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Région :
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Préfets :
Marcel Jacquier
(23/05/1937 - 30/10/1940) Marcel Joseph Hippolyte Jacquier
Maurice Labarthe
(30/10/1940 - 14/11/1941)
René Rivière
(14/11/1941 - 08/01/1943)
Maxime Roux
(08/06/1944 - 18/04/1946)
M. Rebouleau
(11/07/1944 ) milicien tortionnaire né en 1910, nommé préfet à Montpellier le 11 juillet 1944, fusillé trois mois plus tard par la Résistance
Pierre Berger
(1941 - 1942) Pierre Jean Berger, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Louis Bourgain
(18/07/1940 - 1944) Vice-amiral, Préfet de de la Vienne et préfet régional de la région de Poitiers (Charente-Maritime (Charente-Inférieure jusqu'en 1941), Deux-Sèvres et Vendée et les parties occupées de la Charente, de Dordogne et de la Vienne. Condamné à huit ans de prison à la Libération (1881-1970)
Antoine Lemoine
(01/05/1942 - 1943) Antoine Jean Marcel Lemoine, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
René Rivière
(Jan. 1943 - 1943) René Édouard Rivière, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Jean Popineau
(08/01/1943 - 06/06/1944) Préfet de Dordogne
Marc Freund-Valade
(11/09/1943 - 10/05/1944) Marc Paul Freund dit Freund-Valade, Préfet de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
André Fourcade
(10/05/1944 - 06/1944) André Fourcade dit Vergnaud, Commissaire régional de la République de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne), arrêté par la Gestapo en juin 1944, fusillé à Buzet-sur-le-Tarn le 17 août 1944
Jean Callard
(06/06/1944 - 08/06/1944) Préfet de Dordogne
Pierre Boursicot
(23/10/1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Limoges (Corrèze, Creuse et Haute-Vienne et les parties non-occupées de la Charente, du Cher, de la Dordogne, de l'Indre, de l'Indre-et-Loire et de la Vienne)
Jean Schuhler
(Juin 1944 - 1946) Commissaire régional de la République de la région de Poitiers (Charente-Maritime (Charente-Inférieure jusqu'en 1941), Deux-Sèvres et Vendée et les parties occupées de la Charente, de Dordogne et de la Vienne)
Jacques Soustelle
(Mai 1945 - Juin 1945) Commissaire régional de la République à la Libération (Basses-Pyrénées, Gironde, Lot-et-Garonne et Landes) (1912-1990)
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A Mussidan, le 11 juin 1944 source photo : Coll. Mussidan crédit photo : D.R. | |
L'Isle à Mussidan source photo : Carte postale crédit photo : D.R. | |
Cette photo exceptionnelle, prise par une habitante, montre les otages rassemblés dans la cour de la mairie de Mussidan où sont choisis ceux qui seront exécutés. source photo : Sud Ouest crédit photo : © Crédit photo : Collection Rolli |
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La commune des Mussidanais
Mussidan est une commune du département de la Dordogne.
Lors du recensement de 1936, la commune comptait 2 653 habitants et 3 018 en 1946.
24/11/2013
La drôle de guerre et l'occupation
Après l'invasion de la Pologne par l'Allemagne, le 1er septembre 1939, la France et le Royaume-Uni déclarent la guerre à l'Allemagne le 3 septembre 1939.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg, pourtant neutre, et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le président du Conseil : Paul Reynaud, est contraint de démissionner. Le maréchal Pétain forme alors un nouveau gouvernement. 520 000 français sont évacués des zones frontalières comprises entre la ligne Maginot et l’Allemagne.
Les habitants du Bas-Rhin sont évacués vers la Dordogne, l'Indre et la Haute-Vienne.
Chacun peut emporter 30 kg de bagages à main et 4 jours de vivres.
3 463 habitants du Bas-Rhin sont dirigés vers le canton de Mussidan. D'autres arriveront par leurs propres moyens.
Les Alsaciens, habitués à un confort moderne, sont désagréablement surpris par le manque de confort et d'hygiène qu'ils trouvent dans des lieux souvent inhabités depuis longtemps ou détournés de leur fonction, sans WC et sans douche. L'usage du dialecte alsacien, ne favorisait pas l'harmonie entre les deux populations.
L'Allemagne nazie envahit la France, la Belgique, le Luxembourg et les Pays-Bas le 10 mai 1940.
Le 22 juin 1940, la France écrasée signe l'Armistice et se trouve coupée en deux grandes zones délimitées par la ligne de démarcation qui sépare la zone libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy, de la zone occupée par les Allemands.
