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Région :
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Préfets :
Paul Grimaud
(1942 - 1944)
Émile Ducommun
(1940 - 1942) Préfet des Pyrénées-Atlantiques
Angelo Chiappe
(16/07/1939 - 24/09/1940) Préfet des Pyrénées-Atlantiques
Maurice Sabatier
(01/05/1942 - 1944) Maurice Roch Antoine Sabatier, Préfet régional de la région de Bordeaux (Basses-Pyrénées, Gironde et Landes) (1897-1989)
François Pierre-Alype
(1941 - 1941) Marie François Jules Pierre dit Pierre-Alype, Préfet régional de la région de Bordeaux (Basses-Pyrénées, Gironde et Landes) (1886-1956)
Gaston Cusin
(30/08/1944 - 18/05/1945) Commissaire régional de la République à la Libération (Basses-Pyrénées, Gironde, Lot-et-Garonne et Landes) (1903-1993)
Léopold Chénaux de Leyritz
(25/06/1940 - 24/01/1944) Léopold Marie Frédéric Chéneaux de Leyritz, Préfet de Haute-Garonne et préfet régional de la région de Toulouse à partir de 1941 (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1896-1970)
André Sadon
(24/01/1944 - 06/02/1944) André Paul Sadon, Préfet régional de la région de Toulouse (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1891-1965)
Jean Cassou
(1944 - 1944) Commissaire régional de la République de la région de Toulouse (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1897-1981)
Pierre Berteaux
(1944 - 1946) Pierre Félix Berteaux, Commissaire régional de la République de la région de Toulouse (Ariège, Gers, Haute-Garonne, Hautes-Pyrénées, Lot, Lot-et-Garonne, Tarn et Tarn-et-Garonne et les parties non occupées des Basses-Pyrénées, de la Gironde et des Landes (1907-1986)
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La commune des Biarrots
Biarritz est une station balnéaire de la côte atlantique située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, à 38 km de la ville espagnole de Donostia-San Sebastián.
Le nom basque actuel est Biarritz (ou Miarritze) et le nom gascon actuel est Biàrrits. Le gentilé est Biarrot ou Biarriztar ou Miarriztar en basque.
Selon Claude Farrère en 19361, « Biarritz, dont la vogue depuis le Second Empire a sans cesse grandi, apparaît aujourd’hui comme l’expression la plus parfaite de la ville des élégances internationales (…) La plage de Miramar et ses vagues, la ville et les villas, un luxe effarant, un encombrement qui décourage, et mille hôtels dont beaucoup sont splendides, et quelques-uns habitables. Toutes les séductions, toutes les attractions. De quoi tout oublier et s’oublier soi-même. »
De fait, le style architectural de Biarritz, autrefois village de pêcheurs dont le port a conservé quelques crampottes — petites maisons rustiques et chaulées, aux volets colorés, installées au Port-des-Pêcheurs et servant à remiser casiers, bouées et filets de pêche —, est éclectique. Chacun de ses illustres visiteurs a tenté, depuis la vogue des bains de mer, d’y laissé son empreinte, léguant à la postérité hôtels particuliers, châteaux et villas de styles, entre autres, néobasque (villa Lou Bascou), néonormand (villa Victoria), Belle Époque (hôtel Bellevue), Art déco (musée de la mer et hôtel Plazza), ou pastiche moyenâgeux (villa Émilia, dessinée par Eugène Viollet-le-Duc), Renaissance (château Boulart) et « Renaissance tardive ou de style Louis XIV » (hôtel du Palais). En s’écartant du littoral, on retrouve également, le style urbain traditionnel de la maison labourdine, aux façades chaulées et aux pans de bois apparents peints le plus souvent en rouge brun, mais aussi en vert, gris ou bleu. Pour Roger Brunet, le style architectural de Biarritz est « une synthèse et presque un musée du kitch balnéaire »2.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 20 691 habitants et 22 022 en 1946.
01/05/2019
L'occupation allemande
En 1940, durant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands creusent le mur de l'Atlantique dans les falaises de Biarritz.
Le 27 juin 1940, les troupes allemandes occupent la côte basque. La marine de guerre arrive au début du mois de juillet.
