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Région :
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Préfets :
Jean Surchamp
(06/06/1939 - 08/08/1940) Préfet de l'Isère
Raoul Didkowski
(08/08/1940 - 05/08/1943) Secrétaire général : Marcel DelpeyrouDirecteur de cabinet : Louis Amade Alexandre Angeli
(1940 - 1944) Alexandre Benoît Joseph Angeli, Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1893-1962)
Paul Balley
(05/08/1943 - 06/11/1943)
Louis Jacques-Henry
(06/11/1943 - 24/01/1944)
Roger Homo
(24/01/1944 - 23/06/1944) Préfet de l'Isère
(24/01/1944 - 05/1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire). Résistant, dénoncé par la Milice, il est arrêté par la Gestapo et déporté à Neuengamme (1899-1945). André Boutemy
(1944 - 1944) Préfet régional de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1905-1959)
Philippe Frantz
(23/06/1944 - 01/08/1944) Préfet de l’Isère, favorable aux idées nationale-socialistes, il est abattu par la Résistance le 1er août 1944 (1911-1944)
Albert Reynier
(22/08/1944 - 02/02/1949) Préfet de l'Isère
Yves Farge
(1944 - 1945) Commissaire régional de la République de la région de Lyon (Ardèche, Drôme, Haute-Savoie, Isère, Loire, Rhône, Savoie et les parties non-occupées de l'Ain, du Jura et de Saône-et-Loire) (1899-1953)
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Belle Maison de Coublevie avec en arrière plan Tolvon source photo : Eric_L crédit photo : D.R. | |
Côte des frères, à Coublevie source photo : Eric_L crédit photo : D.R. |
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La commune des Coublevitains
Coublevie est une petite ville de l'Isère arrosée par la Morgue, à 25 km de Grenoble.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 1 602 habitants et 1 728 en 1946.
30/01/2015
Coublevie dans la guerre
Le 3 septembre 1939, l’Angleterre et la France déclarent la guerre à l’Allemagne. C’est la mobilisation générale depuis le mois d'aôut.
Il y a peu de combats. C'est la "drôle de guerre" qui va durer jusqu'en mai 1940.
Les hommes sont mobilisés et les travaux des champs sont effectués par les femmes, les enfants et ceux qui étaient trop âgés pour être mobilisés. Dans les écoles, se sont les professeurs à la retraite qui remplacement les enseignants mobilisés.
Le 10 mai 1940 les Allemands pénètrent en France par les Ardennes considérées comme infranchissables.
Le 11 juin 1940, l’Italie déclare la guerre à la France et à l’Angleterre. Les troupes de Mussolini essaient de franchir la frontière par les cols des Alpes gardés par l’armée française.
Après la capitulation de la France le 17 juin, Coublevie est placée sous l'autorité de Vichy, en zone dite "libre" le 22 juin 1940.
Les Allemands partis de Lyon le 20 juin arrivent à Moirans dans la nuit du samedi 23 juin. L’armée française basée à Voreppe tire sur l’armée allemande qui se replie sur les coteaux de Voiron (Criel, Paviot, la Croix Morin) et de Coublevie (Monteuil, Voissant, Les Verchères).
Les trois-quarts de la France sont occupés par les Allemands. Une ligne de démarcation part de Genève, passe par Dôle, Tours, Mont de Marsan et s’arrête à la frontière espagnole. Les 1 500 000 prisonniers français ne sont pas libérés. L’armée est réduite à 100 000 hommes.
Le 4 juillet 1940 ils quittent la région pour remonter vers le nord.
Selon les accords signés par Pétain, le service militaire est supprimé le 30 juillet 1940 et remplacé par les "chantiers de jeunesse" et les "chantiers jeunesse et montagne" : un service civique obligatoire commandé par les gradés de l’état major des armées françaises pour les jeunes gens âgés de 20 ans.
