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Région :
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Préfets :
Fernand Carles
(1936 - 1944) Préfet régional
Henry Darrouy
(1941 - 1944) Préfet délégué
Jean Michel Adrien Cabouat
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République
Roger Édouard Verlomme
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République
Francis Louis Closon
(1944 - 1948) Commissaire régional de la République
Roger Verlomme
(1944 - 1946) Préfet
Marcel Lanquetin
(1946 - 1955) Préfet
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Mairie d'Ascq source photo : Jiel Beaumadier crédit photo : D.R. | |
Mémorial Ascq 1944 source photo : Jiel Beaumadier crédit photo : D.R. | |
Gare d'Ascq source photo : Jiel Beaumadier crédit photo : D.R. |
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Ascq est une ville du Nord.
En 1970, la ville nouvelle composée de Ascq (59020), Annappes (59009) et Flers-lez-Lille (59235) devient Villeneuve-d'Ascq (et non Villeneuve-en-Flandre comme initialement prévu).
Lors du recensement de 1936, la commune d'Annappes comptait 3 350 habitants et 3 553 en 1946.
Ascq comptait 3 282 habitants en 1936 et 3 485 en 1946.
Flers-Les-Lille comptait 7 265 habitants en 1936 et 7 283 en 1946.
25/12/2021
La Seconde Guerre mondiale
La région entre dans la Seconde Guerre mondiale dès septembre 1939 ; des troupes britanniques du corps expéditionnaire de Lord Gort stationnent dans les villages voisins et à Ascq d'octobre 1939 à mai 1940. Les troupes allemandes s'y installent dès le 1er juin 1940. Adolf Hitler, en tournée d'inspection, vient loger au château d'Annappes ce même jour. Le fait le plus marquant de l'occupation est le massacre d'Ascq : dans la nuit du 1er avril 1944, un sabotage de la résistance locale vise un train de marchandises. Si le sabotage n'a pas de conséquences humaines pour les occupants du train dont la locomotive déraille, il s'avère que c'est un transport de troupes de la 12e division blindée SS « Hitlerjugend ». En représailles, les nazis massacrent 86 hommes. Les responsables du sabotage seront arrêtés puis fusillés au fort de Seclin le 7 juin 1944.
Pendant la guerre, Ascq dépend du commandement allemand de Bruxelles. L'occupation allemande durera de mai 1940 à septembre 1944. Ascq sera libéré le 3 septembre par une avant-garde blindée britannique en provenance de Seclin, qui s'engagera ensuite vers Tournai par la route nationale dans le but de libérer le port d'Anvers.
En 1944, Henri Gilleron, curé d'Ascq depuis 1936, est assassiné durant le massacre d'Ascq par la 12e Panzerdivision SS Hitlerjugend.1
Le 29 juin 1947, le général de Gaulle se rend sur les lieux du massacre d'Ascq. Il est reçu par le conseil municipal et Isidore Hofman, le maire du village.
Le 13 juillet 1947, Vincent Auriol, président de la République, pose la première pierre du monument des fusillés. Il est accompagné d'un dispensaire, à la demande des veuves. L'ensemble est construit par les architectes Luc et Xavier Arsène-Henry, et inauguré en 1955.
En 1949, la commune d'Ascq reçoit une décoration : la croix de guerre 1939-1945 et en 1952, la commune reçoit la Légion d'honneur.
En 1964, une délégation chrétienne d'Ascq est reçue à Rome par le pape Paul VI.
25/12/2021
Lien : Wikipedia
Massacre d'Ascq
Fin mars 1944, Ascq est un gros bourg de 3 500 habitants, situé à égale distance de Lille et de la frontière belge, bordé par la nationale 41 et traversé par la voie ferrée Lille-Tournai-Bruxelles/Charleroi.
En pleine Seconde Guerre mondiale, la population subit de plein fouet l'occupation allemande. La ligne de chemin de fer a été endommagée par deux explosions les 27 et 30 mars 1944, et la police allemande est venue enquêter au village. Ces deux sabotages ont été organisés par le « groupe d'Ascq » composé de quelques dizaines de résistants et dirigé par Paul Delécluse. Seule une poignée d'entre eux se charge d'actions de sabotage en relation avec le Bureau central de renseignement et d'action (BCRA) de Londres du colonel Passy.
Depuis l'occupation en 1940, il y a à Ascq un groupe de militaires allemands faisant partie du bataillon 908 (en résidence à Lille), composé d'hommes mûrs. Ils sont chargés de la police de la gare et du débarquement de matériel militaire ; leur cantonnement est proche de la gare d'Ascq.