Fin 1942, le capitaine de corvette Ludwig, commandant le 286e groupe d'artillerie de marine, projette et conçoit avec l'Organisation Todt, installée à l'hôtel Régina, l'incroyable poste de commandement du plateau de l'Atalaye codé BA 39-40. Il s'y installe jusqu'à la libération. Cette "kaverne" fut creusée jour et nuit par les prisonniers du stalag 222 de Beyris.Au nord, avenue général Mac Croskey sous une belle villa, le point d'appui BA 34, creusé dans la pointe Saint-Martin, défend la plage de la Chambre d'Amour d'un hypothétique débarquement.
Au sud, sous la perspective de la côte des Basques, le long du boulevard du Prince de Galles, la position BA 41 offre ses embrasures, parties visibles d'un extraordinaire complexe défensif creusé dans le roc, digne de la ligne Maginot. Mais aucun débarquement ne se déroula à Biarritz.
Le 27 mars 1944, la ville est tout de même bombardée par la deuxième vague de bombardiers de l'aviation alliée, en route pour détruire l'aéroport de Parme, la DCA allemande ayant abattu un appareil lors du premier survol.
Les BG 458 et 466 de la VIIIe USAF qui y ont participé n'ont pas eu d'avion abattu Seul le "OH MONA" de la 466 a été touché par l'explosion d'une de ses propres bombes touchée en l'air par un obus allemand. Cet avion a réussit a revenir à sa base où il s'est posé sur le ventre et n'a jamais plus volé.3
01/05/2019
Lien : Wikipedia
La Seconde Guerre mondiale en Iparralde
L’offensive allemande de mai-juin 1940 entraîne rapidement la défaite de l’armée française. Le destin des milliers de Basques incorporés à l’armée sera similaire au reste des Français : arrestation et emprisonnement dans les camps en Allemagne, travaux forcés et , uniquement dans quelques cas, fugue et retour au pays, après avoir vécu bien souvent des aventures périlleuses.
Pour la plupart de la population d’Iparralde (Pays Basque nord constitué des trois provinces historiques du Labourd, de la Basse-Navarre et de la Soule), la guerre sera avant tout source de souffrance pour la famille et les amis des prisonniers en Allemagne. Parmi es 13.500 recensés issus de l’ensemble du Département des Bas Pyrénées, environ 5.000 proviennent d’Iparralde. Il n’y eut pas de combats au Pays Basque, car le front se trouvait assez éloigné, mais Iparralde fut occupé, en vertu des clauses de l’Armistice, signée le 22 juin 1940 et selon lesquelles le territoire de l’État français était divisé en deux par une ligne de démarcation qui constituait une vraie frontière : d’une part, la « zone occupée », sous l’autorité directe des troupes d’occupation et, d’autre part, la zone non-occupée, dénommée également « zone libre », sous l’autorité du Gouvernement collaborationniste de Pétain.
Le Pays Basque continental est également divisé par cette ligne, qui sera soigneusement surveillée par les Nazis et qui, au départ d’Arnéguy, en passant par Donibane Garazi (Saint-Jean-Pied-de-Port), arrivait jusqu’à Donapaleu (Saint-Palais) pour déboucher à Salies-de-Béarn.
Le 27 juin 1940 les premières unités motorisées allemandes arrivent à Bayonne. En quelques jours, elles se déploient sur tout le littoral et à l’intérieur de la région. Mises à part les troupes de la douane, chargées de surveiller la frontière, et la police - la Gestapo principalement –, les troupes nazis stationnées à Iparralde se trouvaient toujours en période de repos, éloignées du front ou en cours de réorganisation. Elles ne restaient jamais trop longtemps dans le Pays.
La traversée de la frontière entre les deux États, dont l’un se déclara neutre (l’Espagne), devient ainsi l’une des activités les plus importantes du mouvement de la Résistance au nazisme en Iparralde.
Le 27 mars 1944, l’aviation américaine, avec ses avions "Liberator", bombarde Biarritz et Anglet avec comme objectifs l’aéroport de Parme et la gare du chemin de fer. Cependant, la plupart des victimes sont des civils : 90 morts à Biarritz et 41 à Anglet. Il s’agit de l’évènement le plus dramatique de toute la guerre en Iparralde.