A Coublevie, des baraquements sont construits dans un terrain agricole situé au Bérard pour regrouper les jeunes de toute la région. Les jeunes effectuent des travaux agricoles, de réfection des routes ou font du charbon de bois pour servir de combustible en remplacement de l’essence qui manquait, ou construire des chalets.
A partir de 1940, des familles juives et des familles du Nord quii avaient déjà été accueillies lors de l'exode en 1914, se réfugient à Coublevie.
La résistance s'organise dès 1941 et se structure en 1943 pour échapper au STO (Service du travail obligatoire) décrété par Vichy le 17 février 1943, en remplacement des chantiers de jeunesse. Beaucoup d'hommes se cachent dans les fermes alentours, mais ne sont pas à l'abri des dénonciations et de la milice, créée le 30 janvier 1943.
Les difficultés d'approvisionnement sont générales. Dès la fin des années 1942 les exigences des Allemands deviennent exorbitantes. Les cartes d'alimentation et de rationnement, distribuées par la mairie à chaque membre de la famille, concernent tous les domaines de la vie courante (la nourriture, le charbon, l’essence, les vêtements, les tissus, les articles de ménage en fer et le tabac). Le marché noir s'organise... mais aussi le vol et le troc... et le système D...
Avec l’aide de la Gestapo et de la police française, les miliciens participent à la traque des juifs, des résistants, des réfractaires au STO et de tous les suspects au régime. Les rafles sont fréquentes.
Ernest Brochier, maire de Coublevie depuis mars 1942, est arrêté par la milice le 3 décembre 1943 alors qu’il était chez le coiffeur du Bérard. Il sera déporté à Buchenwald et décède d’épuisement en Bavière, le 2 avril 1945.
Début août 1944, des enfants de Toulon et sa région arrivent à Coublevie pour être mis en sécurité avant le débarquement. Ils sont placés dans des familles, surtout chez des agriculteurs. Ils vont à l’école du village et resteront, pour la plupart, jusqu’à la fin de la guerre.
Le 15 août 1944, les Américains et les troupes françaises venus d’Afrique du Nord et de Corse débarquent en Provence. Le 22 août, les Allemands quittent Grenoble.
Les Américains arrivent à Coublevie le 23 août. Ils établissent leurs campement dans le parc du château De Villaine, à Monteuil, à Voissant et le long du Gorgeat. Ils sont accueillis avec un immense soulagement. Ils resteront 8 jours avant de repartir vers l'Alsace.
L’armistice est signé le 8 mai 1945. A Coublevie et à Voiron, c’est une fête inoubliable. Toutes les cloches carillonnent, on sort les drapeaux et on s’embrasse. Les accordéonistes sortent leurs instruments et on danse toute la nuit. C’est une joie profonde mais beaucoup attendaient le retour des prisonniers et des déportés.
De juin à août 1945, une kermesse est organisée pour le retour des prisonniers.
En mai 45 la Croix Rouge proposa à des familles alsaciennes d’envoyer leurs enfants plus au sud, pendant la reconstruction de leur village. Une dizaine d’enfants de Wittelsheim (Haut-Rhin) furent envoyés dans des fermes à Coublevie. Ces petits réfugiés repartirent chez eux en août 46.
Pour en savoir plus : voir les bulletins de Histoire et Patrimoine de Coublevie et de très nombreux témoignages et photographies
30/01/2015
Auteur : Hellen Kaufmann
Le petit collège Saint Dominique
En 1939, le petit séminaire de Grenoble installé au Rondeau Monfleury à La Tronche est réquisitionné par l’armée et devient hôpital de guerre. Un professeur du Rondeau demande alors aux Dominicains de Coublevie de recevoir leurs élèves de 6ème, 5ème et 4ème.
Le collège Saint Dominique est fondé en septembre 1939 par les pères Chevignard et Duriaux dans les bâtiments du couvent de Coublevie. Les élèves sont internes ou demi-pensionnaires, issus du Voironnais et de toute la région.
