Soutenez le travail de l'AJPN |
Recherche de personne, de lieu : affiche la page | Recherche type Google : propose des pages | |||
| ||||||
| ||||||
39/45 en France (WWII)
Nouveaux articles
base des données identifiées par AJPN.org Une page au hasard 38080 noms de commune 95 départements et l'étranger 1230 lieux d'internement 744 lieux de sauvetage 33 organisations de sauvetage 4342 Justes de France 1072 résistants juifs 15987 personnes sauvées, cachées | ||||||
Expositions pédagogiques AJPN
L'enfant cachée Das versteckte Kind Chronologie 1905/1945 En France dans les communes Les Justes parmi les Nations Républicains espagnols Tsiganes français en 1939-1945 Les lieux d'internement Les sauvetages en France Bibliothèque : 1387 ouvrages Cartographie Glossaire Plan du site Signaler un problème technique |
||||||
|
||||||
|
Région :
|
|
Texte pour ecartement lateral |
|
Texte pour ecartement lateral
|
[Créer un nouvel article et/ou ajouter une photo] |
Mairie de Fontenay-sous-Bois jusqu'en 1973 source photo : © Topic-Topos 2006-2011 crédit photo : D.R. |
|
La commune des Fontenaysiens
25/06/2011
La Seconde Guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale fait 276 victimes, prisonniers, fusillés et déportés engagés dans la résistance.
De 1942 à 1944, 79 Juifs seront déportés vers les camps d’extermination de l’Est de l’Europe. Un seul échappa aux chambres à gaz et aux fours crématoires. Il s’agit de l’instituteur Raymond Lévy, né à Fontenay en 1914 et qui après la guerre y résida jusqu’à sa disparition. Les autres déportés juifs, 98,8 % ne revinrent pas. Pour la plupart, ils furent assassinés dès leur arrivée à Auschwitz, Sobibor ou Majdanek.
Parmi les 81 résistants condamnés à disparaître dans « la nuit et le brouillard » à partir de 1942, plus de 50 succombèrent dans les camps de concentration du Reich soit plus de 63 %. Seul 30 rentrèrent marqués à vie dans leurs corps et leurs âmes par ce qu’ils avaient vu et subi.
Dès leur arrivée, ils formèrent une association qui s’intégra à la toute nouvelle Fédération nationale des déportés, internés, résistants et patriotes (FNDIRP). Ils commencèrent dès lors à expliquer ce qu’ils avaient vécu et à dénoncer le racisme, l’antisémitisme et le fascisme qui les avaient conduits aux camps de la mort.
25/11/2017
Les combats pour la Libération
25/06/2011
Lien : Wikipedia
Jule Grévin
Maire de Fontenay-sous-Bois (1935 - 1944) Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
[Ajouter le votre]
Etoile jaune: le silence du consistoire centrale , Mémoire ou thèse
7 pages,
réalisation 2013 Liens externes
Notes Annonces de recherche
[Déposer une annonce]
Albert Coyne
Maire de Fontenay-sous-Bois (1944 - 1945)
André Laurent
Maire de Fontenay-sous-Bois (1945 - 1947)
Paul Febvre
Maire de Fontenay-sous-Bois (1947 - 1954)
Les 62 Justes parmi les Nations du Val-de-Marne
Solange Ardourel (Saint-Maur-des-Fossés)
Josèphe-Marie Cardin Massé (Gentilly)
Albert Loilier (Saint-Maur-des-Fossés)
Henri Ardourel (Saint-Maur-des-Fossés)
René Chevallier (Champigny-sur-Marne)
Fernande Loilier (Saint-Maur-des-Fossés)
Julie Barrau (Le Perreux-sur-Marne)
Charlotte Chevallier (Champigny-sur-Marne)
Suzanne Maloberti (Saint-Maur-des-Fossés)
Valentine Barrau Guiot (Le Perreux-sur-Marne)
Jeanne Chollet (Créteil)
André Marchoix (Villeneuve-Saint-Georges)
Roger Belbéoch (Paris)
(Nogent-sur-Marne)
Charles Collenot (Précy-sous-Thil)
(Saint-Maur-des-Fossés)
(Paris 75012)
Jeanne Marchoix (Villeneuve-Saint-Georges)
Jean-Baptiste Biewer (Sucy-en-Brie)