La Dordogne est en partie en zone libre.
Le 10 juillet 1940, l'Assemblée nationale à Vichy vote les pleins pouvoirs à Pétain. La République est abolie.
Une circulaire préfectorale datée du 1er août 1940 et envoyée aux maires des communes informe les 80 000 Alsaciens installés en Dordogne que "en accord avec les autorités d'occupation le rapatriement des évacués du Bas-Rhin allait commencer", chacun étant libre de partir ou de rester.
Mais le Bas-Rhin et le Haut-Rhin sont intégrés au pays de Bade sous administration allemande.
Le 3 octobre 1940, le Conseil des ministres de Vichy arrête un "Statut" des juifs. Les préfets de zone sud ont la possibilité d'assigner à résidence ou d'interner les "ressortissants étrangers de race juive".
Le 22 février 1941, Mgr Georges-Auguste Louis, l'évêque de Périgueux de 1932 à 1965, demanda à ses diocésains, dans la lettre pastorale de Carême, de ne pas déroger à la tradition d'hospitalité, critiquant la légalisation antisémite de Vichy.
24/11/2013
Rafle du 16 janvier 1944
Le 16 janvier 1944, 35 otages sont arrêtés par les Allemands pour faits de résistance. Ils seront déportées vers les camps de travail allemands par le transport du 22 janvier.
24/09/2020
Lien : Wikipédia
Le 11 juin 1944
Le 11 juin 1944, des Francs-tireurs et partisans détruisent un train de protection allemand en gare de Mussidan. Lors du combat, huit maquisards et le chef de train sont tués.
Au même moment, se produit un accrochage avec un convoi de la puissante 11e Panzerdivision de la Wehrmacht en provenance de Bordeaux. Les maquisards ne peuvent lutter et se replient. Huit résistants sont tués au combat.
Le 11 juin 1944, ce détachement de la Sipo-SD de Périgueux, renforcé par un peloton de la Brigade nord-africaine de la sinistre bande Bonny-Lafont, arrête 54 personnes à Mussidan, dont le maire de Mussidan, Raoul Grassin, assassiné dans la rue, avenue Clémenceau, et son secrétaire Camille Chrismann, prises en otages et dont 52 furent fusillées par un peloton embauché par la 11e division blindée de la Wermacht (11e Panzer Division, bien connue sous le nom de Gespenster Division ou "division fantôme") tout aussi redoutable que la Das Reich, en représailles à l'attaque à la gare de Mussidan par la Résistance (9 maquisards morts au combat) d'un train blindé allemand qui patrouillait tous les jours sur la voie ferrée pour éviter sa destruction par la Résistance et permettre l'acheminement de la Das Reich en Normandie (la Das reich est bien passée à Mussidan le 15 juin 1944).
Ce peloton, bras armé de la Sipo-SD (Gestapo), section de la légion ou phalange Nord-africaine dite "les SS Mohammed" ou "les bicots" ou encore "Hilfspolizei" constituait une force supplétive composée de musulmans recrutés dans les milieux interlopes parisiens ou directement en Algérie.
Connue pour ses atrocités envers les civils, la légion nord-africaine sèmera la terreur du mois de mars jusqu'à son départ au mois d'août, dans le Périgord.
Certains phalangistes Nord-africains reconnus ont été interpelés en 1945. Jugés, la sentence fut exécutée sur le champ. Mais la plupart se sont volatilisés à Marseille et dans le quartier de la Goutte-d'Or à Paris.
Ces otages furent amenés sur le chemin de Gorry, alignés sur 3 rangs les bras en l'air, puis abattus vers 21 heures. Ils avaient été choisis à leurs habits, ceux qui avaient l'aspect de "maquisards" (mal rasés, grosses chaussures et sales, guêtres, etc...) furent considérés commme des "terroristes" et affectés dans le groupe des futurs fusillés. Ne pas avoir de papiers d'identité sur soi était également un critère négatif.
Seuls, Marcel Charpentier, cafetier à Mussidan, et Antoine Villechanoux échappèrent malgré leurs blessures à cette effroyable tuerie.
Auparavant, vers 12h30, les allemands saccagèrent maisons et boutiques puis rassemblèrent tous les hommes des villages de Beaupouyet, Sourzac, Saint-Front-de-Pradoux Saint-Médard-de-Mussidan et Mussidan (350 hommes furent détenus en face de la Mairie).