Le Rondeau reprend ses activités scolaires en 1940, après l’armistice. Aux classes de 6ème et 5ème s’ajoutent alors celles de 3ème, de 8ème et 7ème et reçoit 80 à 90 élèves.
En 1942-43 et jusqu’à la libération, les pères Dominicains cachaient des résistants, des juifs, des anglais.
Le collège fermera ses portes en 1956.
Pour en savoir plus : voir le bulletin Les dominicains (3ème partie): « le petit collège », les témoignages de Histoire et Patrimoine de Coublevie et de très nombreux témoignages et photographies.
30/01/2015
Auteur : Hellen Kaufmann
Berton Noël Perrot
(1935-1942) Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
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Ernest Brochier
(1942-1945) Ernest Brochier est arrêté à Coublevie par la milice le 3 décembre 1943. Déporté à Buchenwald, il décède d’épuisement en Bavière, le 2 avril 1945.
Joseph Breiller
(1945-1953)
Les 141 Justes parmi les Nations de l'Isère
Catterina Ageron (Saint-André-en-Royans)
Xavier de Virieu (Virieu)
Angèle Lorfeuvre (Éclose-Badinières)
Marius Ageron (Saint-André-en-Royans)
Louise Doll (Grenoble)
(Vesoul)
Gaston Luyat (Le Sappey-en-Chartreuse)
Georges Amblard (La Tour-du-Pin)
(Saint-Fons)
Paul-Julien Doll (Grenoble)
(Vesoul)
Isaure Luzet (Grenoble)
Huguette Audi (Veyrins)
Gabriel Ferrand (Eydoche)
Marie-Louise Martin (Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs)
Roger Audi (Veyrins)
Suzanne Ferrand (Villeurbanne)
(Vertrieu)
Marie Martin Pontonnier (Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs)
Madeleine Bady (Romans-sur-Isère)
(Grenoble)
Pierre Ferrand (Villeurbanne)
(Vadans)
Joseph Menthonnex (Autrans)
Marguerite Berger (Tullins)
Marie-Thérèse Formant (Saint-Martin-d'Uriage)
Denise Paulin Aguadich (Grenoble)
(Paris)
Joséphine Bersano (Saint-Martin-d'Uriage)
Henri Gallien (Saint-Clair-de-la-Tour)
Geneviève Pittet Priacel (Grenoble)
(Le Chambon-sur-Lignon)
Suzanne Bersano (Saint-Martin-d'Uriage)
Joseph Galloy (Le Grand-Lemps)
Martial-Henri Pivon (Les Abrets)
Joséphine Boucher (Saint-Romans)
Marguerite Gavand (Les Avenières)
Alice Plan (Saint-Nizier-du-Moucherotte)
(Lans-en-Vercors)
Joséphine Boullu (Champier)
Francisque Gavand (Les Avenières)
Maurice Plan (Saint-Nizier-du-Moucherotte)
(Lans-en-Vercors)
Paulette Chaussay Collavet (Saint-Blaise-du-Buis)
Auguste Idelon (Presles)
Alfred Thimmesch (Voiron)
(Strasbourg)
Marie-Louise Coiraton (Gières)
Henri Julien (Marseille)
(Rovon)
(Maussane-les-Alpilles)
Joseph Tholozan (Saint-Jean-de-Moirans)
Prosper Coiraton (Gières)
Henriette Julien (Marseille)
(Rovon)
(Maussane-les-Alpilles)
Marie-Louise Tholozan (Saint-Jean-de-Moirans)
Marie-Louise Couttet (Craponne)
(Saint-Quentin-Fallavier)
Louis Le Cazoulat (Corenc)
Clément Trillat (Passins)
Jeanne Couturier (Le Sappey-en-Chartreuse)
Suzanne Le Cazoulat (Corenc)
Henri-Dominique Vandevoorde (Grenoble)
(Lille)
Marie-Françoise de Virieu (Virieu)
Albert Longchamp (Saint-Martin-d'Uriage)
Magda Zech (Grenoble)
(Strasbourg)
Familles réfugiées à Coublevie
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
Familles arrêtées (Coublevie)
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes arrêtées ou exécutées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, les circonstances de l'arrestation et la date de l'arrestation, si possible.