Georges Cordier (Saint-Maur-des-Fossés)
Roland Marchoix (Villeneuve-Saint-Georges)
Hélène Bindel (Ivry-sur-Seine)
(Moussy-Verneuil)
Pauline Cordier (Saint-Maur-des-Fossés)
Francis Melisson (Mandres)
Jean Bindel (Ivry-sur-Seine)
(Montreuil-aux-Lions)
Simone Cordier (Saint-Maur-des-Fossés)
Marcelle Noël (Saint-Maur-des-Fossés)
René Bindel (Ivry-sur-Seine)
(Montreuil-aux-Lions)
André Delaplace (Vincennes)
(Paris)
Marguerite Pasquine (Paris 75005)
(Ablon-sur-Seine)
Irma Bonneau (Vincennes)
Yvonne Emmanuelli (Saint-Maur-des-Fossés)
Georges Perret (Saint-Maur-des-Fossés)
Albert Bonneau (Vincennes)
François Emmanuelli (Saint-Maur-des-Fossés)
Amélie Perret (Saint-Maur-des-Fossés)
Jacques Bories (Ivry-sur-Seine)
Antoine Géraud (Sucy-en-Brie)
Madeleine Quinquet (Champigny-sur-Marne)
Gaston Bourdon (Cachan)
Ellen Géraud (Sucy-en-Brie)
André Saint-Chély (Paris 75011)
(Saint-Maur-des-Fossés)
Emma Bourdon (Cachan)
Lucien Granger (Villeneuve-Saint-Georges)
(Alfortville)
Rosalie Saint-Chély (Paris 75011)
(Saint-Maur-des-Fossés)
Berthe Bousson (Boissy-Saint-Léger)
Marthe Laborde (Créteil)
(Saint-Maur-des-Fossés)
Justin Saint-Chély (Paris 75011)
(Saint-Maur-des-Fossés)
François Bousson (Boissy-Saint-Léger)
Marc Labouré (Thiais)
Jeanne Schwartz Roth (Troyes)
(Saint-Mandé)
François Burtin (Saint-Maur-des-Fossés)
Élia Lecocq (Champigny-sur-Marne)
Marcel Sternfeld (Saint-Maur-des-Fossés)
Francine Burtin (Saint-Maur-des-Fossés)
Albert Lecocq (Champigny-sur-Marne)
Yvette Trachtenberg (Ivry-sur-Seine)
Albertine Cardin (Gentilly)
François Lizzardi (Fontenay-sous-Bois)
Renée Vérité (Saint-Maur-des-Fossés)
(Moyenneville)
2 Familles réfugiées à Fontenay-sous-Bois
[Compléter]
1943 / 1944
Famille Adato
- Fin 1943, Jacques Adato, né en 1937, est envoyé à la Pension Barbe à Fontenay-sous-Bois. Il y restera un an.
Famille Taradach
- Serge, né le 13 juin 1934, est placé un temps à la pension Barbe à Fontenay-sous-Bois en banlieue parisienne où ses parents Rachel et Hirsch Taradach sont réfugiés.
1 Famille arrêtée (Fontenay-sous-Bois)
[Compléter]
1942
Famille Stourdzé - Victor dit Toni, né le 29/01/1915 à Boulogne-Billancourt, est le fils de Haïm Joël Stourdzé, d'origine polonaise, premier rabbin de Boulogne Billancourt, et de Sabine Perl Muter.
Toni est arrêté à son domicile à Fontenay-sous-Bois avec son épouse Nadine née Rosenberg le 15/11/1917 à Paris. Ils seront déportés sans retour par le convoi n° 36 du le 23/09/1942.
Son frère aîné, Marcel Stourdzé est arrêté à Lyon avec sa femme Danièle le 16 août 1943. Ils seront deux déportés à Auschwitz par le convoi n° 60 du 7 octobre 1943 qui transporte 1 000 personnes, dont 101 enfants. Danièle est gazée dès son arrivée.
Marcel Stourdzé, n° 157242, est affecté au camp d’Auschwitz III - Monowitz. Après l’évacuation du camp, il est transféré à Mauthausen, Flossembourg puis Dachau jusqu’à la libération du camp par les troupes américaines en avril 1945. Libéré le 29 avril 1945, après avoir participé à la Marche de la mort de Janvier 1945, il reprend ses études et devient un éminent professeur d’économie.
Déportation : 23/09/1942
convoi no 36
7/04/1942 -
François Molet, fusillé le 7 avril 1942 au Mont Valérien ( les Nazis) né le 14 mars 1905 à Beaurevoir aisneMont-Valérien France
10/1940 -
Le recensement effectué par les services de la préfecture de Police de la Seine (réparti aujourd'hui entre Paris, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne), dénombre 149 734 hommes, femmes et enfants juifs, dont 64 070 Juifs de nationalité étrangère.