Vers 16h00, toute personne de plus de 60 ans ou invalide fut libérée.
Les autres furent rassemblés dans trois classes de l'école.
Plus tard, 54 d'entre-eux furent choisis dont 2 garçons de 16 ans... dont Paul Joseph Bourson, né à Vigy (Moselle) le 6 octobre 1903, les frères frères Émile et Edouard Nicolas , expulsés de Metz,
115 habitants sont déportés.1
Eugène et son frère Félicien Folny, ainsi qu'Alphonse Renaud expulsés du village de Vigy comme Paul Joseph, faisaient partie des 54 otages. Le retour de leurs corps à Vigy a eu lieu le 20 mai 1948.
Ces souffrances valent à Mussidan d'être décorée de la croix de guerre 1939-1945 le 11 novembre 1948, distinction également attribuée à dix-huit autres communes de la Dordogne2.
24/09/2020
Auteur : Ajmlaplace
Lien : Victimes en représailles à Mussidans
Le massacre de Mussidan dans son contexte national : la répression de l’été 1944
"Pour rétablir l’ordre et la sécurité, il faut prendre les mesures les plus draconiennes pour détourner par la terreur les habitants de ces régions continuellement infestées pour qu’elle perde enfin l’envie d’accueillir les groupes de résistants et d’accepter d’être gouvernée par eux et en avertissement pour la population entière".
Directives du commandement allemand concernant les départements de la Dordogne, du Lot et de la Corrèze, 8 juin 1944
Le débarquement allié en Normandie entraîne une radicalisation systématique de la répression des troupes allemandes en France qui atteint un paroxysme jamais égalé auparavant. Cette répression se caractérise par la généralisation des massacres de civils, en particulier dans le centre et le sud-ouest de la France comme l’illustrent les exécutions de Tulle, d’Oradour-sur-Glane et de Mussidan les 9, 10 et 11 juin 1944.
Des massacres de civils visant à désolidariser la population de la Résistance avaient déjà été perpétrés ponctuellement par les troupes allemandes avant le Débarquement. Les opérations "Korporal" dans l’Ain au mois de février 1944 ou "Brehmer" en Dordogne en mars en constituent les exemples les plus connus. Toutefois, le phénomène prend une tout autre ampleur à partir du 6 juin 1944.
C’est dans l’ordonnance Sperrle que les massacres de populations en France trouvent leur fondement. Promulgué le 12 février 1944 par le Commandement en chef à l’Ouest (OB West), cet ordre légitime les opérations de répression contre la Résistance et les populations. Comme l’indique Peter Lieb, l’ordonnance Sperrle "prescrivait à la troupe de répondre immédiatement par le feu quand elle serait attaquée par la résistance française. Selon cette instruction, si l’on atteignait des civils en ripostant par le feu, ce fait serait regrettable, mais serait exclusivement la faute des "terroristes". Si les tirs provenaient d’un bâtiment, les soldats devaient incendier cette maison."
C’est en application de ces directives que le chef de troupe doit prendre toutes les dispositions nécessaires vis-à-vis des individus arrêtés en les fusillant immédiatement ou en les remettant à la Sipo-SD. Dans ce contexte, l’ordonnance Sperrle exige une intransigeance sans faille des chefs de troupe dans leur lutte contre les "terroristes" :
"Dans la situation actuelle, il n’y a pas de raison de sanctionner le chef d’une unité qui imposerait des mesures trop sévères. Au contraire, il faudra punir un chef trop souple, car il met la sécurité de ses hommes en danger."
L’ordonnance Sperrle, rapidement considérée comme une "référence" par l’armée allemande, signifie donc de fait que la hiérarchie militaire "couvre" à l’avance tous les excès de la troupe qui a désormais la certitude de son impunité.
24/11/2013
Lien : Le Périgord dans la Seconde Guerre
L’Épuration « sauvage » dans le canton de Mussidan (janvier-septembre 1944)
La période de l’été 1944 constitue dans l’histoire nationale une séquence tout à fait particulière de transition historique caractérisée par des sentiments exacerbés, d’une intensité rarement égalée, et propice aux règlements de comptes politiques et personnels. En quelques semaines, le retour plus ou moins chaotique de la République se substitue à l’effondrement du régime de Vichy, le sentiment de terreur côtoie intimement celui de l’allégresse de la liberté retrouvée. Aussi, la période qui s’étend du 21 août au 7 septembre 1944, soit de la libération de Périgueux à la mise en place des Cours de justice, connaît le paroxysme du phénomène que l’on désigne par le terme d’Épuration « sauvage » ou d’Épuration extrajudiciaire. L’expression Épuration « sauvage » désigne un processus de condamnation d’individus sans instruction ni verdict rendu par une Cour de justice ou un tribunal militaire compétent -les cours martiales FFI n’ayant pas de véritable fondement légal- qui se caractérise par des exécutions sommaires ou par le dramatique épisode des femmes tondues . Il faudra attendre le 7 septembre 1944 pour que s’installe une véritable légitimité républicaine et que siège jusqu’au 20 octobre à Périgueux une cour martiale des FFI, puis une Cour de justice du 13 novembre 1944 au 4 août 1945.