30/11/1940 -
En Isère, 30 militants communistes sont arrêtés et internés au Fort Barraux.
25/08/1942 -
Rafle des Juifs étrangers effectuée par la police et la gendarmerie française dans la nuit du 25 au 26 août.
26/08/1942 -
Rafle de Juifs étrangers en Isère. Toutes les forces de police et de gendarmerie sont mobilisées. Au matin, des dizaines de Juifs sont arrêtés à Grenoble, à Pont-en-Royans, Valbonnais, Voiron ou encore Pont-de-Chéruy, Décines et Vienne. Après “criblage”, plus d’une centaine d’entre eux est envoyée à la caserne de Vénissieux, où sont regroupés les Juifs de la région. Ceux-ci sont ensuite envoyés à Drancy. Le 2 septembre 1942, la quasi-totalité de ces personnes part à destination d’Auschwitz. Seules 6 rentreront de déportation.
11/11/1942 -
Les Allemands et les Italiens se partagent la zone dite "libre".
12/11/1942 -
Arrivée des premiers détachements italiens à Grenoble et des Allemands dans le nord du département.
04/03/1943 -
Le général italien De Castiglioni, commandant en chef des troupes d'occupation italiennes s'oppose à la déportation de Juifs par le préfet de l'Isère.
29/06/1943 -
Rafle de la Gestapo à la Maison des Roches au Chambon-sur-Lignon. Dix-huit pensionnaires et le directeur, Daniel Trocmé*, sont arrêtés. Ils seront déportés : cinq jeunes juifs mourront à Auschwitz et Daniel Trocmé à Maïdanek.
09/09/1943 -
Début de l'occupation allemande dans l'Isère.
01/1944 -
Janvier-mars 1944 : Section anti-juive de la police allemande dans l'Isère.
23/04/1944 -
Du 23 au 25 avril, la Milice attaque les positions de la résistance française dans le Vercors.
21/07/1944 -
Du 21 au 23 juillet, les Allemands prennent d'assaut le maquis du Vercors.
08/05/1945 -
L'Allemagne capitule.
2 Les réfugiés espagnols dans le département de l’Isère 1936-1939 (Mémoire de Master 1 « Sciences humaines et sociales »
Année universitaire 2007-2008
Mention : Histoire - Histoire de l’art Spécialité : Relations et échanges culturels internationaux
sous la direction de Mme Marie-Anne MATARD-BONUCCI )
3 Blog sur quelques Justes et sur le livre (Blog hébergé par la Tribune de Genève sur quelques justes honorés par Yad Vashem sur l'intervention du délégué pour la Suisse et la région frontalière Ain et Haute-Savoie, Herbert Herz, ainsi que sur divers événements organisés autour de la parution du livre "Mon combat dans la Résistance FTP-MOI" )
4 Le site du poète Pierre Emmanuel (Le site officiel du poète Pierre Emmanuel. Vous y trouverez aussi des pages sur sa vie et son action à Dieulefit durant la guerre, à Beauvallon, puis à la Roseraie. )
5 Guy Sanglerat, ancien membre du Coq Enchaîné (Le Coq Enchaîné était un réseau de résistance de la région qui pendant l'occupation allemande rassemblait des syndicalistes, des socialistes et des radicaux de la mouvance d’Édouard Herriot. Membre du réseau, Guy Sanglerat publie ses souvenirs.. )
6 Le Coq enchaîné (Le Coq enchaîné : un journal clandestin sous l'occupation allemande. Le premier numéro fait son apparition en mars 1942. Les membres du Coq Enchaîné mèneront aussi des actions de résistance. Il a compté jusqu'à 400 membres. Le réseau sera décimé en 1943. Guy Sanglerat raconte ... )
7 Les archives du conseil général de Savoie (La liste des 168 "travailleurs israëlites" en partance de Ruffieux, établie le 24 Août 1942. )