20/08/1941 -
Ouverture du camp de Drancy en région parisienne
16/07/1942 -
16 et 17 juillet 1942, la rafle du Vel’ d’Hiv’ à Paris et dans son agglomération, le "Jeudi noir" comme l’appelle les Juifs, l’opération "Vent printanier" selon le code allemand, visant les familles juives étrangères. 13.000 arrestations dont 4 000 enfants.
Auteur :
Thierry Noël-Guitelman
- terminal
Lorsque la 8e ordonnance allemande du 29 mai 1942 instaure l'étoile jaune en zone occupée, on peut s'attendre à la réaction du consistoire central. Cette étape ignoble de la répression antisémite succédait aux statuts des juifs d'octobre 1940 et juin 1941, aux recensements, aux rafles, aux décisions allemandes d'élimination des juifs de la vie économique, et au premier convoi de déportés pour Auschwitz du 27 mars 1942, le consistoire centrale ne protesta pas.
2 Juifs en psychiatrie sous l'Occupation. L'hospitalisation des Juifs en psychiatrie sous Vichy dans le département de la Seine (Par une recherche approfondie des archives hospitalières et départementales de la Seine, l'auteur opère une approche critique des dossiers concernant des personnes de confession juive internées à titre médical, parfois simplement préventif dans le contexte des risques et des suspicions propres à cette période. La pénurie alimentaire est confirmée, influant nettement sur la morbidité. Ce premier travail sera complété par un examen aussi exhaustif que possible des documents conservés pour amener une conclusion. )
3 Héros de Goussainville - ROMANET André (Héros de Goussainville - Page ROMANET André )
4 Albert Szerman, rescapé des rafles du Vél d'Hiv' et de La Varenne (Le 20 mai 2012, une cérémonie de reconnaissance des sauveurs d'Albert Szerman, les Justes Solange* et Henri Ardourel*, s'est déroulée à la Salle polyvalente de Crouy. Témoignage d'Albert Szerman. )
5 Résistance à la Mosquée de Paris : histoire ou fiction ? de Michel Renard (Le film Les hommes libres d'Ismël Ferroukhi (septembre 2011) est sympathique mais entretient des rapports assez lointains avec la vérité historique. Il est exact que le chanteur Selim (Simon) Halali fut sauvé par la délivrance de papiers attestant faussement de sa musulmanité. D'autres juifs furent probablement protégés par des membres de la Mosquée dans des conditions identiques.
Mais prétendre que la Mosquée de Paris a abrité et, plus encore, organisé un réseau de résistance pour sauver des juifs, ne repose sur aucun témoignage recueilli ni sur aucune archive réelle. Cela relève de l'imaginaire. )
6 La Mosquée de Paris a-t-elle sauvé des juifs entre 1940 et 1944 ? une enquête généreuse mais sans résultat de Michel Renard (Le journaliste au Figaro littéraire, Mohammed Aïssaoui, né en 1947, vient de publier un livre intitulé L’Étoile jaune et le Croissant (Gallimard, septembre 2012). Son point de départ est un étonnement : pourquoi parmi les 23 000 «justes parmi les nations» gravés sur le mémorial Yad Vashem, à Jérusalem, ne figure-t-il aucun nom arabe ou musulman ? )
7 Paroles et Mémoires des quartiers populaires. (Jacob Szmulewicz et son ami Étienne Raczymow ont répondu à des interviews pour la réalisation du film "Les garçons Ramponeau" de Patrice Spadoni, ou ils racontent leur vie et en particulier leurs actions en tant que résistants. On peut le retrouver sur le site Paroles et Mémoires des quartiers populaires. http://www.paroles-et-memoires.org/jan08/memoires.htm. (Auteur : Sylvia, Source : Canal Marches) )
- 1 - Récit de la libération de Fontenay par un témoin.
*** cherche famille de cet enfant Déposée le 02/04/2019
Qui peut me donner des renseignements sur cet enfant ?
Famille, ami(e)s , etc.
Cette photo a été déposée au Mémorial de la Shoah de Paris.
Elle était dans un album à une exposition photographique : un regard sur l'immigration et l'intégration des juifs de France 1880-1948 .
Exposition du mois d'octobre 2012, Paris V.
On m'a confirmé qu'il a 8 ans sur la photo, je possède aussi cette photo, mais il n'y a aucune date derrière.
Je sais que cet enfant s'est caché avec sa mère dans des moulins et des granges à Ivry-sur-seine (94).