L’épuration des collaborateurs a été définie par le Conseil national de la Résistance (CNR) le 23 mars 1944 par l’article 5 des statuts des Comités départementaux de libération (CDL) qui prévoit des « mesures immédiates d’épuration et de neutralisation des traîtres » en prévision de faciliter la tâche des futurs pouvoirs publics. Dans les faits, cette épuration a déjà débuté.
L’ampleur de la répression exercée par l’occupant et ses auxiliaires en Mussidanais au cours de l’année 1944 a fait naître un sentiment de haine et une volonté de vengeance à l’encontre des collaborateurs que la Résistance considère comme des ennemis au même titre que les troupes allemandes, sinon plus encore. Cette vengeance vise essentiellement les membres de la Milice ou ceux qui, sans y appartenir, sont considérés comme des indicateurs à la solde de l’occupant. N’a-t-on pas vu des miliciens de Saint-Médard-de-Mussidan désigner aux Allemands les personnes à arrêter lors de la rafle du 16 janvier 1944 qui a conduit 36 Mussidanais dans les camps de la mort ? Pour la Résistance, l’activité de tels individus représente un danger mortel et force est de constater que l’ennemi n’aurait jamais été aussi efficace dans sa répression s’il n’avait bénéficié du soutien d’individus qui connaissent parfaitement leur environnement social. Peu nombreux, ils n’en sont pas moins redoutables. Ceux qui se sont le plus compromis, que cela soit par idéologie, appât du gain ou fanfaronnade, ont inévitablement eu à en payer le prix. Toutefois, il est indiscutable que la période est propice à l’élimination de personnes innocentes par certains pseudo résistants qui, sous couvert d’épuration, tuent pour des raisons totalement étrangères à la Résistance .
Nous citerons quelques profils de personnes exécutées dans le canton de Mussidan au cours de l’Épuration « sauvage ». La plupart d’entre elles sont des miliciens ou des individus considérés par la population comme des indicateurs.
Jacques Binger, âgé de 38 ans, est le fils du célèbre explorateur Louis-Gustave Binger, qui a acheté la belle propriété de Maraval, à Saint-Médard-de-Mussidan, peu avant la Première Guerre mondiale. Revenu s’installer à Mussidan en 1941 comme exploitant forestier, Jacques Binger est assez rapidement impliqué dans différentes affaires d’escroqueries. Il est surtout connu par la population pour être non seulement un proche de certains collaborateurs actifs, mais également un indicateur de la Gestapo. Considéré par la population comme le dénonciateur à la Milice du membre de la Résistance Alban Petit, arrêté le 8 janvier 1944 puis déporté à Buchenwald, il est exécuté le soir même devant l’hôtel Andanson dans le centre de Mussidan . Jacques Binger est le premier d’une longue liste.
24/11/2013
Lien : Le Périgord dans la Seconde Guerre
Croix de guerre
Les communes de Dordogne décorées de la croix de guerre 1939-1945 le 11 novembre 1948 :
07/11/2021
Charles Mazeau
(1919 - 1941) Drapier, révoqué par le Gouvernement de Vichy en 1941.
>> Voir les 56 familles arrêtées dans la commune <<
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Paul Joseph dit Joseph Bourson Arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan (Dordogne), Blog
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Pierre Lamy-Lapeyrière
(1941 - 1943) Médecin, démissionnaire en 1943.
Raoul Grassin
(1943 - 11/06/1944) Liquoriste, tué le 11 juin 1944, assassiné dans la rue, Avenue Clémenceau par la 11e Panzer Division.
Pierre Laubertin
(1944 - 1944) Directeur d'école honoraire, maire-adjoint de Raoul Grassin, il prit la succession de celui-ci après qu'il eut été fusillé.
