une liste de 1810 n’en comporte plus que deux mais les couples sont mixtes et la liste ne recense que les juifs de ces couples (Jér.).
La ville de Valenciennes a conservé, dans ses archives, des carnets qui notent les noms des personnes, étrangères à la ville, qui entrent et sortent par les portes de la ville en 1798-1799 : plusieurs noms de juifs de la région ou du reste de la France y sont inscrits.
Toutes ces familles vivent du colportage de marchandises diverses, commerce très modeste qui les fait vivre dans l’indigence. Elles sont toutes très pauvres et sont originaires d’Alsace et de Lorraine.
Première moitié du XIXe siècle : Présence de quelques familles
Les divers recensements (ADN, AN et Jér.) des années 1820-1850 prouvent l’existence d’une très petite communauté mais la présence juive ne semble pas avoir disparu.
1837 : 4 personnes
1841 : environ une vingtaine.
1851 : 30 personnes au moins.
Sous le Second Empire (1852-1870) : La communauté s’agrandit
C’est durant cette période que véritablement la présence juive se constitue en communauté structurée.
1854 : 90 personnes
1861 : 194 personnes
1869-1871 : 218 personnes,
à cette date, Valenciennes abrite la seconde communauté du Nord, après Lille, pour ce qui est du nombre de personnes. Cette population représente, environ, 1 % de la population valenciennoise. En 1871, environ 80 % des enfants (moins de 20 ans) de la communauté juive sont nés à Valenciennes. Les nouveaux arrivants sont majoritairement originaires d’Alsace et de Lorraine. Parmi eux, une fratrie de 5 frères et une sœur ainsi que deux cousins (tous mariés) arrivent à Valenciennes. A elle seule cette fratrie constitue près de la moitié de la communauté. Il s’agit des frères Meyer et de leur sœur, épouse Frybourg. Les Villar, les Schnerf, les Weill, les Cahen etc. composent aussi cette communauté.
Dès 1850, la communauté est desservie par un ministre officiant et on note la présence d’un shohet en 1853. Dans le même temps, la communauté se dote d’une commission administrative (ADN, AN).
En 1849, elle acquiert un local qui lui sert de synagogue. Désormais, les juifs de Valenciennes ont un lieu de prières qui n’est plus une pièce aménagée chez un particulier mais un bâtiment indépendant et ne servant qu’à la prière. Enfin en 1850, un terrain leur est attribué par la municipalité pour leur servir de cimetière (AMV).
En 1862, la communauté qui s’est agrandie a besoin d’une synagogue plus vaste et achète une bâtisse sise 36 rue de l’Intendance. C’est une ancienne maison qui date au moins du début du siècle (AN). Elle est aménagée pour la prière et pour l’habitat du ministre officiant. Elle est inaugurée en 1863. C’est actuellement la plus ancienne synagogue du Nord/Pas-de-Calais pour ce qui concerne le bâtiment.
La communauté, composée essentiellement de commerçants, s’intègre bien dans la société valenciennoise, sa participation à la fête des Incas en 1866 l’atteste (AMV). La fête associe annuellement toute la population pour un défilé de chars et le produit des quêtes qui l’accompagnent permet à la ville d’aider les indigents de Valenciennes. Cette année-là, la municipalité demande à la communauté de fabriquer le char qui représente les Hébreux apportant leur bienfait à l’Humanité en marche vers la modernité. Sur le char, des juifs de Valenciennes incarnent Moïse et les Hébreux qui apportent la Torah.
Troisième République, 1870-1940 : la communauté dans le consistoire de Lille
La communauté s’agrandit encore avec l’arrivée des juifs d’Alsace et de Lorraine qui optent pour la France après l’annexion de leur région à l’Allemagne, mais dans une proportion moindre que sous le Second Empire.
De ce fait, un rabbinat est créé en Valenciennes en 1873 (Lille vient d’être élevée au rang de consistoire départemental). Le premier rabbin est J. Lévy (ADN). En 1882, arrive le rabbin Félix Meyer. Il a été formé au séminaire rabbinique et c’est un érudit (il est l’auteur de divers articles savants en histoire), très proche de sa communauté. Il reste à Valenciennes jusqu’en 1905. A la fin du XIXe siècle, un ministre officiant assiste le rabbin.