8 Là où coule le Gier (La guerre, énorme chaos bouleversant les vies. Tel est le décor dans lequel évoluent René et Aima. De leur jeunesse à leurs combats, l'auteur nous invite à les suivre dans cette aventure où chacun fera preuve d'un courage incroyable. Ce roman, basé sur des faits réels, nous emmène de la Vallée du Gier dans la Loire à Clermont-Ferrand et nous fait traverser certains camps de concentration en Allemagne en suivant le parcours de deux jeunes gens que la vie a forgé pour combattre aussi bien dans l'univers ouvrier des années 30 que pendant la seconde guerre mondiale avec leur implication dans la résistance. Cette plongée dans le passé a nécessité de nombreuses recherches suivies d'une longue enquête menée sur la vie de ces deux personnages. )
9 Marianne Cohn (Page dédiée à Marianne Cohn et à ses compagnons de résistance. Un mois avant d"être arrêtée, elle a sauvé ma tante Eva et mon père Maurice Finkelstein )
10 L'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 (Page consacrée à l'ouvrage "L'attentat de la Poterne, un drame au cœur de Clermont" (2015).
Cette étude sur l'attentat de la Poterne du 8 mars 1944 recoupe des documents d'archive à des témoignages oraux et écrits. Elle reprend de manière chronologique les évènements, de l'attentat de résistants sur un détachement allemands à l'immensité des représailles qui ont suivi : incendie d'immeubles, nombreuses arrestations, déportations et condamnations à mort.
)
11 "Objectif Lyon !"
12 Laurent Neury, l'espoir au bout du pont. Histoire et mémoire de la filière de Douvaine, Cabedita, 2019
13 L'abbé André Payot, résistant et chef de réseau (Biographie détaillée d'André Payot et de ses activités de résistant durant la seconde guerre mondiale à Chamonix et Vallorcine (Haute-Savoie). Livre écrit par Jean-Luc de Uffredi, publié en 2019 aux éditions les Passionnés de bouquins. )
*** recherche d'information et de documents Déposée le 14/02/2019
Je recherche des documents et des informations sur des Résistants en Isère pour continuer le devoir de mémoire.me contacter: frederique.roustant30@hotmail.com
[répondre]
*** CHAPAREILLAN juifs cachés Déposée le 06/10/2018
Nous cherchons des informations sur des personnes qui auraient connu (ou caché) Hersz (Herschel) Korngold, arrêté à Chapareillan en mai 1944 par les Allemands, envoyé à Lyon, puis Drancy, puis déporté à Auschwitz par le convoi 77 du 31 juillet 1944 (né en Pologne en 1894)
Et pour toute information sur un éventuel réseau d'assistance à des Juifs persécutés.
Contact: www.convoi77.org
[répondre]
*** Région de Theys Déposée le 29/04/2013
Bonjour, je recherche des informations sur l'histoire du groupe de résistants auquel appartenait Jacques Aaronson. Je suis le neveu de Micheline Meyer son épouse arrêtée à Grenoble et déportée fin 1943.
Laurent M.
[répondre]
Répondue le 27/02/2018
Bonjour
Répondue le 29/05/2018
je viens de prendre cnnaissance de votre message j'ai un magazine dédié aux resistantsSeconde guerre Résistance Française les hommes de l'ombrehttp://quilesmarie.e-monsite.com/
je suhaiterai vous aider et publier sur mon site l'histoire de Jacques Aarnson
me contacter par mon adresse mail sur mon site
Merci
Bonjour, je réagis avec sûrement beaucoup de retard à votre proposition mais je viens de relancer mes recherches en accompagnant celles d'une amie dont le père, radio dans la résistance a été arrêté et interné au fort de l'Esseillon au dessus de Modane, évadé en septembre 1943, puis déporté à Mauthausen et décédé.
Ma tante Micheline, femme de Jacques Aaronson, est-elle décédée à Auschwitz après avoir été arrêtée à Grenoble en mars 1943.