Le train
Le 1er avril 1944, à 22 h 44, le train 649.355 (no français 9872) venant de Baisieux et à destination d'Haubourdin arrive aux abords de la gare d'Ascq. Le convoi est très important. Il transporte des éléments d'un bataillon blindé de reconnaissance de la 12e Panzerdivision SS Hitlerjugend, en provenance de Turnhout en vue du renforcement de la défense côtière de Normandie. Il se compose de la 1re compagnie d'automitrailleuses commandée par le sous-lieutenant Kudoke, de la 2e compagnie de chars de reconnaissance commandée par l'Obersturmführer Walter Hauck (25 ans), de la 3e compagnie d'infanterie sur chars légers de transport commandée par l'Oberleutnant Hauer et l'adjudant-chef Sturm, de l'état-major du bataillon avec un groupe d'agents de liaison, ordonnances, etc., sous les ordres du sergent Stun. Au total, il y a environ 400 hommes, et 60 blindés et véhicules.
L'Obersturmführer Hauck a eu l'idée de faire passer son train juste après l'express Lille-Bruxelles pour éviter « les bandes de terroristes […] particulièrement actives dans les régions à traverser ».
Le sabotage
Soudain à 22 h 45, le bruit sourd d'une explosion retentit, et la locomotive qui roulait à faible vitesse (environ 25 km/h) s'arrête à la hauteur de la cabine d'aiguillage. Le groupe de résistants local appartenant au réseau Voix du Nord vient d'organiser le troisième sabotage de la semaine. Trois wagons chargés de véhicules sortent des rails (un sortant de deux essieux, entraînant ses deux voisins d'un essieu) et la locomotive a quelques pièces secondaires détériorées, selon le mécanicien belge René Dascotte.
Les dégâts sont minimes. Aucun homme n'est blessé. Une note d'archives de Hauck énonce : un pneu d'automitrailleuse 8 roues endommagé, la boîte de vitesses d'une camionnette endommagée, une autre automitrailleuse projetée sur deux motocyclettes dont les essieux et jantes ont été faussés. L'incident est jugé peu important, étant donnée l'insignifiance des dégâts. Les militaires sont initialement calmes, à l'exception de l'Obersturmführer Hauck qui est « furieux » et « vociférant ». Dascotte se met à réparer lui-même la locomotive et les wagons seront remis sur rail dans la nuit « sans aide étrangère ».
Organisation du massacre
Ce n'est qu'une demi-heure plus tard qu'éclate une rafale de mitraillette en direction des habitations, suivie de coups de sifflets et d'ordres. Les SS se rassemblent près du passage à niveau, habillés en feldgrau ou avec l'uniforme noir des blindés avec des écussons à tête de mort.
L'Obersturmführer Hauck donne l'ordre de rassembler tous les hommes de 17 à 50 ans et de les conduire sur les lieux du sabotage. Il constitue quatre groupes sous les ordres d'un gradé responsable : l'adjudant Jura cherchera les terroristes, le sous-lieutenant Kudoke explorera la partie gauche du chemin de fer, le sous-lieutenant Hauer la droite, l'adjudant Wetzlmayer ira du passage à niveau au centre du village et le sergent Buss a pour ordre d'abattre tout civil qui s'approcherait du train.
Dans les principales rues — Marceau, Courbet, du Maréchal-Foch, Faidherbe, de la Gare, de l'Abbé-Lemire — presque toutes les habitations sont fouillées et les portes d'entrée forcées.
Le Kommando Kudoke qui commence à visiter les maisons n'emmène pas tous les hommes qu'il rencontre, et épargne notamment Arthur Rigaut et Albert Thélier, les habitants des deux premières maisons qu'il visite. À au moins deux reprises, il laisse à la place une note rédigée en allemand. Certains SS promettent aux familles que leurs hommes reviendront bientôt à la maison.
Le Kommando Hauer cherche lui aussi tous les individus masculins afin de faire d'eux des otages. Il parcourt les rues Marceau (rue principale, aujourd'hui rue Gaston-Baratte), du Quennelet, du Maréchal-Foch et Masséna. Comme Kudoke, il ne trouve que des portes fermées et doit les enfoncer. Mais contrairement à son collègue, il ne trouve que femmes, enfants et vieillards. Les hommes jeunes se sont presque tous enfuis. Il donne donc l'ordre de tirer sur tous les fuyards.
Le Kommando Wetzlmayer arrive lui près de l'église, et exécute plusieurs hommes autour et dans le presbytère.
Les nazis voyaient la Résistance (qui utilisait des tactiques de guérilla) comme du terrorisme, et les partisans comme des terroristes. La principale difficulté était d'éliminer un ennemi sans visage qui n'hésitait pas à attaquer n'importe quelle force d'occupation puis à disparaître dans la foule des civils. L'attaque sur du personnel non combattant revenait à déclarer une guerre totale dont les civils avaient à assumer les conséquences de leur soutien à la Résistance. Aussi les nazis pensaient-ils qu'il était justifié d'épargner la vie de leurs compatriotes en liquidant les « terroristes » et en anéantissant brutalement leurs « sympathisants » supposés. Le massacre d'Ascq faisait donc partie de cette politique globale de contre-terrorisme par la terreur, lancée pour briser l'aide à la Résistance et imposer la collaboration par la crainte.