En 1876, 34 électeurs consistoriaux sont des Valenciennois (sur 137 électeurs pour tout le consistoire). En 1888, ils sont 52 sur 239 (ADN), ce qui signifie que d’autres familles arrivent dans les années 1880, mais comme partout dans le consistoire de Lille. A partir de 1880, un Valenciennois (Dreyfus) siège au consistoire de Lille (ADN).
Le commerce n’est plus la seule occupation professionnelle des juifs de Valenciennes, quelques-uns d’entre eux vivent de leur art ou des services nouveaux comme les chemins de fer.
En 1882, la communauté améliore l’aménagement de la maison qui sert de synagogue, notamment le passage qui relie les deux bâtiments est couvert, donnant l’impression d’une unique bâtisse (ADN).
Enfin, suite à la loi de séparation des Eglises et de l’Etat (1905), la communauté de Valenciennes se constitue en Association cultuelle israélite (ACI).
Dans l’entre-deux-guerres, l’arrivée de juifs de Pologne (très peu de Turquie) vient encore grossir la communauté. La plupart sont peu fortunés et vivent du petit commerce, quelques-uns travaillent dans l’industrie. Ils sont souvent plus religieux que leurs coreligionnaires français et plus réceptifs au sionisme.
A la veille de la Seconde Guerre mondiale, la communauté juive de Valenciennes est composite : une partie est originaire de France depuis plusieurs générations et une autre est issue de l’immigration récente.
La Seconde Guerre mondiale, 1940-1944 : la catastrophe
A l’invasion de la France, des familles juives quittent Valenciennes et participent à l’exode comme le reste de la population. Certaines d’entre elles restent en zone non occupée tandis que d’autres rentrent rapidement chez elles.
Des juifs réfugiés dans le sud prennent part à la Résistance. Ceux qui se trouvent à Valenciennes et dans les environs subissent les diverses restrictions qu’impose le gouvernement militaire allemand de Bruxelles dont dépendent le Nord et le Pas-de-Calais depuis juin 1940. En juin 1942, le port de l’étoile est rendu obligatoire. Les juifs sont désormais repérables et localisables quand ils ont été recensés.
A l’été 1942, commencent les premières arrestations mais c’est surtout la grande rafle du 11 septembre 1942 qui décime la communauté de Valenciennes et des environs. Toutefois, des enfants ont pu être soustraits de la rafle avant l’arrestation ou sur le chemin menant à la gare. Les juifs raflés à Valenciennes rejoignent leurs coreligionnaires de la région, arrêtés comme eux le 11 septembre 1942 et regroupés en gare de Lille. Là des cheminots aident quelques uns d’entre eux à sortir de la gare. Le train les achemine vers Malines, à la caserne Dossin. Ils forment la moitié du convoi X qui quitte Malines pour Auschwitz le 15 septembre 1942.
Après la rafle, ceux qui ont eu le bonheur d’en échapper doivent vivre dans la clandestinité avec l’aide d’amis, de voisins. Certains participent à la Résistance.
Au lendemain de la guerre, la communauté renaît non sans difficultés mais surtout meurtrie par le désastre de la Shoah.
Les principales sources d’archives utilisées pour ce travail sont les archives municipales de Valenciennes (AMV), les archives départementales du Nord (ADN), les archives nationales (AN), des archives à Jérusalem (Jér.).
28/03/2013
Auteur : Danielle Delmaire
Lien : Synagogue de Valenciennes
Georgette Delcroix (Lille) | Maria Lamotte Soumillon (Le Cateau-Cambrésis) | Marie-Louise Siauve (Lille) |
Victor Delcroix (Lille) | Alice Lamotte Terrier (Le Cateau-Cambrésis) | Robert Stahl (Lille) (Marcq-en-Barœul) (Bouvines) |
Marie-Thérèse Flipo (Tourcoing) | Thérèse Matter (Lille) | Henri-Dominique Vandevoorde (Grenoble) (Lille) |
Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
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Les persécutions des Juifs victimes de la Solution Finale à Berck sur Mer pendant la 2de Guerre mondiale , Mémoire ou thèse
60 pages,
réalisation 2014 Liens externes
01/06/1940 -
Le Général Allemand Alfred Waeger étonné et impressionné par le courage des défenseurs français durant la bataille de Lille (27 mai - 31 mai 1940) autorise ceux-ci à défiler en arme jusqu'à la captivité. Les troupes allemandes rendent les honneurs militaires aux troupes françaises le 1er juin 1940.