En 1943, les mouvements intérieurs et extérieurs de la Résistance décident de se fusionner, pour une plus grande coordination et à la recherche de l’unité, en un mouvement dirigé depuis Londres.
Le débarquement des alliés en Normandie, en juin 1944, met les Nazis sur la défensive en France. Le deuxième débarquement qui a lieu dans le Sud, en Provence, le 15 août 1944, force les troupes nazis du Sud-Ouest à se retirer vers le Nord, pour éviter d’être encerclées. Les Nazis abandonnent précipitamment les Pyrénées et les groupes armés locaux, en pleine insurrection, en profitent pour les harceler.
Après quelque affrontements, la garnison allemande de Tardets-Sorholus se rend le 23 août 1944. Cet évènement constitue le principal fait remarqué d’armes de la libération du Pays Basque continental, qui s’achève définitivement entre le 22 et 24 août 1944. Le 24 août, dans l’après-midi, les Résistants entrent à Bayonne, en camions, en provenance de Mauléon-Licharre, Navarrenx, Cambo, etc. Toutefois, malgré la libération d’Iparralde, la guerre se poursuit encore pendant huit mois et les Basques d’Alava, Bizkaia, Gipuzkoa et de Navarre y participent activement, pour expulser les Nazis de leurs derniers réduits, dans une France quasi complètement libérée.1
01/05/2019
05/02/2022
Ferdinand Hirigoyen
(1929-1941)
>> Voir les 12 familles arrêtées dans la commune <<
Chronologie [Ajouter] Témoignages, mémoires, thèses, recherches, exposés et travaux scolaires
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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog
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Notes Annonces de recherche
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Henri Cazalis
(1941-1944)
Guy Petit
(1945-1977) né le 23 novembre 1905 à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) et décédé le 31 octobre 1988 à Biarritz.
Député des Basses-Pyrénées de 1946 à 1958.
Les 118 Justes parmi les Nations des Pyrénées-Atlantiques
Suzanne Camino Chevalier (Arros-de-Nay)
Lucien Lirou (Pau)
(Paris 75020)
Jeanne Sautié Laborde (Orthez)
Sauveur Cozzolino (Pau)
(Saint-Faust)
Simone Maurel Lorimier (Jurançon)
Léonce Souverbielle (Coarraze)
Aristides de Sousa Mendes (Bordeaux)
(Bayonne)
(Hendaye)
Marie Mesplé-Somps (Pau)
Félicie Treyture (Orthez)
Didier Delaunay (Valréas)
(Bayonne)
Léodie Montalibet Cazaux (Saint-Vincent)
Émile Treyture (Orthez)
Familles réfugiées à Biarritz
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
12 Familles arrêtées (Biarritz)
[Compléter]
1944
Famille Badour - Orphelins, Liliane, âgée de 19 ans et ses deux frères Henri, 17 ans, né en 1927, et René, 13 ans, né en 1931, sont arrêtés parce que Juifs en 1944 à Biarritz à la place de leurs grands-parents maternels avec lesquels ils vivent. Les trois enfants sont pensionnaires dans des établissements catholiques. De Drancy, ils sont déportés pour Auschwitz par le convoi n° 67 du 3 février 1944 (1214 déportés, 26 survivants en 1945). Seule Liliane a survécu.
Déportation : 03/02/1944
convoi no 67
1943
Famille Delvaille - Marcel, né à Biarritz le 3 juillet 1894 et Sara, née à Biarritz le 8 juillet 1921, habitaient Biarritz. Arrêtés parce que Juifs, ils sont déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 7 décembre 1943 par le convoi n° 64.
Déportation : 07/12/1943
convoi no 64
07/1943
Famille Hecker - Colette, née le 18 mai 1910 à Biarritz est arrêtée parce que Juive et déportée sans retour de Drancy vers Auschwitz le 18 juillet 1943 par le convoi n° 57.
Déportation : 18/07/1943
convoi no 57
1944
Famille Iordan - Eva, née en 1917 à Haag (Pays-Bas), danseuse de ballet, vivait à Vienne, avant de venir se réfugier à Biarritz. Arrêtée parce que Juive, elle est déportée sans retour de Drancy vers Auschwitz en 1944.