Premières exécutions
Un premier groupe composé à la fois d'hommes et de femmes est rassemblé dans la cabine d'aiguillage du passage à niveau. Les otages sont emmenés en file indienne, les bras levés, à coups de crosse, le long de la voie. Les SS rient et sifflent pendant que leur officier roue de coups les otages, sans raison apparente. Monsieur Lautem, le garde-voie, est abattu de deux balles tirées à bout portant. Devant les filles et les épouses, les soldats abattent quelques hommes. Puis les femmes sont renvoyées. Les otages sont alors regroupés dans un wagon, et jetés un par un aux bourreaux. Il y aura quelques tentatives de résistance chez les civils, mais presque tous (une quinzaine) sont exécutés un par un. Il y aura quelques survivants, gravement blessés.
Après les premières exécutions, un groupe de SS se dirige alors vers la gare. Des employés allemands de la Reichsbahn s'éclipsent rapidement à leur vue. Le chef de gare Victor Carré et l'employé Élie Derache sont frappés à coups de poing, de pied et de chaise, puis les SS leur tirent dessus à la mitraillette avant de quitter le bâtiment.
Devant le train est situé un terrain, avec au bout la « maison Roseau », dernière maison de la rue Mangin appartenant à Marcel Roseau. Vers 0 h 15, quatre hommes sont dépêchés là-bas car les Allemands soupçonnent des fuyards de s'être enfuis dans cette direction. Ils s'y embusquent afin de tuer tous les rescapés qui tenteraient de fuir vers la rue Mangin. L'idée est pertinente, et de nombreux fuyards sont abattus. Le propriétaire de la maison aura néanmoins la vie sauve.
Suite des exécutions
Les officiers et sous-officiers SS décident ensuite de procéder à une exécution collective pour les prochains pelotons et font aligner les hommes sur le champ voisin de la « maison Roseau », face au train qui se trouve distant d'une cinquantaine de mètres. Les hommes sont peu à peu abattus par petits groupes.
L'adjudant Jura a essayé de chercher les responsables de l'attentat en réquisitionnant des bicyclettes, mais n'y est pas parvenu. Il décide alors de se rendre au domicile du maire Georges Delebart. Le maire est emmené à pied au lieu d'exécution, mais au moment de l'exécution retentissent des bruits de moteurs ainsi que des coups de sifflets. Le cauchemar est terminé.
M. Georges Delebart, maire du village d'Ascq en 1944, faisait partie du quatrième peloton qui échappa à la mort. Voici ses déclarations :
« […] Je quittai donc la maison… On me dirigea vers le passage à niveau de la rue Marceau, là une véritable effervescence de soldats régnait, il [un soldat] me conduisit à un officier qu'il appelait le commandant : ce dernier me fit savoir en allemand le pourquoi de tout ce qui était arrivé à Ascq ; ne connaissant pas leur langue, je n'y comprenais rien, et lui demandai si parmi ses soldats ne se trouvait pas un interprète. Un soldat s'avança et me traduisit les paroles prononcées par l'officier. J'étais loin de supposer qu'une véritable tragédie était en train de se dérouler. J'appris donc par l'interprète qu'un attentat venait d'être commis sur la voie et que leur train était déraillé et la machine kapout et qu'il rendait responsable la population et la commune pour cet acte de sabotage ; en conséquence, cinquante personnes avaient été fusillées, et le groupe, soit une trentaine de civils de mes administrés qui se trouvait sur le trottoir de droite, gardés par des soldats allemands, allaient être passés par les armes immédiatement ; c'est alors que j'élevais une violente protestation de leur façon d'agir envers une population qui ne pouvait rien dans ce qui était arrivé et que cette dernière était innocente. Tout ceci eut le don de l'exaspérer et c'est alors que l'interprète me déclara venant de son officier et en me frappant sur l'épaule : « Vous aussi, monsieur le maire, vous serez fusillé ». Et à ce moment-là, je reçus un formidable coup de pied dans les reins qui me lança dans le groupe de civils qui attendaient le départ pour l'exécution. »
« Le petit cortège se mit en route encadré de soldats qui ne ménageaient ni coups de crosse, ni coups de pied : à tout moment, nous heurtions des cadavres. Après avoir marché sur le bas-côté de la ligne du chemin de fer sur une longueur de deux cents mètres environ, l'ordre d'arrêt nous fut donné, les soldats nous placèrent face à leur train, bras levés. J'eus alors l'impression que le moment suprême était venu et qu'ils allaient nous fusiller dans le dos, nous restâmes dans cette position quatre à cinq minutes, c'est alors que des coups de sifflet retentirent… On nous intima l'ordre d'avoir à rentrer chez nous au plus vite ; ce fut alors une véritable course à travers champs pour regagner nos demeures. […] »
Certains membres du bataillon 908 ont tenté de contrarier les plans des Waffen SS. Ainsi, selon le rapport de l'Untersturmführer Kudoke, un adjudant de la Feldgendarmerie lui aurait dit « Vous n'êtes pas qualifiés pour cela [sortir des hommes des maisons], c'est le quatrième transport subissant un attentat, nous n'y pouvons rien ». Ce même adjudant enlèvera Maurice Vandenbussche aux nazis et l'abritera dans le cantonnement. André Sabin, 15 ans, sur la route vers le lieu de l'attentat, sera envoyé chercher un médecin par deux membres du bataillon 908 et échappera ainsi à la mort.