Charles Mazeau
(1944 - 1945) Marchand drapier
Pierre Mathieu
(1945 - 1946) Gérant de la Caisse locale du Crédit agricole, démissionnaire.
Michel Schneersohn
(1946 - 1947) Directeur de la SATM (Société Anonyme de Travaux Métalliques, devenue société Atemco).
Secrétaires de mairie
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Camille Chrismann 1943 - 11/06/1944 tué le 11 juin 1944, assassiné dans la cour de l'école par la 11e Panzer Division
Les 133 Justes parmi les Nations de la Dordogne
Charles Altorffer (Périgueux)
(Strasbourg)
Catherine Deschamps (Périgueux)
Angèle Laurier (Bourdeilles)
Marie-Louise Basbayon (Négrondes)
Geneviève Dieras Cessac (Mauzens-et-Miremont)
Joséphine Mathès (La Roque-Gageac)
Frédebert Baylac (Périgueux)
François Doche (Coulounieix-Chamiers)
Henriette Mathieu (Saint-Cernin-de-l'Herm)
Alexandre Berbonde (Périgueux)
Louise Doche (Coulounieix-Chamiers)
René Mathieu (Saint-Cernin-de-l'Herm)
Jeanne Berthoumeyrou (Sarlat)
Marie-Louise Duboureau Lafon (Ligueux)
Pierre Matigon (Saint-Antoine-de-Breuilh)
Paul Berthoumeyrou (Sarlat)
Jeanne Duc (Bergerac)
(Saint-Georges-Blancaneix)
Eva Matigon (Saint-Antoine-de-Breuilh)
Marie-Josèphe Beylot (Thiviers)
Hélène Duc Catroux (Bergerac)
(Saint-Georges-Blancaneix)
Jacques Matigon (Saint-Antoine-de-Breuilh)
Hélène Bissou Ségurel (Coulounieix-Chamiers)
Raymonde Dupuy (Périgueux)
Yvonne Ongaro (La Roque-Gageac)
Jean Bleynie (Saint-Louis-en-l'Isle)
Caroline Faure (Saint-Antoine-de-Breuilh)
Marguerite Parre (Cazoulès)
Élise Boussarie (Villars)
Carmen Félix (Saint-Laurent-sur-Manoire)
Georges Rocal (Saint-Saud-Lacoussière)
Adrien Bouthier de Laverdonie (Chavagnac)
Marie Geneste (Siorac-en-Périgord)
(Berbiguières)
Élisabeth Roubinet (Saint-Raphaël)
Marguerite Bouty (Brantôme)
Robert Geneste (Siorac-en-Périgord)
(Berbiguières)
Jacques Rousseau (Prigonrieux)
Alice Brionne (Périgueux)
Pierre Gesse (Saint-Séverin-d’Estissac)
Joseph Roux (Clermont-d'Excideuil)
Auguste Brionne (Périgueux)
Paulette Granger Claude (Coulounieix-Chamiers)
Yvonne Roux Mignot (Clermont-d'Excideuil)
Louis Chamon (Coulounieix-Chamiers)
Urbain Haag (Périgueux)
(Strasbourg)
Aloyse Strebler (Saint-Pardoux-la-Rivière)
(Périgueux)
(Uberach)
Léontine Chamon (Coulounieix-Chamiers)
Émile Herpe (Sainte-Foy-la-Grande)
(Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières)
(Vélines)
Mélanie Strebler (Saint-Pardoux-la-Rivière)
(Périgueux)
(Kintzheim)
Émile Combélas (Thiviers)
Georgette Herpe (Sainte-Foy-la-Grande)
(Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières)
(Vélines)
Marie-Louise Taphanel (Saint-Michel-en-Brenne)
(Sainte-Eulalie-d'Ans)
Marguerite Cordelier (Périgueux)
Marguerite Jacquin (Saint-Germain-et-Mons)
Éva Teyssandier (Sainte-Orse)
Marcelle Cousinet (Razac-de-Saussignac)
Armelle Jacquin (Saint-Germain-et-Mons)
Léo Teyssandier (Sainte-Orse)
Familles réfugiées à Mussidan
[Compléter]
Article non renseigné. Si vous avez connaissance de personnes hébergées, sauvées ou cachées dans la commune, cliquez ci-dessus sur “Compléter” et ajoutez leur nom, prénom, leur date de naissance, les circonstances du sauvetage, si possible.
56 Familles arrêtées (Mussidan)
[Compléter]
11/06/1944
Famille Alboy - Roger Alboy, 19 ans, originaire de Chelles (Seine-et-Marne), est arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan en représailles à l’attaque d’un train blindé par la Résistance.