08/07/1942
Famille Kanarienvogel - Charlotte (Chava Sura), 39 ans, née Feldhaendler le 28 octobre 1903, mariée à Samuel, est maman d'une petite fille, habitait Mulhouse (Haut-Rhin). Réfugiée à Biarritz, elle est arrêtée parce que Juive le 8 juillet 1942, elle est internée à Bordeaux, puis à Drancy et déporté sans retour vers Bergen-Belsen.
27/06/1940 -
Les troupes allemandes arrivent sur la côte basque le 27 juin 1940.
05/08/1942 -
La circulaire n° 2765 du secrétaire général à la Police envoyée au préfet régional de Limoges vise les étrangers suivants en vue de leur transfert en zone occupée : "Les israélites allemands, autrichiens, tchécoslovaques, polonais, estoniens, lituaniens, lettons, dantzicois, sarrois, soviétiques et les réfugiés russes entrés en France postérieurement au 1er janvier 1936 incorporés dans des groupes de T.E., hébergés au centre du Service social des étrangers, dans les centres des comités privés ou dans ceux de l'UGIF, placés dans les centres de regroupement israélites en application des circulaires du 3 novembre 1941 et du 2 janvier 1942 ainsi que ceux en résidence libre, seront transportés en zone occupée avant le 15 septembre". La circulaire exclut quelques catégories de Juifs, dont les vieillards de plus de 60 ans, les enfants de moins de 18 ans non accompagnés, les femmes enceintes...
26/08/1942 -
Rafle de Juifs réfugiés en Limousin. 446 Juifs dont 68 enfants de la région sont regroupés au camp de Nexon sont acheminés vers Drancy le 29 août 1942 et déportés vers Auschwitz par les convois n° 26 et 27.
08/10/1942 -
Rafle des Juifs en Charente dans la nuit du 8 au 9 octobre 1942.
31/01/1944 -
Grande rafle ordonnée par le Préfet de région Poitou-CharentesLencloître France
Auteur :
Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
2 Comité national français en hommage à Aristides de Sousa Mendes
3 Connus ou inconnus mais Justes (C’est dans le sillon creusé par Aristides de Sousa Mendès, Madeleine Barot, Charles Altorffer, Marc Boegner, Henry Dupuy, Raoul Laporterie… que s'ancre le souvenir de tous ces Justes que la modestie pourrait renvoyer à l’oubli et à l’indifférence.
Ce livret du Crif Sud-Ouest Aquitaine, écrit et coordonné par Hellen Kaufmann, présidente de l'AJPN, rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. La moindre des choses était de leur permettre de dire et de déposer leur histoire, pour que l’avenir ne les oublie plus jamais, ni eux ni les anonymes qui ont aidé au sauvetage de Juifs. )
4 Victime en représailles à Mussidan
5 Souvenir Français Loudun - GABORIAUD Alphonse (Site du Souvenir Français - Comité de Loudun Page GABORIAUD Alphonse )
6 Souvenir Français Loudun - ROWEK Albert (Souvenir Français Comité de Loudun - Page ROWEK Albert )
7 Les neufs jours de Sousa Mendes - Os nove dias de Sousa Mendes (Documentaires de Mélanie Pelletier, 2012.
Avec António de Moncada de Sousa Mendes, Andrée Lotey, Elvira Limão, Hellen Kaufmann, Manuel Dias Vaz, Irene Flunser Pimentel, Esther Mucznik, José Caré júnior, Marie-Rose Faure, Maria Barroso… et António de Oliveira Salazar, Charles de Gaulle, le Maréchal Philippe Pétain, et le rabin Haïm Kruger. )
8 De l'autre côté des nuages
9 Marsac 23210 La population remerciée (Article du Journal La Montagne du 04/07/2021: la population est remerciée pour avoir protégé des familles juives. Trois familles ont été honorées. )
- 1 - Marie d’Albarade, La belle histoire des palaces de Biarritz, éditions Atlantica - Biarritz, 2013 (ISBN 9782758800224), p. 5
- 2 - « Biarritz, par Roger Brunet », sur le site personnel du géographe (consulté le 4 octobre 2014).