Arrêt du massacre
Dès 23 h 15, le 1er avril, la gare de Lille et la gendarmerie de Lannoy ont été averties du sabotage.
Le facteur enregistrant Élie Derache, indemne de blessures, téléphone à la permanence téléphonique de la gare de Lille à 23 h 30 pour l'informer de la fusillade et de ce que son collègue — le chef de gare, M. Carré — est blessé. Le téléphoniste de Lille alerte la Zugleitung — le service allemand — et M. Schmeider, chef du service, alerte « toutes les autorités pour faire cesser cette situation » et fait chercher un médecin allemand pour le chef de gare.
À 0 h 40, la Zugleitung informe la gare de Lille que « tout un personnel et des fonctionnaires sont partis à Ascq ».
Des gendarmes de la brigade de Lannoy, dépêchés sur place, n'arrivent à la gare d'Ascq qu'à 1 h. Le brigadier demande à la gare de Lille d'alerter la gendarmerie de Roubaix pour envoyer des renforts.
De leur côté, les Allemands du Kommando 908 de la Wehrmacht stationnés à Ascq, et qui ne peuvent intervenir, avertissent leurs supérieurs à Lille. Finalement, la Reichsbahn se rend compte de la situation, et la Feldgendarmerie est envoyée au village. C'est un détachement de cette Feldgendarmerie, commandé par le lieutenant Fricke, qui intime aux SS l'ordre d'arrêter leurs exactions. D'un air furieux, un officier crie aux victimes alignées, prêtes à mourir « partez tous chez vous et tout de suite ». Il est 1 h 15, le 2 avril 1944. En tout, 86 civils auront été massacrés. 45 hommes soit ayant réussi à s'échapper, soit libérés à la suite de cette intervention sont rescapés et pourront témoigner lors du procès.
À 2 h du matin, tandis que certains Waffen-SS sont occupés à détrousser les cadavres, la queue du train militaire (environ 40 wagons) retourne en gare de Baisieux avec Hauck à son bord, tandis que Jura reste à Ascq avec les wagons de tête.
À 3 h 5, la Zugleitung à Lille informe la gare de Lille que « le calme est rétabli à Ascq ».
Les morts
La relève des morts commence le matin du 2 avril 1944 : dix, rue Mangin ; un, rue Courbet ; un, place de la Gare ; deux, rue Marceau (actuellement rue Gaston-Baratte), devant le portail de l'église et trois au presbytère ; sept, carrière Dewailly et soixante-deux au Quennelet près de la voie ferrée.
Liste des massacrés, par ordre alphabétique. Le plus âgé était Pierre Briet, 75 ans, et le plus jeune Jean Roques, 15 ans. Ils laissent 75 veuves et 125 orphelins.
Le massacre compte aussi des rescapés et de nombreux blessés dont ceux par balle :
Malgré l'interdiction formelle des Allemands de prononcer un discours, le cardinal Liénart s'exprime devant la foule et les victimes. Lui qui collabora activement avec le régime de Vichy, soutenant publiquement la politique du maréchal Pétain et était resté silencieux lors des rafles de Juifs, avait commencé à nuancer ses position en 1943 à propos du STO. À la suite des événements de la nuit du 1er au 2 avril 1944, le cardinal Liénart écrit une lettre de protestation au général von Falkenhausen transmise par l'intermédiaire du général-lieutenant Bertram qui le convoque le soir-même à l'OFK. Les services secrets allemands, arrivés sur place l'autoriseront à célébrer, lui-même, les funérailles des victimes du massacre le 5 avril 1944.