22/06/1940 -
Signature de l’armistice dans la forêt de Compiègne, à Rethondes.
26/05/1941 -
Grève des mineurs des bassins houillers dans le nord à l'usine d’Ostricourt et dans le Pas de Calais à la mines de Dourges, suite à l'arrestation d’un grand nombre d’ouvriers par les Autorités allemandes et la condamnation de onze d’entre eux et de deux femmes aux travaux forcés. Cette grève se terminera le 10 juin 1941. La répression allemande contre ces grèves est forte.
11/09/1942 -
Le vendredi 11 septembre 1942 a lieu dans la Région Nord-Pas-de-Calais la plus grande rafle depuis la mise en place de la solution finale. Elle restera comme l'opération la plus importante de toute l'occupation dans le Nord de la France. 528 personnes, hommes, femmes et enfants sont envoyés au camp Dossin de Malines dès le lendemain (soit le 12 septembre 1942). Les déportés seront finalement envoyés à Auschwitz (Pologne) pour y être gazés. Seul neuf d'entre eux auront la chance de survivre...
01/09/1944 -
Le 1er septembre 1944, les différents mouvements de résistance se mettent d'accord pour lancer le mot d'ordre de soulèvement général. Dans toute la ville, dès le vendredi soir, la Résistance s'attaque aux différents objectifs désignés et aux convois allemands qui repartent vers la Belgique.
02/09/1944 -
Valenciennes est libéré.
Auteur :
Cyril Brossard
- terminal
Étude réalisée à la suite d'un voyage d'études à Auschwitz-Birkenau et suite à une demande d'élèves de Terminales ES du lycée Jan Lavezzari. Etude qui sert aussi à la préparation au CNRD 2014-2015 dont le thème est la découverte des camps de concentration, le retour des déportés et la découverte du système concentrationnaire nazi.
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie , Mémoire ou thèse
148 pages,
réalisation 2009
Auteurs :
Frédéric Viey, Franck d'Almeyda
- terminal
Cette Histoire des Juifs du Nord et de Picardie relate le quotidien des Juifs dans le Nord de la France à partir du Moyen-Âge jusqu'à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Communautés Juives de ces régions ont payé un lourd tribu en perte humaine : la déportation et l'exécution après être passé par le Camp des Malines. Aujourd'hui dans toutes les Communautés un monument rappelle les sacrifices faits par le Peuple Juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, la population juive de France est exsangue. Les survivants vont essayer de faire revivre leur patrimoine religieux et culturel.
Notes
- 1 - Petit Historique de l’Église de Valenciennes.