- 3 - Témoignage de Marcelo De Zarobe.
*** recherche Jose Maria CAVANILLAS consul d'Espagne, sauveur de ma mère Déposée le 17/02/2013
je recherche Jose Maria CAVANILLAS consul d'Espagne à Pau en 1941, 1942
[répondre]
Répondue le 05/02/2015
Jose Mª Cavanillas eut six enfants, dont le nom de famille est Cavanillas y Junquera.
Vous pouvez trouver sur facebook l'une des petites filles de José Maria Cavanillas, Arancha Cavanillas de Bustillo, fille de Jaime Cavanillas y Junquera, qui travailla à la Comission Européenne à Bruxelles.
Si vous avez besoin d'aide dans vos recherches, vous pouvez vous adresser à Casa Sefarad-Israel à Madrid. Demandez pour Yessica, de la part d'Arancha. Ils travaillent sur la reconnaissance du travail des diplomates espagnols pendant la guerre.
Répondue le 20/01/2015
You may find information in Spanish in an article about Spanish diplomats[PDF]. Cavanillas is mentioned several times. All best to you. Edna A.
Répondue le 05/02/2015
Españoles en los Bajos Pirineos: - Dialnetdialnet.unirioja.es/descarga/articulo/237464.pdfHas publicado que a ti también te gusta esto. Deshacer
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de MEN Marín - 2001
Exteriores Español, refrendada por la Embajada española en Francia2 . ..... 17 AGA: AE: Caja 10258: respuesta del cónsul en Pau a la circular número 10 ..... estuvo motivado por la orden del 26 de abril de 1941 que prohibía a los judíos
M. José María Cavanillas y Rodriguez, consul d\'Espagne à Pau pendant l\'occupation, décéda en 1957, étant Ambassadeur d\'Espagne à Costa Rica. Si vous êtes intéréssée à contacter la famille, je pourrais vous fournir plus d\'informations dans quelques jours.
Répondue le 29/06/2015
merci
Répondue le 05/11/2016
je souhaitais monter un dossier comme "juste parmi les justes" car il prit ma mère, ma tante et ma grand mère sous sa protection.
comme je n'ai pasde renseignements cela s'avère très difficile
cdtl
merci de votre réponse, si vous avez des informations complémentaires, je suis intéressée
Répondue le 14/06/2023
cordialement
my wife's mother is the youngest daughter of Jose Maria Cavanillas (Carmen), we have been attempting to find out more about his life and history but have been unsuccessful, does anyone have any information about his history?
*** kanarienvogel Déposée le 05/02/2022
KANARIENVOGEL SAMUEL venu de Pologne vers 1910 et ayant habité Mulhouse s'est réfugiée avec sa femme et ses 3 enfants en 1941 en zone libre, à Bayonne où est né mon oncle Robert en 1941 et Biarritz où ma grand mère Chava -Charlotte a été arrêtée le 8 juillet 1942 et internée à Bordeaux puis à Drancy avant de décéder à Auschwitz (convoi 45). Ma mère Rachel avait alors 7 ans et sa sœur Jeannette 9 ans.
Une personne ou une famille auraient-elles gardé des souvenirs à leur sujet ?
[répondre]
*** Recherche Déposée le 26/02/2014
recherche deux personnes (père et fille et peut-être fils) réfugiés à Coarraze entre 1940 et 1945 .
Noms : Steiner - Stern - (où consonance semblable)
[répondre]
Répondue le 11/01/2022
Réponse de M. André Cholon : J ai connu pendant la guerre une famille juive hébérgée a la ferme Palou, 27 rue d Albret Coarraze 64800. J habitais au numéro 25. La petite fille sur la photo s appelait je crois Roseline et on jouait ensemble. A l'époque j avais 6 ans. Puis la famille a disparu avant l'arrivée des Allemands.La rue d'Albret s appelait alors Rue Longue.