25/12/2021
Lien : Wikipedia
Georges Louis Archange Delebart-Desmarescaux
(1934-1945)
Isidore Hofman
(1945-1947)
Henri Gilleron
Curé d'Ascq ( 1936-1944 ) Assassiné le 02/04/1944 lors du massacre d'Ascq par la 12e Panzerdivision SS Hitlerjugend Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
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Les persécutions des Juifs victimes de la Solution Finale à Berck sur Mer pendant la 2de Guerre mondiale , Mémoire ou thèse
60 pages,
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Les 75 Justes parmi les Nations du Nord
Georgette Delcroix (Lille)
Maria Lamotte Soumillon (Le Cateau-Cambrésis)
Marie-Louise Siauve (Lille)
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Alice Lamotte Terrier (Le Cateau-Cambrésis)
Robert Stahl (Lille)
(Marcq-en-Barœul)
(Bouvines)
Marie-Thérèse Flipo (Tourcoing)
Thérèse Matter (Lille)
Henri-Dominique Vandevoorde (Grenoble)
(Lille)
Familles réfugiées à Ascq
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Familles arrêtées (Ascq)
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Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes arrêtées ou exécutées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, les circonstances de l'arrestation et la date de l'arrestation, si possible.
01/06/1940 -
Le Général Allemand Alfred Waeger étonné et impressionné par le courage des défenseurs français durant la bataille de Lille (27 mai - 31 mai 1940) autorise ceux-ci à défiler en arme jusqu'à la captivité. Les troupes allemandes rendent les honneurs militaires aux troupes françaises le 1er juin 1940.
22/06/1940 -
Signature de l’armistice dans la forêt de Compiègne, à Rethondes.
26/05/1941 -
Grève des mineurs des bassins houillers dans le nord à l'usine d’Ostricourt et dans le Pas de Calais à la mines de Dourges, suite à l'arrestation d’un grand nombre d’ouvriers par les Autorités allemandes et la condamnation de onze d’entre eux et de deux femmes aux travaux forcés. Cette grève se terminera le 10 juin 1941. La répression allemande contre ces grèves est forte.
11/09/1942 -
Le vendredi 11 septembre 1942 a lieu dans la Région Nord-Pas-de-Calais la plus grande rafle depuis la mise en place de la solution finale. Elle restera comme l'opération la plus importante de toute l'occupation dans le Nord de la France. 528 personnes, hommes, femmes et enfants sont envoyés au camp Dossin de Malines dès le lendemain (soit le 12 septembre 1942). Les déportés seront finalement envoyés à Auschwitz (Pologne) pour y être gazés. Seul neuf d'entre eux auront la chance de survivre...
01/09/1944 -
Le 1er septembre 1944, les différents mouvements de résistance se mettent d'accord pour lancer le mot d'ordre de soulèvement général. Dans toute la ville, dès le vendredi soir, la Résistance s'attaque aux différents objectifs désignés et aux convois allemands qui repartent vers la Belgique.
Auteur :
Cyril Brossard
- terminal
Étude réalisée à la suite d'un voyage d'études à Auschwitz-Birkenau et suite à une demande d'élèves de Terminales ES du lycée Jan Lavezzari. Etude qui sert aussi à la préparation au CNRD 2014-2015 dont le thème est la découverte des camps de concentration, le retour des déportés et la découverte du système concentrationnaire nazi.
Histoire des Communautés Juives du Nord et de Picardie , Mémoire ou thèse
148 pages,
réalisation 2009
Auteurs :
Frédéric Viey, Franck d'Almeyda
- terminal
Cette Histoire des Juifs du Nord et de Picardie relate le quotidien des Juifs dans le Nord de la France à partir du Moyen-Âge jusqu'à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les Communautés Juives de ces régions ont payé un lourd tribu en perte humaine : la déportation et l'exécution après être passé par le Camp des Malines. Aujourd'hui dans toutes les Communautés un monument rappelle les sacrifices faits par le Peuple Juifs. Après la Seconde Guerre Mondiale, la population juive de France est exsangue. Les survivants vont essayer de faire revivre leur patrimoine religieux et culturel.
2 la Famille Angel (Histoire tragique d'une famille qui a tenté d'échapper à son destin en se sauvant de Lille, vers la Loire Atlantique )
3 François Molet (François Molet, né à Beaurevoir le 14 mars 1905 est fusillé le 7 avril 1942 au Mont-Valérien. )
4 "Lettre à Esther" et "Enfances volées" ("Lettre à Esther" : vidéo (20mn) réalisée dans le cadre d'un projet scolaire sur l'histoire de la famille Angel, réfugie à St-Michel-Chef-Chef, arrêtée en juillet 1942, déportée à Auschwitz
"Enfances volées" : vidéo (10mn) sur Rachel Angel et Victor Pérahia, arrêtés en juillet 1942 )
5 René Wallard (Page facebook du livre qui est en préparation sur son histoire.
Titre du livre "Dis leur de ne jamais pardonner". )
- 1 - « Ascq sous la Révolution », « 1802 », Part. 2, Chap. 6, page 99, Essai de l'histoire d'Ascq et de ses environs, Pierre Delebart, Imprimerie R. Boulonnais, Ascq, 1952.