Merci de votre aide.
laurent.meyer1@gmail.com
*** RECHERCHE INFO SUR PIERRE DEBRU Déposée le 30/08/2012
Bonjour, J'ai découvert à la lecture du livre Chroniques des maquis de l'Isère 1943-1944 que mon grand-père faisait partie de l'Armée secrète d'Allevard. Je suis donc à la recherche de tout document sur Pierre Debru, pharmacien de son état à Allevard durant cette période. Il était souvent sollicité pour trouver notamment des cachettes à ceux qui montaient dans le maquis pour éviter le STO. En ce sens il faisait régulièrement des navettes vers Sillan, Izeaux, vers aussi la Scierie Millat. Espérant que cette annonce m'apporte plus d'informations. Je remercie par avance tout ceux qui pourront contribuer à ma recherche.
Laurent
[répondre]
Répondue le 17/09/2012
Bonjour, Avez-vous effectué des démarches auprès du Musée de la Résistance et de la Déportation de Grenoble qui pourrait au minimum vous indiquer les organismes auxquels vous pouvez vous adresser si eux-mêmes ne peuvent vous fournir les informations que vous recherchez ? Idem à propos des archives départementales de l'Isère. Bonne recherche.
Répondue le 01/10/2012
Cordialement, Jean-François.
Bonsoir. Effectivement je leur ai écrit. Ils m'ont donné une info que je possédais déjà mais je dois prendre rendez vous avec eux. Bonne continuation et merci pour l'info.
Répondue le 01/10/2014
Laurent
Bonjour, jeune historien isérois je dispose du témoignage (7 pages) de Pierre Debru recueilli dans les années 70.
Répondue le 22/06/2015
Cordialement,
Julien Guillon
Lans-en-Vercors
Bonsoir,
Répondue le 27/02/2018
Je serai vraiment très heureux de pouvoir lire ce témoignage car mon père m'a assez peu parlé du passé de résistant de mon grand_père car celui ci avec ses enfants était peut etre un brin pudique et considérait ne pas avoir fait de choses extraordinaires.
Au plaisir de vous lire
Laurent Debru
0689352579
Bonjour
je viens de prendre connaissance de votre message,je suis très intéressée par l'histoire de la Résistance j'ai créé un site les concernant Seconde guerre Résistance Française http://quilesmarie.e-monsite.com/
Je souhaiterai publier votre histoire
me contacter sur mon adrese mail sur mon site
merci
*** 11 otages de Vif, fusillés au Col du Fau le 20 juillet 1944 Déposée le 24/11/2017
Je recherche des informations sur ce massacre du 11 juillet 1944 à Vif (cf plaque place des 11 otages (https://www.geneanet.org/gallery/?action=detail&id=357887&individu_filter=GILLIER&rubrique=monuments)
Les 11 otages sont : Marcel ABONNEL, Alphonse ARNAUDON, Jean BRACHET, Lucien PAUCHER, Jean DURBET, Georges BAUDOIN, René GRILL, Jacques ALESSI, Frédéric BANCEL, Georges GILIER (ou GILLIER?), Phlippe KRISTENKO.
J'ai trouvé plusieurs versions de cette fusillade (repression soulèvement maquis vercors, représailles attentat motocycliste allemand, rencontre avec maquisard.. ??).
Je recherche de qu'il s'est passé et des infos sur les otages.
Merci
:)
Cécile (L'un d'eux est un de mes ancêtres)
[répondre]
*** Avis de recherche Déposée le 10/06/2014
Je recherche des témoignages concernant Paul et Mélanie Dard. Ce couple a caché des familles juives au printemps 1944 au bord du lac de Charavines où ils avaient une maison. Paul Dard est né en 1888 à Nandax (Loire); il a épousé Mélanie David. Ils habitaient à Grenoble (rue de la Poste puis avenue Jean Perrot). Paul est décédé en janvier 1954 et Mélanie en février 1971.