[répondre]
*** Rafle a Limeil-Brévannes entre 1940 et 1945 Déposée le 27/12/2018
Pendant la seconde guerre mondiale mon pere William Jungerman ne en 1930 a ete cache dans une ferme a Limeil-Brévannes situé dans le Val-de-Marne. Un jour alors que mon pere que l'on apellait aussi Willy s’était rendu au village, les Allemands débarquèrent et le prirent ainsi que neuf autres hommes pour les fusiller en represaille d'un fait d'arme de la resistance. C’est alors qu’un homme dans l’assistance sorti du rang et dit « Vous n’allez pas prendre un enfant. Je prends sa place. » Ils ont tous été fusillés. Cet homme a donné sa vie pour sauver celle de mon pere. Apres guerre mes grand parents ont essaye de retrouver la famille de cet homme mais sans succes, j'essaye a mon tour.
[répondre]
Répondue le 15/02/2019
Bonjour,
Répondue le 15/02/2019
Piste possible :
- Archives municipales de Limeil Brevannes.
- Journaux de l'époque (Gallica)
- Périodique de la ville.
Il semblerait que ces hommes aient été capturés comme otage sans qu'on sache s'ils étaient résistants ou pas.
Ils ont vraisemblablement été considérés comme "morts pour la France" et donc enregistrés comme tels.
Sans connaissance des noms c'est un peu difficile de rechercher, néanmoins pas impossible.
Cordialement,
JD
JD
Bonjour de nouveau,
Il semblerait qu'il y ait à Limeil Brevannes, une "rue des Fusillés".
Qui sont-ils ?
A voir donc auprès de la mairie.
Cordialement,
JD
*** Qui sont-Ils ? Déposée le 16/07/2015
Après le décès de ma mère, j'ai trouvé cette photo probablement prise en 1944 ou début 1945, à Alfortville Chemin Latéral, j'ai reconnu le lieu nous demeurions 83 rue de Seine, immeuble qui fait le coin avec le Chemin latéral, et :
1 - Ma Mère Odette Demesse née Hérubel
2 - Ma sœur
3 - Moi
Les 3 autres adultes ainsi que le petit garçon me sont inconnus.
Je remercie toute personne qui pourrait mettre un nom sur ces visages et, peut-être me fournir des informations sur ces personnes.
Mon père René Demesse a été arrêté à notre domicile le 30/06/1944 par la BDS, puis interné à Fresnes le 02/07/1944 matricule 14550 cellule 404 ; le 15/08/1944 déporté "politique", par le convoi 1264 à Buchenwald matricule 77378, enfin au kommando d'Hecht (Holzen) le 21/11/1944. Le 23/03/1945 retour sur Buchenwald où il est décédé au blok 52 le 03/04/1945
Je n'ai jamais pu connaître le motif de son arrestation ni s'il était ou non dans la résistance.
Par avance, merci à vous.
Bien cordialement
Christiane Demesse
[répondre]
Répondue le 10/05/2016
Bonjour, si c'est toujours d'actualité, pour votre père, vous pouvez demander des informations au bureau des archives des victimes des conflits contemporains BAVCC de Caen, rue Neuve Bourg L'Abbé, 14037 Caen cedex. J'ai moi même trouvé pour mon grand père déporté, les raisons et les détails de l'arrestation ainsi que les différents lieux de déportation, la cause du décès et le lieu. J'ai découvert également qu'il faisait partie de la résistance, le nom de son groupement, son grade et qu'il a été reconnu mort pour la France. Les délais de réponse sont environ d'un mois. Cordialement
Répondue le 25/05/2016
Bonjour,je vous remercie pour votre réponse. J'ai en effet fait les recherches dont vous parlez, malheureusement, le dossier de mon père est pratiquement vide. Ma demande à Bad Arolsen ainsi que mon voyage à Buchenwald, ont été plus fructueux.
Répondue le 13/08/2018
Cette photo publiée reste un mystère, ce que je recherche maintenant, c'est l'identité, principalement de ce jeune homme en uniforme.