*** Qui a connu Marie Françoise COLETTE, née le 9 Juin 1940 à Lille Déposée le 12/03/2019
Marie Françoise Colette est née le 09 juin 1940 à Lille,14 place Sébastopol assistée par la religieuse Marguerite Bonte, âgée de 63 ans. Puis, il semblerait que ce soit la société de patronage des enfants moralement abandonnés du département du Nord qui dans un premier temps ce soit occupé de Marie Francoise Colette, relayée par l'association d'adoption des tout petits ?. Les dates "charnières" de l'adoption ? ou placement en famille d'accueil ? de ce bébé sont octobre 1940 puis février 1941 date à laquelle Marie Françoise a été adoptée et emmenée à Paris. Nos questions : Que devenaient les jeunes enfants après leur naissance ? combien de temps restaient-ils à la maternité Sebastopol , étaient-ils ensuite placés dans des familles d'accueil, à plusieurs ? , un orphelinat ? Existe-t-il une liste des familles qui accueillaient ces enfants en 1940 ? avant d'être proposés à l'adoption ? Par avance un grand merci à celles ou ceux qui pourront nous donner des indications sur le "parcours" de ces enfants et peut-être sur ce bébé. Marie-Aurore G
[répondre]
Répondue le 06/06/2023
Bonjour,ma mère MARIE FRAN9OISE CHANTAL est déclarée en mairie par la même religieuse Marguerite Bonte . sa date de naissance est le 18 mars 1942. Deux copies de certificat de baptême avec des informations différentes. Baptême qui s’est déroulé à la maternité sainte famille. Elle a été placée à la société de patronage des enfants moralement abandonnés le 7 juillet et adoptée à la Bassée par la famille Deleplancque lorsqu’elle avait 18 mois. Mes grands parents adoptifs ont également adopté un garçon 3 mois plus tard. Je suis surprise qu’en pleine guerre , avec des rationnements alimentaires, ont ait confié deux enfants à un couple qui avait 42 ans chacun. Aucune mention de pupille de la nation, ni naissance sous X. Aucun dossier aux archives de la société de patronage . La présence de ma mère correspond a celle durant laquelle l’abbé Stahl a caché les enfants juifs sauvés de la rafle de Lille Fives.
Répondue le 18/07/2023
Je recherche également toute personne pouvant m’aider
Avez-vous obtenu des réponses ?
Répondue le 30/07/2023
La religieuse marguerite bonte était originaire de Marcq-en-baroeul où se situé la maison du buisson fondée par la société de patronage de la région Nord qui œuvrait pour le placement en orphelinat et en famille d’accueil des enfants orphelins ou nés sous X pendant la 2nd guerre mondiale et elle était tenue par des religieuses dont soeur marguerite bonte faisait partie.Officiellement ils ne prenaient pas d’enfants avant 14 ans mais officieusement ils devaient en accueillir puis vite les placer en famille d’accueil ou les faire adopter. Les identités des enfants étaient modifiées surtout s’ils étaient juifs ;donc votre mère était elle vraiment née à Lille?
*** Recherche mon grand père biologique Déposée le 11/05/2023
Bonjour ,
Je recherche l’identité du père de mon père né le 23 janvier 1946.
Mon père s’appelle Alfred Lecointe et ma grand-mère s’appelait Germaine Rousseaux Lecointe née le 06/03/1925.
Mon grand-père biologique et ma grand-mère se sont vraisemblablement connus à Armentières en 1945.
Mon grand-père biologique devait être de religion juive et était probablement jumeau ou fils de jumeau ( j’ai des jumeaux ) .
J’espère vraiment trouver des réponses…Merci
[répondre]
*** Recherche famille Carette ou Carelte Déposée le 26/11/2020
Mon père Ephrem Chicoine, soldat de l'armée canadienne, a correspondu avec la famille Carette ou Carelte, de Lille. J'ignore les prénoms du père et de la mère, mais ils avaient un fils du nom de Paul, et au moins deux filles nommées Jeanne (21 ans en 1945) et Renée (environ 12 ans en 1945). Je cherche à contacter des descendants de cette famille dans l'espoir de trouver des photos ou des lettres de mon père. Merci!