Date d'exécution : 11/06/1944
11/06/1944
Famille Arnault - Paul Arnault, 45 ans, originaire de Sourzac, est arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan en représailles à l’attaque d’un train blindé par la Résistance.
Date d'exécution : 11/06/1944
11/06/1944
Famille Aubert - Louis Aubert, 46 ans, et son fils Jean, 17 ans, originaires de Mussidan, sont arrêtés comme otages et fusillés le 11 juin 1944 à Mussidan en représailles à l’attaque d’un train blindé par la Résistance.
Date d'exécution : 11/06/1944
11/06/1944
Famille Audet - Georges Audet, 25 ans, originaire de Saint-Médard-de-Mussidan, est arrêté comme otage et fusillé le 11 juin 1944 à Mussidan en représailles à l’attaque d’un train blindé par la Résistance.
Date d'exécution : 11/06/1944
11/06/1944
Famille Beaugier - Jean Beaugier, 65 ans, est arrêté comme otage et massacré dans la rue le 11 juin 1944 à Mussidan en représailles à l’attaque d’un train blindé par la Résistance.
Date d'exécution : 11/06/1944
05/08/1942 -
La circulaire n° 2765 du secrétaire général à la Police envoyée au préfet régional de Limoges vise les étrangers suivants en vue de leur transfert en zone occupée : "Les israélites allemands, autrichiens, tchécoslovaques, polonais, estoniens, lituaniens, lettons, dantzicois, sarrois, soviétiques et les réfugiés russes entrés en France postérieurement au 1er janvier 1936 incorporés dans des groupes de T.E., hébergés au centre du Service social des étrangers, dans les centres des comités privés ou dans ceux de l'UGIF, placés dans les centres de regroupement israélites en application des circulaires du 3 novembre 1941 et du 2 janvier 1942 ainsi que ceux en résidence libre, seront transportés en zone occupée avant le 15 septembre". La circulaire exclut quelques catégories de Juifs, dont les vieillards de plus de 60 ans, les enfants de moins de 18 ans non accompagnés, les femmes enceintes...
23/08/1942 -
Rafles de la zone libre du 23 août 1942. Le 23 août 1942 la police française agissant sur ordre des autorités de Vichy arrête les Juifs de la région dans les camps et GTE de zone sud rentrés en France après 1936.
26/08/1942 -
Rafles de la zone libre du 26 août 1942. Un quota de 1 308 personnes à arrêter est fixé. Il s'agit de déporter les Juifs entrés en France après le 1er janvier 1933.
26/08/1942 -
Rafle de Juifs réfugiés en Limousin. 446 Juifs dont 68 enfants de la région sont regroupés au camp de Nexon sont acheminés vers Drancy le 29 août 1942 et déportés vers Auschwitz par les convois n° 26 et 27.
08/10/1942 -
Rafles du 8 octobre 1942 en zone occupée. Ces rafles concernent 1 933 Juifs en zone occupée, dont les communes de Dordogne situées de l'autre côté de la ligne de démarcation et intégrées à la Charente. 386 Juifs dont 179 de Dordogne seront envoyés à Drancy pour être déportés vers Auschwitz par les convois n° 40 et 42 des 4 et 6 novembre 1942.
08/10/1942 -
Rafle des Juifs en Charente dans la nuit du 8 au 9 octobre 1942.
23/02/1943 -
Rafles du 23 au 27 février 1943. Rafle dite du "gymnase Secrestat". A la suite d'un attentat qui a coûté la vie à deux officiers allemands le 13 février 1943, l'occupant demande en représailles la déportation de 2 000 Juifs de France. Ils sont raflés dans chaque département par la police et la gendarmerie. La région de Limoges est tenue de fournir 250 Juifs, elle en arrêtera 385, dont 90 en Dordogne.
31/01/1944 -
Grande rafle ordonnée par le Préfet de région Poitou-CharentesLencloître France
11/06/1944 -
Le 11 juin 1944, massacre de Mussidan, 52 hommes tués par la 2e division blindée SS "Das Reich" et "Phalange africaine" de Bony-Lafon en représailles de l’attaque du train blindé attaqué en gare de Mussidan par les maquisards.