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*** Qui a connu Marie Françoise COLETTE, née le 9 Juin 1940 à Lille Déposée le 12/03/2019 |
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Répondue le 06/06/2023
Je recherche également toute personne pouvant m’aider
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*** Recherche mon grand père biologique Déposée le 11/05/2023 |
Je recherche l’identité du père de mon père né le 23 janvier 1946. Mon père s’appelle Alfred Lecointe et ma grand-mère s’appelait Germaine Rousseaux Lecointe née le 06/03/1925. Mon grand-père biologique et ma grand-mère se sont vraisemblablement connus à Armentières en 1945. Mon grand-père biologique devait être de religion juive et était probablement jumeau ou fils de jumeau ( j’ai des jumeaux ) . J’espère vraiment trouver des réponses…Merci [répondre] |
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*** Recherche famille Carette ou Carelte Déposée le 26/11/2020 |
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Répondue le 18/12/2021
Cordialement, Grégory |
*** recherche Hélène née le 05 décembre 1944 Déposée le 02/02/2020 |
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Répondue le 27/04/2020
Je confirme que les dossiers ont été remis à l'OEUVRE DE L'ADOPTION DES TOUT-PETITS appelée, ensuite : OEUVRE DE L'ADOPTION. Il y en à LILLE et à PARIS. Comme vous semblez connaître sa date de naissance et son nom ainsi que son prénom, vous pouvez demander son acte de naissance avec mentions marginales à la Mairie de plusieurs communes du département 59. Cela peut être LILLE, mais aussi de ROUBAIX. Mon mari vient de là. Les parcours peuvent être très différents surtout lorsque les enfants sont confiés à des Oeuvres privées. A votre disposition et cordialement. Bernadette
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*** Bombardement briqueterie Coudekerque/Cappelle-la-Grande Déposée le 02/04/2014 |
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Répondue le 03/04/2014
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*** Jean-Marie Cotteau, recherche d'origine Déposée le 02/08/2017 |
Quelques années plus tard il a été adopté par le couple Ollier-Liabeuf. J'ai les papiers d'adoptioi Malheureusement, je n'ai que le nom de famille de sa mère (Cottteau). Il me manque au moins un prénom pour retrouver sa (ma) famille d’origine. Mon père est décédé en 1979 à Cologne, en Allemagne. [répondre] |
Répondue le 08/08/2017
Si on considère que la date de mariage de la tante "du bébé que vous adoptez" est un point de départ, peut-être pourriez-vous rechercher à la mairie les mariage qui ont eu lieu à cette date. Voir si une femme du nom de votre grand-mère s'est bien mariée ce jour là. Il y aura des indications sur elle très certainement et ses parents. Si vous découvrez le lieu de naissance de cette personne, vous pourriez demander à la mairie du lieu de naissance, une fiche individuelle d'état-civil avec indications des mentions marginales. Ensuite rechercher les mêmes informations sur les parents de cette "tante" et partant remonter sur les enfants que ce couple a eu. Bien cordialement.
JD |
*** décédée le 20 mai 1940 à Saultain Déposée le 05/04/2017 |
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*** RECHERCHE ORIGINES Déposée le 06/01/2012 |
Ma mère est née le 21 juin 1941, à Lille. Elle a été recueillie par la Société de Patronage de la Région du Nord (16 rue du Marais à Lille ou 21 rue de Courtrai à Lille). Elle m'a demandé de faire quelques recherches sur ses origines. Si quelqu'un avait quelques éléments complémentaires sur ses origines, merci de m'en informer. Son nom de naissance : THOS - Son nom adoptif : DEBUF. Ses prénoms : Chantal Yolaine [répondre] |
Répondue le 08/01/2012
yvesthos@laposte.net
connaissez-vous le CNAOP centre national d'accès à ses origines à Paris 14 avenue Duquesne 75350 Paris 07 SP 0140567217 peut-être peuvent-ils vous aider dans votre recherche bonne continuation Francoise R.
Je découvre seulement aujourd'hui ce site et, donc, votre annonce qui date de 2012 et peut-être avez-vous pu avancer dans vos recherches ? Mon mari vient de cette "Société de Patronage de la Région du Nord". Je peux vous aider mais je pense que j'arrive trop tard et tant mieux pour vous. Une petite précision mais vous l'avez appris certainement : c'est l'OEUVRE DE L'ADOPTION DE LILLE qui a repris cette Société d'adoption de 1941. A bientôt et bien sincèrement, Bernadette
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*** DEPORTES DE DENAIN VERS AUSCHWITZ Déposée le 27/01/2015 |
Mon arriére Grand pére, maintenant décédé, a été interné à Auschwitz, pendant au moins 2 ans.Il n'a jamais voulu raconter son histoire , ni laisser plus qu'entrevoir son matricule d'Auschwitz. Il était de Denain, dans le Nord...peut être a t il fait parti de la grande rafle qui a eu lieu à Denain le vendredi 11 septembre 1942. je sais qu'il s'est évadé en s'attachant sous un train avec 2 autres hommes, dont un est mort.A son retour, il s'est exilé avec femme JULIENNE et enfants dans un petit village du Cambresis: Le Bois de l'abbaye..;il a toujours refusé les invitations des anciens combattants ou autre association... il s'appelait PHILIPPE DE CEAURIZ....J'apprécierais toute aide et toute information...Merci [répondre] |
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