[répondre]
Répondue le 18/12/2021
Bonjour je suis chercheur et historien lillois. Je travaille sur la Seconde Guerre mondiale. Je veux bien vous aider à retrouver la trace des descendants des Carette. Je vous laisse mon mail si vous voulez correspondre : gregory.celerse@gmail.com
Cordialement,
Grégory
*** recherche Hélène née le 05 décembre 1944 Déposée le 02/02/2020
Ma demi-soeur est née le 05 décembre 1944.Elle a été recueillie à la société de patronage des enfants moralement abandonnées de Lille le 30 décembre 1944. elle fut confié à l'association des tout petits. son nom de naissance est sarpeaux et le prénom est Hélène. elle a été adopter . le parcours de ses enfants? la plupart été envoyer sur paris?
[répondre]
Répondue le 27/04/2020
Bonjour,
Répondue le 06/05/2020
Je confirme que les dossiers ont été remis à l'OEUVRE DE L'ADOPTION DES TOUT-PETITS appelée, ensuite : OEUVRE DE L'ADOPTION. Il y en à LILLE et à PARIS. Comme vous semblez connaître sa date de naissance et son nom ainsi que son prénom, vous pouvez demander son acte de naissance avec mentions marginales à la Mairie de plusieurs communes du département 59. Cela peut être LILLE, mais aussi de ROUBAIX. Mon mari vient de là. Les parcours peuvent être très différents surtout lorsque les enfants sont confiés à des Oeuvres privées. A votre disposition et cordialement. Bernadette
Bonjour Bernadette,Merci pour votre message que je n'ai découvert qu'hier le 5 mai 2020.Nous sommes déjà allés à la mairie de Lille où figure son acte de naissance à son nom d'adoption et les mentions marginales de sa famille adoptive (les grands parents que j'ai connu), mais ce sont des noms donnés par les oeuvres d'adoption et bien souvent inventés pour que l'on ne retrouve pas les origines de ces enfants. A moins que vous n'ayez des informations sur les us et pratiques de l'époque. peut être votre époux a t il glané des informations que nous pourrions partager ? comment ces noms et prénoms sont-ils choisis ? souvent au nombre de 3. nous avons une incertitude quand à la date exacte de sa naissance. pourtant la mairie indique des données qui sont aujourd'hui les siennes. pouvons-nous faire confiance ? y a t il eu des modifications sur ces dates réelles de naissance. tout est imaginable car c'était la guerre aussi ne pas hésiter à élargir les périodes de recherche. c'est ce que nous tentons de faire. je reste à votre disposition et en contact pour d'autres échanges mails. je vais surveiller davantage le site de l'AjpN. bien à vous, marie Aurore G
Répondue le 06/05/2020
Bonjour, je réponds à l'annonce de la recherche d'Helene née le 5 décembre 1944. Je n'ai pas d'infos à son sujet mais, Concernant l'envoi des enfants à Paris, en ce qui concerne ma mère, il semblerait que ses parents adoptifs aient rencontré Madame Leleu à l'époque à Estaires-La Gorgue en charge de l'oeuvre de l'Adoption et cela bien avant la naissance de ma mère. en effet, Mon grand père était à l'époque en garnison dans la région pas loin d Estaires La Gorgue et souhaitant adopter il aurait entendu parler de cette oeuvre et de Madame Leleu qu'ils auraient rencontrée. Auraient-ils "reservés" à l'avance un enfant ? cela parait être le cas. Ma mère aurait alors été emmenée à Paris, mais seulement 6 mois après sa naissance..... en février 41. Pourquoi ? ce sont des questions qui ne trouvent pas de réponses...si ce n'est que la guerre sévissait.. mais alors où était-elle tout ce temps ? il existe un livre qui nous a fait découvrir pas mal d'infos , celui de Patricia Fagué qui a écrit "Née sous X" que je vous recommande, la journaliste y parle de la Fondation d'Heucqueville. Un reportage a été aussi tourné. Voici ce que je peux partager avec vous. bien cordialement. MAG
*** Bombardement briqueterie Coudekerque/Cappelle-la-Grande Déposée le 02/04/2014
Bonjour, je recherche des informations sur le bombardement de la briqueterie de Coudekerque-Branche. Plusieurs familles s'étaient réfugiées à l'intérieur pour échapper au bombardement sur Dunkerque, et malheureusement la briqueterie a été bombardée ce soir là. La tante de mon grand-père ainsi que ses enfants faisaient partis des victimes.
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Répondue le 03/04/2014
lis appelle
Répondue le 01/05/2018
mon arrière grand père son épouse certaines de ses filles et ses petits enfants soit 13 personnes ont été tués dans ce bombardement famille LEYNAERT VANCEUNEBROECK ROMMELAERE tués le 25 mai 1940 enterrés au cimetière de cappelle-la-grande
*** Jean-Marie Cotteau, recherche d'origine Déposée le 02/08/2017
Mon père est né sous le nom de Jean - Marie Cotteau le 24 novembre 1931, place sébastopole, à Lille d’une mère inconnue. Il été à l'orphelinat directement après sa naissance (Societé de Patronage des enfants moralement abandonnés de la région du nord).