Encore merci à vous. Cordialement
J HABITAIT CHEMIN LATERAL PENDANT LA GUERRE,MON PERE GEORGES FRITSCH TRAVAILLER POUR LA RESISTANCE ET NOUS ETIONS AMIS AVEC LES HABITANTS DE L IMMEUBLE AU COIN DE LA RUE LE 83 ,NOUS ALLIONS LE SOIR PENDANT L ALERTE DANS LA CAVE DU 83 ,AVEC UNE FAMILLE APPELER FADIEFF, IL Y AVAIT UN DOCTEUR JUIF DANS L IMMEUBLE AUSSI,ARRETER EN 1944,JE VOUS REMERCIE A L AVANCE POUR TOUTE INFORMATION ,AMITIEES ,GERARD FRITSCH ,
Répondue le 06/10/2018
cette famille a ete prise en photo devant ma maison ,mamere etait la concierge de l immeuble 83 ,merci
gerard fritsch ,e mail ,gerardone@optusnet.com
*** Francblu Déposée le 16/01/2016
Les dates ne sont hélas pas précises, mais la famille de résistants canavérois LIMPENS dont Constantin Joseph LIMPENS, alias Commandant LAMBERT, artisan imprimeur résistant qui fut le chef et créateur de 4 réseaux "Front National" locaux (FN 23, 24, 25 et 45, environ 300 membres) hébergea, nourrit, protégea clandestinement pendant plusieurs semaines une partie de la famille juive polonaise FRANCBLU de Coeuilly-Champigny. Cet hébergement fut entrepris après que la Résistante Madeleine BOS, infirmière libérale, ait secrètement mis en relation ces personnes avec les LIMPENS, 4 autres membres de leur famille (3 femmes, 1 homme) ayant été préalablement déportées à Champigny en juillet 1942. Le lieu où ces 5 personnes (3 hommes, 1 femme, 1 petite fille) furent cachés était celui de l'Imprimerie du Fort, 7 avenue du Centre à Chennevières, atelier appartenant à cette famille. De nombreux documents (faux papiers, tracts, affiches, etc.) y furent d'ailleurs imprimés dans la clandestinité, pour la Résistance. A ce jour, nous ne pouvons pas fournir d'autres témoignages sur ce sujet que celui extrait d'une interview faite au sujet de la Résistance locale par M. Constantin Pierre Limpens, alias Jean SOL, fils du résistant cité, décédé et des attestations FTP-FFI où ce fait est brièvement relevé, sans autre précision. L'objet de cette intervention étant, si possible, de retrouver des témoignages ou documents qui pourraient accréditer cette protection. Merci pour votre réponse. Christian LIMPENS kerizan56@hotmail.fr
[répondre]
*** Ecole Paris Déposée le 29/07/2015
Bonjour,
Je cherche le nom de cette école de fourrure, je pense que la photo a été prise entre 1926-1928 à Paris.
J'ignore l'arrondissement.
Qui peut m'éclairer ?
Cordialement
[répondre]
*** recherche descendance de "Abale LEK" Paris Déposée le 15/05/2015
Je recherche la descendance éventuelle d'un certain "Abale LEK" que mon grand oncle Simon Sigal a connu dans le camp de birkenau durant la seconde guerre mondiale (Simon y fut de juin 1942 à environ oct/nov 1943), puis dans le camp de concentration situé à varsovie (où Simon fut vers oct/nov 43), camp bâti vers aout 1943 et dans lequel ils furent envoyés d'auschwitz.C'est au retour de ce camp vers auschwitz (date imprécise)que Simon dans son témoignage audiovisuel dit que, ayant marché de ce camp de concentration à Varsovie vers les environs de Kutno en pologne, ils prirent un train.Or Simon parvint à s'échapper de ce train en compganie de 4 autres détenus qu'il nomme oralement "Abale LEK", "André Tcherkes" , "Maurice " et "Lazar" (ce dernier avait un frére Fréd qui fut tué dans les environs de Kutno par les nazis).Simon se cacha dans la campagne polonaise et retrouva son ami "Abale LEK". Ils se revirent aprés guerre à Paris où "Abale LEK" a vécu aprés la guerre.je serais reconnaissant à toute personne qui pourrait avoir connu cet "Abale LEK" qui fut un trés grand ami de captivité de mon grand oncle qui rallia la palestine en début 1945 et décéda en 2002 à Haifa en Israel sans descendance.
Je ne peux être certain de l'orthographe du nom de son ami car cité oralement.
Je suis également désireux de contavter toute personne qui aurait connu d'autres survivants ayant été dans ce camp de concentration à Varsovie appelé "gesiowka" du fait d'une rue de varsovie.merci
[répondre]
Page réalisée avec le soutien de
Avertissement Les informations affichées sur le site de ajpn.org sont fournies par les personnes qui contribuent à l'enrichissement de la base de données. Certaines, notamment les témoignages, ne peuvent être vérifiées par ajpn.org et ne peuvent donc pas être considérées d'une fiabilité totale. Nous citons les sources de ces informations chaque fois qu'elles nous sont communiquées. Toutes les demandes de rectification de données erronées sont bienvenues et, dans ce cas, les corrections nécessaires sont appliquées dans les meilleurs délais en citant la source de ces corrections. C'est par cette vigilance des visiteurs de notre site que nous pouvons assurer la qualité des informations conservées dans la base de données ajpn.org
* Juste parmi les Nations
© Lhoumeau, Marchal 2008-2024