*** Religieuses (enseignantes) à Bayonne c. 1942 Déposée le 05/08/2021
Je propose cette annonce de la part d'une petite-fille qui cherche le couvent dans la quelle sa grand-mère et sa sœur avaient eu matriculées en 1942 à Bayonne (aux alentours?). C'est une famille autrichienne toujours en marche de l'est à l'oeust, Vienne, Nice et Bayonne. Nom de famille est LIEBEL. Les prénoms des deux sœurs à naissance: Eva et Ruth, chacune renommé Claudine et Joséphine LAMBERT (respectivement) à l'école. Quelles sont les écoles religieuses à Bayonne קen 1942? Merci
[répondre]
*** recherche renseignement enfants cachés à Simacourbe Déposée le 11/03/2013
Bonjour,
L'histoire familiale voudrait que mon arrière grand tante, Amélie Sarrabas ait hébergé un petit garçon juif durant la guerre dans sa ferme de Simacourbe. Savez vous comment je pourrais trouver des renseignements?
Merci.
[répondre]
Répondue le 02/03/2019
Vous pouvez demander à l'OSE si vous connaissez le nom et le prénom du petit garçon.
*** Antonio Pérez et famille Déposée le 19/12/2015
Je cherche des informations sur Antonio Perez, qui a été arrêté à Bayonne en Janvier 1943, avec son épouse, dans le cadre de l'opération «écume» (appartenant prétendument à la Résistance), arrêté à Bordeaux et Compiègne et déporté à Buchenvald . Une fois libéré le champ par l'armée américaine, il est retourné à Bayonne, où il résidait encore en 1961.
La raison de mon intérêt est que Antonio est né dans la même ville que moi, Albarellos de Monterrei (Ourense, Galice) et je collecte des informations pour organiser un hommage public.
Estoy buscando información sobre Antonio Pérez, detenido en Bayonne en enero de 1943, junto a su mujer, en el marco de la operación 'espuma de mar' (supuestamente por pertenecer a la Resistencia), detenido en Bordeaux y en Compiègne y deportado a Buchenvald. Una vez liberado el campo por el ejército de EE UU regresó a Bayonne, donde aún residía en 1961.
El motivo de mi interés es que Antonio nació en el mismo pueblo que yo, Albarellos de Monterrei (Ourense, Galicia) y estoy recabando información para organizar un homenaje público a el y otro deportado a Mauthausen de la comarca.
[répondre]
*** RECHERCHE FAMILLE DE DEPORTES Déposée le 21/04/2015
Bonour, nous recherchons une famille qui fut hebergee un an a Mirepeix (64) par Mr et Mme Jean et Anne Henriette BORIE. tout ce que se rappelle leur fille (ma grand mere) Marie Therese est que cette famille etait de cinq personnes: les deux parents, deux garcons et une petite fille nee durant cette meme annee..
Elle ne se souvient que du prenom de l un des garcons Paul age de 18-20 ans a l epoque.
Leur nom de famille serait d origine de pays de l est car elle se rappelle que c etait un nom complique et ressemblant a de l allemand ou du polonais..
Bien que caches chez eux dans une petite maison derriere la leur, les gendarmes francais etaient passes une premiere fois sans les trouver mais lors de leur second passage ils ont ete arretes.Ils furent alors envoyees apparemment aux Eaux-Bonnes (64) mais jamais ils n'eurent plus de nouvelles. Mes arrieres grands parents ont ainsi pense qu ils n avaient pas pu s echapper..
Nous aimerions savoir ce qu il est advenu de cette famille, ma grand mere s en veut d avoir oublie leur noms et ses souvenirs s effacent..
Nous vous remercions,
Constance petite fille de Marie Therese Muret (nee Borie)
[répondre]
*** famille vaez olivera à Bayonne Déposée le 19/01/2012
je recherche toute personne ayant des renseignements concernant la mort de Mr Moîse
VAEZ OLIVERA tué chez lui à Bayonne durant l'année 1944. Ainsi que de sa famille.
Merçi d'avance.
Ch
[répondre]
Répondue le 24/01/2013
Bonjour,
Les hasards d internet et le travail de cette association m ont permis de trouver votre appel. vous pouvez me contacter a jlvo61@yahoo.fr ou au 0603100151
Je descends à Saint-Esprit le 30/01.
cordialement
Jean-Louis VAEZ-OLIVERA, fils de Robert VAEZ-OLIVERA et petit-fils de Louis-Jacob VAEZ-OLIVERA
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