Quelques années plus tard il a été adopté par le couple Ollier-Liabeuf.
J'ai les papiers d'adoptioi
Malheureusement, je n'ai que le nom de famille de sa mère (Cottteau). Il me manque au moins un prénom pour retrouver sa (ma) famille d’origine.
Mon père est décédé en 1979 à Cologne, en Allemagne.
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Répondue le 08/08/2017
Bonjour,
Répondue le 08/08/2017
Si on considère que la date de mariage de la tante "du bébé que vous adoptez" est un point de départ, peut-être pourriez-vous rechercher à la mairie les mariage qui ont eu lieu à cette date. Voir si une femme du nom de votre grand-mère s'est bien mariée ce jour là. Il y aura des indications sur elle très certainement et ses parents. Si vous découvrez le lieu de naissance de cette personne, vous pourriez demander à la mairie du lieu de naissance, une fiche individuelle d'état-civil avec indications des mentions marginales. Ensuite rechercher les mêmes informations sur les parents de cette "tante" et partant remonter sur les enfants que ce couple a eu. Bien cordialement.
A toutes fins utiles, on peut consulter le site geopatronyme.
JD
*** décédée le 20 mai 1940 à Saultain Déposée le 05/04/2017
Mon arrière grand-mère Marie-Thérèse Renotte est décédée le 20 mai 1940 à Saultain dans des circonstances inconnues par les membres de ma famille; une des versions serait qu'elle aurait été touchée par un bombardement. Au départ, plusieurs membres de ma famille ont quitté leur village d'Estinnes en Belgique vers le nord de la France mais sur place, c'était le chaos ; ils ont décidé de faire demi-tour et retourner chez eux mais ils n'ont plus retrouvé mon arrière grand-mère;par la suite, ils ont appris son décès. si quelqu'un a des informations sur ce qui s'est passé et plus précisément pour elle ça m'intéresse. Merci
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*** RECHERCHE ORIGINES Déposée le 06/01/2012
Bonjour,
Ma mère est née le 21 juin 1941, à Lille. Elle a été recueillie par la Société de Patronage de la Région du Nord (16 rue du Marais à Lille ou 21 rue de Courtrai à Lille). Elle m'a demandé de faire quelques recherches sur ses origines. Si quelqu'un avait quelques éléments complémentaires sur ses origines, merci de m'en informer.
Son nom de naissance : THOS - Son nom adoptif : DEBUF. Ses prénoms : Chantal Yolaine
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Répondue le 08/01/2012
j'ai consulte un site genealogique Geneanet et j'ai trouve un genealogiste Yves Thos qui a construit un arbre genealogique....contactez le
Répondue le 25/04/2015
yvesthos@laposte.net
bonjour
Répondue le 18/08/2016
connaissez-vous le CNAOP centre national d'accès à ses origines
à Paris 14 avenue Duquesne 75350 Paris 07 SP
0140567217
peut-être peuvent-ils vous aider dans votre recherche
bonne continuation
Francoise R.
Bonjour Françoise,
Répondue le 18/08/2016
Je découvre seulement aujourd'hui ce site et, donc, votre annonce qui date de 2012 et peut-être avez-vous pu avancer dans vos recherches ?
Mon mari vient de cette "Société de Patronage de la Région du Nord". Je peux vous aider mais je pense que j'arrive trop tard et tant mieux pour vous.
Une petite précision mais vous l'avez appris certainement : c'est l'OEUVRE DE L'ADOPTION DE LILLE qui a repris cette Société d'adoption de 1941.
A bientôt et bien sincèrement,
Bernadette
Excusez-moi ! je me suis trompée de prénom en vous répondant ....
*** DEPORTES DE DENAIN VERS AUSCHWITZ Déposée le 27/01/2015
Bonjour,
Mon arriére Grand pére, maintenant décédé, a été interné à Auschwitz, pendant au moins 2 ans.Il n'a jamais voulu raconter son histoire , ni laisser plus qu'entrevoir son matricule d'Auschwitz.
Il était de Denain, dans le Nord...peut être a t il fait parti de la grande rafle qui a eu lieu à Denain le vendredi 11 septembre 1942.
je sais qu'il s'est évadé en s'attachant sous un train avec 2 autres hommes, dont un est mort.A son retour, il s'est exilé avec femme JULIENNE et enfants dans un petit village du Cambresis: Le Bois de l'abbaye..;il a toujours refusé les invitations des anciens combattants ou autre association...
il s'appelait PHILIPPE DE CEAURIZ....J'apprécierais toute aide et toute information...Merci
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