Auteur :
Alain LAPLACE
Article rédigé à l'occasion de mes recherches généalogiques, puis la mise en ligne d'un blog (http://majoresorum.eklablog.com)dédié à la famille BOURSON qui a été expulsée en 1940 du village de Vigy (Moselle) et réfugiée à Mussidan (Dordogne) et les villages alentours où elle a vécu toute la durée de la guerre. Plusieurs personnes natives de Vigy faisaient partie des 52 otages fusillés le 11 juin 1944.
2 Exposition : Ça m'est arrivé. Être juif en Dordogne entre 1939 et 1944 (Exposition Ça m'est arrivé. Être juif en Dordogne entre 1939 et 1944.
Elle est conçue comme complémentaire de l'ouvrage de Bernard Reviriego. Les témoins ont été photographiés par Denis Bordas, photographe aux Archives départementales, et il est possible d'écouter, avec un baladeur, leurs témoignages organisés en six thèmes :
• L'antisémitisme et la guerre • La Dordogne, terre d'accueil • L'exclusion
• La persécution • La Résistance • La mémoire
Des objets personnels prêtés par ces témoins, et commentés par eux, font écho aux documents originaux tirés des Archives départementales. Cette exposition est prêtée à titre gracieux par les Archives départementales de la Dordogne. Pour tout renseignement, contacter Bernard Reviriego : b.reviriego@dordogne.fr )
3 Comité national français en hommage à Aristides de Sousa Mendes
4 Connus ou inconnus mais Justes (C’est dans le sillon creusé par Aristides de Sousa Mendès, Madeleine Barot, Charles Altorffer, Marc Boegner, Henry Dupuy, Raoul Laporterie… que s'ancre le souvenir de tous ces Justes que la modestie pourrait renvoyer à l’oubli et à l’indifférence.
Ce livret du Crif Sud-Ouest Aquitaine, écrit et coordonné par Hellen Kaufmann, présidente de l'AJPN, rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. La moindre des choses était de leur permettre de dire et de déposer leur histoire, pour que l’avenir ne les oublie plus jamais, ni eux ni les anonymes qui ont aidé au sauvetage de Juifs. )
5 Hélène à Bergerac en septembre 2010 (Reportage, de France 3 Aquitaine Périgords, sur le voyage en France d'Hélène Fraenkel Appel et de sa famille. )
6 Victime en représailles à Mussidan
7 Souvenir Français Loudun - GABORIAUD Alphonse (Site du Souvenir Français - Comité de Loudun Page GABORIAUD Alphonse )
8 Souvenir Français Loudun - ROWEK Albert (Souvenir Français Comité de Loudun - Page ROWEK Albert )
9 Les neufs jours de Sousa Mendes - Os nove dias de Sousa Mendes (Documentaires de Mélanie Pelletier, 2012.
Avec António de Moncada de Sousa Mendes, Andrée Lotey, Elvira Limão, Hellen Kaufmann, Manuel Dias Vaz, Irene Flunser Pimentel, Esther Mucznik, José Caré júnior, Marie-Rose Faure, Maria Barroso… et António de Oliveira Salazar, Charles de Gaulle, le Maréchal Philippe Pétain, et le rabin Haïm Kruger. )
10 De l'autre côté des nuages
11 Marsac 23210 La population remerciée (Article du Journal La Montagne du 04/07/2021: la population est remerciée pour avoir protégé des familles juives. Trois familles ont été honorées. )
- 1 - Agenda 2019 de Mussidan, « Histoire de Mussidan », p. 24.
- 2 - Croix de Guerre 1939-1945.
*** Mon père, enfant caché à Couze Déposée le 18/06/2020
Mon père, Léon Schwartz, né le 4 octobre 1933 à Paris, a été caché chez Charles et Lucienne Reichman (née Dubois) à Couze pendant la guerre. Eux-mêmes se cachaient sans doute, avec leur fils Maurice (né le 29 mai 1931) et leur fille.Ils habitaient près de l'église, une rue qui monte ... Mon père n'a pas reconnu la maison, juste la rue et le quartier. Il nous a quittés en 2015.
Il est allé à l'école, se souvenait qu'on les envoyait loin du village quand les allemands venaient. Il est rentré à Paris en 45 ou 46, chez sa mère. Son père et sa grand-mère ne sont pas rentrés de déportation.
J'aimerais savoir s'il y a des traces de son passage à Couze, s'il reste des personnes ayant pu le connaître. Charles, Lucienne et Maurice Reichman sont décédés.
Y a t'il des photos de classe de cette époque ?
Merci pour tout renseignement.