Merci de me contacter si vous avez des renseignements sur les familles sauvées : des témoignages ont peut-être traversé le temps ?
Paul était l'oncle de mon grand-père. Ses arrière-petites-filles, qui sont nées et vivent aux Etats-Unis, souhaiteraient que soient reconnus ses actes de bravoure. GC
[répondre]
*** Famille Herzog Miribel les echelles Entre deux Guiers Déposée le 04/06/2014
Mes arrières grands parents (FURCY à Entre deux Guiers/Miribel les ecehelles) ont hébergé une famille juive (les parents nommés HERZOG et leur enfant Philippe), dans leur ferme, pendant la guerre. Je n'ai que peu d'informations. Les armes et les provisions du Maquis se trouvaient également dans cette ferme. J'aimerai honorer leur mémoire à titre posthume et qu'ils puissent être considérés comme des "Justes". Quelqu'un pourrait-il m'aider ?
J'ai un tableau de peinture peint par Colette Danguy, la maman (?) laissé en cadeau par cette famille qui venait je crois de Paris ? Ma grand mère FURCY Denise habitait dans cette ferme et mon père Gilbert, enfant à l'époque, se souvient d'eux. Merci à ceux qui pourraient m'aider et me donner quelques informations.
Pascale Roux_Sibillon
[répondre]
*** Garbarz Hersz alias Yanni ? Déposée le 16/03/2014
Bonjour,
je recherche des informations concernant mon grand-père, Garbarz Hersz, né en 1896. Il a été arrêté le 16 décembre 1943, 8 rue de Bonne à Grenoble, lors d'une réunion politique. Lors de cette arrestation 2 jeunes ont été tués : Julien Zerman et jean Briewski. je ne sais si c'est la Gestapo ou la police française qui les a arrêtés. Je viens de recevoir un document BAVCC disant qu'il avait une fausse carte d'identité au nom de Yanni. Sur ce document il est dit qu'il habitait Saint-Egrève. Il a été ensuite déporté à Auschwitz par le convoi 66 du 20 janvier 1944.
Je recherche des informations sur cette arrestation ainsi que sur lui... si des personnes ont des témoignages... Merci.
[répondre]
*** Recherche de personnes déportées Déposée le 16/03/2012
Je recherche des personnes déportées ayant connu mon grand-père Albert Luyat pendant ses actes de résistances ou pendant sa déportation au camp de Buchenwald
[répondre]
Répondue le 23/04/2012
Mon grand-père, Benjamin CHATELIER, se trouvait à Buchenwald à la même période que le votre. D'après mes recherches, mon grand père serait parti en colonne de la mort le 10 avril. Le convoi portait le n° G, en direction du camp de Flossenürg où il serait arrivé le 12 avril. Ensuite ce convoi a été divisé en trois colonnes (A, B et C ). Les rescapés ont été récupérés par les alliés le 23 avril. Etaient-t'ils ensemble? comment sont'ils morts, et où ? Je n' ai pas réussi encore à trouver des listes exhaustives des morts durant ce voyage. Par suite je continue mes recherches en essayant par le biai des archives nazies ouvertes au grand public.
Répondue le 28/11/2012
Salutations
Merci infiniment pour votre réponse.
Répondue le 25/03/2013
Je vous envoie mon adresse email
marion;luyat@gmail.com
Bonjour, votre grand-père Albert Luyat faisait partie du convoi référencé I252 sur le site www.bddm.org parti de Toulouse. Mon grand-père Jean Kervévan en faisait partie mais il est décédé en 1962. La plupart (mais pas tous) venaient du camp d'internement de St Sulpice la pointe dans le Tarn M Gaston Viens maire honoraire d'Orly en faisait aussi partie, il avait dans les 18-19ans vous pouvez essayer de le contacter. Il y aussi Léon Zyguel rescapé. Si votre grand-père était au camp de St Sulpice peut être que M Viens en a un souvenir. A votre disposition Anne Marie
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