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*** j'ai 65 ans je recherche des éléments sur ma grand mère Déposée le 09/12/2015
Je recherche des personnes qui ont connu ou entendu parler de ma grand mère DELPERIER Marie (henriette)née le 7 janvier 1902 de pére inconnu à l'àge lieu dit entre le bos et le vignal à Auriac du périgord 24290,(à côté de Fanlac) sa date de décés n'est signalée nulle part,dernière date connue de présence en 1931..(dernier dénombrement).( était handicapée) sa mère se prénomme mathilde (décédée en 45)habitaient toutes les deux dans maison isolée tout prés camp du sablou...merci
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Répondue le 08/09/2019
Bonjour,
Je viens de voir votre annonce je suis originaire de la région d'Auriac et j'ai de famille qui pourra me renseigner.
Mon père etait dans la resistance, et j'ai un oncle qui a etait régisseur au chateau du Sablou.
Voici mon numero :O633714401
Serge Moreillon
*** Identification photos Déposée le 24/05/2014
Je dispose de photos qui ont été identifiées comme ayant été prises dans la région de Mussidan et représentant des maquisards. Ces clichés, d'origine familiale, ne peuvent être "expliqués", toutes les personnes ayant vécu à cette époque étant décédées. Quelqu'un peut-il m'aider à affiner l'identification de ces lieux et de ces personnes ? Une seules personne a pu être identifiée : Alain Broquaire, réfugié à Bourgnac(24) à partir de 1942 et originaire de Dunquerque(59).
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Répondue le 30/05/2014
Bonjour
Répondue le 12/12/2017
Pouvez-vous scanner et mettre les photos dans l'annonce de recherche ?
Merci
Bernard
Bonjour, comment pouvons nous voir ces photos? Merci
Répondue le 17/04/2018
je serais intéressé par vos photos, et souhaiterais en prendre connaissance
merci
cordialement
*** recherche liste enfants cachés couvent saint joseph Déposée le 24/02/2018
Bonjour je suis a la recherche d'informations sur les enfants juifs cachés dans le couvent saint Joseph a Bergerac . Mon père Edmond Hirsch né en 1936 originaire de Bitche y a peut être été caché . Il avait entre 4 et 7 ans durant l'hosptalisation de sa mère Irma Blum Hirsch pendant la seconde guerre mondiale . Je recherche des témoignages de personnes qui l'auraient connus . Ou des conseils pour chercher des preuves qu'il se trouvait la bas . A qui pourrais je m'adresser pour commencer mes recherches ?
Il était refugié avec ses parents Samuel Hirsch(tailleur ) et Irma Blum à Périgueux .Comment retrouver les adresses ou il a logé a Perigueux ? Merci a toutes les personnes qui pourront me renseigner !
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Répondue le 25/02/2018
Bonjour, pour commencer il faut vous rendre aux Archives de la Dordogne et voir s'il existe une liste de la gendarmerie qui recense les déclarations (obligatoires) de résidence pour Périgueux. Ensuite....il faut aller à la pêche aux infos. Bon courage. MF Greminger
*** recherche de photos Déposée le 24/03/2017
bonjour mes grands parents ayant ete expulsés de moselle ,du village de fontoy ,et dirigés vers perigueux puis saint pardoux la riviere de 1941 a 1945, schuhmacher nicolas ne le 15 juin 1907 a fontoy et sa famille ,de souvenir faiser du charbon dans les bois et dans le maquis ,attaque d un convoi et ,fait prisonnier des allemnds de la poche de royan ,brisdes de souvenirs de la grand mere ,je recherche des fotos par mail du camp,des baraquements comme ils disaient ,je compte m y rendre avec ma famille cette annee fin juillet 2017 ,eventuellement une location pour 5 personnes ,merci d avance schuhmacher cyril 0612146664
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*** recherche Déposée le 14/08/2016
Bonjour . Je cherche à savoir si quelqu'un a connu durant l'occupation , mon oncle Gérard SAINTMARTIN ( fils ainé de Mr et Mde. Joseph Saintmartin , maire de Boulazac en 1944 ) ? .
Il fut arrêté à la frontière Espagnole en 1942 , ( peut être par dénonciation ? ) et déporté à Gusen , mort là bas après la libération du camp , en 1945 .
Merci de me contacter .
J.F Saintmartin
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*** Recherche Déposée le 13/07/2011
Je recherche des personnes ayant connus ma maman
Renée Rottler née rosenberg qui était réfugiée à Villamblard avec ses parents Sylvain et Adèle Rosenberg durant la guerre .
Merci pour vos renseignements
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